Les Chemins de la liberté
8.5/10
Epique et intimiste a la fois ? oui c est possible , peter weir le prouve avec maestria . une odyssee epique dans ces proportion . une grande aventure classic , humaine et naturel . et intimiste car le petit groupe de protagoniste reste souder et concentrer et leur liens et survit commune , leur progression , reste le sujet principale du film .
Baser sur une histoire vrai hors du commun , alors que ce soit tres libre ou proche des fait et des perso je m en tape carrement , que les perso et leur trauma et trouble soit un peut accentuer , ben ca me gene pas , au contraire , ca rajoute de l’intensiter . le pti jim sturgess qui doit coute que coute rentrer chez lui hanter par une culpabiliter qui le ronge et hyper determiner et plus motiver que jamais ( sa femme qui la balancer sous la torture ect…) est tres bon pour un role tres demandeur , il s’ent sort avec les honneur, farrel qui joue un criminel qui reigne sur le goulag polonais infester de sale tete qui troque et tue a tir l’arigot est aussi vachement bon comme toujour depuis quelque annes, il choisit vraimenr bien ces realisateur et projet , et pis the boss ed harris est un vieux sage , pas besoin de parler bcp pour imposer sa vision , un meneur qui a vecut et qu on ecoute et suit , sont visage capte la camera comme peut d acteur , et sont charisme naturel deborde de partout . des polonais un brin joueur et qui on toujour le mot pour rire et detentre l’atmosphere dans le moment les plus difficile , bref un pti groupe qui semble avoir été ecrit pour assurer une dynamique et une ierarchie . on en est consciente , mais ca gache jamais le plaisir et la fascination de ces 6500 km laborieux , ou la solidariter et le force de survite exalte .
La violence et l’insalubriter precaire des camp glaciales en siberie saissisent d’entrer de jeu , on repere vite fait les caractere et motivation de chacun . pour echapper a cette enfer ainsi que d autre raison exterieur , notre pti groupe s’evape ( dommage on voit pas trop comment ) lors d’une tempete de neige qui couvrira leur fuite et empechera les garde de les suivres vut que leur mort semble assurer .
Ce putain de periple est completement dingue , la force de cette histoire rend le film si captivant , car au fond c est juste un groupe de mec qui se rendent de A a B quoi , sauf que c’est a travers une nature et des moyen qui decouragerait les plus temeraire des warrior ! les forets du nord de la russie sont sombre et peut riche en vivre naturel , rien a bouffer sous cette neige et glace , le lac baikal semble jouer a cache cache , sans carte ni boussole c est chaud s’y retrouver . les plaine de mongolie sont infester de moustique , le desert de gobi est pire qu’un champ de mine , ca semble sans fin et les condition sont proche d’un volcan en eruption constante .. l’hymalaya se dresse enfin comme l’ultime rempart a franchir avant la liberation au tibet qui s’illustrera comme un havre de paix avant que chacun ne prenent leur propre route back home .
En route evidement les peripetie sont nombreuse et conserve un rythme eprouvant , jamais on aura aussi bien resentie les besoin de protagoniste , moi devant the way back j’avait froid , puis chaud, faim , soif , la fatigue immense , l’envie de jeter l’eponge , se jeter sur une carcasse de cerf a moitier decomposer .. bref un boulot aussi bien due au acteur , leur maquillage , leur intensiter qui fait que leur variation d’etat physique est totalement credible , et pis une imagerie naturel d’une puissance inoui ! sans parler pour l’instant de la mise en scenes , mais simplement du fait de filmer en decor naturel hostile et dont les ambiance et atmosphere sont rendue presque palpable grace a un mixage sonor tres vivace et sensoriel , de meme que pour tout ce qui impersiptible a l’ecran mais dont on semble etre contient . ben ouai en matant the way back , les ruisseux , le vent , les oiseau , la neige qui s’enfonce , tout est fait pour etre transporter au cœur de ce groupe , et c’est reussit , et en ca, le film prend au tripe . On a meme l’impression de sentir l’eau du puit nous desalterer , le soleil qui tape et fait gonfler les pied , bref un trip sensoriel et emotionel qui fonctionner et rend l’immersion total .
Les paysage filmer avec un respect et une classe phenomenal comme on sait weir le faire si bien sont la cerise sur la gateau , il filme toujour en plan large , cadrer et rend epique et formellement haut decut de tout reproche , chaque image de sont film . en grand naturaliste et humaniste , il a biensure choisit cette histoire , ces perso et leur etat d’esprit en toute consience , et du coup aller cherche le national geographique pour un soutient financier et logistique , ca se voit , et ne rend le film que plus majestueux et repectable .
La rencontre de saoirse est bien ammener et dynamise tout ca . elle va reveller encore plus les instinct de chacun , et calmer les temperament mis a rude epreuve .
Les liens tisser entre chacun , au vue de ce qu’ils partage , sont forcement fort, touchant et les pertent ne sombre dans aucun sensationalisme ( comme tout le film d ailleur ) . un film extreme , des paysage epoustouflant , une mise en scene imparable qui force l’admiration , de leger bemol qui empeche le film d’etre aussi devastateur que sont film d’avant ( master et commander ) , on a l’impression que weir ne sait pas trop comment finir sont film . le fait que l’hymalaya soit expdier me gene pas , on a déjà bien bourlinger avant comme ca , entre les immensiter glacial et brulante , les relief abrubt , le sable et le boue , ca aurait été redondant , mais bon une fois au tibet , ca pietine un peu et on dirait que le david lean reincarner qu’on avait c’est transformer en edward swick avec ce final ou strugess rentre a la maison , enfin rien de mechant hein , en plus des qualiter evidente du film formellement , et dramatiquement ( caracterisation de perso tip top , theme universelle evocateur , realisme cruelle , magnificiance de chaque cadre , plan , sequence romanesque , bravoure communicative , une fresque heroico-humaniste qui fait du bien tellement on en a plus vue des comme ca depuis longtemp ..) j ai uber kiffer quoi , merci merci peter weir quoi !!