#Réalisateur# Woody ALLEN

[Scalp]

Le Rêve de Cassandre (2007) : 5/10
Scoop (2006) : 4/10
Match Point (2005) : 4/10
Anything else, la vie et tout le reste (2003) : 5/10
Accords et désaccords (2000) : 0/10
Celebrity (1999) : 3/10
Tout le monde dit I love you (1997) : 3/10

Ce gars est un génie.

[Kakemono]

Whatever works : 6/10
Vicky Cristina Barcelona : 7/10
Le Rêve de Cassandre : 6/10
Scoop : 5/10
Match Point : 9,5/10
Melinda et Melinda : 5/10
Escrocs mais pas trop : m'en souviens pas
Accords et désaccords : 5/10
Annie Hall : 5/10
Woody et les robots : 3/10
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le sexe... sans jamais oser le demander : 4/10
Prends l'oseille et tire-toi : 4/10

Assez moyen dans l'ensemble, une sacré fulgurance, et puis c'est tout.

Ce gars est un génie.

[comICS-soon]

Prends l'oseille et tire-toi 8/10

Gros coup de cœur, j'me suis bien marré ! Un film complétement absurde, et Allen joue merveilleusement bien. Je lui préfère ce style à celui de ses derniers...

[Daimon]

Minuit à Paris (2011) 8.5/10 Le Feel Good Movie de l'année... magique !
Vous allez rencontrer un bel et sombre inconnu (2010) 5/10 grosse déception, ça sent la redite à tous les niveaux...
Whatever works (2009) 9/10 Fan de Curb et de Larry David, cette comédie m'a enchanté.
Vicky Cristina Barcelona (2008) 8/10 Très joli drame espagnol porté par un trio d'acteurs remarquable.
Le Rêve de Cassandre (2007) 9/10 Une tragédie implacable portée par un Farrell tout en sensibilité, LE rôle de sa vie.
Scoop (2006) 7.5/10 Frais et agréable.
Match Point (2005) 9/10 Chef d'oeuvre absolu !
Melinda et Melinda (2005) 5.5/10 Idée intéressante (alterner comédie et drame), mais au final... film relativement raté.
Anything else, la vie et tout le reste (2003) 7/10 Peu de souvenirs, se laisse suivre sans déplaisir, comme beaucoup de Woody de cette période.
Hollywood Ending (2002) 7.5/10
Le Sortilège du scorpion de Jade (2001) 7/10
Escrocs mais pas trop (2000) 6/10 Bof, bof, très peu de souvenirs.
Accords et désaccords (2000) 6.5/10 Faux biopic porté par un excellent Penn.
Celebrity (1999) 6.5/10
Harry dans tous ses états (1998) 8/10
Tout le monde dit I love you (1997) 8/10 Pourtant, je n'aime pas les musicals...
Coups de feu sur Broadway (1995) 7.5/10
Maudite Aphrodite (1995) 7/10
Meurtre mystérieux a Manhattan (1993) 7.5/10 Léger, frais.
Maris et femmes (1992) 8/10 D'une justesse imparable.
Ombres et brouillard (1992) 6/10 Un exercice de style intéressant.
Crimes et délits (1990) 8/10 Un peu surcoté à mon sens.
Une Autre femme (1989) 8/10 Un de ses chefs d'oeuvre les plus méconnus.
Hannah et ses soeurs (1986) 8/10 Bouleversant !
La Rose pourpre du Caire (1985) 7.5/10 Une belle lettre d'amour au cinéma
Broadway Danny Rose (1984) 7/10
Zelig (1983) 8/10 formidable faux documentaire d'une inventivité incroyable.
Comédie érotique d'une nuit d'été (1982) 5.5/10 Un peu chiant ! Très mineur !
Stardust Memories (1980) 7.5/10
Manhattan (1979) 7/10 Je le trouve un peu surcoté celui là malgré des qualités évidentes.
Annie Hall (1977) 9/10 Chef d'oeuvre absolu !
Guerre et amour (1975) 7.5/10
Prends l'oseille et tire-toi (1969) 6/10 Un film burlesque mineur, agréable à suivre néanmoins.

[pabelbaba]

Une Autre femme (1989) 8/10 Un de ses chefs d'oeuvre les plus méconnus

Pas lu de critique sur celui-là mais il me tente bien! La femme de Cassavetes + Allen c'est pour scalp...

[Daimon]

Je rajoute Bananas 7/10 Un allen burlesque vraiment sympa et très inventif. A noter, une apparition non créditée d'un Stallone à ses débuts

[Val]

Whatever works (2009) : 8/10 Un feel good movie comme je les aime.
Le Sortilège du scorpion de Jade (2001) : 7/10 Plutôt sympa de mémoire.
Accords et désaccords (2000) : 7/10
Manhattan (1979) : 6/10 (à revoir)
Annie Hall (1977) : 8,5/10
Prends l'oseille et tire-toi (1969) : 8/10

[Daimon]

Je ne pensais pas que ça arriverait un jour, mais première note en dessous de la moyenne pour un Woody :

Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le sexe... 4/10 un enchaînement de sketchs dont la grande partie tombe à plat... quelques bonnes idées mais ça ne suffit pas !

[robin210998]

Bonjour,
Je me suis posé la question suivante : est ce que les films de Woody Allen sont toujours aussi réussis ?
J'ai essayé d'y répondre selon mon point de vue :
les films de Woody Allen sont toujours aussi bons, peut-être encore plus qu'à une certaine période, par exemple au moment où "Radio Days" est sorti. Certes, les histoires ont toujours le même fond avec une romance qui naît la plupart du temps entre deux personnes qui ne partagent que très peu de points communs mais je pense que c'est cela qui fait le charme du cinéma de W.Allen. Même si à un certain moment de sa carrière il a un peu perdu en originalité, il a tout le temps bénéficié de l'enthousiasme du public français. Il a su reprendre son envol avec ses derniers films même si je n'ai pas vu "To Rome with Love". En bref, les films de Woody Allen sont toujours aussi réussis.

Qu'en pensez-vous ?

[zack_]

Il a su apporter une certaine touche originale voir décalée a une époque. Perso j'aime bien son cinéma mais je trouve qu'avec les années il rentre dans un moule conventionnel rendant ses films moins originaux même si toujours agréable. J'ai encore quelques vieux films de lui a voir cependant afin d'avoir fait le tour du réal.

Bienvenue a toi en espérant voir tes critiques dans la BoM base

[Mr Jack]

Annie Hall : 7.5/10
Manhattan : 6.5/10
La Rose pourpre du Caire : 7.5/10
Harry dans tous ses états : (vu à moitié mais beaucoup aimé)
Hollywood Ending : 5/10
Match Point : 7.5/10
Scoop : 6/10
Whatever Works : 7/10
Minuit à Paris : 9/10
To Rome With Love : 4/10
Blue Jasmine : 7/10
Magic in the Moonlight : 6.5/10

[Val]

Le distributeur français de Woody Allen s'est fendu d'une double page dans Le Point pour défendre le cinéaste suite à la réitération des accusations de viol d'une de ses filles. Certes, on pourra l'accuser d'être juge et partie mais pourtant, il rappel dans son texte un ensemble de faits que les journalistes ont vite oubliés. Depuis, des journalistes se sont réveillés et on retrouvés les articles de l'époque qui confirment tout cela. Je poste ici un résumé trouvé sur Classik, plus qu'essentiel dans ces moments où tout le monde hurle avec la meute :

- Soon-Yi Previn est la fille adoptive de Mia Farrow et d'André Previn, pas de Woody Allen. Ce dernier ne l'a pas éduquée, Mia Farrow et lui n'ont jamais cohabité, ils avaient chacun leur appartement et Soon-Yi vivait chez sa mère et son père adoptif. Quand leur histoire a commencé, elle avait entre 19 et 21 ans (sa date de naissance n'et pas connue précisément). Woody Allen n'a jamais passé une nuit chez Mia Farrow.
- Il a été accusé d'avoir agressé Dylan le 4 août 1992, soit quatre mois après la révélation de sa liaison avec Soon-Yi.
- Suite aux accusations d'agression contre Dylan Farrow, Allen a fait l'objet de deux enquêtes sérieuses, a été entendu par quatre pédopsychiatres, des policiers et des juges, soumis au détecteur de mensonges: pas la moindre preuve de culpabilité n'a été apportée.
- Après plusieurs interrogatoires dont 9 avec Dylan, entre septembre et novembre 1992, les experts ont conclu que la petite fille n'a pas été agressée sexuellement par Woody Allen. Suite à des incohérences et à un manque de spontanéité, ils suggèrent qu'elle a été manipulée et préparée par sa mère.
- En février 1993, le LA Times révèle que la nounou de Dylan, Monica Thompson, a été contrainte par Mia Farrow à faire une déposition à charge contre Woody Allen, puis qu'elle a choisi de démissionner quand la pression est devenue insupportable.
- En avril 1993, le docteur John Leventhal, qui a piloté l'enquête conduite par le Yale-New Haven Hospital, déclare sous serment que Dylan a été conditionnée par sa mère pour diaboliser Woody Allen et le considérer comme un violeur. Il est également frappé par le fait que la petite fille lie systématiquement les attouchements présumés dont elle a été l'objet à la relation de son père avec Soon-Yi, et, par sa manière de plaindre sa mère, qui dit-elle, a gâché sa carrière à cause de Woody Allen.
- En février 2014, Moses Farrow, fils adoptif de Mia Farrow et de Woody Allen, prend la défense de Woody Allen dans People: "Ma mère a gravé en moi une haine à l'égard de mon père pour avoir détruit la famille et agressé ma soeur. Et je l'ai détesté pour lui faire plaisir durant de nombreuses années. Je sais aujourd'hui qu'il ne s'agissait que d'une vengeance pour lui faire payer sa relation avec Soon-Yi. Bien sûr que Woody n'a pas violé ma soeur. Elle l'aimait énormément et elle était toujours très heureuse lorsqu'il nous rendait visite. Elle ne s'est jamais enfuie en le voyant jusqu'à ce que ma mère réussisse à instaurer un climat de peur et de haine à son égard".
- Le 19 janvier 2018, Moses Farrow réitère sur Twitter son démenti sans qu'aucun organe de presse ne relaie cette information.

Pour compléter : ici et là.

[Mr Jack]

Quand je vois l'itw la plus récente de Dylan Farrow j'ai envie de la nominer aux BKR Awards.
Tous les ans c'est la même chose, la fille, coachée par la mère, sort une itw, un papier, n'importe quoi pour discréditer Allen et salir son nom, toujours à la sortie de son film. Évidemment, cette année, la sortie médiatique a une autre saveur et prend une autre dimension. Mais à mon sens cette histoire concerne un homme déviant, chelou et une femme manipulatrice et non moins cheloue.

[Mark Chopper]

En fait je comprends mieux Stephen Colbert à la 17ème seconde de cette vidéo :



"We're in Hollywood, the Belly of the Beast.e

[Val]

Et apparemment, Woody Allen n'a jamais fréquenté les enfants Previn pendant qu'il était avec Mia Farrow. Il n'a donc pas connu Soon-Yi (son épouse actuelle) lorsqu'elle était enfant mais uniquement a partir de 1990, quand Mia Farrow lui a demandé de faire des efforts ( ). Donc toutes les rumeurs et blagues sur sa soi-disant pédophilie tombent bien à l'eau.

Et comme le souligne l'article de Slate, en plus de tous les éléments cités plus haut, c'est quand même assez improbable de penser que Allen ait choisi spécifiquement, pour ce qui concerne l'accusation de viol, de passer à l'acte pour la première et unique fois de sa vie pile au moment où il vient d'entamer une nouvelle relation et où sa femme légitime le menace de détruire sa carrière.

Bref, en gros, on lui reproche juste d'être tombé amoureux de la mauvaise personne. On reparlera sans doute de Allen dans 50 ans de la même façon dont on parle aujourd'hui de ceux qui ont été victime du McCarthysme. Tous les connards d'Hollywood qui le lâchent actuellement pour sauver leur carrière auront l'air malin.

Pendant ce temps, Mia Farrow ne parle pas de son frère emprisonné pour avoir agressé sexuellement deux garçons.