[alinoé] Mes Critiques en 2011

Modérateur: Dunandan

Re: [alinoé] Mes critiques en 2011

Messagepar Heatmann » Lun 07 Mar 2011, 15:52

superbe critique de jaws bravo

par contre petite correction sur ta dernier quote et le plus celebre du film , c'est :


"You're gonna need a bigger boat"
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Re: [alinoé] Mes critiques en 2011

Messagepar alinoe » Lun 07 Mar 2011, 16:22

C'est corrigé :super:
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Re: [alinoé] Mes critiques en 2011

Messagepar alinoe » Lun 07 Mar 2011, 16:40

Hannibal a écrit:
alinoe a écrit: Le Secret de la pyramide est un bien bel hommage à l’oeuvre de Doyle, à la différence du Sherlock Holmes de Guy Ritchie qui en explose tous les « canons » holmésiens.


Je ne suis pas d'accord avec toi sur ce point, le Sherlock de Ritchie est beaucoup plus respectueux du canon qu'il n'y paraît au premier abord. :D
Ceci dit j'adhère entièrement à ta critique de ce film que j'adore également.

PS : celle des dents de la mer est super bien chiadée aussi :bravo:


Je n'ai pas souvenir en ayant lu les romans et nouvelles de Conan Doyle d'avoir perçu un côté cabotin et dépravé chez Holmes. Quant à la relation Watson/Holmes, elle est à des années lumières de celle des oeuvres originales. Certes la reconstitution du Londres de l'époque victorienne est réussie, l'histoire aurait effectivement pu être rédigé par Conan Doyle et colle bien à l'univers holmésien. Le côté égocentrique, son goût pour les déguisements, son besoin de drogues pour masquer l'ennui, ses qualités physiques et sa logique de déduction sont également bien là. Par contre je n'adhère pas au procédé "du ralenti" pour symboliser les raisonnements de Holmes. C'est un artifice de mise en scène prodigieusement agaçant.
Pour moi le Sherlock Holmes de Richie en changeant la teneur du partenariat Holmes/Watson prend une direction tout à fait inédite, ce qui ne veut pas dire que je n'ai pas apprécié le côté glamour du casting. :eheh:
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Re: [alinoé] Mes critiques en 2011

Messagepar Hannibal » Lun 07 Mar 2011, 17:03

Certes la reconstitution du Londres de l'époque victorienne est réussie, l'histoire aurait effectivement pu être rédigé par Conan Doyle et colle bien à l'univers holmésien. Le côté égocentrique, son goût pour les déguisements, son besoin de drogues pour masquer l'ennui, ses qualités physiques et sa logique de déduction sont également bien là.


j'en déduis que tu es d'accord avec moi, il n'y a vraiment que peu de chose qui ne sont pas canoniques dans ce film :mrgreen:
Mark Chopper a écrit:La mode des années 2010 consiste à faire des suites de merde qui permettent de réévaluer des purges.
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Re: [alinoé] Mes critiques en 2011

Messagepar alinoe » Lun 07 Mar 2011, 18:22

Sauf qu'en modifiant les relations entre Holmes et Watson et en présentant Holmes comme un cabotin énervant Ritchie modifie la perception que l'on a du personnage et du coup ce qui reste de "canons" holmésiens est complètement noyés par cette constatation. Physiquement, il n'y a pas plus éloigné de Watson et Holmes que Jude Law et Robert Downey Jr. qui font tout de même très bling bling et atouts charmes pour attirer le public féminin.

De toute façon, à ce jour seuls deux acteurs ont parfaitement pour moi, personnifiés Sherlock Holmes, d'une part Jeremy Brett qui en est l'incarnation plus vraie que nature et Benedict Cumberbatch dans le récent Sherlock de Moffat. Même Basil Rathbone considéré par beaucoup comme un excellent interprète de Sherlock Holmes ne m'a pas convaincu dans sa série de films. Il en a le physique mais pas les vices et il est beaucoup trop moral et "bon enfant" dans le rôle. Nicholas Rowe dans le Secret de la Pyramide, représente très bien ce qu'aurait pu être Sherlock Holmes, si Doyle nous avait conté sa jeunesse.
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Re: [alinoé] Mes critiques en 2011

Messagepar Hannibal » Lun 07 Mar 2011, 22:43

Pas tout à fait : physiquement Watson n'est peut être pas si éloigné de Jude Law. En effet, dans les nouvelles/romans, c'est clairement un homme à femme (marié plusieurs fois) donc il est plus que probable qu'il soit beau gosse. De plus, en tant que militaire blessé aux Indes, il doit avoir la forme donc la morphologie de Law peut correspondre si on considère sa condition physique de militaire (sûrement plus que le vieux bedonnant qu'on nous sert dans d'autres adaptations). Enfin, l'action du film se déroule en 1888; à cette époque Watson a 34 ans donc pour moi Jude correspond à une interprétation qu'on peut s'en faire en lisant les bouquins.

Pour Holmes, j'ai tout comme toi le respect le plus profond pour le travail de Jérémy Brett mais tu conviendras que son interprétation est loin d'être lisse (c'est encore plus vrai si on regarde la série en V.O. où il est parfois délirant ( "L'Aventure du pied du diable" mais bien d'autres également)). Il est habité par son enquête, et peut paraître complètement fou aux yeux de personnes extérieures; tout comme Robert. Pour moi leurs 2 interprétations ne sont pas si éloignées que ça puisqu'on prend l'exemple de Brett.

Ceci dit, chacun sa vision, je te donne juste mon point de vue qui est une idée qu'on peut s'en faire mais chacun crée son propre univers en lisant un livre et je respecte ta vision bien sûr. :wink:
Mark Chopper a écrit:La mode des années 2010 consiste à faire des suites de merde qui permettent de réévaluer des purges.
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Re: [alinoé] Mes critiques en 2011

Messagepar alinoe » Lun 07 Mar 2011, 23:49

Ta vision se tient et c'est vrai que ça pourrait être une représentation de ces deux personnages plus jeunes. C'est juste que j'ai du mal à voir Sherlock Holmes dans l'interprétation de Downey, car dans tous les films que j'ai vu avec lui depuis Kiss Kiss Bang Bang, j'ai l'impression qu'il joue toujours de la même manière, sur le mode de l'auto dérision et du cabotinage plus ou moins déjanté. Du coup, je vois l'acteur, mais je n'arrive jamais à voir le personnage qu'il est censé interprété.

Ce que je n'ai franchement pas aimé, c'était ces chamailleries perpétuelles.
Néanmoins le Sherlock Holmes de Guy Ritchie, je l'ai tout de même apprécié, puisque j'ai mis 7/10 à la sortie de la salle. :wink:

Sinon, ça fait plaisir de discuter de Sherlock Holmes avec quelqu'un qui maîtrise son sujet.
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Re: [alinoé] Mes critiques en 2011

Messagepar Hannibal » Mar 08 Mar 2011, 10:39

Le plaisir est partagé :wink:
Mark Chopper a écrit:La mode des années 2010 consiste à faire des suites de merde qui permettent de réévaluer des purges.
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True grit - 9,5/10

Messagepar alinoe » Mer 09 Mar 2011, 19:38

100 dollars pour un shérif

Réalisé par Henry Hathaway
Avec John Wayne, Kim Darby, Glen Campbell, Robert Duvall
Western, USA, 2h08- 1969

5/10
True Grit

Réalisé par Ethan et Joel Coen
Avec Jeff Bridges, Hailee Steinfeld, Matt Damon, Josh Brolin
Western, USA, 1h50- 2010

9,5/10



Résumé : Mattie Ross, 14 ans, réclame justice pour la mort de son père, abattu de sang-froid par le lâche Tom Chaney. Ce dernier s'est enfui en territoire indien avec une bande de hors-la-loi menée par Lucky Ned Pepper. Puisque la justice ne semble pas s'en préoccuper, Mattie engage Rooster Cogburn, un U.S. Marshal alcoolique, réputé pour avoir la gâchette facile. Mais Chaney est déjà recherché par LaBoeuf, un Texas Ranger qui veut le capturer contre une belle récompense…


Deux films à l’ambiance radicalement différente pourtant inspirés du même roman de Charles Potis.

Introduction

100 dollars pour un shérif est un western familial qui commence par une chanson country gnangnan à souhait. Sérieusement, pendant quelques minutes j’ai cru que j’étais dans un épisode de "La petite maison dans la prairie". Henry Hathaway choisit de débuter son films dans la ferme familiale par une scène entre Mattie et son père, dans laquelle on comprend, qu’elle gère les affaires d’un père quelque peu lunaire. Le réalisateur insiste également sur la lâcheté du meurtre, puisque Tom Chaney tire sur un homme sans arme. Cette introduction à pour objectif de montrer l’affection entre le père et la fille et surtout de justifier auprès du public, le désir de justice et de vengeance de Mattie. Le spectateur qui a été témoin de la scène du meurtre, sait à quel point la quête de Mattie est juste, tant Chaney apparaît comme un être vil et pleutre.


True Grit est une plongée dans l’Ouest américain qui oscille entre classicisme et modernisme. Dans la forme, les frères Coen réalisent un western plutôt traditionnel, mais sur le fond, ils nous livrent un western atypique et bourré de leur humour si particulier qui sied finalement très bien au vieil Ouest. Pas de préambule, Juste la voix off de Mattie qui nous raconte la mort injuste de son père et sa quête pour obtenir que son meurtrier soit puni. On comprend immédiatement que l’histoire sera racontée du point de vue de la jeune fille dont le caractère bien trempé transparait dès ce monologue d’introduction. Le spectateur ne peut s’appuyer que sur l’opinion de Mattie, pour savoir si sa quête de vengeance est justifiée, puisqu’il n’ pas été témoin de la scène du meurtre.

Thématique

Les deux films adoptent un rythme assez lent pour bien mettre en place l’histoire et les personnages et restent fidèles au roman reprenant toutes les scènes clés : pendaison, procès, vente des chevaux, passage de la rivière, poursuite en territoire indien…jusqu’à la conclusion, seul véritable point de divergence entre les deux films. Cependant Henry Hathaway et les frères Coen filment cette histoire de vengeance atypique d’une toute jeune fille, de manière très différente.

Si Mattie est le fil conducteur du film d’Hathaway, son véritable personnage central, c’est Rooster Cogburn : « the man of True Grit ». John Wayne est l’homme qui a du cran et un vrai courage. Hathaway veut en partie encrer son film dans cet âge d’or du western, où la loi l’emporte, tout en montrant un héros fatigué, hargneux et alcoolique. Malheureusement, si l’histoire de vengeance pouvait paraître atypique, il ne réussit à livrer qu’un film plein de bons sentiments. Certes, sa Mattie à un caractère de cochon et elle est pleine de détermination, mais elle a aussi le cœur sur la main et son Marshal Cogburn est beaucoup trop « paternaliste » malgré son côté rustre. Du coup, cette impression édulcore totalement le thème de la vengeance.
Par ailleurs, la réalisation est un peu trop plan-plan et je me suis parfois ennuyée. Ce n’est pas la musique sans originalité de Elmer Bernstein qui relèvera le niveau tant on a l’impression de l’avoir entendu mille fois dans d’autres westerns.
Reste une scène vraiment excellente et certainement emprunte d’un certain réalisme, celle de la pendaison peinte comme une sortie familiale autour d’un pique nique où les enfants jouent à la balançoire et les parents chantent un chant religieux avant de se délecter du spectacle de la mort.
On retiendra également le superbe technicolor au ton sépia, qui donne des couleurs flamboyantes et chatoyantes aux paysages automnaux.

Dans True Grit, Mattie est l’héroïne, le personnage central, celle qui a vraiment du cran et du courage pour se lancer dans une telle aventure. Le film des frères Coen est bercé d’une certaine mélancolie souligné par la beauté des paysages hivernaux du territoire indien et la sublime musique de Carter Burwell. Une histoire de vengeance au ton amer, finalement très proche des westerns crépusculaires qui alterne dialogues savoureux, cynisme et humour grinçant.
Malgré un rythme lancinant, On ne s’ennuie pas un seul instant et le film paraît même trop court, tant les personnages sont passionnants.

Interprétation


Dans 100 dollars pour un shérif, seule Kim Darby se montre à la hauteur. Elle interprète une Matty convaincante avec sa coupe à la garçonne, déterminée, entêtée, téméraire, plutôt pingre, très posée, intelligente mais aussi parfois très émouvante, lorsqu’elle pleure la mort de son père.
John Wayne interprète le marshal Rooster Cogburn et fait du John Wayne typique. Le problème avec cet immense acteur de westerns, c’est qu’il en a tant interprété, qu’on a l’impression de le voir toujours dans le même rôle. J’ai toujours l’impression qu’il interprète le propre rôle de John Wayne et pas celui d’un personnage. Du coup, on a John Wayne à l’écran, juste un peu plus ronchon qu’à l’accoutumé et légèrement imbibé avec un bandeau sur l’œil. On lui colle une gamine qu’il doit trimbaler pendant tout le film et comme il ne comprend pas pourquoi elle joue son rôle de manière très sérieuse et adulte (dixit le documentaire de l’édition Blu Ray), il adopte le ton de la figure protectrice et paternelle. Cette chevauchée de Cogburn , le mors entre les dents, droit comme un I sur son cheval, sa manque cruellement d’intensité et de punch. Un aspect est cependant réussi dans l’interprétation de John Wayne qui joue Cogburn sur le mode humoristique. Il a probablement très bien compris, qu’Hathaway voulait que le marshal ressemble à une satire de John Wayne, la légende de l’Ouest.
LaBoeuf interprété par Glen Campbell, censé être un Texas rangers redoutable, ressemble plutôt au gendre idéal affublé d’un brushing risible. Un personnage qu’on ne peut prendre au sérieux, tant tout sonne faux dans l’interprétation de Campbell il n’y a que sur la fin qu’il devient crédible. Une sorte de sideckick légèrement comique bien que ce soit involontaire.
On notera la présence de Robert Duvall qui apporte son charisme au rôle de Ned Pepper et le débutant Dennis Hopper dans le rôle de Moon.


Le casting parfait de True Grit enfonce complètement la version de 1969. Hailee Steinfeld irradie l’écran. Du haut de ses 13 ans, elle s’impose dans le rôle de Mattie, à la fois touchante, agaçante, audacieuse et menant tout ces rustres à la baguette. Ses nattes à la « Laura Ingalls » sont trompeuses, elles lui donnent un air de petite fille sage, alors qu’elle est une jeune fille quasiment tyrannique. Probablement un petit clin d’œil volontaire et humoristique des réalisateurs. Jeff Bridges est magistral entre humour, marmonnement, mauvaise foie, alcoolisme, panache et talent de tireur d’élite. La scène du procès, un sommet d’humour, sa chevauchée, une mémorable épopée, la course finale, un pur moment d’intensité dramatique. Il est juste dans le ton et parfait pour le rôle. Matt Damon offre une composition étonnante et géniale dans le rôle de LaBoeuf. Il campe un texan plus vrai que nature. Bien que son rôle soit moins étoffé que dans la version d’ Hathaway, chacune de ses apparitions emporte l’adhésion. Josh Brolin, quoique peu présent est comme toujours excellent.

Conclusion

Dans 100 dollars pour un shérif, la fin du roman a été modifiée, pour s’intégrer au mieux dans un western qui se veut familial.
Mattie s’est cassée le bras et a été mordue par un serpent et face à l’urgence de la situation, Cogburn descend tranquillement de la montagne en portant la jeune fille, puis au miracle, il tombe sur un charriot qu’il emprunte, parce qu’il ne faut pas pousser The Duke, il ne court pas !!

Tout concoure à faire de 100 dollars pour un shérif, un western sympathique mais médiocre , plein d’humanisme qui s’achève sur l’icône vieillissante de l’Ouest.

True Grit propose une fin quasi identique à celle du roman.
Une chevauchée intense ou Cogburn donne ses tripes et va au bout de lui-même pour sauver cette gamine agaçante et courageuse à la fois. Le Dude, lui, il court, pas comme le Duke. J’ai adoré, le final au Buffalo Bill Wild West Show, là où finissent les gloires de l’Ouest du temps passé.
Une fin mélancolique et amère, d’autant plus que la vengeance a un prix qui se paie lourdement pour ceux qui suivent sa voie. Mattie est une demoiselle entêtée, qui ne s’en laisse pas conter, mais qui perd une vie de bonheur pour avoir voulu sa justice et devient une vieille fille aigrie.

Le film des frères Coen est une merveille de désenchantement et d’humour.
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Re: [alinoé] Mes critiques en 2011

Messagepar Killbush » Mer 09 Mar 2011, 19:47

Excellente cette double critique, bien équilibrée :super: Il va sans dire que je suis en tout point d'accord sur le Coen, et tu m'as donné envie de découvrir l'autre malgré ta note !
Starting to see pictures, ain't ya?
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Re: [alinoé] Mes critiques en 2011

Messagepar Scalp » Mer 09 Mar 2011, 19:48

Sympa la critique comparé, tu m'as passé l'envie de revoir le John Wayne.
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Re: [alinoé] Mes critiques en 2011

Messagepar alinoe » Mer 09 Mar 2011, 19:54

Le film d'Hathaway avant d'avoir vu le film des frères Coen, je lui aurait mis 6 ou 6.5, mais depuis que j'ai vu ce True Grit version 2010, on voit trop le fossé qui sépare les deux films, en terme de réalisation et d'interprétation.
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Re: [alinoé] Mes critiques en 2011

Messagepar zack_ » Mer 09 Mar 2011, 20:27

Rah punaise alinoé vient de poser une présentation qui déboite et que je pensais pas possible! :shock: C'est M-A-G-N-I-F-I-Q-U-E!!! Vivement que le portail soit mis pour qu'on puisse mettre en avant ce genre de critique!!! Faudra que je reprenne celle-là sur ton concept.

Sinon étant pas un fan du western je me ferai mon petit achat au vu de vos avis très positif de true grit
zack_
 

Re: [alinoé] Mes critiques en 2011

Messagepar Milkshake » Mer 09 Mar 2011, 20:28

Scalp a écrit:Sympa la critique comparé, tu m'as passé l'envie de revoir le John Wayne.


+1 bonne initiative je verrais jamais l'original :mrgreen:
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Re: [alinoé] Mes critiques en 2011

Messagepar Kakemono » Mer 09 Mar 2011, 21:41

Belle initiative cette double critique, c'est rare ici. J'ai souvenir d'en avoir déjà vu une ici, impossible de me rappeler de qui est de quels films. :oops:

En tout cas, tu m'a passé la toute petite envie de voir l'original. :mrgreen:
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