[Killbush] Mes critiques 2011

[Heatmann]

Bein y a ma critique de référencer, j'ai mit 7.

Sinon y avait moyen d'avoir un meilleur script sans que ce soit consensuel.

biensur , d'ailleur avec le temp ( car tout les mann je les revois souvent et regulierement , serieux , c'est pas pour faire style ) plus je les revois tous , et plus maintenant je prefere meme Miami vice ( ca s'explique pas, je monte a 9.5 la ) a public ( la , je descend a 9 maintenant )

le script de Mann est un peu minimaliste , et encore c est juste parcquon a ete habituer au caviar avec lui , car ca sert sont propos .



sinon je me souvient de ton 7 , mais avec le temp j ai l impression que tu aimais encore moin , alors que la killbush en dit quand meme bcp de bien

[Scalp]

Y vieillit mal dans ma tête, ceci dit je l'ai pas revu depuis le ciné.

[Killbush]

9,5 à Miami Vice, DOSSIER !

[Heatmann]

pas du tout . c'est un trip metaphysique , tu peut pas comprendre

mesrine on peut pas comparer , c est un telefilm

[Eikichi Onizuka]

Perso j'ai bien aime ce Public Ennemies et en lisant ta critique je pensais que tu mettrais au moins 8 car t'as l'air de bien aimé quand même.

[Heatmann]

c est vrai , ton engouement est bien communicatif sur ce que tu en dit. on sent que t as kiffer, apres bon tu releve 2 gros point noir pour toi , peut etre t as ete trop influencer par des personnes exterieur souvent le plaisir est plus important que quelque defaut qui entache un peu mais pas enormement le sentiement general .

genre exemple du jour pour moi, training day . oui si je ferait une critique , il y a quelque truc dans le scenar que je trouve facile et mal ammener , mais de maniere general le kiff prend largement la pas sur le reste , donc pas moin que 8 quoi .
comme scalp qui met 7.5 a dirty , les quelque paramettre moin bon evident ou juste correct ne pese pas lourd dans la balance car il a deja ete conquis par le reste

en gros , assumons !!

[Killbush]

Non j'assume mon 7,5 (- 1 pour Cotillard, -1,5 pour le traitement du scénario superficiel) et j'ai pas du tout était influencé .
Je peux pas mettre 9 à Collateral et quasi autant à celui là.

HeatMann, si tu mets 9,5 à Miami Vice, Heat ça vaut au moins 15 sur 10 Sinon, j'aime bien le metaphysique, mais là c'est pas ça. Et les deux acteurs n'arrangent rien.

[Heatmann]

ouai mai non , je resonne pas comme ca , si on note sur 10 , y a quand meme pas l embarras du choix pour donner un chiffre qui represente la valeur qu on accorde a un film , c est pareil pour l ecard entre les note et les film , meme si c est que 1 ou 0.5 pts , ca suffit souvent pour moi pour faire la difference .


heat c est 10 evidement , on peut pas mettre plus . collateral pour moi c est 10 aussi meme si je prefere largement heat, je vais pas mettre moin juste pour montrer une difference , collateral fait partie de ces rare film parfait a mes yeux et dont le plaisir est decupler a chaque vision , tout ce que j aime en 2h , je pourrait pas specialement justifier que je mette "que" 9 ou 9.5 par exeple , et pas envie donc 10 aussi quoi ( et ca marche aussi pour le mohican et insider )


Miami vice aussi , mais juste un peu moin puissant , c'est 9.5 pour moi car la aussi a chaque fois que je reprense a mes film preferer ( pour x raison ) , ceux que j ai envie de revoir tout le temp , miami resort a chaque fois , et plus je le vois et plus il me transporte , dure a decrire , 9 c est pas suffisant pour evoquer a quelle point il me met en orbite , c est pas non plus 10 , non 9.5 ca me va bien a moi pour echaloner le niveau d adoration ( et la , c est pareil pour ali )


Public , je trouve aussi cotillard merdique et miscaster , depp un peu froid, et quelque petit bemol ici et la , mais rien de treees genant a mes yeux , ceci dit je prefere quand meme miami , meme si sur ces derniere annes , pour le genre en general , ben public est un de mes chouchou clairement , j y prend trop de bonheur , donc 9 quoi .

[Killbush]

Je comprends ta façon de penser (et de noter), Mann tu adores son taf, c'est un réal qui a l'air de te toucher profondément, et je pense que c'est ça qui fait que tu notes d'une manière extrêmement différente que sur d'autres films.
Parce que Miami Vice, objectivement, je pense que tu peux reconnaitre que le scénar est pas génial et que Mann s'attarde sur des scènes sans grand intérêt. Franchement la love story entre Farell et Gong Li, j'y crois pas, ça me touche pas et je regarde ma montre.

Moi aussi j'ai des réals chez lesquels je préfère ignorer les défauts (bon des fois c'est trop flagrant) pour privilégier le plaisir pris devant le film. Chacun va se reconnaitre plus ou moins dans l'œuvre d'un réal, Mann je trouve que c'est un très bon réalisateur, mais son univers et ses thématiques ne me touchent pas profondément. Après, je ne peux que m'incliner devant Collateral ou Heat, difficile de nier l'évidence

[Heatmann]

ah mais de toute facon tout est une affaire personnel c est certain

Pour Miami vice , pour moi c'est que bon le fameux scenario leger dont tout le monde parle , ca me derange pas . le truc c est que bcp de gens attendais de miami vice d'etre un polar de mann dans la ligner de ces heat et collateral , et c est pas ca . ici il n'a pas de scenario tres ficeller , dense , complex , car c'est pas le propos de son film .
Avant tout c est un peu un synthese de sa serie tv , on l a un peu oublier maintenant , mais a l epoque la serie miami vice , c etait quand meme un gros morceau , faut revoir des episode de nos jour pour ce rendre compte que le cliche costume pastel et don johnson qui se la pete c est pas vraiment du tout ca .
miami vice c etait une serie deja a l epoque qui jouait bcp sur l atmopshere, les silence , les non dit , les experimentation de visuel nocturn, mais avant tout , un serie qui parlait surtout de deal de dope comnplexe et extrement detailler et de la position des flic undecover

et c est ca que Mann , en grand pointilleux du detail , a voulue retraiter sur un long metrage . du coup c est pour ca que son histoire , son script, ne se focalise que sur ces deal de dope minutieus, tres tactique , Mann en dingue d authentisme a voulue et reussi a appronfondire cela , en gros oui le film ne parle que de ca et rien d autre , de ces deal de flic undercover qui comme le dit Colin : so deep ? as in , which way is up ?
Miami vice c est le realiseme documentaire extreme ( marque de fabrique et obsession de mann ) de flic teigneux , pros , devouer , a realiser leur gros coup de filet , commen se gere au quotidient leur deal avec les narcotrafiquant , et leur deconnexion de la realiter , les prochaine etage strategique , vivre constement une autre identiter et en cela je trouve au contraire perso le duo d acteur tout a fait extra . je trouve farrel et foxx bien plus implique , credible et authentique que bale et depp .

evidement pour la plupart des spectateur , je peut comprendre tout a fait que ce fasse leger , Mais si on connait bien le travaille de mann , ca facont de bosser, d apprehender les projet l ecouter parler de son approche ( et pis c est un real qui inspire bcp , il y a eu tellement de truc ecrit sur lui , d analyse des travaille , et pis vive les commentaire audio quoi ) c est bien plus subtile et camoufler que l apparence frontal de la chose , perso j avoue que sur un film comme miami , je suis receptif a 100% , je vois la demarche et y adhere a mort, les scene que tu decrit comme inutile , je les voit pas , la love story est certe peu traiter en profondeur , ce qui peut laisser de marbre et eloigner le spectateur , mais c est parcque mann dans sa grande obstination , se se concentre que sur le faite que se soit impossible , et peut etre seulement due au fait que sonny soit too deep under .

enfin bon c est HS la , on parlait de public enemies , et 7.5 ca va quand meme

[Alegas]

Putain avec tout ton discours tu me donnerais presque envie de redonner une seconde chance à Miami Vice.

[Killbush]

ouais pareil !

[Scalp]

Oue bein pas moi

[Dunandan]

PALE RIDER de Clint Eastwood

Réalisé par Eastwood en 1985, Pale Rider est un western plutôt atypique. L'histoire se déroule dans un village minier, où des chercheurs d'or sont harcelés par les hommes de main de Coy LaHood, fondateur du village, afin de s'octroyer leurs parcelles de terrain. Après une attaque meurtrière qui laissera des traces, une jeune fille de 14 ans dont le chien a été tué par les malfrats part dans la forêt pour prier, implorant de l'aide pour elle et sa famille.

C'est à ce moment qu'apparait un homme solitaire et silencieux, dont on apprendra plus tard qu'il est en fait un prêtre. Après une altercation avec les sous fifres de LaHood, il sympathisera avec Hull Barrett, beau père de la jeune fille, qui lui proposera de le loger contre ses services, afin de dissuader les oppresseurs. Mais LaHood étant bien décidé à se débarrasser des chercheurs d'or,il va faire appel au Marshall et à ses hommes pour faire la loi.

Alors pourquoi western atypique ? Tout d'abord, parce que ceux qui s'attendent à un western Léonien, à l'action soutenue et aux longs gunfights risquent d'être déçus. En effet, comme souvent, Eastwood s'attarde beaucoup plus sur la caractérisation psychologique de ses personnages que sur l'action, pose son rythme pour construire de vrais relations émotionnels, et ainsi toucher plus pertinemment son spectateur lors des scènes intenses.

Ainsi, pas un coup de feu ne sera tiré durant la première heure. Eastwood aime aussi entretenir le mystère sur les origines de son personnage sans nom (tout le monde l'appelle Preacher) et dont les origines (notamment sa maitrise des armes) seront volontairement occultés.
Mais ce manque d'information renforce le coté mystique (voire spirituel) du personnage, qui apparait tel un esprit juste après que la jeune fille ait priée pour de l'aide.

Voir aussi sa façon de se déplacer durant l'excellent climax, où il apparait derrière ses ennemis comme s'il était irréel. Le film aborde également des thématiques plus sentimentales, notamment la fascination et l'amour de la jeune fille pour le Preacher, qui se révèle lors d'une scène troublante où la jeune fille demande au prêtre de lui apprendre l'amour.

La mise en scène est très classique mais efficace, Eastwood sachant toujours mettre en valeur ses personnages, et rappelle certains classiques dans la composition des plans et l'utilisation de personnages iconiques (la bande du Marshall avec leurs longs manteaux renvoyant directement à Il était une fois dans l'Ouest)

Le casting est au top, Eastwood impérial (comme toujours dans les westerns) qui annonce déjà son rôle dans Impitoyable, la jeune fille est bonne actrice et on retrouve aussi avec plaisir le regretté Chris Penn. Les décors enneigés sont splendides et Clint les magnifie bien avec de longs plans.

Au final, le traitement surprenant et humaniste d'Eastwood s'avère payant, et prouve qu'un grand réalisateur peut captiver son spectateur dans un genre pourtant très codé, en y insufflant ses obsessions et sa façon de voir le monde.

Un excellent moment de cinéma !

8/10

[Scalp]

Allez maintenant Open Range, et attention t'as la pression pour celui là, selon ta note ça peut le sortir du top