[David Banner] Mes critiques en 2011

[zack_]

Quand à Nixon tu veux parler des films de Oliver Stone et de Ron Howard???

Je pensais a celui de Stone surtout
Ca parle du watergate?

[David Banner]

Oui, (obligé puisque cela le fait couler) mais, faut regarder Les Hommes du Président pour plus de détails ... Je me commanderais les blu ray us à l'occasion pour revoir ces deux films surtout Les Hommes du Président j'avais pas vraiment accroché que je l'ai vu...

[David Banner]

Le temps d'aimer et le temps de mourir
Réalisé par Douglas Sirk
Avec John Gavin, Liselotte Pulver, Jock Mahoney...
Titre original : A Time to Love and a Time to Die
Long-métrage américain . Genre : Drame , Guerre
Durée : 02h12min Année de production : 1958
Synopsis : 1944. Alors qu'il revient dans sa ville natale pour une permission de trois semaines, Ernst Graeber, jeune soldat allemand envoyé sur le front russe, rencontre Elisabeth Kruse, dont il tombe amoureux. Mais la guerre qui continue va bouleverser leur histoire...





Tout simplement magnifique.
Dès le générique du début passé, on accroche au film pour ne plus s'en détacher jusqu'au générique de fin!
C'est une découverte pour moi de voir ce film qui n'a presque pas vieilli (sauf la B.O évidement...) à l'époque ce genre de film devait être rare, en effet, il montre qu'un soldat allemand n'était pas obligatoirement un barbare nazi.
En effet, combien de déserteurs fusillés pour avoir fuit ou refusé d'obéir aux ordres? Combien d'officiers, de soldats qui eux aussi ont atterries dans des camps de concentrations?
Le personnage principal rentre au pays et navigue de ruine en ruine cherchant ses parents... Le film laisse peu de répit aux personnages, entre un repas, une nuit, une conversation, on vit dans la peur d'un nouveau bombardement, le héros du film (qui rentre de Russie) ne dispose que de 3 semaines de permission avant de repartir au front... Il profite de chaque minute mais le temps passe très vite, il vit donc (survit même) sans trop penser au lendemain mais même dans ce chaos il trouvera l'amour...
Le film multiplie les péripéties, suspense, romantisme et philosophie (on s'attarde sur l'existence de Dieu, la raison et les décisions à l'obéissance à des ordres stupides et cruels...) divers personnages berlinois qui surgissent tel des spectres (dont un juif qui se planque et qui sympathise avec notre héros...) errent dans une ville dévastée, sous la peur et la survie dans une ambiance chaotique.

La fin tombe dans une espèce de tragédie poétique, un peu comme Le salaire de la peur, elle est absurde, cruelle, marquante et philosophique... Absolument grandiose!!!
Quand je pense que des classiques comme celui-là sont moins connu, alors que certains soit disant grand classique m'ont laissé froid...
Même note qu'IMDB, il l'a pas volé === 08/10

Petite apparition de Klaus Kinski en officier de la gestapo...


De retour dans un Berlin dévasté...


Personnage intéressant: Ami d'enfance du héros du film, cancre à l'école il devient un puissant sous le règne nazi jusqu'à humilier son ancien instituteur!!!

[Scalp]

Tient ça fait envie ça.

[David Banner]

Faut le voir absolument.
jean-michel avait mis 09/10 critique

[Scalp]

Oue enfin Jean Mi c'est Jean Mi

[David Banner]

Pourquoi il note souvent large?

[Scalp]

Y note laaaaaaaaaaaaaaaaaaarge

[Jeff Buckley]

Stp Dave peux-tu à l'avenir faire apparaitre ta note en plus grand et à un endroit mieux visible ? MERCI

[Scalp]

T'es pas chiant toi.

[Heatmann]

j avoue que j ai un peu chercher la note moi

[David Banner]

Voilà, j'ai agrandi... Vincent a demandé très gentiment donc, je m'exécute...

[jean-michel]

Jean-mi note large! oui c'est vrai mais sur celui là je me suis pas trompé!

[David Banner]

Et oui!

[David Banner]

J.F.K



Introduction
Cette œuvre compte parmi mes films préférés... J'ai le blu ray mais je n'ai pas encore vu, je vais essayer de faire cela de mémoire...

Annedotes
J'avais lu à l'époque l'article critique du magazine Impact (magazine dérivé de Mad Movies) une critique à mourir de rire comme lorsque qu'ils disaient dans l'article que Oliver Stone utilisait des personnages ridicules pour une histoire fantasmagorique et paranoïaque bref un truc du genre... Apparemment ils ne savaient pas qu'une grande partie des personnages ont réellement existé !!!
Lorsque j'ai découvert ce film à sa sortie en VHS inutile de vous dire que je m'en mordis les doigts de ne pas l'avoir vu en salle...
J'ai connu ce 35ème président américain en 1988 lorsque je feuilletais un dictionnaire encyclopédique Larousse je fus fasciné par tant de charisme et par son mystère entourant son assassinat...



____________________________________________________________________________________________________________

Je n'ai jamais compris pourquoi le titre du film était J.F.K pourquoi pas plutôt Enquête à la Nouvelle Orléans ou L'enquête de Jim Garrison au cœur du complot car ce n'est pas un film sur le vie de J.F.K contrairement à Nixon bref passons...
Le film est basé en grande partie sur le livre de Jim Garrison (interprété par Kevin Costner dans le film) On the Trail of the Assassins et donc sur l'enquête durant sa vie de procureur (livre que j'ai déjà lu 3x) le film est un peu basé sur le livre de Jim Marrs également...
La B.O du film composée par John Williams une des meilleurs de sa carrière je trouve... Chaque thème est un pur joyaux qui colle bien au film!



CI-DESSUS les vrais
1-David Ferrie interprété par Joe Pesci dans le film. Teint pâle, faux sourcilles, perruque... Normal atteint d'un cancer...
2-Guy Banister interprété par Edward Asner dans le film... A sa mort pleins des dossiers ont disparus de ses bureaux... Le ménage a été fait selon Garrison...
3-Clay Shaw aka Clay Bertrand interprété par Tommy Lee Jones dans le film...


Umbrella man reprit dans la photo ci-dessous d'un épisode de X-files L'homme à la radio et l'homme au parapluie...



Les vrais...




La théorie la plus intéressante que j'ai lu c'est d'après le livre de William Reymond le dernier témoin qui est Billie Sol-Estes ami du successeur et vice président de J.F.K : Lyndon Baines Johnson
Le président serait impliqué dans l'assassinat mais ce sac de nœud mêlerait J. Edgar Hoover directeur du F.B.I qui détestait les Kennedy qui a étouffé des preuves quand on sait également que le maire de Dallas à l'époque était Earle Cabell frère du général Charles P. Cabell viré par JFK (voir version longue du film) sur une des boites du dépôt de livres scolaires où travaillait Oswald une empreinte de Mac Wallace tueur professionnel qui a travaillé pour Lyndon Johnson et le gouvernement américain, fut acuité dans le passé par un juge véreux pour un meurtre prémédité... Dans le lot également des riches familles texanes du pétrole...



Ci-dessus Malcolm Everett Wallace un tueur professionnel...

Le film est passionnant mais il dure 3H17 et par moment (lors de la rencontre Garrison et X par exemple) l'afflux d'informations et nombreuses et s'empilent bloc par bloc qu'il faut être en forme pour tout suivre et tout capter... L'essentiel est présent dans le film comme la théorie de la balle magique ou la balle unique (1 balle, 7 blessures), les faux oswald, les 3 tramps, badgeman etc même si il manque pas mal de choses, le film est passionnant, captivant... Un chef-d’œuvre.
Putain qu'est ce que j'adore Gary Oldman en Oswald je crois que c'est lui qui explose le film mais bon la distribution entière est magnifique même les petits rôles (John Candy, John Larroquette, Vincent D'Onofrio...)
9.5/10

Un documentaire que je recommande chaudement que j'ai découvert dans les années 90 (1h30)

«Toute vérité passe par trois phases. D’abord, elle est ridiculisée; ensuite, elle rencontre une vive opposition avant d’être acceptée comme une totale évidence»
Arthur Schopenhauer

Lorsque vous avez éliminé l'impossible, ce qui reste, si improbable soit-il, est nécessairement la vérité.
Arthur Conan Doyle