LE PARRAIN 2
10/10
tour-de-force artistique. réalisation au classicisme sublimé . une suite qui prouve le talent de coppola pas seulement en realisateur mai surtout comme scenariste , il etoffe le bouquin de puzo est en fait une saga mythologique immense . Le parrain II c’est aussi avant tout la rencontre de Pacino et De Niro. un film qui posera les fondation de leur carriere . ici la structure narrative du film en parallèle, sous forme de flash-back estplus intense au niveau du suspens et de l’émotion en font une suite totalement indissociable du premier volet et mérite les multiples visionnages pour déceler tous les rouages de cette machinerie et se rendre compte de l'empleur de la chose . Duvall est tout aussi majestueux que les autres , tom hagen es tun personnage en or .
la perf de pacino ici est tres subtil , pas a la porter du 1er venu , pacino est enorme , mais alors c'est surtout ces scenes avec fredo qui sur ce film dechirre tout, putain les regard qui en disent long quoi , cazale aussi est a saluer .
Et pis la construction avec les 2 epoque rend le film magistrale sur le point du script , de la coherence , et la continuiter sur plusieur film , plusieur generation , plusieur personnage et leurs evolution .
Coppola a fait expres de mettre en parralele vito et michael , pas que pour "faire la prequelle de vito " mais pour bien montrer que l'ombre de la destiner de vito plane irremediablement sur celle de michael . d'ailleur les 3/4 du film c est concacrer a michael , vito c est presque juste l inconscient de michael , il est en train d echouer la ou son pere a reussit , surtout au niveau familliale plus que le buisness, chose que vito adulte version brando a toujour proner .
-t pis coppola met ca en scenes de facon sublime sur la forme et subtile dans le fond , il appuie le contraste entre la vie presque héroïque de Vito avec des couleurs éclatantes en Sicile gorger de soleil et plein de grandes scènes baroques, en opposition a l'ascention monstrueuse et glauque de son micheal faite de plein de lumières sombres et d' atmosphère feutrée ,malsaine , camoufler , bref la realisation de coppola, quand on prend ca en vue s'ensemble le dyptique part 1 et 2 , c'est un veritable opera au sens propre ....
michael est au top de sa gloire , le parrain 2 sera ca lente descente aux enfers , c'est un homme profondément seul , l'inverse de vito, lui il est corrompu par son pouvoir immense et peu a peu il va tout perde , sa position sociale est mit en danger par des enquêtes , sont entourage est mis à l’écart ou assassinés one by one et pis surtout le plus important sa famille , kay le quitte, sa mere meurent , et pis fredo on sait ce qui lui arrive .
-d'ailleur l intro du 2 c est presque un remake tragique de l intro du 1 . michael c est installer a l ouest , s enbourgoise , les Corleone n'ont plus grand chose de sicilien. l uniter des corleone vascille deja ... pis en s’enrichissant michael et les corleone se mêlent à d’autres affaires , d'autre milieux , la guerre des clan , des famille qui dirige Ny c est loin , c est la prehistoire , la c es tl apolitique , les riche industriel juif expatrier a cuba , ca tue moin , moin de meurtre violent , on est bcp plus calculateur et prudent , c es tplus des douleur morale et insidieuse et pis ca devient chaud pour michael car la c est un millieu qu il metrise pas . il est enfin , a l inverse de vito , ébranlé, et force michael a se tranformer en l oppose de son papa , un monstre et la pacino deboite. . Le contraste entre les 2 film qui sont juste separer de 2 ans est dingue, on dirait qu il a viellit du triple au moin. il est imperturbable , defois des brusque ecces de colere ( la scnes ou kay lui dit qu elle avorte, actor's studio inside !! ) mike est arriver au sommet et devenue incontrôlable. Arrivé au sommet et vue qu il a presque plus personne pour le soutenir , il a plus de limite ni de moral .
godfather part 2 , mais indissiciable du 1 , c'est a peu pres tout ce qui peut se faire , de plus approndondie , de dense , de coherent , de mieux en etude de psychologie de personnage . masterpiece inconstestable indeed my dear friends