THE COMPANY MEN
7.5/10
En 2 mot : sobriete et justesse . The company men est le 1er film a avoir pour sujet la recente crise et recession economique , pour le brulot satirique faudras encore attendre et passer son chemin , oui la crise ce n'est facile pour personne et meme pour ces gros bourgeois , Un message convenu pour un film assez sage , mais cela n’enleve rien a la belle reussite qu’est ce film , il faut juste chercher ailleur les implication du scenariste/realisateur qui ici livre pluto un vrai beau drame social , humain et financier , le chainon manquant entre oliver stone et sam mendes . Encore une fois et c’est pas pour nous deplaire , on suit l’itineraire de 3 cadre d’une grosse societer de transport dont les bureau se trouve dans la banlieue aise de boston . Affleck est bobby walker , un « jeune » loup qui bosse sous les ordre du co fondateur de la boite ( tommy lee jone ) et avec son vieux partenaire de + de 30ans , le bon chris cooper . ils on plein de tunes , mettent leurs beau costumue , leur belles chaussure, soutiennet leur femme materialiste a remplir leur maison de piece d art , et se levent tout les matin pour entamer une autre journée sur les traces de leur rêve américain, celui d'augmenter encore et encore le profit de l'entreprise pour qui ils bossent , en remplissant au passage leur propre compte en banque , changant leur voiture de luxe, vacance en jet priver et villa de fonction … sauf que ce matin , c’est la crash, la crise économique fait rage, et la course au dollar cruelle va enfin prendre visage humain et une dimension personnel rentrera en ligne de mire. Affleck est le perso principale , d’entrer montrer comme reelement et dramatiquement humain. Il est jeune et a de super resulta mais un des salaire et benefice les plus imposant , il est virer sur la champ et meme ces 2 copain tres haut placer n’y peuvent rien , leur jour sont aussi compter de toute facon .
Le 1er mot que j’ai choisit en debut de critique c’est sobrieter , oui company men n’est pas une demonstration ostantatoir comme a pue l’etre Wall street 2 ( mais reussit ) , non ici c’est fait tres sobrement , a hauteur humaine , meme si les personnage utiliser sont peu enclin a decrocher notre ampathie , le but est ailleur , on suit les repercussion qu’a le statur social et sont changment radical dans la dynamique familliale , et ce a plusieur stade de la vie marital , et a plusieus niveau et echelon dans l’entreprise , les traume ne sont pas les meme a 40 /60 et 70 ans .. en surface on peut y voir un film trop sage mais les nuance sont tre subtil et stimulante . la sobrieter des dialogues qui jongle habilement avec le doux-amer , la melancolie et l’indecence moral sonne cruellement juste et authentique . et la realisation est au diapason . l’auteur et metteur en scenes rookie ne prend pas de risque et se paye l’un des meilleur DP du buisness ayant déjà prouver sont habilliter a rendre les drame humain dans les suburbe riche ricain visuellement lecher a avec une vrai grammaire cinematographique a proposer , roger deadkins s’y colle et shoot le film comme une version comtenporain de revolutionary road, un des ces boulot les plus similaire , autant dire que c’est superbe, les interieur cosy, detailler , eclairer avec beaucoup de style et elegence . il prend le control de camera, et livre des plan , des mouvement , lent et souple, ample, qui carresse ce decorum proche dans la form et le fond d’un Mad Men actuelle .
Le roi dollar broie les destins individuels, les amities de toute une vie ( le perso de greg t nelson qui joue encore une fois magistralment bien ) le theme n’est pas nouveau et le traitment guere plus, on s’eloigne quand meme comme je le disait des attaque virulente de Stone , des documentaire de Michael moore , mais ce company of men me rappelle beaucoup a 2 film de jason reitman avec qui il a finalment bcp de point commun , thank you for smoking et up in the air qui delaiyait sont propos dans un romantisme racoleur , ici le film regarde la crise droit dans les yeux. cette maudite crise qui n'en finit plus de finir ! Personne n'est à l'abri.
Donc the company men c’est sobre et beau sur la forme, et tres juste dans l’ecriture et le fond et aussi ca se paye un putain de super casting d’un naturel splendide qui enfonce le clou de l’adhesion si on été déjà un minimum attirer par le projet . On suit ces 3 destin et perso avec une construction de la narration insolente de fluiditer , un affleck qui joue un jeune homme encore sûr de ses moyens, c’est l’opposer de son perso de boiler room , il est vraiment convaincant et force jamais la note et sur la meme voix que sa prestation de state of play .Tommy lee jones est un patron encore idéaliste et nostalgique . Lui aussi fait preuve d’un sobrieter, d’une humiliter touchante , et sort enfin de sont registre de vieux bougon qu’il servait depuis quelque annees et enfin un des tout premier employé parti de rien pour arriver pas très haut, chris cooper qui est tres emouvant et prouve en enieme fois combien c’est un acteur de geni au charisme dingue . Faut pas oublier le gros bonus Kevin costner, en second role de luxe, qui mieux que lui pour jouer le beau-fere mesieur tout le monde , charpentier a son compte , les main dans le ciment , les cannette de biere dans le pick-up , toujour la pour delivrer ces lecon de philosophie de la vie , Kevin for ever quoi !! Maria bello est toujour aussi belle est parfaite dans se genre de role , d’ailleur tres proche de son role dans thank you for smoking .
The Company Men n’a jamais une satirique ni même critique , c’est peu dommage car tout était la , et ca aurait pue etre un grand film a defaut d etre juste un tres bon film . Ca joue donc la carte de l’humanisme , et a force d’heroisme triomphant parvient a titiller notre empathie, notre solidarité et notre compassion et pis la classe de mise en scens et surtout de la photo , les acteur et les dialogues evitent de tomber dans des profondeurs mélodramatiques sirupeuses qui était pas loin . pour rester objectif et ajouter un pti bemol , les femme sont un peu caricatural , soit interresser , venal , sans scupule , soit complement devouer , on peut pas trop reprocher le manque de rythme et de tonus du film mais c’est vrai que faut etre d’entrer plonger dans ce monde et ces perso sinon on risque de ce faire chier vue le rythme ronflant , ouai bon ca enfonce un peu trop de portes ouvertes , mais c’est fait avec bon gout ! ouai le monde de l'entreprise est inhumain et les respect mutuel se mesure a la bourse , être au chômage est difficile meme si on gagne 150K a year , l'expérience force à repenser ses valeurs . le film reste et nous place aux côtés de ces hommes et réfléchis pas ou plutôt ne s’interresse pas à la portée de cette crise , a vous de voir si ca peut le faire pour vous, moi j’ai adorer !