[Heatmann] Mes Critiques en 2011

[Heatmann]

oh si , le dvd est dispos partout , france , uk , us ... on aura droit a tes critique des bournes ? non parcequoi moi jsuis fan ultra quoi

[Kakemono]

Bon, ok, je ferais des critiques... dans 3 mois. C'est le retard que j'ai généralement.
Niveau des notes, c'est simple, ca fait 7, 8, 9. De plus en plus intense au fil des films, et même si la toute fin relâche la tension, ca reste une sacré trilogie qui redéfinit le film d'action moderne d'une manière réaliste et sans artifice.

J'ai retrouvé la critique que je cherchais, c'est celle de Jean-Michel

[Heatmann]

LE GAUCHER

6/10

Bon c’est pas mal , mais on se refait pas , je suis pas un gros amateur d arthur penn et en plus sur le meme sujet , le fim de peckinpah est intouchable et la comparaison fait tres mal , enfin bref passons .Au couer des 50’s donc Penn signe la sont tout premier film et en par la force des chose sotn 1er western . C’est l’age d’or du western classique bien propre des grand studio , Penn choisit de livrer sa vision de l’ultra connue mythe de billy th kid , le jeune hors la loie fou-fou qui fut tuer par le sheriff pat garret alors qu il avait que 21 ans. Bon déjà newman est pas super a l’aise , il avait plus de 30 ans quand il interpretait le role d un gosse de 18/20 ans …

et pis sont persos est montrer de facon bien unilatteral , en gros ici billy th kid c’est le anti-héros naïf et immature, le fait que c est un adulte qui veut pas grandir est rabacher et appuyer tout le long , c est le symbole de la jeunesse désenchantée , et sur le meme theme «sur les quais » de kazan avec brando est bien plus subtil et traiter avec plus d inspiration . billy est juste assoife de vengeance , limite nevroser, newman est tout le temp en surjeu, on est tres loin de Hud et Hombre , parmis ces meilleur western.
Bon le film est reputer car c est le 1er de penn et que a cette epoque politiquement correct pour le genre , le anti hero un peu paranopsycho était un choix oser, surtout que james dean ce preparait pour le role avant qu il ne meurt, du coup newman a sentie le filon ... obstiner a la limite de l’aveuglement, le regard absent, la démarche autiste et d’ailleur newman ne dira presque pas un mot de tout le film, on dirait trop que newman essaye de calque sont interpretation sur celle de james dean dans la fureur de vivre , ca fonctione vraiment pas .
Bon Penn prend quelque partie pris etonant et audacieux qui paye quand meme , déjà de pas de raconter la véritable histoire de Billy The Kid dans ces detail facilement verifiable ( le plus gros quand meme c est que billy ben il était pas gaucher !!!! ) Billy se cherche, c est un vrai anti heros , il se fera appeler par au moin 3 nom different , il a connue que la violence et l’agressiviter toute ca vie . un Orphelin assassin qui voudras toujour venger sa mère, il recherche aussi une figure paternel qu il trouvera plus tard chez son pote pat garret qui pourra pas arreter la folie vengeresse de billy qui sombre dans la fascination des gun .
Le film c est un peu la crise d adolescence de billy, il ecoute personne , il a des reaction irreflechis , tetu .il pense pas aux consequence de ces actes et utilise ces flingues cheri comme des jouet . du coup beaucoup de scenes tombe dans le burlesque, Billy détourne des situations a priori sérieuses comme la mort de son mentor ou l’accrochage avec des soldats nordistes et pis sa convalescence après avoir été gravement blessé en scenes de comédies

A cette epoque , les western ne jure que par le Cinémascope et le Technicolor et penn, lui choisit de shooter sont film en noir et blanc et prend le chemin d’une narration intimiste et lente concentrer a 100% sur billy avec des gros plans audacieux et laissant à la caméra le temps de filmer avec beaucoup de détail le jeu schizophrènique de Newman et toutes ses mimiques qui exprime les angoisses et le manque de repere de son personnage. J’ai bien aimer aussi comment le script traite le statut de héros du hors-la-loi . billy est devenu une legend dont le nom retenti au dela des siecle et de frontiere, mais pourquoi ?? il a enfait pas fait grand-chose, quelque meurtre , et son age surtout .. il était surtout tres attachant et charmeur , c est pour ca que sont entourage on fait le bouche a oreille et exagerer les fait . Sinon la fin est aussi tres belle ici , l’ironie du sort reserver a billy pour ceux qui connaissent sont destin ca marche a chaque fois ! on sait ce qu’il va se passer, on sait que billy ne veut pas tirer , mais non , pat lui voit autre chose et hop .. et penn decide a juste titre d en faire la plus belle et mieux realiser scenes de son film .

[Alegas]

LA NUIT DU CHASSEUR

8/10

Harry sort de prison a la recherche d un magot que sont ex partenaire de cellule a cache , une fois dehor il prend l’apparence d un precheur fanatique et s’immisse dans la famille de son expatnaire pour trouver la tune . Grosse rpeutation cette nuit du chasseur et franchement je m’attendais pas a ca ! enfait je savait pas trop a quoi m’attendre , mais rapidement on se prend l’originaliter et l audace du traitement de flm completement a part comme une sacrer prouesse cinematographique et un film totalement unique , ayant sa propre personaliter , mater la nuit du chasseur c’est une experience enrichissante et qu’il faut faire au moins une fois dans sa vie de cinephile !
On est en 1955 est ce sera le seul et unique film du realisateur peut etre surement decut par l’enomrme echec a sa sortie aussi bien critique que public , c’est vraiment dommage et injuste car maintenant il est reconnue comme une piece maitraisse du cinema , enfin c’est Probablement parce que l'objet filmique en question était bien trop déroutant, trop hors du temps en 55... Déjà premierement ce qui frappe le film , c’est Visuellement quoi !! Laughton traite tout l’estetique de sont film avec décalage. Le real choisit le noir et blanc alors que la mode est a la couleur flambant neuve , le DP qui a bosser avec orson wells livr eun phot et des angle qui pousse encor eplus l’aspect visuellement super travailler et feerique , ca fait forcement a l'expressionisme allemand . Dans le bon sens du terme le film est franchement marqué par l'excès stylistique .

Et s’eloign el eplus possible de toute representation realiste pour accentuer le coter cauchemardesque de ce que vivent les enfant . le recit grouille de figure religieuse , de perso sortis de contes, les ombres sont atrofier et agrandie , et les zone de lumières angéliques. Mitchum est impressionant , un de ces tout meilleur role et une interpretation troublante , Powell est un pur croquemitaine . Un vrai boogeyman qui arrive dans le champ avec son ombre qui penetre le cadre , il a sont propre thème musical… ces fringues de precheur c est qu’in deguisement , enfait en dessous c est reelement le diable et pis quand il s’adresse a dieu le dialogue est sans equivoque et genialement ecrit :

"Well now, what's it to be Lord? Another widow? How many has it been? Six? Twelve?
I disremember. You say the word, Lord, I'm on my way... You always send me money to go forth and preach your Word.
The widow with a little wad of bills hid away in a sugar bowl. Lord, I am tired. Sometimes I wonder if you really understand.
Not that You mind the killin's. Yore Book is full of killin's. But there are things you do hate Lord: perfume-smellin' things, lacy things, things with curly hair."


Tout le film est tres metaphorique biensure , la mere face a mitchum c est un peu la figure de la bonne fée qui recueille les enfants perdus, un ange protecteur et vengeure qui fait fuir le Malin à la fin du film, pis elle fait sont apparition dans le film depuis le ciel c’est dire le film repose pas mal donc sur cette dualiter bien/mal , les tatouage filmer ave cinsistance sur la main de powel sont la aussi pour illustrer le propos , Ange/Démon, Blanc/Noir... pas mal des plans aériens du début donnent clairement l'impression qu’un entiter elever veille sur tout ce qui se passe… mais ca dure pas longtemp , une fois qu’un gamin decouvre cadavre .

Du coup le coter conte et atmosphere surrealiste comme les frere grimm colle bien au recit qui prend le poin de vue des n’enfant . , la scenes la plus belle du film qui decrirait le mieux le film et son approche c’est pour moi celle ou les 2 enfants descendent la rivière en dormant sur une barque avec le clair de lune , et pis au 1er plan y a plein d’animaux de la forêt , grenouille, lapins. La le coter Conte/reve est a son comble , le decor fait « faux » expres , on est plus dans la réalité , l’onirisme ambiant est a son apoger .
Voila, donc au final oui night of the hunter c est bel et bien un conte biblique , c es tcon pour un tel film j’ai l impression de me repeter enormement, le merveilleux et la religion sont au coeur du film. la campagne de l'Ohio est un décor féérique les n enfant, la chambre de leur mère est filmée comme une petite chapelle... mais toujour sous un anglesurréaliste . Un film qui traite de l enfance et formellement traversé par des fulgurances visuelles somptueuses (le plan sous marin et les cheveux qui flotte …) , si tim burton est la ou il est maintenant , il peut dire merci a son inspiration number one que voila .

[Scalp]

Pfff l'histoire est bidon et ça vieillit super mal, dla ton truc

[Heatmann]

peut etre bien LE 1er film CULTE de l histoire du cinema , dans le sens ou il a fait un bide critique et public a sa sortie , et que lonnnnnnngue annes apres il est reconnue comme un chef d oeuvre un peu confidentiel dont la repute grandit , grandit ect....

[Scalp]

C'est culte pour les incultes, ça vaut pas Southland TaleS.

[Heatmann]

j fait venir father merrin pour faire sortir morice de ton corps ?

[Alegas]

peut etre bien LE 1er film CULTE de l histoire du cinema

Nan, le premier film culte de l'histoire c'est Sunrise.

[Heatmann]

On suit le parcoure de william blake , un mec qui voyage de cleveland jusqu'à une petie ville paumer ou il a trouve run boulot de comptable . Dans le train qui l’ammene e à la scierie Dickinson, un inconnu total le met en garde : il ne trouvera pas la fortune en se rendant dans cette ville , mais bien la mort en personne et il a pas tort car le tout premier soir, Blake se prend une balle et est blesser alors qu’il intervient dans un quiproquo qui le concernait pas . Cette evenement va marquer le début d’une longue errance atmospherique, metaphorique et westernienen , le tout guidée et raconter par Nobody l’Indien philosophe.

Dead man c’est Un voyage mystique et intense, qui utilise le cadre du western mais en secoue bien le code , l’odyssee de blake est un peu un cercle vicieux , ca tourne pas en rond mais on a l’impression que ca abouti nulle part , ca se mord la queue, destabillisant meme .Depp est un « heros » presque transparent , inexistant , limite y a personne qui le calcule . C’est sur que l’accumulation en parralele d’hallucinations et d’effets secondaires aide pas trop a cerner si ce qu on voit est reel ou pas . blake est un prophete ou pas ? Les violentes chasses à l’homme viennent perturber les mec qui prient , la narration ne reste jamais dans une routine , ca change souvent de rythme , de ton , de direction , et plus L’élévation spirituelle de Blake prend de place dans l’histoire et plus jarmush le traduit par un crescendo formel vraiment emballant , il utilisent les rails horizontaux de la locomotive et le paysage dela nature sauvage ricaine , touffue, brutale, un retour à une campagne primitive, une poignée de brigands indeboulonable s’y cachent derriere chaque tron d arbre . Machine Town la ville ou depp se rend , c est un peu l’anit chambre de l’enfer, ville a expension industrielle rongée par le vice. il est clairment a part, le pti mec gentil ,innoncent , propre sur lui dans une ville pourri .

Et pourtant par la force des chose , le destin , la fataliter meme ici, ben Blake l’employé modèle , va se transformer Blake le poète sanguinaire. Depp est vraiment bon , il réussit a varier son jeu de la meme maniere que le perso de blake montre sont inconsistance. le duo avec l’indien nobody marche vraiment bien , tout les 2 rejeter par leur societer, ils erent ensemble , vont s’entraider, se disputer et semble resolue a une destiner toute tracer pour eux . nobody fera tout pour mener en toute securite depp jusqu’au « mirroir » , l’endroit où se touchent le ciel et la terre. l’indien raconte et ecrit meme l histoire de blake au court du film qui virtuellement n’a pas vraiment d’histoire au sens propre du terme. Jarmusch retourne l’Ouest américain, Le mythe de la renaissance , e la vengeance est mis de coter pour mettre en avant l agonie existentile de blake.

Jarmusch Blake et Nobody piétinent a eux 3 les code du western , les revolver , les heros sur d eux , les long galop a cheval ect.. ici c est toujour titubant , pour ce qui est de scenes avec depp, sinon les second role sont de vrai figure sterotyper ( mais en bien ) du genre, Les trappeurs tirent sur les bisons comme ils joueent aux fléchettes, les rôdeurs et pilleur dégainent leurs gun pour vider les dilligence et arreter les negociation diplomate. la castng tue , depp est tres bon , Iggy Pop fait une apparition cocasse en suvage insolite , mitchum hante carrement tout le film , il bouffe l’ecran , lance henrikssen , grispin glover , michael wincott, gabriel byrne, john hurt , tout ca c est des bonne tete de cowboy et des acteur de talent. les nom des perso sont hyper referentiel , les 2 tueur et les 2 marshals: Wilson et Pickett, Lee et Marvin !!! le ton change entr un humour désespéré et un pragmatisme fataliste.

l’intro tout en travellings latéraux est superbe et pose les base d un film a la mise en scenes tres riche et qui propose autent de sens d interpretation que le fond . Le passage du fleuve est une autre moment vraiment fort , evidement Le noir et blanc et la tres belle photo plein de nuance sublime le tout et on a au moin quelque chose a se mettre sous la dent au nivo de la forme quand de temp en temp jarmush se perd un peu trop dans sa naration abstraite, autrement dit dans le pti moment un peu chiant. et pis faut aussi parle de la musique , la superbe BO de neil young , qui est peut etre meme le vrai perso du film , elle devient plu slanciente plus le corp de blake devient ankyloser et plu ssont periple devient long , plus les kilometre s’enfilent , les theme sont ample et majestueus . ca respect aussi les silences et les entailles du montage avec notament les fondu au noir qui devient plus recurent et lent , et souligne un peu trop peut etre le fractionnement du temps et l’éparpillement second role , les gros paln du debut du film se change en grand plan large des grand espace. l’indien Nobody et depp se laissent submerger par la nature ensorceleuse et comme je disait au debut , ben enfait ce Dead Man se finira là où il a commencé : l’antithèse du train, du monde moderne, Blake est prêt pour un nouveau voyage.

[Milkshake]

Ah non deadman ça mérite pas la moyenne par contre la nuit du chasseur va falloir que je le découvre.

[Heatmann]

ben ca depend , si on prend comme uniter de base que tu donne un 6 sans vergogne a The american ou Iron 2 , ben deadman ca vaut allegrement sont 7.5 , cqfd

la nuit du chasseur , je suis presque sur que t'aimerais , ou pas , defois tu fait vraiment ta pinailleuse hein

[zack_]

J'ai retrouvé la critique que je cherchais, c'est celle de Jean-Michel

Pas référencé dommage mais on fait pas les TV film sinon on s'en sort plus

[moricenlive]

C'est culte pour les incultes, ça vaut pas Southland TaleS.

La nuit du chasseur, où le fait de pouvoir interpréter tout et n'importe quoi. Heatmann il fait que répéter ce qu'un mec a dit un jour. Belle culture. Moi je préfère Southland Tales. Et ça je peux l'expliquer pas d'autre manière que, "regarde le noir et blanc c'est beau", "t'as vu la vieille elle représente une fée", "t'as vu le tatouage sur la main ? c'est trop bien fait ça rentre grave dans le domaine du conte biblique, évident.".

[Waylander]

t'es devenu ultra prétentieux quand même.