[francesco34] Mes critiques en 2011

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Re: [francesco34] Mes critiques en 2011

Messagepar Heatmann » Ven 14 Jan 2011, 18:32

l'etoffe des heros j'avais entendue partout que c'etait un chef d'oeuvre de ouf , et ben jme suis bien fait chier et pis ca a viellit atrocement , un souvenir d'un seance hautement penible pour ma part :? , appolo 13 c'etait carrement mieux :mrgreen:

par contre le western a kauffman avec duvall en jesse james il est super celui la :super: :love:
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Re: [francesco34] Mes critiques en 2011

Messagepar Scalp » Ven 14 Jan 2011, 19:52

Oue L'Etoffe des héros c'est pas fameux.
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Elle voit des nains partout - 5/10

Messagepar francesco34 » Mer 19 Jan 2011, 08:18

Elle voit des nains partout
de Jean-Claude Sussfeld

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La comédie non-sensique n'est pas très répandue en France. Cet essai fort louable adapté d'une pièce de théâtre a quelques bons côtés.
Mais hélas les modèles du genre font sentir leur présence, et le film s'en inspire largement sans jamais atteindre leur degré d'excellence. On pense évidemment en premier au chef-d'oeuvre des Monty Python, Sacré Graal dans lequel le film de Sussfeld puise abondamment. Viennent aussi à l'esprit les comédies loufoques de Woody Allen, genre Guerre et Amour. On a quand même une grivoiserie bien française, avec beaucoup de nichons au programme, et des princesses de contes plutôt dévergondées (Le petit chaperon rouge qui couche avec tout le monde, Blanche Neige qui fait des gâteries aux trois petits cochons...)
Le film fait souvent sourire mais jamais vraiment rire. Avec deux trois bonnes idées originales (le coup des sous-titres que les personnages retournent pour lire parce qu'ils captent pas ce que l'anglais raconte, est vraiment bien vu). Surement un manque de précision dans ce délire désorganisé, car le bordel ambiant, certes agréable, tourne parfois à vide. Les acteurs, malgré le casting assez luxueux (Lamotte, Giraud, Zabou, Clavier, Lhermitte, Coluche...), n'ont pas la fibre de ce genre de comédie burlesque, plus anglo-saxonne que frenchie.

5/10
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Baby Cart, le sabre de la vengeance vol.1 - 7,5/10

Messagepar francesco34 » Mer 19 Jan 2011, 08:35

Baby Cart vol.1 Le sabre de la vengeance
de Kenji Misumi

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La fameuse série des Baby Cart commence avec ce premier opus qui donne le ton: personnage invincible, méchants aux trognes improbables avec des armes bizarres, moments calmes qui alternent avec des batailles sanglantes...
L'histoire est assez simple, la vengeance d'un homme déchu dont la famille a été décimée par des intrigants politiques voulant sa place. Il finit par devenir mercenaire et louer son sabre. Originalité: il se ballade avec son fils encore bébé dans un landeau trafiqué qui cache un vrai arsenal...
On sent les influences du western italien là-dessous avec un rythme particulier, l'utilisation du flash-back, le casting de "gueules"...
Même si les combats ne sont pas toujours à la pointe de la chorégraphie, il y a un côté délirant et sanglant (ça gicle abondamment et ça tranche du membre) assez savoureux.
Il y a aussi des choix déroutants de mise en scène, comme des passages totalement silencieux (bande-son totalement vierge: ni bruitage, ni voix, ni musique) juste entrecoupés par des dialogues.
Evidemment les acteurs en font des tonnes, ce qui appuie le côté surréaliste. Déjà qu'en langue japonaise à la base, de par son intonnation, on a l'impression qu'ils surjouent, là c'est presque outrancier par moments (le vieux du clan rival, dès qu'il parle on a envie de lui mettre un pain).
Un bon moment de cinéma, qui donne au moins envie de découvrir les suites...

7.5/10
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Piste (La) - 5,5/10

Messagepar francesco34 » Ven 21 Jan 2011, 19:30

La piste
de Eric Valli

Image


Après les cimes enneigées de l'Himalaya, Valli nous entraine en Afrique. Mais à l'inverse de son précédent film qui n'était joué que par des autochtones, ici on suit les aventures d'une adolescente et de son père, européens, qui vivent là-bas.

Grace (Camille Summers), rejoint, à la mort de sa mère, son père (Julian Sands) dont elle était séparée et qui vit en Afrique. Elle-même était née là-bas et y avait grandi avant de rentrer en Angleterre. Elle retrouve un continent inchangé, comme figé dans le temps. Très vite son père parti livrer des médicaments en ULM va se crasher. Les recherches partant dans la mauvaise direction (selon elle), elle part avec un guide ami de son père à travers le désert sur sa piste...

Autant le dépaysement d'Himalaya était enchanteur, autant ici on est dans une Afrique de carte postale, séduisante certes, mais un peu éculée.
Le second problème lié au scénario, est un projet un peu trop ambitieux où sur à peine 1h30, Valli veut nous parler d'aventure et de survie (ça c'est bien), mais aussi des problèmes de l'Afrique actuelle, et nous case ainsi des miliciens sortes de mercenaires, trafiquants de diamants, et un enfant soldat... ça fait beaucoup pour un film d'aventure familial!
Valli aurait mieux fait de se concentrer sur la traversée du désert et le thème de la survie dans ce mileu hostile que le vieux guide inculque à la jeune fille. Hélas il s'éparpille sur ces autres thématiques qui font un peu fourre-tout et qui n'avaient pas vraiment lieu d'être dans ce film.

On a donc deux films en un, une partie sympathique concernant les recherches effectuées par la jeune fille et son ami, et une partie assez ennuyeuse avec les soldats traffiquants de diamants...

5.5/10
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Man on fire - 8,5/10

Messagepar francesco34 » Lun 24 Jan 2011, 17:17

Man on Fire
(Elie Chouraqui)

vs.

Man on Fire
(Tony Scott)

Image Image


Tony Scott ambitionnait depuis longtemps à adapter le bouquin, mais au milieu des années 80 il n’avait pas encore la confiance des producteurs (juste avant qu’il ne fasse Top Gun) pour ce projet qui reposait beaucoup sur l’aspect émotionnel de l’histoire. Le film lui échappa avant de lui revenir bien des années plus tard sous la forme du remake. Pour l’anecdote, le scénariste du remake, à la fin des années 80, qui avait à côté de chez lui un vidéoclub où bossait Tarantino, un jour s’était fait conseillé le film de Chouraqui par le futur réalisateur de Pulp Fiction.

Les deux films sont à la fois très proches et très distants. Proches évidemment car la trame de base est la même : un ancien agent de la CIA (ou militaire des forces spéciales dans la version 2004) associal se voit proposer un job de garde du corps par son meilleur ami. Il se voit ainsi confier la protection d’une petite fille. Cette dernière va l’amadouer, gagner son cœur et son amour, avant d’être kidnappée. S’ensuit alors une campagne sanglante d’un Creasy prêt à tout… Plusieurs étapes dans la construction et les liens que nouent ces deux personnages que tout opposent ne varient guère (discussion en voiture, un Creasy d'abord très fermé qui essaie de ne considérer la gamine que comme un job, préparation à l'épreuve sportive, course à pied en 87, natation en 2004, etc...)
Là où les deux films sont réussis, c’est que la partie émotionnelle, l’histoire d’amour entre Creasy (Scott Glenn 87, Denzel Washington 2004) et la petite fille – Sam (Jade Malle) dans la version 87, et Pita (Dakota Fanning) en 2004 – l’histoire d’amour donc est au cœur du film, et est très belle. L’aspect émotionnel de cette histoire et la force des personnages est ce qui donne toute leur force aux deux films. Dans les deux cas aussi, les comédiens livrent de très grandes prestations. Que ce soit Scott Glenn et sa gueule cassée, Denzel Washington en alcoolique vidé par l'existence qui va se fendiller au contact de l'enfant avant de devenir un implacacble tueur... ou les petites, Jade Malle presque adolescente (elle a 12 ans dans la première version) qui voit en Creasy autant son premier amour qu'un père de substitution, ou Dakota Fanning (plus jeune, seulement 9 ans et elle en parait moins avec toutes ses dents de lait!) tellement craquante qu'on a envie de la serrer dans ses bras.
Pourtant les deux versions ont beaucoup de divergences. Dans la version 2004, Scott a choisi de réactualiser son récit (qui se passe originellement en Italie dans les années 70, inspiré de faits réels d'ailleurs) pour le transposer dans les années 2000 à Mexico. Choix judicieux. Mais ce n’est pas là que se creusent les principales nuances.
(...)


NB: critique coupée en deux pour cause de nouveau référencement, la suite en dessous...

MAN ON FIRE 1987 :arrow: 8/10

MAN ON FIRE 2004 :arrow: 8.5/10
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Re: [francesco34] Mes critiques en 2011

Messagepar Heatmann » Lun 24 Jan 2011, 19:27

pas mal cette double critique , mais j ai du mal a croire que le film de chouraqui soit si bien que ca :nono:
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Man on Fire (1987) - 8/10

Messagepar francesco34 » Lun 24 Jan 2011, 19:34

Man on Fire
(Elie Chouraqui)

vs.

Man on Fire
(Tony Scott)

Image Image


critique séparée en deux pour cause de nouveau référencement. Le début de la critique est juste au dessus.


(...)
La première différence majeure tient à la nature même de la deuxième partie du film, après l’enlèvement de la fille. Dans la version 87 il n’est à aucun moment question qu’elle soit morte. Creasy la cherche par amour, c’est sa motivation, avec l’espoir de la délivrer, comme une sorte de chevalier. Dans la version 2004, l’enfant a été tuée (du moins le croit-on jusqu’à 10 minutes de la fin), et la motivation de Creasy devient la vengeance (toujours par amour, certes), mais il se transforme en ange-exterminateur, au lieu d’être un chevalier noir.
La version de Chouraqui est beaucoup plus intimiste : c’est l’histoire de quelques personnages seulement, sans ramifications exagérées ou complications. Elle tient en 1h30. La version de Scott dure quasiment 1 heure de plus ! Toute la partie vengeance se complique avec multiples implications et ramifications en tous genres : on a ainsi des flics corrompus jusqu’à la moelle, des confrérie secrètes (la « hermandad ») des criminels organisés en réseaux complexes dirigés par un type que personne n'a jamais vu (surnommé « la voix »), un avocat véreux et le père même de la gamine impliqué dans tout ça. Cette surenchère est suivie par un crescendo dans la violence et les méthodes de Creasy.
Si la version 2004 est très violente, celle de 87 l’est également mais avec un côté glauque absent du film de Tony Scott. Quand le Creasy de Scott Glenn interroge son premier suspect, c’est dans les toilettes crades d’un ciné porno gay miteux… Niveau graphique, le film de Chouraqui a une photographie qui ne cherche jamais l’esthétisme, froide et sale comme les milieux qu'il fréquente. A contrario Tony Scott travaille énormément chacun de ses plans, livre une violence très graphique et esthétisée. Si la première partie entre Dakota Fanning et Denzel Washington est très sage au niveau du style, en revanche dès que la chasse commence Scott s’en donne à cœur joie et colle sa signature dans tous les plans : décadrages, saccades, tremblés, surimpressions, flashs lumineux façon stroboscopique, accélaration de la vitesse d’image… C’est parfois un défaut car ça devient agaçant, voire gênant à la longue. Mais miraculeusement ça ne nuit pas à l’impact émotionnel du film et de sa fin.
Alors que le film de 87 semble se terminer sur un happy-end, puisque la petite fille est sauvée, et que Creasy survit, se fait passer pour mort et change d’identité pour éviter des représailles de la mafia, il s'achève tout de même sur une note triste, par un plan dans une maison de repos, filmé de loin, où Sam (la gamine) attend Creasy sur une chaise. Il s’assoit près d’elle en silence, pas d’embrassades, pas d’effusion, une émotion sourde et diffuse très contenue.
La version Scott va plus loin dans l’émotion, n’évite pas les larmes et brosse un happy-end triste également. Heureux puisque Pita qu’on croyait morte ne l’est pas, triste puisque Creasy va faire l’ultime sacrifice de sa vie pour la sauver. Il y a un côté Chrétien et Biblique très pesant dans la version de 2004, totalement absent de la version de Chouraqui. Creasy y cite la Bible et en a une avec lui qu’il lit. Il se défini lui-même comme une brebis égarée, se demande s’il aura le pardon de Dieu, etc… Jusqu’à la fin où la morale est sauve, puisqu’il meurt après une belle action, mais avec beaucoup de sang sur les mains… Que du sang de méchants ceci-dit puisqu’il a un côté infaillible, inarétable.
A l’inverse le Creasy campé par Scott Glenn est un homme faillible, pas du tout le meilleur dans son domaine, et sa chasse aux kidnappeurs est loin d’être parfaite. Dès le deuxième suspect il se (re)prend une balle, puis se fait bastonner par tout un tas de gars. Quand il monte son assaut de l’appartement du « cerveau » à la fin, protégé par une escouade à l’extérieur, il leur fonce dessus en camion… mais un bus surgit et il le percute. Ca marche quand même, mais les dégats collatéraux sont là. Le Creasy de Denzel Washington fait des frappes chirugicales, c’est celui de la guerre en Irak… celui de Scott Glen est un ancien du Vietnam, ça explique bien des choses…

Au final on a donc deux films finalement très différents, par leur style, par leur genre, par leurs implications ou leurs ambitions. Mais deux films proches, non seulement par l’histoire, mais aussi par l’émotion qui s’en dégage et qui va au cœur.


MAN ON FIRE 1987 :arrow: 8/10

MAN ON FIRE 2004 :arrow: 8.5/10



edit: le post original qui figurait à cet emplacement:

C'est fou la réput qu'il a ce mec, en plus je suis sûr que tous ceux qui disent que son Man on Fire est pas bon l'ont jamais vu... et pour cause il est pas sorti en dvd chez nous (y'a juste une édition allemande toute pourrie)... mais bon il passe sur Canalsat en ce moment :wink:
En tout cas même si techniquement c'est pas poussé comme le film de Scott, il n'empêche que ce film laisse une impression durable en mémoire. Suffisamment durable puisque je l'avais vu à sa sortie en salle en 87, et qu'il me trottait toujours en tête plus de 20 ans après!
Après c'est peut-être plus l'histoire et les comédiens qui emportent le lot, que la patte de Chouraqui...
Mais bon, pour que Tarantino l'ait conseillé à ses clients de vidéoclub, ça peut pas être totalement nul hein, même si le Quentin a des références vraiment bizarres parfois...
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Re: [francesco34] Mes critiques en 2011

Messagepar groo » Lun 24 Jan 2011, 19:48

J'aime beaucoup Harrison's Flowers, de Chouraqui, qui me semblait détonner dans sa filmographie, par sa force et son ambition, mais, finalement, ça colle peut-être avec ce Man on Fire.
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Re: [francesco34] Mes critiques en 2011

Messagepar Scalp » Lun 24 Jan 2011, 19:53

Heatmann a écrit:mais j ai du mal a croire que le film de chouraqui soit si bien que ca :nono:


Moi aussi :eheh:
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Messagepar francesco34 » Mar 25 Jan 2011, 09:55

Exilé
de Johnnie To

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Un groupe de tueurs que tout sépare (l'un d'eux a un contrat sur un des autres) vont faire une sorte de trève et préparer un coup ensemble... mais rien ne va se dérouler comme prévu, et des liens d'amitié vont se nouer...

On retrouve pas mal de similitudes avec The mission dans cette histoire d'amitié entre tueurs. Mais ici les personnages sont mieux développés, bien que leurs réactions soient parfois déroutantes pour le spectateur. Construit avec pas mal d'humour décalé et un style qui s'apparente plus au western qu'au polar, le film parvient à surprendre.
Comme toujours on a droit à notre lot de gunfights, avec en point d'orgue une scène surréaliste dans l'appartement d'un toubib clandestin, où les lieux semblent s'étirer et se dilater.
C'est parfaitement maitrisé, comme toujours avec To, et plutôt bon et agréable dans l'ensemble. Mais il y a toujours un petit quelque chose, qui fait que je n'apprécie pas son cinéma autant que celui d'un John Woo (période HK évidemment).

7.5/10
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Re: [francesco34] Mes critiques en 2011

Messagepar Scalp » Mar 25 Jan 2011, 14:30

Hum donc tu mets plus à un film de Chouraqui qu'a un film de To :chut:
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Re: [francesco34] Mes critiques en 2011

Messagepar francesco34 » Mar 25 Jan 2011, 15:19

Peut être parce que je préfère l'émotion à une simple esthétique ou maitrise...
Toi dès que y'a des chinois qui se flinguent t'es heureux, moi c'est pas forcément ce qui me fait tripper le plus :mrgreen:
Ceci dit 7.5 c'est une très bonne note, pour un très bon film.
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Re: [francesco34] Mes critiques en 2011

Messagepar Scalp » Mar 25 Jan 2011, 15:46

Et bein y en a toujours de l'émotion chez To, là c'est 4 potes qui doivent buter leur 5 ème pote mais du coup y préfère bouffer tranquille, chez To y a pas de background c'est a nous de trouver le lien qui les unit.
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Re: [francesco34] Mes critiques en 2011

Messagepar Kakemono » Mar 25 Jan 2011, 23:05

Pourtant Exilé c'est pas loin d'être le meilleur To. Parce que je pense que c'est celui qui allie le mieux l'esthétique et l'émotion justement.

Et sinon les autres Baby Cart, tu compte te les faire? Je pense me faire un petit cycle Baby Cart dans pas trop longtemps tiens.
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