[alinoé] Mes Critiques en 2011

[alinoe]

En rouge : films sortis au cinéma en 2011.

Barème de notation :

0 ou 0,5 : Pour les naufrages du cinéma même pas dignes de la catégorie nanar qui ne réussissent qu’un seul exploit celui de suspendre le cours du temps tant ils paraissent interminables, ennuyeux et sacrilège suprême, même pas drôles. En somme, bienvenu dans le monde du navet où règne le degré zéro du 7ème art.
Exemples : Le Retour des tomates tueuses, Votre majesté

1 ou 1,5 : C’était nul et ennuyeux mais il y avait une bonne intention ou une volonté d’originalité / Je n’ai pas compris l’intérêt de ce film / films qui font l’apologie de la violence gratuite / Y avait-il un réalisateur, un scénariste et des acteurs à bord de cette galère ? / Torture cérébrale, visuelle, psychédélique ou contemplative
Exemples : Rubber, The Fountain

2 ou 2,5 : Pareil que précédemment mais le film à la chance d’avoir un acteur que j’apprécie au générique ou une bonne scène qui lui vaut un +1.
Exemple : Lucky Luke

3 ou 3,5 : nanar pas drôle et sans saveur / mauvais film avec tout de même une belle prestation d’acteur ou sauver par quelques scènes , un climax / Films qui se plantent lamentablement malgré leur budget conséquent et qui me donnent l’impression de se foutre du public / Comédie potache style Apatow et humour au 36ème degré du bon goût / Films qui auraient eu un 1 ou un 2 s’ils n’avaient pas la chance d’appartenir à un de mes genres de prédilection (Fantastique, Fantasy, Animation)
Exemples : Légion, Fright Night (2011), Numéro Quatre, From Paris with love, Predators

4 ou 4,5 : Films dont le titre commence par Twilight / Navets hilarants / Films ratés de super-héros, de vampires, de Fantasy / Mauvais films sympathiques / J’ai lutté contre l’ennui et la somnolence et pourtant il parait que c’est un bon film / Drames Dardenniens et mélos au pathos exacerbé
Exemples : Donjons et dragons, Daybreakers, Green Lantern, The Killer Inside Me

5 ou 5,5 : Films divertissants mais pas inoubliables / Films ratés avec un côté bourrin et décomplexés / Les bons films qui me laissent de marbre parce que je n’aime pas le sujet / Films dont j’attendais trop et qui m’ont forcément déçus / Comédies potaches qui m’ont fait sourire / Films sauvés par leurs interprètes, leur esthétique / mes plaisirs coupables et assumés parmi les navets
Exemples : Very Bad Cops / Le Grand Alibi / The Prodigies / Conan (2011) / Fast and Furious 4 / Percy Jackson / L’Apprenti sorcier

6 ou 6,5 : J’ai bien aimé même s’il y a pas mal de défauts / Mauvais films d’animation Pixar ou Disney / Chefs-d’œuvre dont le sujet m’indiffère, m’ennui, auxquels je n’adhère pas ou qui m’ont déçu / / Les films médiocres qui disposent d’un immense capital sympathie en raison de l’effet nostalgie ou de leur genre
Exemples : Prince of Persia, Insidious, Tree of Life, Fight Club, Invictus, L’Imaginarium du docteur Parnassus

7 ou 7,5 : Bons films avec quelques défauts / Films moyens avec Robert Downey Jr. ou Johnny Depp (en mode gothique ou pirate) + 2 points / Action +++ pour le fun et le plaisir
Exemples : Le Soleil rouge, Sherlock Holmes, Cent mille dollars au soleil, Cars 2, Expendables

8 ou 8,5 : Très bons films / coups de cœur / Bouffées de nostalgie / Nanars adorés
Exemples : Le 13ème guerrier, Last Action Hero, Flash Gordon, Jurassic Park, Dark City

9 ou 9,5 : Immenses coups de cœur / Sagas d’enfance intouchables / Chefs-d’œuvre avec un très léger bémol (parce qu’on ne peut pas toujours mettre 10).
Exemples : X-Men : le commencement, Inception, Alien, Predator, True Grit, Le Grand sommeil, Laura

10 : Chefs-d’œuvre et puis c’est tout
Exemple : La Communauté de l’anneau, Les Aventuriers de l’arche perdue, L’Empire contre-attaque, Le Bon, la brute et le truand, Seven Swords, Blade Runner

Mes critiques en 2010


Films vus en 2011

1. The Losers (Blu Ray) : 7/10 Ma critique
2. Les Chroniques de Narnia - L'Odyssée du passeur d'Aurore (Ciné) : 5/10 Ma critique
3. Prince of Persia (Blu Ray) : 6,5/10 Critique 2010
4. L'Introuvable - Collection The Thin Man (DVD) : 8/10 Ma critique
5. Tintin et les oranges bleues (Blu Ray) : 4/10 Ma critique
6. Minority Report (Blu Ray) : 8,5/10 Ma critique
7. Sherlock Holmes : la perle des Borgia (DVD) : 7/10 Ma critique
8. The Expendables (Blu Ray) : 7,5/10 Ma critique
9. Nick, Gentleman détective - Collection The Thin Man (DVD) : 7/10 Ma critique
10. Le Grand alibi (DVD) : 5/10 Ma critique
11. Tron (DVD) : 6/10 Ma critique
12. The Black Swan (Ciné) : 8/10 Ma critique
13. Le Frelon vert (Ciné) : 7/10 Ma critique
14. Sherlock Holmes : la griffe sanglante (DVD) : 7,5/10 Ma critique
15. Le Grand sommeil (DVD) : 9/10 Ma critique
16. Sherlock Holmes : la maison de la peur (DVD) : 7/10 Ma critique
17. Tron : l'héritage (Ciné) : 6,5/10 Ma critique
18. Le Retour des tomates tueuses (DVD) : 0/10 Ma critique
19. Total Recall (Blu Ray) : 9,5/10 Ma critique
20. Memories of Murder (DVD) : 9,5/10 Ma critique
21. Nick joue et gagne - Collection The Thin Man (DVD) : 7/10 Ma critique
22. Hidden (DVD) : 7/10 Ma critique
23. Psychose (Blu Ray) : 10/10 Ma critique
24. Le Secret de la pyramide (DVD) : 8/10 Ma critique
25. Les Dents de la mer (DVD) : 10/10 Ma Critique
26. True Grit (Ciné) : 9,5/10 Ma critique
27. The Town (Blu Ray) : 8/10 Ma critique
28. Sherlock Holmes : Mission à Alger (DVD) : 5/10 Ma critique
29. Le Bon, la brute et le truand (Blu Ray) : 10/10 Ma critique
30. Sukiyaki Western Django (DVD) :
31- Conan le Barbare (DVD) : 9,5/10 Ma critique
32- Sherlock Holmes et la femme en vert (DVD) : 6,5/10 Ma critique
33- Baby Cart - vol. 1 : le sabre de la vengeance (DVD) : 8,5/10 Ma critique
34- Tarzan, l'homme-singe (DVD) : 5/10 Ma critique
35- Unstoppable (Blu Ray) : 7/10
36- The Shadow (DVD) : 5/10
37- L'Inspecteur ne renonce jamais (Blu Ray) : 7/10
38- 100 dollars pour un shérif (Blu Ray) : 5/10 Ma critique
39- L'Ombre de l'introuvable - Collection The Thin Man (DVD) : 8/10 Ma critique
40- Fight Club (Blu Ray) : 6,5/10 Ma critique
41- Princess Bride (Blu Ray) : 9/10 Ma critique
42- Sherlock Holmes : le train de la mort (DVD) : 6/10
43- La Cinquième colonne (DVD) : 5,5/10
44- Le Chien des Baskerville - version de 1959 (DVD) : 8,5/10 Ma critique
45- Very Bad Cops (Blu Ray) : 5/10 Ma critique
46- Le Chasseur de primes (Blu Ray) : 5/10
47- World Invasion : Battle Los Angeles (Ciné) : 7/10 Ma critique
48- PAUL (Ciné) : 6/10 Ma critique
49- Meurtre au chenil (DVD) : 6,5/10
50- La Nuit du chasseur (TV) : 9/10 Ma critique
51- Scott Pilgrim vs the World (DVD) : 7/10
52- Rango (Ciné) : 9/10 Ma critique
53- Planète des vampires (DVD) : 5/10
54- Red - version de 2010 (Blu Ray) : 7/10
55- Le Train de 16h50 (DVD) : 6/10
56- Cat Ballou (DVD) : 7/10 Ma critique
57- Sucker Punch (Ciné) : 7,5/10
58- Morning Glory (Ciné) : 5,5/10 Ma critique
59- Numéro quatre (Ciné) : 3/10 Ma critique
60- Baby Cart - vol. 2 : l'enfant massacre (DVD) : 9/10 Ma critique
61- Le Chat à neuf queues (DVD) : 6,5/10 Ma critique
62- Inferno (Blu Ray) : 8/10 Ma critique
63- Les Frissons de l'angoisse (DVD) : 8/10 Ma critique
64- 27 robes (TV) : 4/10
65- Dix petits indiens - version 1945 (DVD) : 8,5/10 Ma critique
66- Détective Dee, le mystère de la flamme fantôme (Ciné) : 9,5/10 Ma critique
67- Baby Cart - vol. 3 : dans la terre de l'ombre (DVD) : 8/10 Ma critique
68- Django (DVD) : 7/10 Ma critique
69- Iron Man (TV) : 8/10
70- Thor (Ciné) : 7/10 Ma critique
71- Ténèbres (DVD) : 6/10
72- L'Oiseau au plumage de cristal (VOD) : 7/10 Ma critique
73- Erik le viking (TV) : 7/10
74- Phénomena (DVD) : 6,5/10
75- Baby Cart - vol. 4 : l'âme d'un père, le coeur d'un fils (DVD) : 9,5/10 Ma critique
76- Shining (DVD) : 9,5/10 Ma critique
77- Fast Five (Ciné) : 7,5/10 Ma critique
78- Quatre mouches de velours gris : 7/10
79- L'Introuvable rentre chez lui - Collection The Thin Man (DVD) : 6/10 Ma critique
80- The Tree of Life (Ciné) : 6,5/10
81- Pirates des Caraïbes : la fontaine de jouvence (Ciné) : 6,5/10 Ma critique
82- X-Men - First Class (Ciné) : 9/10 Ma critique
83- Meurtre en musique - Collection The Thin Man (DVD) : 5/10 Ma critique
84- Panic sur Florida Beach (Blu Ray) : 8,5/10 Ma critique
85- Kung Fu Panda 2 - 3D (Ciné) : 8/10
86- The Prodigies - 3D (Ciné) : 5/10
87- Apocalypse Now (Blu Ray) : 9,5/10 Ma critique
88- Il était une fois dans l'Ouest (Blu Ray) : 10/10 Ma critique
89- Fantasia (Blu Ray) : 7,5/10 Ma critique
90- Baby Cart - vol. 5 : le territoires des démons (DVD) : 8/10 Ma critique
91- Sherlock Holmes et l'arme secrète (DVD) : 7/10 Ma critique
92- Baby Cart - vol. 6 : le paradis blanc de l'enfer (DVD) : 6,5/10 Ma critique
93- A toute épreuve (DVD) : 9,5/10 Ma critique
94- Blitz (Ciné) : 5/10 Ma critique
95- Transformers 3 (Ciné) : 8,5/10 Ma critique
96- Certains l'aiment chaud (Blu Ray) : 10/10 Ma critique
97- The Phantom Light (DVD) : 5/10 Ma critique
98- Harry Potter à l'école des sorciers (TV) : 8/10
99- Harry Potter et la chambre des secrets (TV) : 7/10
100- Mondwest (TV) : 5/10 Ma critique
101- Dix petits indiens - version 1965 (DVD) : 7/10 Ma critique
102- Harry Potter et les reliques de la mort - partie 2 (Ciné): 9/10
103- Rien à déclarer (Blu Ray) : 5/10
104- La Dame du vendredi (DVD) : 7/10 Ma critique
105- Blow up (DVD) : 6/10 Ma critique
106- Cars 2 (Ciné) : 7,5/10 Ma critique
107- Votre majesté (Blu Ray) : 0,5/10 Ma critique
108- Super 8 (Ciné) : 9/10 Ma critique
109- Green Lantern (Ciné) : 4,5/10 Ma critique
110- Histoires de fantômes chinois (DVD) : 8,5/10 Ma critique
111- Fenêtre sur cour (DVD) : 7/10 Ma critique
112- La Planète des singes - les origines (Ciné) : 5,5/10
113- Fanboys (Blu Ray) : 8/10
114- Captain America - The First Avenger - 3D (Ciné) : 9/10 Ma critique
115- Conan - 3D (Ciné) : 5/10 Ma critique
116- Le Château de Cagliostro (Blu Ray) : 7/10 Ma critique
117- L.A. Confidential (Blu Ray) : 9/10 Ma critique
118- Master and Commander (Blu Ray) : 9/10 Ma critique
119- Conan le destructeur (Blu Ray) : 5,5/10 Ma critique
120- Le Pic de Dante (Blu Ray) : 6,75/10 Ma critique
121- Pirates des Caraïbes 3 : jusqu'au bout du monde (TV) : 5,5/10 Ma critique
122- Le Seigneur des anneaux : la communauté de l'anneau (Blu Ray) : 10/10
123- Le Seigneur des anneaux : les deux tours (Blu Ray) : 9,75/10
124- Le Seigneur des anneaux : le retour du roi (Blu Ray) : 9,5/10
125- Star Wars - Episode IV : Un nouvel espoir (Blu Ray) : 10/10
126- Fright Night (Ciné) : 3/10 Ma critique
127- The Killer Inside Me (TV) : 4/10
128- Cent mille dollars au soleil (DVD) : 7/10 Ma critique
129- Stardust (Blu Ray) : 9/10 Ma critique
130- Predators (TV) : 3/10 Ma critique
131- L'Apprentie sorcière (TV) : 5,5/10 Ma critique
132- Potiche (TV) : 5/10
133- Rubber (TV) : 1/10 Ma critique
134- Insidious (Blu Ray) : 6/10 Ma critique
135- Tintin et le secret de La Licorne (ciné) : 8,5/10
136- Fast and Furious 4 (Blu Ray) : 5,5/10
137- L'Etrange Noël de Mr. Jack (Blu Ray) : 10/10 Ma critique
138- Inception (Blu Ray) : 9,5/10
139- Jurassic Park (Blu Ray) : 8/10 Ma critique
140- Le 13ème guerrier (Blu Ray) : 9,5/10
141- Yojimbo (DVD) : 8/10 Ma critique
142- Le Royaume de Ga'Hoole (Blu Ray) : 7/10
143- Old Boy (DVD) : 5/10 Ma critique
144- No Country for Old Men (TV) : 8/10
145- Police Story (DVD) : 8/10 Ma critique
146- Police Story II (DVD) : 7,5/10 Ma critique
147- Les Chaussons rouges (Blu Ray) : 9,5/10
148- The Crow (DVD) : 9/10 Ma critique
149- L'Ombre d'un doute (DVD) : 7,5/10 Ma critique
150- Poltergeist (DVD) : 8/10
151- King Dinosaur (DVD) : 4/10 Ma critique
152- L'Aventure de Mme Muir (DVD) : 10/10 Ma critique
153- Les Chasses du Comte Zaroff ( DVD) : 7,5/10
154- Drive (Ciné) : 6/10
155- Les Trois mousquetaires (Ciné) : 5/10
156- The Thing (Ciné) : 4/10
157- Les 14 amazones (TV) : 6,5/10
158- Le Sabre infernal (DVD) : 9/10 Ma critique
159- Vera Cruz (DVD) : 8/10 Ma critique
160- Les Immortels (Ciné) : 4/10
161- Le Pacha (DVD) : 8/10 Ma critique
162- Arsenic et vieilles dentelles (DVD) : 8,5/10 Ma critique
163- Kung-Fu Nanny (TV) : 3,5/10
164- Ne nous fâchons pas (Blu Ray) : 6,5/10 Ma critique
165- Galaxy Quest (TV) : 5/10
166- Le Drôle de Noël de Scrooge (Blu Ray) : 7,5/10 Ma critique
167- Les Emotifs anonymes (DVD) : 5/10
168- L'Assassin habite au 21 (TV) : 7,5/10 Ma critique




Séries TV

- Doctor Who : The Masque of Mandragora (DVD) : 7,5/10
- Des Agents très spéciaux : le mystère de la chambre forte (DVD) : 6,5/10
- Des Agents très spéciaux : un agent de trop (DVD) : 7/10
- Des Agents très spéciaux : Tueurs au karaté (DVD) : 7,5/10
- Des Agents très spéciaux : Espions en hélicoptère (DVD) : 7/10
- Des Agents très spéciaux : Le maître du monde (DVD) : 5/10
- The Tudors - saison 4 : 7/10
- Doctor Who : The Seeds of Doom (DVD) : 7/10
- Doctor Who : Image of the Fendhal (DVD) : 6,5/10
- Doctor Who : The Creature from the Pit (DVD) : 6/10
- Doctor Who : saison 5 - épisodes 1 à 3 (TV) : 9/10
- Doctor Who : saison 5 - épisodes 4 à 6 (TV) : 9,5/10
- Doctor Who : saison 5 - épisodes 7 à 9 (TV) : 8,5/10
- Doctor Who : saison 5 - épisodes 10 et 11 (TV) : 9,5/10
- Doctor Who : saison 5 - épisodes 12 et 13 (TV) : 10/10
- Les Chroniques du dragons (Blu Ray) : 3/10
- Human Target : saison 1 (DVD) : 9/10
- Bones : saison 5 (DVD) : 7/10
- Le Trône de fer : saison 1 - épisodes 1 à 10 : 9/10
- The Mentalist : saison 3 (DVD) : 7/10
- Castle : saison 3 (DVD) : 7/10
- Doctor Who : saison 6 - épisodes 1 à 7 (DVD) : 9,5/10
- Supernatural : saison 6 : 6,5/10
- Criminal minds : saison 6 : 8/10
- Dr. House : saison 6 (DVD) : 8/10
- CHiPs : saison 1 (DVD) : 7/10
- Les Dossiers Dresden : intégrale (DVD) : 7/10
- Les Champions : intégrale (DVD) : 7/10
- Doctor Who : saison 6 - épisodes 8-13 : 9,5/10
- Castle : saison 4 : épisodes 1-4 : 7/10
- The Mentalist : saison 4 : épisodes 1-4 : 8/10
- Supernatural : saison 7 : épisodes 1-4 : 6,5/10
- Les Borgia : saison 1 : 6,5/10
- Criminal Minds : saison 7 : épisode 1 : 8/10
- Des Agents très spéciaux : L'espion au chapeau vert (TV) : 7/10
- Doctor Who : Christmas Special 2011 - The Doctor, the Widow and the Wardrobe (TV) : 8,5/10

[alinoe]

The Losers

Réalisé par Sylvain White Avec Jeffrey Dean Morgan, Idris Elba, Zoe Saldana, Chris Evans, Jason Patric Action, USA, 1h36 - 2010

7/10

Résumé : Cinq soldats d'élite de l'armée américaine sont témoins d'un massacre orchestré par le mégalomane Max lors d'une mission de routine en Bolivie. Laissés pour mort, ils sont bien décidés à se venger et acceptent l'aide d'une mercenaire mystérieuse, Aisha, qui leur permet de rentrer en Amérique à condition qu'ils éliminent Max…

Plutôt agréablement surprise par cette action-comédie qui s’inscrit dans la lignée des films d’action des années 80 avec son cocktail d’explosions et d’humour. Un film également doté, selon la mode actuelle, d’une bonne dose de cool-attitude. Jeffrey Dean Morgan, Zoe Saldana et Chris Evans, la coolitude incarnée dans des registres bien différents. Le premier dans le rôle d’un chef charismatique et désabusé qui commence à douter de ses compétences, la seconde dans le rôle d’une Bad Girl qui n’hésite pas à jouer de ses atouts charmes, mais tout aussi efficace sur le terrain et le dernier dans le rôle du comique de l’équipe, mais aussi efficace avec un ordinateur qu’avec un gun.

Un scénario simplissime et très cliché.
Notamment le méchant très méchant qui en fait des tonnes, secondé par un lieutenant tout en biceps et inexpressif. Jason Patric qui incarne Max : une prestation déjà vu cent fois. Ou encore, les retournements de situation que l’on devine dès l’apparition des personnages concernés. Et pourtant ce film dégage une véritable énergie et les « losers » un vrai capital sympathie. Les acteurs semblent s’être amusés à faire ce film et ça se ressent à l’écran. Mention spécial à Chris Evans que je n’apprécie pas outre mesure, mais qui se révèle excellent dans le rôle de l’informaticien d’élite et qui incarne l’amuseur de service avec beaucoup de convictions.

Un film court, ce qui permet de concentrer l’action et de donner l’impression que les scènes s’enchaînent sans temps mort. Il faut dire aussi que toutes les scènes d’action sont réalisées et découpées avec beaucoup de dynamisme (notamment tout le final dans le port).

N’ayant jamais lu la série de Comic Book dont est issu ce film, je ne saurais dire, s’il en est une bonne adaptation. C’est en tout cas, un film qui n’oublie pas de mettre l’action au premier rang et auquel on ne demande rien d’autre que d’être un honorable divertissement. Du cinéma qui ne se prend pas au sérieux. Mission réussie !

[Scalp]

Une des belles surprise de l'année je trouve, j'en attendais strictement rien et au final c'est un des films les plus fun de 2010.

[Milkshake]

Bien d'accord le divertissement fun et décomplexé de l'année dernière Bien mieux que toute la ribambelle de blockbuster nanardesque auquel on a droit tout les ans.

[alinoe]

Fun c'est effectivement le terme qui définit le mieux ce film qui fut en tout cas bien plus à la hauteur que L'Agence tout risques qui était censé être le top de l'action en 2010 et ne le fut pas du tout.

[Heatmann]

ca fout la misere a Ateam et pas que a moitier en plus

[Kareem Said]

C'est clairequ'en comparaison avec A-Team et son budget plus conséquent y'a pas photo The Losers est un bon petit film sympatoche plus fun encore mais qui a ses limites. Celà dit c'est fun et décontracté, une pellicule qu'on prendrait plaisir à revoir.

[alinoe]

L'Introuvable

Réalisé par W.S. Van Dyke Avec Myrna Loy, William Powell, Maureen O'Sullivan, Nat Pendleton, Minna Gombell Comédie policière, USA, 1h27 - 1934

8/10

Résumé : Nick, détective à la retraite, et Nora Charles, son épouse adorent s’amuser. Dorothy Wynant s’adresse à Nick, ami de la famille, lorsque son père, disparu mystérieusement depuis 3 mois, se trouve être le suspect numéro 1 d’un meurtre. Nora pousse alors son mari à s’occuper de l’affaire, pour pouvoir elle aussi goûter au plaisir de mener une enquête.

L’introuvable (The Thin Man) est le premier épisode d’une série à succès qui compte six films. Une des toutes premières comédies policières de l’histoire du cinéma. Un film associant avec bonheur, les ressorts du "whodunit" cher à Agatha Christie et Ellery Queen, au genre cinématographique alors naissant de la "screwball comedy".

L’Introuvable, c’est donc un zest d’intrigue policière, des personnages tous plus farfelues les uns que les autres, des dialogues percutants de drôlerie, des situations cocasses, un chien inénarrable et beaucoup de cocktails.

Nick partage avec Hercule Poirot, le goût pour le rassemblement final des suspects afin de dévoiler le nom du meurtrier qui se doit forcément d’être le plus improbable ou presque. Mais là où Poirot met en avant ses cellules grises, Nick et Nora préfèrent inviter les suspects à un dîner et révéler le nom du coupable entre l’entrée et le plat principal, en sirotant quelques verres de vin. Je n’ai jamais vu un film dans lequel, les personnages principaux buvaient autant d’alcool. C’est bien simple, il n’y a quasiment pas une scène, où Nick ou Nora ne se retrouvent pas en train de siroter, une coupe ou un verre. Ce film est un véritable hymne à l’alcool ou chacun boit sans aucun complexe. On peut dire que l’alcool est un des ressorts comiques du film. Je ne sais si cela choqua à l’époque, mais cela doit faire grincer les dents des « ligues de vertu » d’aujourd’hui.

Une belle brochette de personnages. En tout premier lieu, Nick et Nora, couple oisif et aisé qui vient passer le réveillon de Noël à New York. Sauf qu’avec eux, pas de Noël en famille. On préfère inviter une brochette de truands autrefois arrêtés par Nick ! Un réveillon sous influence, celle de l’alcool. Le ton du film est donné ! Et que dire de cette scène, où Nick s’amuse avec son cadeau de Noël, un pistolet à air comprimé en tirant sur le sapin, sous le regard stoïque et blasé de Nora et celui consterné de leur chien Asta. Un vrai fou rire ! Nick et Nora resteront pour longtemps, dans l’imaginaire américain, comme l’incarnation du couple idéal au cinéma, heureux et épanoui. Entre William Powell et Myrna Loy, on ressent une véritable alchimie et une grande complicité. Les dialogues, les grimaces, les situations de la vie ordinaire et cette capacité à finir la phrase de l’autre, tout sonne juste et donne l’impression d’être face à un vrai couple.

Le chien Asta, un autre ressort comique du film. Toutes ses interventions et ses mimiques sont vraiment très drôles. Le seul finalement qui porte un regard navrant sur la vie quelques peu dissolues de ses maîtres. Et puis il s’avère fort utile pour résoudre l’enquête, bien malgré lui. Asta un air de Milou, la témérité en moins.

Les Wynant une sorte de famille moderne recomposée, pas du tout politiquement correct. Le père disparu, savant distrait et lunatique entouré d’une maîtresse et d’une ex-femme vénales, d’une fille aimante mais quelque peu hystérique, d’un fils à l’allure de premier de la classe, mais franchement morbide, voir à tendance psychopathe. Ajoutez un futur gendre idéal, un amant de la maîtresse, un truand et sa compagne explosive, le nouveau mari de l’ex-femme, l’avocat de la famille et un ouvrier plutôt louche et vous obtenez un joli lot de suspects qui ne sont pas en reste dans le genre bizarre et farfelu.

L’Introuvable fut une bel découverte, qui me donne envie de me plonger rapidement dans les autres épisodes de cette saga qui fixa pour longtemps les codes de la comédie policière conjugale.

[zack_]

Tes critiques sont tout simplement magnifiques et bien rédigées! Une belle année en perspective (déjà superbement fini en 2010 avec deux critiques de films d'animation)

[alinoe]

Merci zack.
Résolution pour l'année : faire une critique pour chaque film vu (gros challenge, car en 2010, j'ai réussi à faire une critique, seulement pour un tiers des films que j'avais vu).

[alinoe]

L'Odyssée du Passeur d'aurore

Réalisé par Michael Apted Avec Ben Barnes, Georgie Henley, Skandar Keynes, Will Poulter, Liam Neeson, Simon Pegg Fantastique, USA/UK, 1h55 - 2010

5/10

Résumé : Happés à l’intérieur d’un intriguant tableau, Edmund et Lucy Pevensie, ainsi que leur détestable cousin Eustache, se retrouvent subitement projetés dans le royaume de Narnia, à bord d’un navire majestueux : le Passeur d’Aurore.

J’ai été déçue par ce troisième épisode des Chroniques de Narnia. L’Odyssée du Passeur d’aurore manque cruellement de la magie de la découverte, du bestiaire et de l’univers narnien qui sauvait le premier épisode et surtout, du souffle épique qui animait le second épisode.

Un film sans enjeux dramatiques, juste une vague menace personnifiée par une brume verdâtre. Le plaisir de retrouver des visages familiers, tels, Caspian, Edmund et Lucy est totalement amoindri par un scénario brouillon qui nous donne le sentiment d’avoir été rédigé à la hâte et une profonde impression d’inachevé. Ce film n’est composé que d’une suite de scènes qui s’enchaînent trop rapidement, sans aucun développement des différents personnages rencontrés. Tout est survolé et ne permet pas d’immerger le spectateur dans l’histoire, ni de s’attacher aux personnages. En plus, pour la scène d’introduction de son film, Michael Apted se contente d’un copié/collé de la scène d’introduction du second épisode, remplaçant juste le personnage de Peter par Edmund. Franchement, ça donne dès le départ un apriori négatif qui se confirme tout au long d’un film qui manque totalement d’originalité ou d’inspiration et qui a tendance à susciter l’ennui.

Pire, il y a une véritable « régression » de certains personnages. Edmund et Lucy ne sont que des caricatures de ce qu’ils étaient dans les précédents épisodes. Au cours de ses précédentes aventures à Narnia, Edmund avait beaucoup évolué, dépassant son côté « vilain petit canard » et sa « guéguerre » permanente avec son aîné Peter. Là, il y a un véritable revirement du personnage. Peter n’est plus là, donc Edmund prend ses traits de caractère. Du coup, tous les affres de Peter dans le second épisode seront donc pour Edmund. Rien de mieux pour donner une impression de « déjà-vu », le côté épique et guerrier en moins. De même pour Lucy, réduite à la volonté de ressembler à sa sœur Susan, alors qu’elle était jusqu’alors quasiment le « cœur » de Narnia, celle qui avait l’écoute d’Aslan.

Restent de superbes effets spéciaux, quelques moments forts poétiques, une sympathique scène d’affrontement avec un serpent de mer et le personnage d’Eustache, le cousin tête-à-claques, d’Edmund et Lucy, tout aussi insupportable que drôle. C’est la touche de réussite de ce film : l’histoire de la découverte de Narnia, par Eustache, personnage à l’esprit plutôt cartésien, très éloigné de l’univers des légendes, égoïste, peureux et, de sa rencontre avec Reepicheep. Will Poulter excelle dans ce rôle ingrat.

L’Odyssée du Passeur d’aurore, sous sa fausse apparence de quête d’héroïc-fantasy, a surtout pour thème, le dépassement de soi, de sa part d’ombre, de ses propres peurs et de ses démons. Un film plus moralisateur qu’épique ! La faute, en revient essentiellement au roman peu inspiré de C.S. Lewis, dont je conserve un souvenir mitigé. Une fois n’est pas coutume, malgré tout ses défauts, le film est meilleur que le livre dont il est adapté.

[zack_]

Merci zack.
Résolution pour l'année : faire une critique pour chaque film vu (gros challenge, car en 2010, j'ai réussi à faire une critique, seulement pour un tiers des films que j'avais vu).

et puis ca te fait un souvenir en plus - moi c'est ce que je fais depuis quelques années maintenant

[alinoe]

Minority Report

Réalisé par Steven Spielberg Avec Tom Cruise,Max Von Sidow, Colin Farrell, Kathryn Morris, Steve Harris Science-fiction, USA, 2h25 - 2010

8,5/10

Résumé : Washington, 2054. John Anderton est un agent d’élite du « Pré-Crime », une unité policière qui utilise les dons de préscience de trois « Pré-Cogs » pour arrêter les criminels avant même qu’ils passent à l’acte. Mais lorsqu’il est lui-même accusé d’un crime qu’il n’a pas encore commis sur un homme qui lui est totalement inconnu, il doit fuir pour tenter de se disculper et de comprendre les rouages du système…

Sait-on jamais, au cas où… : Spoilers !!

Très librement inspiré d’une nouvelle de Philip .K. Dick, le film de Spielberg mêle avec maestria action, enquête et réflexion.

Subtil mélange entre les codes du film noir, de l’anticipation et du blockbuster, le scénario nous entraîne dans une course contre-la-montre, traversée de moments époustouflants, telles, cette chevauchée de véhicules en véhicules sur des voies express verticales, cette évasion en jet-pack, cette fuite d’appartements en appartements, ce combat dans une usine, cette traque par des araignées robots dans un immeuble, ou encore tel ce jeu de cache-cache dans un complexe commercial . Alliance réussie des effets-spéciaux, des jeux de surexposition delumières, de contre-jours nimbés d’une photographie « froide » en bleu et blanc, et de la mise en scène dynamique, virevoltante et fluide, toute en alternance de travellings, gros plans, champs, contre-champs, plongées et contre plongées…

Comme beaucoup de héros de Spielberg, John Anderton est marqué par un drame (la disparition jamais élucidée de son fils) et il se réfugie dans ses souvenirs en visionnant les films de famille qui illustrent un bonheur aujourd’hui envolé. Une tragédie qui en fait le plus fervent partisan de l’infaillibilité du système mis en place par l’unité Pré-Crime. Poursuivi par ses anciens collègues, ce sont toutes ses certitudes qui s’effondrent peu à peu. Tom Cruise incarne à merveille, ce personnage fatigué par la vie et les évènements qui choisi d’abord de se battre contre le destin annoncé, qui semble se rendre et met son destin entre les mains de son ex-femme et d’Agatha. Ensemble ils seront les accusateurs et les artisans de la chute du système.

Colin Farrell incarne l’agent Ed Witwer chargé par le Département de la justice d’observer et d’évaluer le projet Pré-Crime. Les critiques qu’il émet, les doutes qu’il formule, ce sont ceux des spectateurs. Il est le regard extérieur, le seul qui parle d’éthique et de moral.

Spielberg, nous propose, dans un bel emballage d’effets-spéciaux, un futur policé, dans lequel le tout sécuritaire et le principe de la « tolérance zéro », l’emporte sur le libre arbitre et la liberté individuelle. La précognition un don ou une malédiction ? Washington : une ville en apparence idéale, dans laquelle le crime prémédité est éradiqué, mais où chacun vit sous étroite surveillance et dans l’angoisse de ses propres pensées, à l’image des enfants ou du couple en pleine dispute qui se figent terrorisés par ces araignées artificielles qui se faufilent partout, dans les moindres recoins de l’intimité, chiens de chasse de la section Pré-crime, cette autorité toute puissante qui préside au destin de tous les habitants du District de Columbia. Une société sous le regard permanent des Pré-Cogs, de l’unité Pré-Crime qui analyse leurs visions, des caméras ou des scanners rétiniens. Chacun est fiché et nul ne peut échapper à ces yeux « big brothers » qui scrutent la possibilité d’une idée criminelle. Le regard trahison et juge de nos pensées. Une société sous influence, celle des visions des Pré-Cogs, nouvelles Parques (nées de la dépendance aux drogues de leurs parents junkies) qui décident qui peut vivre ou doit être placé en stase pour le salut de tous. Mais quid de la faille dans le système, du rapport minoritaire et de la présomption d’innocence ?

Réquisitoire contre le système pénal, contre cette justice souvent aveugle qui se croit bien trop souvent infaillible et peut envoyer des innocents dans le couloir de la mort. La perfection judiciaire n’existe pas !

Minority Report attire également l’attention sur la nécessité d’établir un code d’éthique face aux avancées scientifiques et aux développements perpétuels des nouvelles technologies. Les trois Pré-cogs symboles de l’exploitation d’une capacité unique, d’un don, soi-disant au profit du bien de la société. La science sans l’éthique ne peut être qu’un danger pour l’homme.

Parce que Spielberg est essentiellement un cinéaste de l’optimisme et que les valeurs humaines sont au cœur de ses oeuvres, son film se devait de s’achever sur une lueur d’espoir : la fin de cette expérience « tout sécuritaire »qui sonne la libération de tous les criminels emprisonnés et l’aube d’une nouvelle vie. La fin ne justifie pas les moyens.

[zack_]

Je viens d'avoir une érection! Cet aprèm je sais ce que je regarde

[Eikichi Onizuka]

yep, hâte de recevoir le miens pour le mater.
ça doit faire 5 ans que je l'ai pas vu.

sinon autant avant je faisais des critiques quand ça me chantait autant la quand je vois le nombre de personnes qui font des putains de critiques bien détaillées, analysées, formulées telles que celle d'alinoé par exemple, mais ils sont nombreux à en faire de bien jolies, je me dis que je dois prendre plus mon temps pour écrire un critique. J'ai d'ailleurs pris ce rythme cool et reposé en écrivant Inception et Surf Up.