[Waylander] Mes critiques en 2010

Modérateur: Dunandan

Re: [Waylander] Mes critiques en 2010

Messagepar Waylander » Ven 24 Déc 2010, 16:02

Non. J'ai pas fini je réfléchis mais je mettrais pas 9 ça c'est clair. La réalisation m'a pas convaincue du tout et le film me parle pas, il m'a pas trop touché. Ça joue aussi ça sur la note.
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Re: [Waylander] Mes critiques en 2010

Messagepar Scalp » Ven 24 Déc 2010, 16:07

La réal je la trouve grandiose dans sa sobriété et quand il doit élever le niveau il le fait merveilleusement bien.
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Memories of Murder - 8/10

Messagepar Waylander » Ven 24 Déc 2010, 16:10



MEMORIES OF MURDER
SPOILERS



Le film de Joon-ho Bong côtoie à la fois la sobriété et le glauque réaliste , sans exagération ni graphisme trop poussé ce qui aurait sans doute trop léché l'image pour un film qui se veut avant tout portrait de deux hommes que tout oppose, d'un pays divisé, largué et complètement surpris par les premiers meurtres en série sur son territoire. Les flics sont à la masse et ne savent pas vraiment comment procéder, comment enquêter et se plantent petit à petit en perdant considérablement de temps dans des interrogatoires scolaires bidons et des suspicions multiples pourtant assez fondées.

Un flic et son bras droit aux manières peu orthodoxes doivent faire équipe avec un débarqué de Séoul aux méthodes plus intellectuelles et plus calmes.
Les hommes se regardent de travers et le commissaire doit calmer les tensions. les meurtres continuent et jamais le cinéaste ne se borne qu'à montrer des corps en putréfaction ou des scènes de meurtres : dans Memories of murder l'important ce sont les personnages , l'enquête et la difficulté pour eux de relier un tout qui leur échappe car pas préparés ni entrainés pour faire face à des psychopathes. A la manière des premiers meurtres en série aux USA , les policiers sont horrifiés sont stupéfait par de tels actes et cherchent donc le coupable avec hargne. Cette colère les rend susceptibles, méfiants et sous pression. Celui qui paraissait le plus fou-fou et le plus violent est en fait le protagoniste principal qui a les seules scènes intimistes du quator.



Song Kang-Ho signe donc ici encore un rôle puissant et son interprétation me conforte à penser qu'il s'agit bel et bien d'un putain d'acteur.
Dans un appartement petit, presque miteux, il vit avec un petit bout de femme et leur vie parait monotone et fade voir même miséreuse (il dorment par-terre et semblent s'ennuyer à mourir).

Les autres personnages ne seront pas autant développés mais le flic venant de Séoul est traité de façon à ce que l'on devine très vite sa solitude. Sa vie, son attention et sa concentration ne sont dirigés que vers cette enquête qu'il prend très au sérieux au point de tout remettre en question et de peu à peu à sombrer pour légèrement péter un câble sur la dernière demi-heure. Notons aussi une scène assez drôle où les deux flics acolytes ne savent tellement plus comment résoudre l'affaire qu'ils se rendent chez une chamane et sur le lieu d'un des crimes ils doivent pratiquer une sorte de rituel et, surpris par l'arrivée de quelqu'un, ils se cachent. Il s'agit en fait du flic de Séoul qui à sa manière tente de comprendre le tueur en écoutant "Lettre triste" sur le lieu du crime...Memories of murder est donc clairement une histoire qui met en avant des évènements qui dépassent totalement les individus du film au point de les faire agir comme leurs homologues américains qui sont "préparés" depuis longtemps à ce genre d'enquêtes. dans le geste désespéré de se mettre dans la peau du tueur pendant quelques secondes le personnage renvoie direct aux méthodes des profiler.



La Corée connait ses premiers meurtres en série et les hommes qui doivent résoudre l'affaire croulent sous le poids et la pression. tout cela n'est trop souvent que survolé mais ce n'est jamais totalement oublié (les journalistes qui disent du mal e la police, la manifestation pour le journaliste suspecté et brutalisé).



Memories of Murder pourrait être le thriller le plus "humble" du monde grâce à l'humanisme et à la simplicité qui s'en dégage. Ici pas de surhommes experts ou au QI super développés, pas de tueurs plein champ le couteau à la main et de scènes frôlant le gore, et l'horreur. Le long-métrage est discret sur tous ces plans et comme les enquêteurs du film, nous ne saurons jamais qui était ce psychopathe, maniaque et détraqué sexuel qui sévissait entre 1986 et 1991. Les spectateurs seront ignorants jusqu'au bout à la manière du Zodiac de Fincher. Les deux films permettent néanmoins de se faire une idée de l'identité du tueur mais aucune preuve, rien, le flou total et ce jusque dans les dernières minutes et le fin mot du rapport américain sur l'adn qui ne correspond pas au suspect principal alors que tout porte à croire que c'est bien lui.



Je ne sais pas si c'est vraiment voulut mais en regardant le film on peut penser furtivement que le tueur est en fait le bras droit de Song Kang-Ho à cause de son tempérament et y quelques scènes où il évite de toucher à certains objets comme quand le boss veut lui refiler la corde qui a servie à pendre par les jambes le journaliste suspecté un temps. on peut même penser à un moment que le tueur pourrait être le flic de Séoul. Je ne pense pas que ce soit volontaire de la part du réalisateur mais le genre fait que les spectateurs seront forcément amenés à se poser des questions et à suspecter des personnages vus le nombre de climax/cliffangher qu'on a tous vus 15 000 fois dans d'autres œuvres du genre. on notera aussi une sublime bande originale qui flirte entre la msuique émouvante, triste et solennel et la composition profondément ténébreuse.






Ne pas s'attendre à de l'action ou une enquête très prenante car ce n'est pas le but du film. Dernièrement I SAW THE DEVIL remplissait cet objectif en possédant une mise en scène léchée. Le film de Bong Joon-ho est quant à lui techniquement moins poussé (un ou deux plans séquence sympas sans plus) et visuellement plus sobre. Pour autant, l'ambiance des scènes de "meurtres" (en fait il n'y aucun meurtre à proprement parlé dans le film car on ne voit jamasi rien. On suit une femme sous la pluie qui marche seule et un sifflement coupe nette son chant mélancolique. Elle se retourner, on voit rien tout comme elle et d'un coup une tête émerge des hautes herbes puis retombe. Le tueur est toujours tapis quelque part et à part une main et une vue de dos dans la nuit, aucun détail important n'est plein champ.Le mystère est donc total mais l'ambiance de quelques plans rappelle évidemment le genre du film auquel il rend hommage).




Le final est très touchant: la vie que menait le personnage principal avec sa femme est finie et désormais ils vivent apparemment dans une belle maison, ils ont une fille et un garçon et son métier n'est plus de traqué les malfrats et les tueurs. Son ancien mode vie était clairement très influencé par son métier obsédant et sans repos.

La conclusion du film sur ce regard bourré de culpabilité et de remord (de ne pas avoir continué l'enquête, d'avoir laissé filé un tueur psychopathe et de savoir qu'il est passé il ya peu de temps avant lui..le tueur revient toujours sur le lieu du crime....mais combien de temps après? c'est ça que le dicton ne dit pas. Là c'est trop tard. Le flic n'en est plus un, les choses ont changées, il est seul et il se souvient d'un meurtre sur lequel il a enquêté mais qu'il n'a pas su résoudre).


8/10


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Re: [Waylander] Mes critiques en 2010

Messagepar Waylander » Ven 24 Déc 2010, 16:54

Je viens de mater SUCK MY GEEK bah en fait ça va je suis pas un gros geek. :mrgreen:


je pense que pour 2001 je ferais aussi le bilan à la fin de chaque mois mais avec des trucs en plus (genre: réalisateur du mois. acteur/actrice du mois. soundtrack du mois).
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Enter the void - 9/10

Messagepar Waylander » Sam 25 Déc 2010, 18:04






Gaspar Noé est un fou.
Un artiste fou qui utilise le cinéma pour coucher ses émotions, ses peurs, ses désirs, ses rêves, ses fantasmes, ses introspections tout en maitrisant les fondements même d'un art "technique" qu'il use profondément parfaitement par des mouvements de caméra incroyable, une narration comme d'habitude non-linéaire qu'il laisse s'envoler pour mieux nous immerger dans une grande fresque hypnotique , spirituelle et visuellement hallucinante. Le film est quasiment conçue comme un plan-séquence unique où la caméra passe d'une vue première personne à une vue troisième personne pour revenir au plan de départ qui fait de nous le voyageur cosmique d'une œuvre d'art qui marquera sans doute le cinéma français par son inventivité et sa prise de risque considérable. D'une durée importante et d'un traitement ahurissant par son anarchisme technique maitrisé à la perfection par un cinéaste qui défie les règles. Noé est un artiste plus qu'un réalisateur : Enter the Void est une expérience à laquelle aucun cinéphile ne peut rester insensible sur la forme mais il faut néanmoins s'accrocher car pour le fond et l'ambiance il faut être réceptif et si l'esprit est réfractaire alors le tout ne convaincra évidemment pas le spectateur qui pensait voir un film "classique" . Le dernier de Gaspar Noé est un OVNI du cinéma dont le sacre se doit d'être aussi illuminé que le voyage temporel, spirituel, humain et organique que subit l'âme du personnage principal. Attention: Soudain le Vide se doit d'être visionné en HD et son 5.1 ou au cinéma (le mieux) afin de profiter au maximum du voyage. Sans ces éléments je pense que la majorité des spectateurs vont fondamentalement s'ennuyer. En effet, le film donne l'impression de n'avoir aucune coupure et aucun changement de plan. En trois formats distincts dont les plans en plongée zénithales qui forment 90% du film le tout monté avec du plan-séquence, du travelling assez impressionnant et d'intenses et brusques changement d'axes, de grues et de renversements incongrus.



Pour citer des références on ne peut pas nier que le film est foutrement ressemblant à Blueberry de Kounen pour ce qui est de l'ambiance sonore ainsi que de la scène du trip sous DMT au début du film. Les séquences de voyage astral où l'esprit "vole" littéralement de lumière en lumière etc...rappelle fortement le western chamanique du réalisateur de Dobermann. Pourtant le film de Noé est d'une certaine façon plus assumé car la forme comme le fond se mêle à la perfection: le "drame" familial est "totalement" inclut dans le trip. Kounen développait une intrigue à part qui se confondait assez mal avec la spiritualité indienne et le chamanisme. celui-ci me parlait néanmoins beaucoup plus qu'Enter the Void par la représentation de la Nature et un animisme à fleur de peau.

Ici, il est question (en surface) de bouddhisme



Citons plus particulièrement David Fincher dont la patte graphique se ressent énormément dans le film de Gaspar Noé: qu'il s'agisse de la photographie du film très ressemblante à Fight Club et dont les SFX prises de vues où la caméra virtuelle passe de batiment en batiment, les tremblements d'images etc...la comparaison n'est pas galvaudée bien au contraire.

Évidemment, l'univers du film peut largement déranger: c'est cru, glauque, malsain et Noé ne s'empêche encore une fois pas de nous monter la réalité en pleine face (le plan cgi de l'éjaculation dans le vagin je'ai trouvé ça ridicule mais c'est pourtant tout simplement la réalité cela dit je reste assez certain qu'on ne montre pas certaine chose et celle-ci est le seul plan qui m'a gêné de tout le film: je m'attendais à du porno soft c'est finalement "moins" que ça mais je suis gentil car l'univers du long métrage baigne littéralement dans la dépravation. Pourtant tout le fond du film est traitée comme une odyssée de la mort et de la vie, et de la mort qui nait de la vie et de la vie qui nait de la mort.
Organique jusque dans les tréfonds de sa construction particulière, Enter The Void scotche autant qu'il déstabilise et qu'il repousse. La caméra n'a jamais été utilisée de manière aussi spectaculaire : l'esprit du personnage central vogue et observe. Il erre dans une sorte d'entre deux mondes auquel il se refuse à partir du départ, refusant la mort. Le film est à la fois en temps réel et intemporel : l'entité spirituelle voyage à travers l'espace et le temps : il redécouvre sa vie et son passé et le spectateur est face à une narration jamais vue auparavant dans le cinéma. Il y a un vrai fond, une vraie histoire (dramatique) et des vrais personnages torturés que la vie a abimé par sa nature impartiale.



Une œuvre qu'il faut digérer tant elle génère de sensations et décuple les émotions.

Il est certain qu'un tel film parlera avant tout à ceux qui ont vécu des trips similaires, qui ont déjà imaginés ce genre de voyage cosmique. The Tree of Life aurait largement pu être le titre du film de Noé mais cela aurait sans doute été un brin trop "sérieux" et littéraire pour un film avant tout penché sur l'orgasme vital et l'ambiguïté charnelle et consanguine (complexe d'Oedipe au centre du film comme le rapport à la drogue, les liens frère/sœur, l'ambiguïté sexuelle...). De toute façon le trip est trop ambitieux pour être "compris". c'est très personnel et chacun le ressentira à sa manière soit comme une énorme arnaque, daube du cinéma et d'autres le verront comme un chef d'oeuvre car ça les touchera au plus profonde d'eux mêmes. je fais partie de cette catégorie. La cinéphilie quant à elle ne peut pas rester insensible à une mise en scène périlleuse mais stupéfiante.


Pour le moment il n'y que certains plans un peu poussifs qui me dérangent vraiment car je trouve qu'ils appuient trop fortement



Une originalité sans faille qui ose quasiment tout , du jamais vu, du sensoriel, une spiritualité cosmique orgasmique et organique qui n'a d'égal que la claque hallucinatoire que l'on prend quand on a une certaine dose de drogue dans le sang, de l'imagination, et un désir d'introspection et de questionner la Vie tous toutes ses formes pour se trouver , se comprendre, exalter ses sens et percer LE mystère originel grâce à une quête existentielle or du temps qui ne connait ni frontière ni limite, comme le chef d'oeuvre de Gaspar Noé.



La Vie, la Mort, la Réincarnation.

9/10
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Re: [Waylander] Mes critiques en 2010

Messagepar moricenlive » Sam 25 Déc 2010, 19:13

Quand tu parles de Fight Club en fait t'as bien vu, Geoffrey Niquet a supervisé les effets spéciaux des 2 films.
When a noise bothers you, listen to it John Cage.
scalp a écrit:Southland Tales d'un drogué
On dirait une version scary movie de Strange Days.
10/10
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Re: [Waylander] Mes critiques en 2010

Messagepar Waylander » Sam 25 Déc 2010, 21:15

Je modifie mon 8.5 à Parnassus en 9.5 merki !
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Re: [Waylander] Mes critiques en 2010

Messagepar zack_ » Sam 25 Déc 2010, 22:30

C'est modifié
Et ta critique de Enter the void me donne bien envie, merci :super:

je pense que pour 2001

Tu retourne dans le temps?
Appel NY pour leur dire que le 11 Septembre va y avoir une catastrophe :lol:

Suck My Geek aura le droit a une critique car il m'interpelle le film
zack_
 

Re: [Waylander] Mes critiques en 2010

Messagepar Kakemono » Sam 25 Déc 2010, 23:16

Bien content que Enter the Void t'ai plu et inspiré. :super:
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Re: [Waylander] Mes critiques en 2010

Messagepar Alex » Dim 26 Déc 2010, 03:09

:bravo: Très belle critique pour ce qui restera mon expérience cinéma de l'année 2010 avec Black Swan. :shock:
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Re: [Waylander] Mes critiques en 2010

Messagepar Waylander » Dim 26 Déc 2010, 10:15

zack_ a écrit:C'est modifié
Et ta critique de Enter the void me donne bien envie, merci :super:

je pense que pour 2001

Tu retourne dans le temps?
Appel NY pour leur dire que le 11 Septembre va y avoir une catastrophe :lol:

Suck My Geek aura le droit a une critique car il m'interpelle le film



Suck my geek je peux vraiment faire une critique car c'est un documentaire très court fianlement. J peux juste te dire que c'est vraiment bon, ya pleins d'intervenants excellents, bourré d'idées et ya un humour bien sympa qui fait que le sujet n'est pas traité façon "branlette" comme dirait Scalp. On se marre et on fait dresse le portrait de tout un univers et de tout une population "qui ne veut pas grandir". ca m'a énormément touché mais à la fin je me disais "bon ça va je suis pas du tout un no life ni un nerd je suis juste un geek sympa". Je veux pas être plus ni être moins. Et pour citer Astier vers la fin du doc il dit "Le premier à avoir mis en avant des mecs petit gros intéressant et rêveur c'est Spielberg. Lui il l'a vu ça lui i l'a compris que c'était les forts en foot les glandus. Ce que je pense d'ailleurs personnellement (rire)".

J'ai aussi beaucoup aimé quand Werber dit que comme dans Matrix, un jour les machines prendront le pouvoir et ce sont les geeks qui trouveront le truc pour vaincre celles-ci en en créant d'autres qui les combattront. :eheh:

EXCELLENT. :mrgreen:

Franchement regarde-le c'est gratuit, téléchargeable et pas long (40 min et quelques). Dahan, Kevin Smith, Astier, le mec de Hot Fuzz (le brun), Werber et pleins de geeks "inconnus" interviennent. Ça donne un côté authentique : je trouve ça cool d'avoir interviewé des gens simples et pas du tout artistes ni réputués ou connus. Car ceux qui font vivre les geeks-artistes ce sont les geeks tout courts.
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Re: [Waylander] Mes critiques en 2010

Messagepar Kakemono » Dim 26 Déc 2010, 10:51

Ah tiens je connaissais pas ce documentaire, ca m'intéresse, merci. :super:
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Re: [Waylander] Mes critiques en 2010

Messagepar Scalp » Dim 26 Déc 2010, 18:26

Enter the void un film que même si on me paye je le regarde pas.
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Re: [Waylander] Mes critiques en 2010

Messagepar Waylander » Dim 26 Déc 2010, 18:28

Fallait s'en douter.
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Re: [Waylander] Mes critiques en 2010

Messagepar Scalp » Dim 26 Déc 2010, 18:30

Non mais les trucs d'autiste comme ça je peux pas, en plus celui là y pousse le vice à durer 2h30, sur que j'ai vu et lu ça m'intéresse pas du tout du tout, je préfère encore subir un après midi entier POTC ( et pourtant je hais ce truc ) que le trucs de branleur de Noé.
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