HANA-BI
8/10
hana-bi est reconnue comme un chef d'oeuvre , mon sentiment va presque dans cette direction , oui c'est vrai hana-bi est un film tres touchant , meme si le sujet peut porter a la mievrerie , il y succombe jamais , c'est tres sobre, sombre aussi , introspectife, trop parfois , splendide souvent , fort , puissant et la somme de l'art cinematographique de takeshi kitano , objectivement c'est ca , incontestable et une evidence , apres bon perso j'ai toujour une faiblesse et preference pour sonatine qui est vraiment a fond dans mon delire perso . hana-i c'est evidement LE film qui donnera a kitano sa renomer international , et c est meriter tent le film est finalement tres universelle, parlera a plus de monde que d autre de ca filmo , un film d une simpliciter essentiel dingue . donc kitano est un flic , nishi, qui en cours de mission doit abandonner ses équipiers pour rejoindre sa femme a l'hosto car victime d un cancer en pahse terminal. pendant qu'il visite sa femme , ses partenaires eux , ont été pris dans une fusillade et Une jeune recrue mort et son meilleur pote lui est grièvement blessé et va finir en fauteille roulant . du coup il va quitter la police et se la jouer un peu robin des bois et va emener sa femme au mont fuji pour un dernier voyage, mais les yakuza vont interompre tout ca ..
bon le postulat de depart est plutot simple pour permettre a kitano d'illustrer toute l'expression la plus parfaite de son art si maitriser apres chaque film , de l'ellipse et du plan-séquence surtout . Hana-bi c'est THE Grand film zen traversé par des éclairs de violence par excellence . biensure le film brasse les grands thèmes recurrent de realisateur , l'amour absolu, le pessimisme latent de chaque instant, l'art en general , qui est toujour un lien etroit entre la vie et la mort dans la filmo de kitano . bon ca a ete bcp dit aussi que quelque part c est une peu metaphrique et autobiographique avec le coup de l accident de moto de kitano de 94 , Kitano semble mettre en scène sa propre mort symbolique donc dans un film beau et douloureux a la fois . l'ultime feu d'artifices est assez evocateur , pis le titre est lui aussi baser sur cette dualiter , zen et violence , beauter et douleur , hana c'est la fleur et l amour et Bi c'est le feu et la mort . forcement ca se resent tout le long du film qui sera aussi contrasté que son perso principale Nishi. Derrière ses airs de brute épaisse qui defois hesite pas à martyriser des employés de nettoyage juste comme ca, kitano le flic se métamorphose en ange gardien pour ses proches... et on y croti a ce changement , hana-bi ca pourra causer vraiment au plus grand monde , Nishi qui veille amoureusement sur sa femme tres malade et qui hésite pas à faire un hold up pour aider la veuve de son pote mort .
C'est aussi une Merveille de construction narrative , tout est fluide , simple, coule de source, mais pas pour autant previsible , Hana-Bi reprend les codes du polar evidement ,mais sait les detourner et ammener des passage pas du tout baliser . Malgré de sublimes scènes d’action , le real s’intéresse avant tout au destin de son perso qui va accepter sa mort imminente par amour, ici pas de larme, pas de gros pathos, on en fait des tonnes dans le melo , les signes d’affection son subtile , seulement des regards complices et des ptits jeux qui lient le couple au-delà des mots.... de legere longueur sont quand meme parfois resentie j'avoue car le film est loin d'etre bavard, mais la ou the american de clooney etati du vide existientialiste bidon , la c'est pas loin d'etre boulversant , la maestria visuel fait deja un peu la difference, pis la sinceriter et la pudeur des sentiment font le reste . ce dernier voyage entre nishi est ca femme est vraiment trop beau , il va la divertir et essayer de lui faire passer ces dernier moment de la meilleur facon possible . les sentiments trop lourds sont epurer et il ne filme que les temps morts et laisse les masturabtion psychologiques a la salle de montage. il reste du coup c'est vrai des points de suspension , dommage c'est vrai , mais rien d'allarmant . la notion de temp aussi est un peu dilater et eclater et pendant un bon moment au debut la narration est pas lineaire, et la partition de hisashi envellope le tout dans une melancolie qui fout la boule dans le gorge .
the grande classe qui tue
ya le perso du pote de kitano qui est aussi tres bien ecrit , abandonner de tous, il va se mettre a peindre , kitano plus monolityqye que jamais ne s exprime qu avec des tics de visage et son regard , son pote le fera retomber en enfance , non franchement perso je marche pas tres facilement a l'emotion mais la c'est fait avec tellement de pudeur , de violence, de melancolie ou le silence en a jamais autant dit long .. hana-bi c'est un Chemin de croix émouvant, un polar poetique ponctuer de moment furieux et se termine bien sûr face à l’océan recurrent chez le real . pis la metaphore du cef volant , voila quoi ... the end dans tout les sens du thermes.