DARK CITY
8/10
Je me souvient encore a l'epoque ou internet etait pas encore trop rependue , le trailer de dark city dans les cinema ou dans les CD offert dans des magazien etait une veritable claque , peut etre un des meilleur et plus efficasse trailer des 90's. Sur fond de techno au rythme martial, on découvrait un univers qui avait un vrai gout de nouveau , d'originalite , de fraicheur sombre , à la frontière de la science-fiction et du film noir. Dark City a un feeling comic book aussi , de Bd europeen meme Et un gros mystère presque paranoïaque. Proyas signe la un super combo avec coup sur coup ce super polar futuristico expresioniste qui suivait son 1er film , the crow , film culte et maudit a cause de la mort de Brandon Lee , maisThe Crow c'est surtout une esthétique gothique superbement travaillée et un personnage jouissif , il posait deja la quelque base pour son décorum grandiose et foisonnant de dark city .
A cette epoque ou proyas etait un tres bon ( depuis sont I robot assez moyen a mit le doute , et la merde Knowing a presque celler son cerceuille ), le realisateur arrive a eviter 2 des faux pas le splus recurrent des films d'anticipation : l'enbouteillage de trop d’influences diverses mal digérées , et la préférence d'un grand discours métaphysique au détriment des perso , V for vendatta arrivera aussi a ce melange reussit et la daube ultime qu'est Franklyn arrive justement pas a cette equilibre . les Wachowski brothers avait fait de meme avec le 1er matrix mais s’embrouilleront un peu dans un prêchi-prêcha mystique pour leur suite ( que j'aime bcp tout de meme ) , Proyas a eu l’intelligence de se concentrer sur une intrigue relativement simple mais bien ficeller et surtout poser une ambiance absolument unique . Les hommes sont donc prisonniers d'espece de extra-terrestres qui tentent de comprendre l’humanité , ils ont un putain de look , vraiment malsain et inquietant . le perso principale jouer par un tres inspirer rufus sewel , a le pouvoir de s’opposer à eux mais il va vite se retrouver traqué par ces derniers avec l’aide d’un médecin interpreter par kiefer suthurland pre-24hrs. on reconnait meme maintenant melissa george dans un tout pti role .
comme tout bon polar noir , peu importe le contexte ou l'epoque , y a ne jeune femme dont il tombera amoureux, et c'est la sublime jennifer connely en look de femme fatal traditionel , lui permettra de découvrir l’envers du décor, la vérité derrière le mensonge. Fin de l’histoire. Pas de justification messianique a la con, pas de jargon incompréhensible juste pour faire bien et faussement riche et dense, pas de délires kdickiens sur l’identité a la blade runner et je dit pas que c'est un defaut loin de la , blade etant le plus grand film de SF de monde, jdit juste que la proyas fait simple mais pas pour autant vide . Proyas inscrit Dark City dans la veine du polar à l’ancienne et en reprend les gimmicks , une femme fatale donc, des hommes de main en veston qui s’interposent entre les deux tourtereaux , un flic tenace superbement personifier par william hurt , une manipulation, un complice défaillant et pour finir, une confrontation doublée d'une vérité insoutenable. les amateur apprecieront .
Le film serait peut-être banal pour les pisse froid et toute personnes manquant cruellement de bon gout sans l’incroyable tour de force esthétique d' Proyas ,mais voila , les fait sont la , dark city se paye une identiter visuel veritablement imposante , vertigineuse qui force le respect . Inspiré avec une grosse evidence par les metteurs en scènes allemands du mouvement expressionniste, proyas et sa team d'illustrateur et conceptionist , de prod design et sfx , crée de toutes pièces une ville completment hors du temps , ca fait aussi bien futuriste que retro , et de l’espace dont les transformations nocturnes qui sont enfaite des mises à jour faites par les extraterrestres pour provoquer de nouveaux affects chez les humains , sont d’incontestables exploits techniques qui font naître un vrai sentiment de malaise et impressione toujour autant 12 apres .
alors ca reprend des thématiques habituel de la littérature fantastique, le totalitarisme abstrait est bien la et illustrer dans des sequence bien demonstrative , et le contrôle du destin de l’humanité par une entité mystérieuse ... Dark city c'est le chainons manquant de genie entre le cine ricain des 40's/50's, l’architecture monumentale d'un Fritz Lang dont Metropolis est une référence plus qu' évidente et des éléments de la culture contemporaine comme le manga , avec des combats apocalyptiques bien dark qui on un pti coter Akira pas degeu. le score de trevor "mohican" jones est superbe et bien dans le ton .Une telle richesse et une tel fluiditer et simpliciter font de Dark City un vrai petit bijou de science-fiction d’anticipation qui est plus proche en terme de qualiter et d'execution d'un blade runner , d'un 12 monkeys que d'un gattaca qui viellit un peu moin bien ou de brazil qui est assez surcoter .