[Moviewar] Mes critiques en 2010

Modérateur: Dunandan

Dragons - 8,5/10

Messagepar Moviewar » Sam 06 Nov 2010, 13:45

Dragons (How To Train Your Dragon) 8,5/10

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Dragons casse vraiment les aprioris sur les films d'animations pour enfants, c'est très réfléchis et niveau image à couper le souffle, dans la lignée du Monde de Némo.


Films vu en 2D.

C'est après les films Lilo et Stitch que Deblois et Sanders réalisent le film d'animation: Dragons. J'avais vu la bande annonce en salle, cela m'avais paru vraiment sympa, mais le fait que ce soit de la 3D a repoussé le film dans mon calendrier et au final je l'ai vu en DVD.

Dragons raconte donc l’histoire toute simple d'un jeune viking Harold (Jay Baruchel), fils du grand chef de la tribu Stoïk (Gérard Butler), qui n'arrive vraiment pas à être un vrai viking, un chasseur de dragons. C'est lors d'une attaque sur le village, que Harold va blesser un dragon, Night Furie (considéré comme un des plus dangereux) et au fil de jours il va lui rendre visite créant une complicité surprenante entre les deux êtres que tout opposent.

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Le film démarre dès la première scène, on est plongé dans ce monde lointain qui fascine avec cette attaque des dragons sur le village. La présentation des personnages a lieue et la voix off de Harold est très agréable comme s'il nous racontait un conte. Plus on avance dans le film, plus les situations -comment dire?- magiques, jouissives sont présentent. On peut distinguer 4 sous parties de scène dans le film: 1. la relation naissante entre Toothless (nom du dragon :wink: ) et Harold, 2. l'amour qu'il éprouve envers la belle et jeune Astrid (America Ferrera), 3. les combats contre les dragons et enfin, les scènes les plus comiques: les entrainements des jeunes vikings contre les dragons orchestrés de main de maitre par Ack (Craig Ferguson), leur professeur à l'accent ravageur!

Concernant le doublage original, il faut en distinguer deux: Gerard Butler qui est 100% vrai avec sa voix made in 300, et Jay Baruchel qui dégage parfaitement la naïveté et la gentillesse de cet Harold ami des animaux...

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Dragons tient vraiment en haleine, on est obsédé par l'évolution entre Harold et le dragon, et par la future implication de ces derniers dans la vie du village. Le film est entrecoupé de diverses scènes, toutes intéressantes les unes que les autres, de la confection d'une aile, l'essayage de celle – ci, des discussions avec son père en autres, le film arrive à développer un attachement pour ces deux personnages, et le final est juste magique.

De plus, il faut noter que Dragon, qui a pour tête d'affiche Toothless et Harold arrive à maintenir un fort intérêt pour les caractères secondaires. En effet, le film est axé certes sur leur histoire mais l'implication de nombreuses petites histoires (les moqueries des autres jeunes...) fait que le film est lisse et couvre un espace

Au départ c'est un film pour enfant, mais tout le monde y trouve son plaisir, ce qui ait un fort élément positif. On finit le film avec le sourire et les yeux qui pétillent, conséquences d'un film prenant par les tripes et le cœur. Si le numéro deux est sur les mêmes bases, on ne pourra pas être déçu.

Dragons est une vraie boule de feu, qui ne s’éteint jamais. Une vraie surprise by Dreamworks où l'on garde un souvenir brûlant et crépitant pendant longtemps.
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Biutiful - 8/10

Messagepar Moviewar » Mer 10 Nov 2010, 10:12

Biutiful 8/10

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Les derniers jours du reste de sa vie


Biutiful m’intriguait beaucoup, d'une part pour son titre, mais aussi par son acteur principal, Javier Bardem qui m'avait laissé un souvenir plus qu'important lors de la vision de No Country For Old Men. De plus, il faut souligner que la présence de Inárritu, réalisateur cher à mes yeux (Babel, 21 Grammes) ne pouvait que me conforter à aller découvrir ce film que j'attendais depuis la remise du prix d'interprétation masculine à Javier Bardem en mai dernier lors du festival de Cannes. Le seul doute qui persistait était : Inárritu allait-il réussir à nous faire voyager et nous emmener dans divers mondes et histoires comme il l'avait si bien fait lors de ses réalisations au scénario signé Guillermo Arriaga ?

La réponse est mitigée... En effet, avec Biutiful, Inárritu ne nous fait pas voyager à proprement parler, mais il nous fait découvrir une Barcelone inconnue et souterraine, à travers les yeux notamment d'un seul être, Uxbal (Javier Bardem), homme à la vie complexe et malmenée.

Biutiful se passe dans la Barcelone « noire ». Uxbal, père de deux enfants, est un « accompagnateur » dans la mort, mais aussi un organisateur de marchés clandestins dans le domaine des contre-façons. Entre le retour de son ex femme venant bouleverser son quotidien et les aléas du monde clandestin, l'annonce de son cancer vient tout remettre en jeu. Uxbal, sentant la mort approcher souhaite laisser un souvenir, un petit quelque chose de lui à ses deux enfants. Il va donc travailler sans relâche pour eux, tenter d'aider comme il peut les travailleurs clandestins, pour à son tour pouvoir partir en paix.

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Biutiful est puissant, le traitement par Inárritu de tels sujets est spectaculaire. Sans jamais prendre parti, il nous délivre un message calme mais aussi atroce. En effet, la multitude de scènes assez dures nous saute au visage, du matraquage des vendeurs à la sauvette, au destin des clandestins chinois. Le film nous impose un rythme à la fois doux, mais par la dureté des évènements et le poids des émotions, on ne peut qu'être happé par le film et son rythme imposant. Quel que soit l'importance de la scène, celle ci sera toujours filmée à travers les yeux et le ressentis d'Uxbal, profitant au maximum de ses derniers merveilleux souvenirs. Les repas avec ses enfants sont d'une simplicité éblouissante, on n'en oublie presque la caméra. Enfin, il ne faut pas négliger que, malgré le peu d'importance consacré à la maladie en elle-même, celle-ci est présente en permanence dans les esprits même si Javier Bardem déborde de vie dans son personnage.

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C'est bien évidemment, un Javier Bardem plein de vie et de réalisme que l'on retrouve. Jouant son rôle pleinement, du père à l'entrepreneur en passant par le souffrant, il va réussir à nous introduire dans le film et à notre tour nous allons l'accompagner dans son chemin d'adieux. Enfin, il faut souligner la très bonne prestation de Maricel Alvarez (Marambra) et des deux enfants.

Biutiful possède un final posé ne surprenant pas, mais les différentes péripéties l'entourant donne un rendu magnifique remplis d'émotions.


Biutiful – Beautiful- ou la preuve que les erreurs ne sont pas un obstacle à la poursuite de la vie. Inárritu à travers la vie d'Uxbal nous le montre magistralement.
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Re: [Moviewar] Mes critiques en 2010

Messagepar zack_ » Mer 10 Nov 2010, 13:17

Et dire qui se tape Pénélope :cry: :evil:
Inárritu, il l'aime bien montrer les bas fond des villes et ses marchés clandestins
Je le verrai pour suivre sa filmo ;)
zack_
 

American (The) - 4/10

Messagepar Moviewar » Jeu 11 Nov 2010, 14:06

The American 4/10

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Clooney en pré-retraite = Mister Butterfly en vacances...


Deuxième long métrage pour Anton Corbijn après Control (2007). Pas de grande attente pour The American surtout après les différentes critiques des autres Bomiens.

J'étais donc avertis sur le fait qu'il ne s’agissait en rien d'un film d'action, mais de là le répertorier en thriller c'est peu trop poussé. En effet, l'histoire est simple, Jack (George Clooney) est un tueur à gage, à la suite d'une mission qui coûta la vie de la femme qu'il aime, il se promet d’effectuer une seule et dernière mission. Il part donc dans un village en Italie, où son dernier contrat consistera à confectionner une arme sophistiquée destinée à une femme afin que cette dernière réalise sa mission. Cependant, Jack a plutôt l'air d'être en vacances, il discute avec le curé du village autour de bonnes bouteilles de vin et se promène dans la nature (ami des papillons :roll: ) et enfin il succombe aux charmes d'une prostituée.

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Concernant le film, celui ci suit un rythme ultra plat. On pourrait le comparer dans une moindre mesure au film Day Night Day Night de Julia Loktev, car on va suivre pendant la plus grande partie du film le quotidien de Jack: prendre sa douche, boire son café, monter son arme... Rien de très captivant donc. Le final lui, réveille. Le léger suspens que le film a développé arrive à son terme, bien que dans l'on pouvait s'y attendre.

The American n'est donc pas une réussite, il reste intéressant au niveau de la réalisation. Mise à part des séquences de 15 secondes pour (nous montrer la vie de Clooney) éparpillées durant le film pour un rendu affreux, la réalisation est belle, les paysages sont tout simplement monstrueux. Enfin, l'histoire trop calme reste originale et avec une intrigue plus poussée (elle se révèle seulement à la fin) et un entremêlement plus important avec ses contrats précédents aurait donné à The American ce coté thriller à suspens dont il souffre gravement.

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Pour finir, Clooney fait son travail sans briller. Il dégage néanmoins cette tranquillité en parfaite adéquation avec les paysages, la nature et son envie de finir ce travail et puis voir Clooney en personnage quelconque reste nouveau. Pour finir Violante Placido (Clara, la prostituée) à l'accent italien croustillant est seule vraie lumière du film.

La réalisation de The American manque de panache et d'audace. Le résultat est ennuyeux mais sauvé légèrement par Clooney et Placido ainsi que la beauté de l’Italie.
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Re: [Moviewar] Mes critiques en 2010

Messagepar Heatmann » Jeu 11 Nov 2010, 14:24

encore un poil genereux la :mrgreen:
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Re: [Moviewar] Mes critiques en 2010

Messagepar Moviewar » Jeu 11 Nov 2010, 15:07

:mrgreen: Oui je sais c'est ma période! Après quand je vois certains films "considérés" comme pas très bon, le fait que je les vois au ciné peut faire qu'ils grappillent 0,5 points :D parce que The American en dvd là non merci!!
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Homme qui voulait vivre sa vie (L') - 7,5/10

Messagepar Moviewar » Sam 13 Nov 2010, 13:57

L'homme qui voulait vivre sa vie 7,5/10

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… Les premiers jours du reste de sa vie ...


Éric Lartigau était plus connu en tant que réalisateur de comédie française comme Un ticket pour l'espace ou Mais qui a tuer Pamela Rose?. Même si son dernier film Prête-moi ta main m'avait assez divertis, Lartigau m'était inconnu. Avec L'homme qui voulait vivre sa vie, il change complètement de registre pour se lancer dans le drame, assez noir sur la condition humaine et les facteurs de la vie.

Le film est l'adaptation du roman de Douglas Kennedy, qui a laissé carte blanche à Lartigau pour la réalisation et les modifications au niveau du scenario en allant même a lui accorder qu'il en change la fin.

C'est donc l'histoire de Paul (Romain Duris) avocat, marié, père de deux enfants à la situation confortable et au train de vie élevée. Cependant ce n'est pas la vie dont il rêvait et à la suite de différentes tensions entre lui et sa femme, un drame arrive l'amenant à changer complètement de vie. Cette nouvelle vie imposée sera celle qu'il a toujours rêvé laissant place à un voyage aux multiples facettes: sombres par rapport à ses erreurs qui le rattrapent, dures concernant l'abandon de son ancienne vie et illuminée par les nouvelles rencontres qui l'attendent.

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Le film possède donc deux rythmes. Dans un premier temps, lors de sa vie à Paris, le film est traditionnel, avec cependant des scènes de repas bien musclées et des engueulades intenses. Sinon on a le droit au déroulement de sa petite vie branchée, avec ses gosses. Vient le point de rupture concernant la séparation de sa femme, la tension monte de plus en plus, les séquences de plus en plus noires. Le film nous prend au vif et on se laisse embarquer prodigieusement dans la seconde partie. Deuxième partie plus soft, mais toujours aussi intéressante. Les paysages sont d'une beauté à couper le souffle, ces derniers permettent au film de se poser tranquillement, le rythme s'adoucit. Enfin, le final est fort. L'émotion est présente et s'amplifie par le suspens bien articulé.

Cette tension qui est puissante tout le long du film et ce calme permanent viennent définir parfaitement la prestation de Romain Duris. Il est à fond dans son personnage et il le rend bien. Les multiples phases psychologique du personnage de Paul sont fidèlement développé par Duris et ses crises de folies collant au plus près de la réalité en font un des acteurs français les plus en vue de sa génération. Concernant le reste du casting, Marina Foïs (sa femme Sarah) et Catherine Deneuve (son amie et collègue Anne) ne sont pas extraordinaires dans leur rôle, même si la première dégage une froideur renversante. Enfin, Niels Arestrup (Bartholomé) retrouve sa prestance de patron et de conseiller qu'il avait dans Un Prophète.

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Lartigau réalise un film noir et réfléchi, avec une mise en scène émouvante et une maitrise de bout en bout aidé par un Duris éclatant.
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Somewhere - 7/10

Messagepar Moviewar » Mer 17 Nov 2010, 17:46

Somewhere 7/10

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"L'argent ne fait pas le bonheur..."


Sofia Coppola avec son quatrième long métrage a décidé de faire un film simple, proche de ses intentions du moment. Comme elle le disait lors de la présentation, après avoir terminée le tournage de Marie Antoinette, elle resta à Paris et la naissance de sa fille lui pris du temps. Avec Somewhere, elle va s'inspirer de son chez soi (Los Angeles) et développer ce duo entre un père et sa fille.

Le synopsis du film est très simple sur le papier: Johnny Marco, auteur à la réputation sulfureuse vit à l'hôtel du Château Marmont à Los Angeles. Il va recevoir une visite inattendue : sa fille de 11 ans (Allociné) mais Coppola va œuvrer avec brio pour nous transmettre les différentes émotions de ce duo naissant...

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Le film démarre sur une scène assez longue, pendant quelques minutes, Johnny Marco au volant de sa Ferrari fait des tours de pistes. Une certaine représentation du manque d'animation et d'ambition dans sa vie. Mais c'est surtout les scènes qui vont suivre qui vont nous interpeller. En effet, Johnny vit une vie qui n'en est pas une. Malgré une notoriété envahissant ses journées, c'est seul qu'il se retrouve le soir dans sa chambre d’hôtel, au château Marmont, hôtel où se succède les stars et les femmes. C'est alors que l'on assiste à une scène de lap dance faite par deux jumelles, Johnny est là, il les contemple, s'endort, apparemment comme à chaque fois. L'ennui qu'il éprouve est par moment trop réel, c'est à dire qu'il nous prend nous aussi, surtout pendant les vingt premières minutes du film, où le ton est posé, Johnny Marco est seul.

Jusqu'au matin où il se réveille avec sa fille à ses cotés, lui dessinant un cœur sur son plâtre totalement blanc, autre signe du vide qui l'entoure. Cléo (Elle Fanning) à l'instar de ce cœur d'une instantanéité troublante pour Johnny, va commencer la transition de son père, vers un autre Somewhere.

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Le film et la vie de Johnny vont s'accélérer, les moments père-fille vont apparaître, filmé toujours avec la plus grande simplicité par Sofia Coppola, des plans larges au bord d'une piscine aux gros plans des visages lors d'un petit déjeuner embarrassant en passant par des scènes de la vie (entrainement de Cléo au patinage...), elle va nous faire partager ces moments. Pour allez vite, Johnny va s'occuper de sa fille: voyage promo en Italie, hôtels de luxe... Enfin, il va ressentir de nouvelles émotions, celles qu'il aurait dû connaître depuis longtemps: "sermon" de sa fille sur ses aventures d'un soir, délires d'enfance dans la piscine ou sur Guitar Hero avec elle, manger de la glace au lit et enfin la séparation de sa fille pour la colonie de vacances...

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Concernant le plan final, il est remarquable: Johnny Marco en quête d'une nouvelle vie avec ce désir de satisfaire les désirs primaires de sa fille: avoir un père et un véritable Somewhere.

Le duo est au top niveau interprétation, Stephen Dorff possède naturellement la classe de cet acteur perdu, mais il va aussi se révéler être un père touchant. Elle Fanning de son côté est autant pétillante que dans Benjamin Button, elle a le don pour jouer avec les grands (telle que sa grande soeur) et leur complicité présente pendant tout le long du film est belle et touchante. A noter, la figuration de Michelle Monaghan et de Benicio Del Toro. Enfin, j'ai appris que le personnel de l’hôtel Marmont était les vrais dans le film, touche assez sympa de la part de Coppola pour un rendu réel très présent.

Enfin, côté BO, le choix de Phoenix est tout simplement parfait.

Somewhere est un film minimaliste dans la grande carrière de Madame Coppola, mais ce dernier très personnel et touchant reste néanmoins très agréable à voir.
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Re: [Moviewar] Mes critiques en 2010

Messagepar zack_ » Mer 17 Nov 2010, 20:17

3 critiques, 3 films qui me tente pas du tout :oops:
Si je dois me pencher sur un Sofia Coppola a sera Virgin Suicides
L'affiche de son dernier film fait très porno des années 70 :eheh:
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Re: [Moviewar] Mes critiques en 2010

Messagepar Moviewar » Mer 17 Nov 2010, 21:55

zack_ a écrit:3 critiques, 3 films qui me tente pas du tout :oops:
Si je dois me pencher sur un Sofia Coppola a sera Virgin Suicides
L'affiche de son dernier film fait très porno des années 70 :eheh:

Et les prochaines??
218) Buried 8/10
219) Fair Game 7,5/10
220) Unstoppable 6/10
221) Neds (2011) 8,5/10
222) Welcome to The Rileys 7,5/10
:mrgreen:

Virgin Suicides c'est le seul que j'ai vu et j'avais beaucoup aimé, alors tu peux!

Et sinon, je connais pas les pornos des années 70... :lol:
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Re: [Moviewar] Mes critiques en 2010

Messagepar Heatmann » Mer 17 Nov 2010, 23:11

ahah , welcom to the rileys il me branche bien , mais doit attendre la Z1 car pas prevue pour le moment en uk .. j'attend ta critique :super:
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Re: [Moviewar] Mes critiques en 2010

Messagepar Moviewar » Mer 17 Nov 2010, 23:15

:super: Normalement ça sera la suivante, je préfère reprendre mes critiques par la fin, sinon je vais me lancer dans un cercle vicieux, et faire une critique d'un film vu il y a deux semaines c'est plus difficile, donc Rileys critique demain soir! :wink:
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Re: [Moviewar] Mes critiques en 2010

Messagepar Criminale » Mer 17 Nov 2010, 23:16

Bien aimé aussi, 7/10 pour moi. :wink:
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Re: [Moviewar] Mes critiques en 2010

Messagepar francesco34 » Jeu 18 Nov 2010, 16:42

Il me tente bien le Coppola, je le verrai en AVP début décembre. J'adore sa façon très simple d'aller au coeur.
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Re: [Moviewar] Mes critiques en 2010

Messagepar Moviewar » Jeu 18 Nov 2010, 21:37

Bon à la suite de la critique de Somewhere, film vu il y a deux semaines, je trouve que le laps de temps écoulé a fait que je l'ai broder et cela ne me plais pas, donc je vais reprendre mes critiques par la fin, et c'est donc c'est de The Rileys qui arrive, avec un changement de note passant de 7,5 à 8/10 :super:
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