[Milkshake] Mes critiques en 2010

[Heatmann]

et pis des le debut ca te casse un peu l'image "classe" et gracieuse de l'alien , comment niquer ( un peu hein faut pas exagerer ) en une intro le travaille de 2 film et ridiculiser ( j'exagere un peu mais c'est un peu ca ) l'alien , non mais la vache quoi bonjour le script reecrit au jour le jour

[Alegas]

La vache c'est uniquement dans la version longue. Dans la version cinéma, c'est un chien et la naissance de l'alien dans cette version est, selon mes souvenirs, à la mois malsaine et très belle esthétiquement.

[Milkshake]

et pis des le debut ca te casse un peu l'image "classe" et gracieuse de l'alien , comment niquer ( un peu hein faut pas exagerer ) en une intro le travaille de 2 film et ridiculiser ( j'exagere un peu mais c'est un peu ca ) l'alien , non mais la vache quoi bonjour le script reecrit au jour le jour

+1 totalement d'accord. Je serais intrigué de voir la version cinéma la naissance dans la vache/boeuf est bien jusqu'a ce qu'elle se mette à courir en 3d et la c'est la catastrophe.

Dans tout le film tout les passage en synthèse ou la bête coure ça tue le mythe tellement c'est moche et pas crédible.

Fincher voulait faire la bête en 3D ou c'est une idée du studio ?

[Heatmann]

je sais pas trop pour la bebette numerique , mais ouai la aussi tout d'accord avec ton poste , ca flingue un peu l'estime du monstre ce number 3 , en restant un bon film , le 4 finit d'achever le truc quoi

[Waylander]

bah l'alien il coure comme ceux du 2 couraient aussi hein et faut pas oublier que les Aliens se forment génétiquement grâce à leur hôte donc celui du 3 i lest a 4 pattes , pas très grand ni très gros et coure très vite parce qu'il est issu d'un animal (d'un chien ou d'une vache tout dépend de la version). et sinon c'est le film de Fincher qui respecte (à mon sens) le plus l'œuvre glauque de HG Riger visuellement parlant.

[Milkshake]

The Social Network de David Fincher

Le dernier fincher démontre à la fois tout le talent et la passivité de son auteur, pure illustration d’un scénario aussi malin que bavard, le réalisateur ne semble jamais s’approprier un discours générationnel à la manière d’un Button l’effet papier glacé prédomine cette fois épuré pour garder une cadence soutenu filtré dans un jaune monochrome nocturne.

L’atout majeur du film son débit incroyable dès la première scène, dispute d’un jeune couple dans un pub, on est scotché par la rapidité des attaques verbales lancé. Durant près de 2h, Fincher va accélérer les dialogues dans une structure intelligente de flashback gardant l’attention du spectateur à son maximum. Description intense de la création d'un monde virtuel peu attrayant ou chaque membre d'un club privée choisit sa nouvelle proie. .

The Social Network ne raconte au final que l’histoire d’un geek solitaire qui a crée par hasard le plus grand réseau social du monde devenant le milliardaire le plus jeune de l’histoire, un double procès sera le fil rouge du film : deux jumeaux aux dents longues grapillant des intérêts sur l’idée créatrice et son seul ami absent voulant rétablir son nom dans une lutte de pouvoir.

Entre ces allers-retours, le scénariste Aaron Sorkin s’invite devant la caméra montrant sa domination sur Fincher, The Social Network est avant tout un film de scénariste ou le réalisateur minimise ses effets au profit de la verve plus ou moins inspiré de Sorkin. Des années d’université à Harvard traités de manière banale un poil machiste, soirée alcoolisée et fille facile, la structure épouse la bêtise et l’inconscience d’un jeune homme dépassé par les événements subjugué par les sirènes californiennes.

Bien que la direction d’acteur soit aussi impeccable que son montage, le film manque cruellement d’émotion la froideur générale s’associe à un placement de musique discutable. Le trio de tête forme une boucle isolé, Jesse Eisenberg est une nouvelle fois parfait dans son rôle de geek immature, Justin Timberlake à l’aise dans une frime paranoïaque et le prometteur Adrew Garfield amène la passion, la lucidité que Fincher aurait du mettre en avant.

I'm a loner CEO, Bitch.

7/10

[Waylander]

La manque d'émotionje trouve que ça colle énormément au sujet et à l'histoire de la création de facebook.

[Milkshake]

ouai ca colle à l'histoire et aux personnages mais du coup ça fait pas rentré dans le film comme la musique à certain moment ça m'insupporte de décrire uniquement le côté superficiel de cette histoire.

[Heatmann]

ouaip , d'accord avec cette critique , les poitn fort et faible

surtout comme tu dit , les scenes trop demonstrative et au final superficiel avec artifice de mise en scnes comme la musique , la boite de nuit, la course d aviron , pas mal quand meme mais un film mineur dans sa filmo

[Alex]

Moi je trouve qu'avec un sujet assez rasoir de prime à bord, Fincher a quand même fait un film super prenant même si oui, en effet, niveau émotion très pas transporté. Moi je trouve que le coté froid renvoi brillamment à la personnalité de Zuckerberg et à sa solitude. En tout cas cette déficience ne ma géné une seconde. J'étais porté par l'ensemble même lors des séquences où Marc code ses trucs, ça aurait pu être super chiant. Ben non, Fincher fait des choix de montage très dynamiques même si le sujet parait très statique à première vue. Pour moi,C'est l'un de mes préféré de sa filmo avec Fight Club, Seven et Zodiac.

[Waylander]

GROS + 1

[Milkshake]

Moi je trouve qu'avec un sujet assez rasoir de prime à bord, Fincher a quand même fait un film super prenant même si oui, en effet, niveau émotion très pas transporté. Moi je trouve que le coté froid renvoi brillamment à la personnalité de Zuckerberg et à sa solitude. En tout cas cette déficience ne ma géné une seconde. J'étais porté par l'ensemble même lors des séquences où Marc code ses trucs, ça aurait pu être super chiant. Ben non, Fincher fait des choix de montage très dynamiques même si le sujet parait très statique à première vue. Pour moi,C'est l'un de mes préféré de sa filmo avec Fight Club, Seven et Zodiac.

Clairement je le mettrais pas au niveau de ces 3 là :

. Autant d'un point de vue formel c'est moins inspiré, la photo reste travaillé mais pas de composition de plan mémorable doit y avoir 2 mouvement de cam sympa.
. L'ambiance générale c'est loin d'être aussi mémorable qu'un Seven, pas de scène marquante.
. D'un point de vue traitement c'est loin de la maturité d'un Zodiac, on reste à la surface du sujet.
. Le discour/dialogues c'est beaucoup moins piquant et subversif qu'un fight club même si ça veut porter un discours générationnel de la même trempe c'est juste résumé en un plan final ça reste un traitement superficiel.

[Heatmann]

gros +1

[Alex]

Moi je trouve qu'avec un sujet assez rasoir de prime à bord, Fincher a quand même fait un film super prenant même si oui, en effet, niveau émotion très pas transporté. Moi je trouve que le coté froid renvoi brillamment à la personnalité de Zuckerberg et à sa solitude. En tout cas cette déficience ne ma géné une seconde. J'étais porté par l'ensemble même lors des séquences où Marc code ses trucs, ça aurait pu être super chiant. Ben non, Fincher fait des choix de montage très dynamiques même si le sujet parait très statique à première vue. Pour moi,C'est l'un de mes préféré de sa filmo avec Fight Club, Seven et Zodiac.

Clairement je le mettrais pas au niveau de ces 3 là :

. Autant d'un point de vue formel c'est moins inspiré, la photo reste travaillé mais pas de composition de plan mémorable doit y avoir 2 mouvement de cam sympa.
. L'ambiance générale c'est loin d'être aussi mémorable qu'un Seven, pas de scène marquante.
. D'un point de vue traitement c'est loin de la maturité d'un Zodiac, on reste à la surface du sujet.
. Le discour/dialogues c'est beaucoup moins piquant et subversif qu'un fight club même si ça veut porter un discours générationnel de la même trempe c'est juste résumé en un plan final ça reste un traitement superficiel.

Nan, mais je veux pas dire que je le met au même niveau que Fight Club (qui est quand même mon film préféré de tout les temps) ou Seven. Mais je le rapproche quand même de Zodiac dans le sens où je salue la prouesse de faire un film prenant sur un sujet rasoir. Même le projet de Zodiac était couillu, car Fincher finit quand même son film en laissant le spectateur un peu sur sa faim. Mais la réalisation rattrape tout je trouve.
Pour ce qui est de tes points, c'est sur que tu peux pas comparer l'ambiance et les plans recherchés de Seven ou Fight-Club à ce film. Ce n'est pas le même genre et je ne trouve pas que ce genre de réalisation plus tape à l'oeil convienne à un sujet pareil, tout comme il n'aurait pas convenu à Zodiac. Fincher a le bon sens d'adapter sa réal à son sujet un peu comme Aronofsky et c'est ça le talent d'un réalisateur pour moi.
Pour ce qui est du fond, je ne vois pas ce film comme un film générationnel comme le peut-être Fight Club (même si plus le temps passe et je trouve que Fight Club est plutôt le mirroir d'une société et non d'une génération. Dix ans après les problèmes mis en exergues dans fight club sont encore plus d'actualité et révélateurs). The Social Network est avant tout une adaptation du bouquin du perso joué par Andrew Garfield. Et je pense pas que le mec, en écrivant le truc, a voulu faire une critique de la génération FB comme a voulu faire Palaniuk sur la société d'hyperconso avec son bouquin. Donc faut remettre les objectifs en place. Pour moi, The Social Network c'est juste la vision de Zukerberg par son ex-associé. Ca vaut ce que ça vaut au niveau du fond, m'en tout cas Fincher l'a terriblement bien adapté.
Après je comprends pourquoi vous êtes restés sur votre faim suite aux nombreuses critiques élogieuses.

[Milkshake]

Perso j'attendais rien du film peut être le fait que le film adopte uniquement le point de vue du créateur de facebook, un personnage hautement antipathique ça joue sur le fait que je trouve le film juste sympa.

Comme je dis dans ma critique Fincher aurait plus mis en avant le perso d'Andrew Garfield le film m'aurait certainement plus plu il apporte les seules scène ou il y a un peu de dramatisation/émotion. Le reste m'a semblé superficiellement froid même si il y a quelques dialogues bien pensé.