WINDTALKERS
8.5/10
John woo embrasse ici totalement le classicisme héroïque du film de guerre ricain dans ca plus fidèle tradition en y saupoudrant ces thèmes et obsession , la fusion entre les origine des Woo et un certain savoir faire américaniser et une reconnaissance qu'il recherchait , le film a fait un gros flop et en haut des poster de tout ces film on fout "from the director of M: I 2 " , dommage car c'est vraiment un film qui aurait mériter ca chance . Donc comme la formule a succès l'impose , on a un film guerrier au cœur des batailles baser sur une histoire vrai touchante et propice au bon sentiment de loyauté et solidarité, une amitié chaotique entre 2 homme que tout sépare , des personnages plein de noblesse , le sens du sacrifice , les jeune inexpérimentée qui court sur les champs de bataille pour gagner leur honneur et perdront leur innocence ... Oui disons le tout de suite, vous voyez la note , j'aime beaucoup ce film , sur l'ensemble on est quand même souvent impressionner et emporter par cette histoire au thèmes simple et évocateur , mais ca aurait pue etre encore bien mieux , faute a quelque petite erreur de naïveté . Les passages récurrent du genre sont exposer et traiter avec un rigueur qui frôle le manque originalité , d'un coter le soldat qui a vécut les horreurs de la guerre , perdue plein de frères d'armes , désillusionner , renfermer sur lui meme , il rogne son traumatisme et se s'ouvrira qu'au contact de l'étranger, celui dont il est ordonner de protéger .
de l'autre coter les indiens, tout mignon , tout beau , ils sourient tout le temps, bien coiffer , polie , intelligent c'est un chouilla simpliste quand même , la 1er demi heure est la pour poser les base des perso et de enjeu , c'est assez naif dans la description des persos il faut l'admettre . Y a le méchant soldat raciste persécuteur , slater qui lui au contraire est très open-mind , et pourtant malgré se manque d'originalité , de culot , et de mordant , ca fonctionne ! en bon cinéphile Woo fait un film de soldat ricain a l'ancienne avec les moyens actuelles .
L'intro de 30 minutes est donc tres classique d'apres les convention hollywoodien du genre , et tres rapidement des personnage et figure récurrente du cinema de woo se dessine et se détache , du coup on se sent en terrain famillier tres vite et entre dans le film incroyablement rapidement . Nicolas cage est torturer a souhait et son navajo est l'innoncense même . et la paf , d'un coup on plonge dans les batailles a grande échelles du pacific , des plan larges tout en mouvement , une intensité dingue , un rythme haletant , la logistIque est impressionnante , reelement épique . c'est partie pour 20 minutes non-stop de furie guerrière , les transition entre plan d'ensemble aérien tres souple et plan séquence au sol , camera a l'epaule qui suit les soldat puis les trajectoirs de leur munition jusqu' a leur cible sont incroyablement immersive . beaucoup de mouvement de camera traversant les champ de bataille pour finir en gros plan sur les viasges des soldats .
La , les psychologie sont mit au second plan , tout ces perso doivent juste avancer , survivre , s'entre protéger , la guerre dans sa plus simple représentation , de la guerre d'homme , cruelle ,violente . le deluges pyrotechnique est étourdissant , et comme toujours chez woo tout est régler au millimètre , a la seconde près, la synchronisation dans ces grande étendue d'une vert et d 'une végétation luxuriante des iles japonnaise force le respect , tout l'armement , tout l'équipement et arsenal de chaque coter des armer se deploie en meme temp . l'assaut est donner au sol avec des bataillons de marines qui chargent les collines imprenable . les navires encrer dans les baies canonnent lourdement , de même que l'aviation qui bombarde allègrement . Les trancher et bunker sont nettoyer au lance flamme et grenades .. ici pas de réalisme exacerber pur comme un soldat ryan ou black hawk down viscéralement documentaire, les victimes sont montrer un peu comme des pions qui tombe comme des mouches , c'est hécatombe , tout est bien orchestrer , c'est spectaculairement cinématographique , même au milieu des batailles, on ne lâche la folie d'un épatant Nicolas Cage qui revi en permanence le traumatisme des conflits précédents ... et petit a petit le changement de comportement de Ben Yahzee ...
Passer cette longue sequence ahurrissante , le film trouve un equilibre et un rhytme parfait , entre toujour beaucoup de scnes de bataille aussi bien shooter et ammener , la qualiter de la mise en scenes et ampleur des bataille sera du meme acabit , toujour intense et explosive , et entre elles on a plein scenes brillante de sobriété qui ettofera les rapports entre les soldats et des moments de poésie typique de son cinéma surtout avec les liens entre Christian Slater et son indien qui font de la musique , j'ai bien aimer ces moment . Y aussi pas mal de scenes qui au debut ont l 'air convenue et qui enfait montre un cage encore plus abimer qu'on l'imaginait , comme lorsque son indian prend un bain dans un etang , et qu'il se fait harceller par le mechant marine reac , on se dit qu'on voti ou la scnes veut en venir tres vite , et enfait sa conclusion est assez deroutante , cage intervient seulement au dernier moment , apres avoir observer les 2 mec se foutre sur la gueule , puis donne conseil et menace son indien ! la naivete et legereter du debut n'est plus la , la guerre a fait son effet sur woo , c'est bien plus fin maintenant .
Et pis tout ces soldats parle de leur origine étrangère lors des reconnaissance a pied, ils viennent de tout horizon , on voit aussi dans les liens entre ces soldats le regard du John Woo étranger en Amérique qui prend un peu la place de ces indiens qui se font même passer pour des "japs" pendant le film . Dans cette armée, personne n’est fondamentalement Américain, tous ont des origines qui les séparent, et parle tous de leur reve d'avenir de réussite et richesse , the american dream quoi . Woo dénonce un peu ce melting-pot idéal, yahzee a nommer son fils george wahsington , les évocation de cluster et little big horn resonne dans les discussion et rappelant la christianisation des Indiens qui se vendait pas paire d'oreille pour 5 dollars, ou encore les noms d'immigres italien américanisés a leur arriver sur le sol ricain comme le rappele le perso de cage , tout plein d'anecdocte pas si innoncente que ca.. . Là encore on peut voir la patte d’un réal obsédé par les rapports conflictuels entre les traditions et l’avancée du monde, mais aussi entre l’apparence et la personnalité comme le montre aussi une autre sequences intense dans un village japonais ou le calme ne sera pas de long terme et s'achèvera par un cage qui exécutera ces ordres dans un moment de noirceur cruel .
Une autre séquence particulièrement intéressante et reussite , un convoi de marines en jeep et camion se dirige vers le nord de l'ile de saipen , dernier rampart nippon , la discussion est la encore sans équivoque , pas de sous-texte ou métaphore dans windtalkers , les dialogues parlent d'eux même , et soudain c'est stopper par une pluie de mortier qui nous fait bondir sur le canape tent le travaille sur les effets sonore est dantesque , les hommes se mettent aux abris , s'organisent , riposte , et s'aperçoivent qu'ils sont attaquer par une autre troupe ricaines qui bombarde la route sans prendre soin de voir qui la pratique . le salut du bataillon viendra de yahzee et sa couleur de peau qui soutenue par un cage suicidaire et héroïque , improvisera une mission d'infiltration pour recuperer un poste radio .parfaitement construit , doser , le suspense et l'action se fonde a merveille et cage est posséder et fait le ménage dans un style aussi realiste que impressionnant et rageur . Woo réalise un film sur l'amitié, l'honneur et le sacrifice, un film humain, sur ce que la guerre fait des hommes, ce qui fait de Windtalkers le plus personnel de ses films américains sans aucun doute .