CASINO
10/10
C'est marrant parce que les critique pro , les journaliste cinéma , a chaque fois qu'ils évoquent marty , ces plus grand films qui ressorte constament c'est toujour goodfellas, taxi driver, raging bull, bon ca me dérange pas car je trouve ces films complètement chef d'oeuvresque et font tout simplement partie de mes films favoris , mais jamais casino n'est citer, alors que perso et pour bcp comme on vient de s en rendre compte avec ce challenge , ben c'est pour moi le plus grand film du bonhomme , son plus ambitieux , maitriser, touffue , bref la crem d un real de legend , c'est dire le statut et le niveau du film , qui aurait comme seul tort d apres ces tete pensante , d'etre trop similaire a goodfellas , sa masterpiece reconnue , so what ? ben ouai , goodfellas est enorme , casino y ressemble , et ca l'empeche pas d'erte aussi et meme plus epique et ebourrifant. il a réembaucher pour Casino, le casting des Affranchis et son scénariste ce qui donne du grain a moudre au detracteur , et pourtant Casino est un des films les plus personnels de son auteur, l’auto-portrait complexe et sincère d’un artiste qui est un amoureux avant toute chose du cinéma.
Casino c'est la 8em collaboration entre De Niro et Scorsese. et C’est aussi a ce jour la dernière ( il avait pourtant proposer a bob le role du boucher dans gony et celui de nicholson de departer en premier, mais bob etait engager sur d autre projet ) Tout le monde sait l’amitié qui lie les deux hommes. C’etait De Niro qui etait venu chercher Scorsese sur son lit d’hôpital pour monter raging bull et aider son pote a ce concentrer sur le cine et laisser tomber la drogue . et quand a bob, il doit tout simplement la renomer de sa carriere a marty , ni plus si moin . Le voilà donc prêt à endosser une nouvelle fois le costume de l’alter ego devant les camera . On comprend donc que Casino va fonctionner comme un autoportrait. ben Rothstein aurait tres bien pu être metteur en scène à Hollywood. sa précision, son charisme, son indépendance aussi , et surtout doublée de son intransigeance en font un membre à part entière de la grande famille des réalisateurs américains. j'extrapole un peu mais dans une interview de marty dans un bouquin qui lui ai concacrer , il parle de se parrallele entre son film sur le jeu et le cinema , du coup faut bien creuser et trouver une nouvelle approche pour cette critique car tout a deja ete dit dans les eloges poster par les autres forumeur .
Le film bien que ce soit une fiction inspirer de fait et perso reel , peut se voir comme une évocation des relations complexe entre les studios et leur subordonnés. au debut tout le monde est ravi de collaborer. et petit à petit, chacun empiète sur le territoire de l’autre, apportant du coup ainsi méfiance et rancunes. Scorsese marche en terre connue , il va construire tout son film sur les manquements de son héros. ben Quand Rothstein décide de mêler sa vie privée et les affaires du casino , c'est la que le bateau va commencer à prendre l’eau. c'est comme le tournage de NY NY qui fut cahotique a cause de sa relation avec minelli ou celui de kign of comedy interompue par les desintox de marty..
on voit deniro a la fin qui apres que tout ceux qui on de près ou de loin touché au Tangiers seront éliminés impitoyablement jusqu’à Ginger, pourtant redevenue anonyme dans une déchéance , il est revenue à la case départ, La parenthèse seventies enchantée et vénéneuse laissera à coup sûr un goût amer. tout comme mart a cette epoque , il est d ailleur bien placer pour savoir que les années 1970 furent pour le cinéma américain indépendant un âge d’or. et la quote de sam qui parle de "cette ville qui ne sera plus jamais la même. Après le Tangiers, les grandes compagnies ont tout raflé.... Maintenant, on dirait Disneyland. , les promoteurs ont démoli tous les vieux casinos. Comment ils les ont financés ? Par des magouilles financières . Et la c'est encore plus Difficile de pas entendre Scorsese décrire ce qu’est devenu Hollywood ! ouch !
On peut au final donc considérer à juste titre que Casino est un film-carrière, une allégorie de toute l’œuvre de Martin Scorsese, et de sa vie . les thèmes abordés sont chéris par le mec : mafia, grandeur, trahison, lutte du bien et du mal. Casino se déploie avec majesté sur 3 heures , et est un feu d’artifice permanent, une leçon stylistique magistrale et subjuguante. . Pain béni pour Scorsese , un sujet idéal, un scenariste complice , plein de recherche et temoignage des mafieux de l epoque toujour en vie ( bcp apparaissent dans le film d ailleur ) plus démesuré et flamboyant que goodfellas . La séquenced'intro donne le ton direct à une saga pharaonique, littéralement , et de facon tres demonstrative par les fragments des néons multicolores et hypnotiques. Ce sublime montageavec Saul Bass sur fond de Passion de Saint-Mathieu de Bach, donne le ton de l opera baroque dont on va etre temoin
bon , bcp au trouver le message christique et la metaphore evidente , du coup apres vous avoir lue et mater le film c'est vraiment pertinent , Le choix de Bach semble lourd de signification . Sam est Lucifer, l’ange qui voulait briller plus que Dieu, et son orgueil a fait chuter . Nicky l’homme de main prêt à tout, pourrait être Judas, le traître . et Enfin Ginger en grande pute de Babylone . La ville elle-même n’est qu’une métaphore de la tentation et est meme referecencer comme ca dans les dialogues. la parabole religieuse jetée en parralle par Scorsese est un élément crucial du film.
L’arme principale du réalisateur reste néanmoins une mise en scène faramineuse, à l’image de l’univers sans concession qui est decrit. vegas c est oo much , cliquant , donne le tournie , et casino aussi , il est on fire et montre tout ce qu il sait faire , Casino est un acte définitif qui confine au sublime grâce aux prouesses d’une équipe technique et artistique de premier ordre . et oui tout les mec impliquer donneron le meilleur d eux meme : Rita Ryack aux costumes, c'est un delire ! les costume de bob dechire, totu le monde est super saper et en corresponsdance a leur perso , Robert Richardson à la photo est tres reconnue , la il fati un boulot monstre, Dante Ferretti aux décors est aussi a pas oublier, pas facile de prendre le vegas actuelle et le faire passer pour celui de 70., Thelma Schoonmaker au montage a du gerer des tonnes d angle , de rush , pff , le montage est exemplaire , on s en fout , mais que casino n'est rien recut au oscar prouve le manque de credibiliter de l academie de blaireau . Las Vegas brille de mille feux, ou de toute la noirceur contrastée de ses ruelles les plus glauque, le film possède un parfum immédiat de véracité, on y croit d'entre , a tout , le monde, pes persos , leur mode de vie , leur facon de parler ainsi que le suggèrent les séquences quasi-documentaires où Santoro décrit en voix off le chemin de l’argent, de la poche du client gogo à la mallette destinée au Syndicat des camionneurs . le noyau de la pègre qui a infiltré le circuit des casinos, en passant par les arrières salles et les coffres-forts de façade.
pareil pour le montage du code de la pute de stone pour bénéficier de son impunité. pis la celebre scene des tricheru , a travers 3 séquences imparables de fluidité, Scorsese plante son décor, ses acteurs, son intrigue. Cette maîtrise scénaristique s’appuie également sur l’utilisation de la musique qui ponctue presque intégralement le long métrage. alors reussire a mixer a la perfection un script en beton , des dialogues de ouf , uns voix off enorme , un montage a tomber par terre, et plein de perso et de peripetie dans un grso truc touffue , dense mais super fluide et prenant , donne un resulta qui impose l admiration qui est bercer par du blues ou du rock, et chaque scène trouve son propre rythme grandiose, intimiste ou dramatique . souvent le texte des chanson exprime aussi le fond de la scnes en question , et le tempo donne le rythme des action illuster
La violence, autre thème récurrent , hurle ici sa démesure ultime en Joe Pesci qui contraste avec le professionalisme froid de deniro . Perdue entre les eux, mais pas épargnée par la fièvre ambiante, Stone compose l'une des performances féminines les plus inoubliables de l’histoire du cinéma . carrement. Sublime à chaque plan, dévoilant une palette d’émotions insoupçonnées et véritable moteur sensible du film .je parle meme pas des autre ni de bob car on a tous admirer ces acteur de geni au meilleur de leur performance diriger de main de maitre par un des plus grand cineast de l histoire qui est toucher par la grace .