[alinoe] Mes critiques en 2010

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Re: [alinoe] Mes critiques en 2010

Messagepar jean-michel » Jeu 28 Oct 2010, 21:29

oui, très bel essai critique! réussi! un condensé fin de ce film du maitre! :super:
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Re: [alinoe] Mes critiques en 2010

Messagepar Heatmann » Jeu 28 Oct 2010, 21:59

eh ben... a part dire que bravo , ta critique est superbe et aborde tout les element , et pis bon tent pis pour le deba tmais j ai rien a ajouter ou contester dans ce que tu dit , tout d accord :super: :love: pour la 1er critique du 1er challenge, ca en impose
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Re: [alinoe] Mes critiques en 2010

Messagepar Killbush » Ven 29 Oct 2010, 00:30

Tu fous la pression d'entrée de jeu toi :mrgreen:
Rien a redire sur tes arguments et très belle prose !
Starting to see pictures, ain't ya?
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Re: [alinoe] Mes critiques en 2010

Messagepar alinoe » Ven 29 Oct 2010, 07:58

J'aime bien mettre la pression :mrgreen:
La redécouverte de Casino que je n'aurai jamais pensé à revisionner sans le challenge, ça a été une tellement belle surprise que ça m'a inspiré.
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Re: [alinoe] Mes critiques en 2010

Messagepar Heatmann » Ven 29 Oct 2010, 09:51

par contre dans ta critique tu dit que t aime pas les affranchis , pourquoi ?
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Re: [alinoe] Mes critiques en 2010

Messagepar alinoe » Ven 29 Oct 2010, 15:44

J'ai vu les Affranchis, à a sa sortie au cinéma, il y a donc plus de 20 ans. Je n'ai pas accroché à l'histoire d'Henry Hill, ça m'a laissé complètement indifférente. Je le trouvais minable, pathétique, limite "beauf" et j'étais contente que la séance se termine pour ne plus l'entendre se lamenter su son sort. A l'époque, je ne m'intéressais pas à la mise en scène, en règle général, un film c'était une histoire qui me plaisait ou pas et ça s'arrêtait là.

De plus, le genre film de gangsters, crime organisé, c'est un genre qui ne m'attire pas particulièrement. En fait Casino mais aussi Gangs of New York, Les Incorruptibles, Il était une fois en Amérique sont une exception à cette règle.

Il est fort probable que si je revoyais les Affranchis aujourd'hui, je réviserais mon jugement à la hausse. Mais j'avoue que je ne suis pas motivée pour le moment. Pourquoi pas dans un proche avenir dans le cadre du challenge.
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Re: [alinoe] Mes critiques en 2010

Messagepar Waylander » Ven 29 Oct 2010, 16:07

Le perosnnage d'Henry face à la caméra de Scorses n'a jamais été mis en scène pour qu'on ressente de l'empathie envers lui et d'ailleurs la fin exprime très bien ça: c'est une merde et ça le restera toute sa vie. Comme Raging bull, De Niro ne campe pas du tout un personnage qu'on doit "aimer" mais au contraire qu'on doit détester. Et tous les films que tu cites fonctionnent exactement de la même façon. Aucune ne fait l'apologie de la mafia, du crime organisé etc...les fins sont toujours sombres et jamais de belles fins pour ces personnages.
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Re: [alinoe] Mes critiques en 2010

Messagepar alinoe » Ven 29 Oct 2010, 19:16

C'est pas une question d'empathie, c'est juste le sujet des Affranchis qui ne m'intéresse pas.
Si je prends l'exemple de Casino, j'ai adoré l'histoire parce qu'elle a pour cadre Las Vegas et que c'est finalement essentiellement un drame passionnel. Mais je n'ai pas du tout ressenti d'empathie pour Sam, Ginger ou Nicky. Après tout, ils étaient les maîtres de leurs propres choix et ceux-ci les ont mené à leur perte.
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Re: [alinoe] Mes critiques en 2010

Messagepar groo » Ven 29 Oct 2010, 23:48

alinoe a écrit:C'est pas une question d'empathie, c'est juste le sujet des Affranchis qui ne m'intéresse pas.
Si je prends l'exemple de Casino, j'ai adoré l'histoire parce qu'elle a pour cadre Las Vegas et que c'est finalement essentiellement un drame passionnel. Mais je n'ai pas du tout ressenti d'empathie pour Sam, Ginger ou Nicky. Après tout, ils étaient les maîtres de leurs propres choix et ceux-ci les ont mené à leur perte.


Ce qui me surprend, c'est que, pour moi, les affranchis est aussi un drame (en l'occurence, un récit de damnation, de descente aux enfers choisi par un personnage qui voulait réussir trop vite). Les personnages ne sont jamais vraiment attachants. Ils sont parfois clinquants (surtout au début, l'univers des gangsters est attirant et quasiment magique pour le jeune qui galère), mais toujours dangereux et tremblant pour leur vie. Le film est thématiquement et formellement très proche de Casino, à mon sens...
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Re: [alinoe] Mes critiques en 2010

Messagepar Waylander » Sam 30 Oct 2010, 08:23

Bah oui le traitement et le final c'est la même chose pour Casino/Les affranchis et c'est carrément un diptyque au final.
Mais Alinoe n'a juste pas aimé l'histoire du premier.
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Alien le 8ème passager - 9/10

Messagepar alinoe » Dim 14 Nov 2010, 20:42

ALIEN (1975)

Réalisé par Ridley Scott

Version Director’s Cut

9/10

Image


Résumé : Le vaisseau commercial Nostromo et son équipage rentrent sur Terre avec une importante cargaison de minerai. Ils détournent leur route pour répondre à un signal en provenance de L-426. Sur place, une expédition découvre un vaisseau abandonné, dont l’une des pièces renferme une forme de vie inconnue. Parmi les nombreux œufs présents, l’un éclot…


Difficile de faire original tant tout a déjà été dit sur ce film.


Science fiction horrifique :
Alien n’est pas pour moi un film qui invite à de longues réflexions sur le futur, à la différence de Blade Runner. C’est un film où domine l’art de Ridley Scott de mettre en scène une ambiance. Alien est tout simplement un chef d’œuvre du divertissement horrifique.

Il est l’aboutissement réussi d’une longue lignée de film de science-fiction à tendance horrifique, tels que Planet of the vampires, It ! The Terror from Beyond Space, ou dans une moindre mesure de The Thing from Another World qui ont fait les beaux jours du B-movie, voir pour les plus mauvais du nanar (Robot Monster...). Ridley Scott donne ses lettres de noblesse au Genre et ouvre la voie à une franchise et à de nombreux clones plus ou moins heureux.





La perfection de la forme pour générer l'angoisse
Un générique épuré et quasi silencieux qui plante immédiatement le décor : l'espace et qui décompte lentement le nombre de membres d'équipage à bord du Nostromo, comme autant de "traits" dans le nom du film, presqu’une indication : 7 humains et un alien.

Puis apparaît le cargo, ses coursives désertes, silencieuses avec uniquement le bruit des machines et des ordinateurs, autant d'éléments propres à accentuer l'impression de vide, de froid et de silence que le générique avait mis en place. Scott prend son temps pour instaurer une atmosphère sans que cela paraissent long et sans aucune nécessité de discours explicatifs ou de voix off inutiles et redondants. L’image et les décors suffisent à instaurer une impression de claustrophobie. Couloirs étroits, sombres et parfois enfumés, jeux de lumières, givres, bruits mécaniques et informatiques, pilotes automatiques, ordinateur de bord, un environnement presque déshumanisé. Une sorte de cimetière dans l’espace. On comprend dès le début que nous allons vivre un huis-clos dans un vaisseau spatial, et autant dire que dans l’espace, on a tout de suite le sentiment qu’il n’y a pas d’échappatoire possible. Ce sentiment d’oppression, d’angoisse n’est pas distillé à petit feu, il est immédiat, il nous happe dès les premières images.

Une histoire simple : un signal, un équipage, un prédateur, une course contre la montre pour échapper à la mort, pas de fioritures, peu de dialogues, presque pas de contexte. Juste la mention d’une Compagnie qui fixe les protocoles et détermine les primes. Un survival dans l’espace où personne ne peut venir à votre secours. L’alliance réussie de la science-fiction et de l’horreur.




Un équipage, une créature hostile et une partie de cache-cache terrifiante :
Les membres de l’équipage : des noms et une position hiérarchique. Là encore pas de dialogues inutiles, pas de passifs, pas de flashbacks qui viendraient parasiter et désamorcer l’atmosphère oppressante. Alien est un film de l’image, pas de la parole. Tout au plus devine t’on les traits de caractères de chacun d’après ses réactions face au danger, à la créature ou à la mort. Du coup, on ne sait pas qui sera le héros ou l’héroïne de l’histoire, ni même si quelqu’un s’en sortira. Ce n’est que dans la deuxième partie du film que l’on commence à entrevoir l’importance de Ripley, son côté combatif, son leadership.

Au début, elle est plutôt en retrait. Son allure androgyne, est très éloignée de l’image classique de la femme dans les films d’horreurs (plutôt victimes) ou de science-fiction. Ripley une femme forte et fragile à la fois, face à la perfection de la carapace de l’alien et qui se paie pourtant le luxe de l’affronter en petite culotte !!! Quand presque tous les autres, ont tenté d’attaquer la créature par la force avec un arsenal de balles et de feux et ont perdu. Ripley finalement parvient à la vaincre sur son propre terrain, par la ruse, en se faufilant lentement et silencieusement dans une combinaison. Une attaque furtive à l’image de celles de la créature.
Lambert est au contraire, l’image classique de la victime du film d’horreur, elle est tétanisée par la peur et abandonne face à la créature.

Ash est le personnage le plus hermétique. Dès le début il dégage un sentiment d’antipathie. On comprend très rapidement et c’est vraiment dommage pour le suspens, qu’il a son propre agenda et qu’il se retournera contre le reste de l’équipage. On observe dès le début son intérêt pour l’alien dans sa forme gestative. Quand la créature surgit pour la première fois il esquisse un mouvement de défense pour empêcher l’attaque de Parker. Par contre, sa nature d’androïde est une vraie surprise.

Jones, le chat, le dernier membre de l’équipage. Celui qui est là pour alerter le spectateur de la présence furtive de la créature. Là aussi pour marquer la dimension héroïque de Ripley (même si je trouve cette scène totalement incongrue). A bord du Nostromo, il n’y a pas de végétation, tout est mécanique. En partant dans l’espace avec un chat, animal de compagnie par excellence, l’homme emmène un peu de la Terre avec lui.

La créature de Giger et Cie, une merveille de complexité organique et métallique. Une sorte de xénomorphe, quasi silencieux, juste quelques bruitages, furtif, rapide, suintant, avec un dard et une double mâchoire : une vision d’effroie. Certainement l’une des plus belles créations du cinéma.

Il se fond dans le décor, dans le silence, prédateur furtif dont la présence est marquée par des lambeaux de peau qui annonce une probable mutation, par des suintements, que bien souvent on ne fait qu’entrevoir. Il surgit et on perçoit la peur, le râle ou les cris des victimes qui se perdent dans le silence. Quelques gouttes de sang, pas de corps, le mystère, l’angoisse totale. Dommage finalement cette scène qui lève en partie le mystère en montrant Dallas prisonnier dans un cocon et qui est destiné à servir d’incubateur aux futures larves.

Une image traumatisante à jamais gravée dans les mémoires: la créature qui s’extrait de l’estomac de Kane. Une peur viscérale que celle d’être dévorée de l’intérieur par un organisme parasite.





Alien est un film d’ambiance glauque, de son, de musique propre à favoriser l’angoisse. Ridley Scott parvient le plus souvent à nous prendre à contre-pieds. L’attaque surgit au moment où on ne l’attendait pas forcément ou sous une forme que l’on n’avait pas prévue. C’est l’alliance réussit de la science-fiction et de l’horreur. Mais la science-fiction n’est qu’un décor propre à favoriser un objectif : générer la peur, car dans l’espace personne ne peut vous entendre crier. Alien est surtout et avant tout un magistral film d’horreur.
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Re: [alinoe] Mes critiques en 2010

Messagepar zack_ » Dim 14 Nov 2010, 21:27

Wow :love: C'est décidé je vais refaire la mienne qui date (avant va falloir que j'envoie les films que j'ai vu)
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Seven - 10/10

Messagepar alinoe » Lun 20 Déc 2010, 20:36

Se7en

Réalisé par David Fincher
avec Brad Pitt, Morgan Freeman, Gwyneth Paltrow,
Thriller, USA, 2h07 - 1995

10/10


Résumé :
L’inspecteur Somerset, vieux flic blasé, tombe à sept jours de la retraite sur un criminel peu ordinaire qui a décidé de nettoyer la société des maux qui la rongent en commettant sept meurtres basés sur les sept péchés capitaux…




Seven s’inscrit dans la double tradition du film de serial killers et du film noir. Ce polar urbain est sublimé par la mise en scène de David Fincher (en particulier la scène de poursuite en steadycam) et par la photographie de Darius Kondji.


Ce qui frappe en premier lieu, c’est évidemment le décor : cette ville omniprésente et oppressante. Cet univers urbain malsain, crépusculaire, perpétuellement sous la pluie, pollué, nauséabond, assourdissant. Un environnement urbain cauchemardesque qui étouffe littéralement ses habitants qui ne font que se débattre dans ses méandres. David et Tracy obligés de vivre aux rythmes des soubresauts du métro, Somerset qui a besoin d’un métronome pour dormir et pour lui faire oublier le rythme et l’atmosphère imposés par un environnement qu’il exècre. Cette ville est le reflet de la noirceur et de la déchéance des valeurs de l’humanité. Une cité monstrueuse qui engendre forcément les idées les plus noires et un monstre décidé à purger ses habitants de leurs péchés.


En apparence une histoire simple et un schéma classique : le conflit de générations.
Un vieux flic à l’aube d’une retraite bien méritée et un jeune flic plein de fougue. C’est d’ailleurs le seul très léger défaut du film, ce côté un peu trop caricatural au début, de la relation vieux flic versus jeune flic. J’ai toujours trouvé que Brad Pitt en faisait un peu trop. Je n’ai jamais vraiment ressenti d’empathie pour David Mills, jeune inspecteur à l’aube d’une carrière prometteuse et qui finalement impose son choix de vie à sa femme. Gwyneth Paltrow est peu présente à l’écran, mais toutes ses scènes sont importantes, elles témoignent notamment du malaise du couple : les longs silences, le besoin de rencontrer le coéquipier de son mari qui devient son confident. Tracy Mills, femme perdue dans cette cité cauchemardesque dont elle est doublement victime : d’une part, ses doutes face à l’enfantement, son désir d’avortement et d’autre part, elle devient une victime collatérale de John Doe. Son destin tragique est tout simplement bouleversant.


William Somerset, un personnage passionnant qui n’a plus aucune illusion sur l’humanité, ni sur son rôle de policier. Désabusé, cynique, méthodique, il dégage pourtant une impression de sérénité et de solidité. Une sorte de roc qui parvient à ne pas se faire submerger par les vices de la cité. Son refuge : la bibliothèque, cet îlot de culture et de civilisation. Ce lieu garant du savoir où sont conservés les écrits des plus brillants esprits de l’humanité. Ce contrepoint de lumière, de calme et de sérénité face à la noirceur qui envahit toute la ville.


John Doe, avant d’avoir un nom ou même un visage, ce que l’on perçoit de lui, c’est son œuvre qui nous plonge chaque fois un peu plus profondément dans l’horreur. Car Seven a marqué les esprits par son esthétique de l’angoisse et de la cruauté. Chaque victime, chaque péché est une œuvre d’art de l’horreur présentée à la face du monde, un avertissement : les pêcheurs seront punis. Un serial killer méthodique, manipulateur, sans pitié, cultivé (références aux Contes de Canterbury de Chaucer, à la Divine comédie de Dante, à la Reine des fées de Edmund Spencer ou encore à Thomas d’Aquin). En quelque sorte un « Croisé » du mal qui ira jusqu’au bout de sa démarche.




Car la fin de Seven ne laisse pas de place à l’espoir, c’est un véritable électrochoc. Dans une ville ou domine la noirceur de l’âme humaine, seul le mal peut triompher. David Mills qui possédait encore une étincelle de vie et avait foi en la valeur de son métier, sombre définitivement. Seven, est un chef-d’oeuvre sans concession, à l’image d’une réalité où le bien l’emporte rarement. David Fincher n’est pas un optimiste et Seven en est sans conteste, la preuve la plus flagrante.
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Re: [alinoe] Mes critiques en 2010

Messagepar Scalp » Lun 20 Déc 2010, 20:37

:super:
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Re: [alinoe] Mes critiques en 2010

Messagepar Heatmann » Lun 20 Déc 2010, 23:08

Wahou , super critique , pour un ultime chef d'oeuvre , d'ailleur je fait pas souvent mon bernard pivot , mais quand tu lit ou a lue la divine comedie ( et je concoit que je ca peut rebuter ) ben tu voir sev7en un oeu d un autre oeil , enfin bon moi et dante c'est un longue et vielle histoire d'amour alors ... :love:
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