[Heatmann] Mes Critiques en 2010

[Scalp]

Tout ça parce qu'il y a Cecile De France.

[Alegas]

En même temps, Gran Torino..............voilà quoi.

[Heatmann]

Malgré ta critique, je suis sûr que je vais préférer ce Hereafter à Gran Torino.

ah mais j en doute pas , c'est bien syrupeux , degouliant et surligner au stabylo et appui bien dessus, d'une lourdeur assomante , enfin dans la meme veine et subtiliter que invictus auquelle tu a decerner un beau 7 , du coup jte renvoie ton roll eyes , et toc , re-

[Heatmann]

Harcelés

6/10

Un pti thriller typiquement hollywoodien qui vaut pour les perf d acteur et de solides dialogues , un bonne petite tension pour un film qui parle de probleme de voisinage et de racisme gentillet , le tout moulés dans un scénario prévisible .
Un couple avec une nana black et un mari blanc ( mais noter qu il écoute du rap , la subtilité est enorme ! ) emménage dans une banlieue bourgeoise au dessus de LA , leur voisin , un flic black , maniaque de l'ordre et des règlements , etpis il est raciste , sa femme le trompait avec un blanc , Son obsession devient de plus en plus maladive, et il va mémé commencer a perdre son sang froid et sa raison ... tadada .
Âpres la bouze ultime qu est le remake de wicker man , la bute avait pas d autre choix que d accepter cette commande alimentaire , avec un pitch tout pépère .

La force du metteur en scène c'est le soin qu'il apporte à ses dialogues , vue qu il sont bien gère, doser et écrit , et il le met en avant avec sobriété . Ils sont ici à la fois cinglants et humoristiques. alors ouai le film c'est un pti thriller de second zone vite oubliable , mais c'est bien fait quoi , comme si on te servait une bonne omelette, ca reste une omelette quoi , rien de special ou transcendant , mais un bonne quoi , fait avec précision et soin . Les scènes consensuelles suivent d autre avec plus des réparties bien énergiques qui relancent les enjeux. ca dure presque 2heure et les persos on bien le temp d etre présenter, étoffer, un minimum de personnification , c'est pas mal , du coup on croit direct au perso de sam jackson et le couple est crédible , meme si le coup du pere de la nana et le passer de la femme de jackson c'est super réchauffer et trop facile . une fois les tension poser, l'escalade de parano et stratagème peut commencer, ca devient de plus en plus prévisible sans pour autant trop lasser , ca se laisser voir et divertie surtout grace a sam jackson en grande forme qui s'amuse bien a faire le dingo . la prémisse était plus que prometteuse. Il y a des imbroglios, des affrontements verbaux, une menace qui plombe dans l'air et même des incendies qui se rapprochent dangereusement ..

Tout se prévoit d'avance , les rebondissement sont pas tres originaux et rares sont les scènes qui s'évadent de cet échiquier. Surtout que la fin, encore une fois convenue et beaucoup trop musclée par rapport au reste ( jackson part tres vite et facilement dans le tout ou rien et passe le point de non retour sans trop de jugeotte , ca chute graduellement dans l'hystérie où les invraisemblances se bouscule .
malgré tout , l'intérêt est conserver au minimum syndical , en 2em partie de soirer et si on aime voir jakson en grand mechant loup , ca passe sans prob , pis on le voit aussi un peu faire ca tourner de flic et c est toujour cool le voir en flic , surtout que meme si c'est super fonctionel , la realisation a au moin le bon gout de pas tomber dans le effet gratos ou stylisation , ca reste propre , fluide . Patrick Wilson tient tete a jackson comme il eptu , il est bien fade pis je l aime pas trop , mais bon la en couille mollle justement il le fait tres bien , pis Kerry Washington elle est bien en halle berry avec 20 ans de moin .
Inégal suspense qui ne comporte pas suffisamment de substance pour convaincre totalement , le traitement est loin d'être à la hauteur de son sujet , le theme du racisme est pas trop plomber ca va , sur ce coter ca reste assez soft mais evite les faute de gout . en tout ca De quoi passer un honnête moment devant une œuvre qui aurait facilement pu être meilleure . la psycholigie soigner des persos , la petite description satirique de cette partie de la societe ricaine replier sur elle meme , fond de ce thriller domestique modeste un pti moment bien trousser

[Scalp]

Et Strange Days ??

[Heatmann]

ben j'essaye de faire puis poser mes critique dans l ordre , donc strange days j ai commencer a ecrire un truc mais je suis pas hyper inspirer ni trop de temp pour les review cette semaine , bon j lai vue , c'etait bien , rien a dire , inventif et original , mais pas vue le film genial culte que tout le monde a vue

[Scalp]

Han pas bien ça.

[Heatmann]

ouai ca doit etre peut etre que je m etait trop monter la tete en esperant un chef d oeuvre ou une grosse claque .. desoler pour les fan . mais bon c'est bien quand meme sans dec , mais y a des truc ici et la qui m'on pas trop emballer , enfin j essaye de m expliquer clairement dans mon avis , prefere quand meme hurt locker, euuh et meme k19 meme si ca reste 3 tres bon film quoi

[Kakemono]

Arf, je commencais a m'inquieter de pas voir arriver la critique de Strange Days...
C'est vrai qu'avant que tu le vopis,; avec ma critique et les commentaires élogieux qui ont suivi, tu t'attendais surement a une grosse claque. J'attends ton avis tout de même.

[Alegas]

STRANGE DAYS

7/10

Film a la reputation tres flatteuse , il est pourtant rester assez confidentiel apres son flop pour un gros budget soutenue par cameron pourtant , bon je l'avait jamais vue , et j'en attendais vraiment bcp , surement trop , donc quelque part j ai un leger feeling de deception , mais une fois mis de coter ca , je reconnais que bigelow fait preuve d une belle maitrise de la mise en scnes et articule sont film tres ambitieux autour d'un solid scritp , bien roublard .
Pendant 1heure ca deroute un peu , dans le sens ou le film ne demarre pas vraiment , c'est pa sun defaut puisque pendant cette longue intro on nous presente un grand nombre de personnage , et tous avec leur propre histoire , leur passer, leur demons . et pis il interagissent tous , se croisent . On apprend aussi a connaitre ce monde qui est pas si loin du notre mais dont certaine touche bien subtile et intelligement traiter en font un vrai film d'anticipation sci-fi.


on se demande ou se va nous mener , mais c'est jamais chiant , l'interet est toujour la car on decourvre de nouveau perso et facette de cette societer et surtout la trouvaille du film , la realiter illegal, qui est traiter superbement comme une vrai drogue dur , avec le coter illegal , les dealer , les accros, les difference de marchandise , les nouvos clients , bref c'est une super idees, et pis le plan sequence en vue subjective sont ultra immersif, j'avait l'imagination qui commencait a chauffer , les possibiliter sont enorme, ca laisse reveur !
en tout cas apres un grand nombre d'info a ingurgiter, on arrive enfin au coeur du truc dont on apprecevait des flash parsemer dans la 1er heure . et la c'est un vrai polar bien muscler dans un monde au bord du chaos . un meurtre facon rodney king qu'on grille assez vite , pis une machination pour camoufler ce complot, le puzzle ce met en place, totu en oubliant pas en route les sous-quetes propre a chaque persos et enfin se conclue comme un whudonit punk-rock un peu classic enfait dans l avancement de l'intrigue des indices ect..


j'ai bien aimer l'equilibre entre les partie d action , l'enquete , et la scifi , pis tout ces persos et c'est bien que ca prend son temp de leur donner plein d'empathie , mais bon quand meme , de temp en temp le rhytme en prend un coup et a mon gout certaine scnes et coupe aurait pue rester au montage pour racourcir et condenser tout ca pour rendre , surtout le final qui traine , un peu plus palpitant .
la mise en scnes est parfaitement maitriser et au service du sujet , par contre j ai trouver la prod design bien austere est has-been . alors ok c'est un monde bien noir , on voit que les bas quartier d'un LA pres a exploser, mais bon ca empeche pas que c'est assez ringard et le look m'as un peu rebuter et empecher de completement plonger dedans . de meme que toute la description de jeriko one, un mix entre rodney king et tupac un peu grossier quand meme qui facilite le propos du film , pis le context cyberpunk est aussi un poil de fesse stereotyper .


le cast dechirre, fiennes est transcander , j lai jamais vue comme ca . angela basset est superen femme de poigne au passer qui fait mal , mais bon son perso reste un peu rigide quand meme . juliette lewis est a croquer , moi j aime bien juliette et la on en prend plein les yeux , elle est parfaite pour le role , et bien exitante ! wincott en crapule c'est plus a justifier ou argumenter, c'est le meilleur a ce petit jeu . decut par sizemore , son perso est pas top , pis le twist je le trouve mal ammener et peu credible , pas grave .le duo d onofio et finchtner est froid et super classe par contre .
pour moi ca reste quand meme un bon polar sci fi tenter d action ( on ma vait dit que le film arretais pas a ce nivo et que le final etait un morceaux de dingue , ben franchement j ai rien vue de tout ca, c'est bien nerveux par moment , mais c'est tout ) , pis assez intelligent , c'est bien et rare , mais reste des truc entre les dents quoi . peut etre on peu pas comparer mais prefere largement dark city, ou meme pour la bigelow, hurt locker et k19

[Scalp]

Y a moyen que tu le revois à la hausse à ta prochaine vision.

[Kakemono]

7/10 c'est déjà pas mal. Comme le dit Scalp, la prochaine fois je suis sur que la note augmentera.

[Heatmann]

CASINO

10/10

C'est marrant parce que les critique pro , les journaliste cinéma , a chaque fois qu'ils évoquent marty , ces plus grand films qui ressorte constament c'est toujour goodfellas, taxi driver, raging bull, bon ca me dérange pas car je trouve ces films complètement chef d'oeuvresque et font tout simplement partie de mes films favoris , mais jamais casino n'est citer, alors que perso et pour bcp comme on vient de s en rendre compte avec ce challenge , ben c'est pour moi le plus grand film du bonhomme , son plus ambitieux , maitriser, touffue , bref la crem d un real de legend , c'est dire le statut et le niveau du film , qui aurait comme seul tort d apres ces tete pensante , d'etre trop similaire a goodfellas , sa masterpiece reconnue , so what ? ben ouai , goodfellas est enorme , casino y ressemble , et ca l'empeche pas d'erte aussi et meme plus epique et ebourrifant. il a réembaucher pour Casino, le casting des Affranchis et son scénariste ce qui donne du grain a moudre au detracteur , et pourtant Casino est un des films les plus personnels de son auteur, l’auto-portrait complexe et sincère d’un artiste qui est un amoureux avant toute chose du cinéma.

Casino c'est la 8em collaboration entre De Niro et Scorsese. et C’est aussi a ce jour la dernière ( il avait pourtant proposer a bob le role du boucher dans gony et celui de nicholson de departer en premier, mais bob etait engager sur d autre projet ) Tout le monde sait l’amitié qui lie les deux hommes. C’etait De Niro qui etait venu chercher Scorsese sur son lit d’hôpital pour monter raging bull et aider son pote a ce concentrer sur le cine et laisser tomber la drogue . et quand a bob, il doit tout simplement la renomer de sa carriere a marty , ni plus si moin . Le voilà donc prêt à endosser une nouvelle fois le costume de l’alter ego devant les camera . On comprend donc que Casino va fonctionner comme un autoportrait. ben Rothstein aurait tres bien pu être metteur en scène à Hollywood. sa précision, son charisme, son indépendance aussi , et surtout doublée de son intransigeance en font un membre à part entière de la grande famille des réalisateurs américains. j'extrapole un peu mais dans une interview de marty dans un bouquin qui lui ai concacrer , il parle de se parrallele entre son film sur le jeu et le cinema , du coup faut bien creuser et trouver une nouvelle approche pour cette critique car tout a deja ete dit dans les eloges poster par les autres forumeur .

Le film bien que ce soit une fiction inspirer de fait et perso reel , peut se voir comme une évocation des relations complexe entre les studios et leur subordonnés. au debut tout le monde est ravi de collaborer. et petit à petit, chacun empiète sur le territoire de l’autre, apportant du coup ainsi méfiance et rancunes. Scorsese marche en terre connue , il va construire tout son film sur les manquements de son héros. ben Quand Rothstein décide de mêler sa vie privée et les affaires du casino , c'est la que le bateau va commencer à prendre l’eau. c'est comme le tournage de NY NY qui fut cahotique a cause de sa relation avec minelli ou celui de kign of comedy interompue par les desintox de marty..
on voit deniro a la fin qui apres que tout ceux qui on de près ou de loin touché au Tangiers seront éliminés impitoyablement jusqu’à Ginger, pourtant redevenue anonyme dans une déchéance , il est revenue à la case départ, La parenthèse seventies enchantée et vénéneuse laissera à coup sûr un goût amer. tout comme mart a cette epoque , il est d ailleur bien placer pour savoir que les années 1970 furent pour le cinéma américain indépendant un âge d’or. et la quote de sam qui parle de "cette ville qui ne sera plus jamais la même. Après le Tangiers, les grandes compagnies ont tout raflé.... Maintenant, on dirait Disneyland. , les promoteurs ont démoli tous les vieux casinos. Comment ils les ont financés ? Par des magouilles financières . Et la c'est encore plus Difficile de pas entendre Scorsese décrire ce qu’est devenu Hollywood ! ouch !

On peut au final donc considérer à juste titre que Casino est un film-carrière, une allégorie de toute l’œuvre de Martin Scorsese, et de sa vie . les thèmes abordés sont chéris par le mec : mafia, grandeur, trahison, lutte du bien et du mal. Casino se déploie avec majesté sur 3 heures , et est un feu d’artifice permanent, une leçon stylistique magistrale et subjuguante. . Pain béni pour Scorsese , un sujet idéal, un scenariste complice , plein de recherche et temoignage des mafieux de l epoque toujour en vie ( bcp apparaissent dans le film d ailleur ) plus démesuré et flamboyant que goodfellas . La séquenced'intro donne le ton direct à une saga pharaonique, littéralement , et de facon tres demonstrative par les fragments des néons multicolores et hypnotiques. Ce sublime montageavec Saul Bass sur fond de Passion de Saint-Mathieu de Bach, donne le ton de l opera baroque dont on va etre temoin
bon , bcp au trouver le message christique et la metaphore evidente , du coup apres vous avoir lue et mater le film c'est vraiment pertinent , Le choix de Bach semble lourd de signification . Sam est Lucifer, l’ange qui voulait briller plus que Dieu, et son orgueil a fait chuter . Nicky l’homme de main prêt à tout, pourrait être Judas, le traître . et Enfin Ginger en grande pute de Babylone . La ville elle-même n’est qu’une métaphore de la tentation et est meme referecencer comme ca dans les dialogues. la parabole religieuse jetée en parralle par Scorsese est un élément crucial du film.

L’arme principale du réalisateur reste néanmoins une mise en scène faramineuse, à l’image de l’univers sans concession qui est decrit. vegas c est oo much , cliquant , donne le tournie , et casino aussi , il est on fire et montre tout ce qu il sait faire , Casino est un acte définitif qui confine au sublime grâce aux prouesses d’une équipe technique et artistique de premier ordre . et oui tout les mec impliquer donneron le meilleur d eux meme : Rita Ryack aux costumes, c'est un delire ! les costume de bob dechire, totu le monde est super saper et en corresponsdance a leur perso , Robert Richardson à la photo est tres reconnue , la il fati un boulot monstre, Dante Ferretti aux décors est aussi a pas oublier, pas facile de prendre le vegas actuelle et le faire passer pour celui de 70., Thelma Schoonmaker au montage a du gerer des tonnes d angle , de rush , pff , le montage est exemplaire , on s en fout , mais que casino n'est rien recut au oscar prouve le manque de credibiliter de l academie de blaireau . Las Vegas brille de mille feux, ou de toute la noirceur contrastée de ses ruelles les plus glauque, le film possède un parfum immédiat de véracité, on y croit d'entre , a tout , le monde, pes persos , leur mode de vie , leur facon de parler ainsi que le suggèrent les séquences quasi-documentaires où Santoro décrit en voix off le chemin de l’argent, de la poche du client gogo à la mallette destinée au Syndicat des camionneurs . le noyau de la pègre qui a infiltré le circuit des casinos, en passant par les arrières salles et les coffres-forts de façade.
pareil pour le montage du code de la pute de stone pour bénéficier de son impunité. pis la celebre scene des tricheru , a travers 3 séquences imparables de fluidité, Scorsese plante son décor, ses acteurs, son intrigue. Cette maîtrise scénaristique s’appuie également sur l’utilisation de la musique qui ponctue presque intégralement le long métrage. alors reussire a mixer a la perfection un script en beton , des dialogues de ouf , uns voix off enorme , un montage a tomber par terre, et plein de perso et de peripetie dans un grso truc touffue , dense mais super fluide et prenant , donne un resulta qui impose l admiration qui est bercer par du blues ou du rock, et chaque scène trouve son propre rythme grandiose, intimiste ou dramatique . souvent le texte des chanson exprime aussi le fond de la scnes en question , et le tempo donne le rythme des action illuster

La violence, autre thème récurrent , hurle ici sa démesure ultime en Joe Pesci qui contraste avec le professionalisme froid de deniro . Perdue entre les eux, mais pas épargnée par la fièvre ambiante, Stone compose l'une des performances féminines les plus inoubliables de l’histoire du cinéma . carrement. Sublime à chaque plan, dévoilant une palette d’émotions insoupçonnées et véritable moteur sensible du film .je parle meme pas des autre ni de bob car on a tous admirer ces acteur de geni au meilleur de leur performance diriger de main de maitre par un des plus grand cineast de l histoire qui est toucher par la grace .

[Scalp]

Et bein tu déchires tout là.

[Waylander]

Sérieux je me suis chie dessus pour ma critique. J'ai rien lu de vous mais quand je vois la masse et quelques lignes lues comme ça en diagonale je me dis que je vais pas apporter grand-chose mais au moins je sais pas trop ce que vous dites dessus donc je suis pas influencé. Par contre j'ai lu les questionnaires et clairement Casino ça fait l'unanimité.