Sympathique et profondément meilleur que le premier du nom bien trop enfantin avec des acteurs insupportables (qui le sont moins dans la suite c'est déjà ça) , et un univers dont le traitement tout niais n'arrangeait rien. Là c'est plus sombre, plus mature, plus dense, plus complexe et violent mais il reste toujours le côté léger pour les gosses ; cependant lje le considère mieux "géré" : ça ne dégouline pas des tonnes. Reste des perosnnages clichés, un traitement un peu manichéen (mais c'est rattrapé par quelques notes plus ténébreuses comme l'intro du film, la scène du siège de nui et le duel).
Les SFX sont vraiment biens, l'univers est plus riche et c'est un Seigneur des anneaux pour 4-10 ans qui se profilent sous nos yeux.
Il y a tout de même un hic: la bande originale pompée sur Kingdom of Heaven (bon c'est le même compo mais bon voilà quoi).
Bon ça reste un diverttissement qui en envoie pleins la proche, c'est de la pur high fantasy pour môemes faut pas chercher plus loin mais là faut quand même noter l"évolution de la saga.
Bon les acteurs sont mieux que dans le premier mais ça reste ultra fade , c'est pas super exploité niveaux protagonistes et c'est dommage que tout soit trop beau, trop jeune et acteurs beaux gosses avec super coupes fashion quoi. genre Eragon la pire daube qui soit dans le genre.
Enfin sinon ça trahit apparemment pas mal le roman et on sent bien trop l'inspiration sur la trilogie de Peter Jackson. N'empêche que ça donne un film mieux filmé , joué et conté que le premier. Tout ça reste formaté et pour mômes de nos jours on a vu plus original, plus couillu, mais dans le genre bon ça reste un peu le seul film high fantasy vraiment pour mômes/ados.
Bon. Ça va être très difficile d'écrire une critique sur ce film. C'est très volubile (pas une seule scène silencieuse dans le film) et la qualité d'écriture est tout simplement exceptionnelle : les dialogues sont souvent rapides, bourrés d'anecdotes, d'humour de tout horizon et le débit est hallucinant. C'est parfaitement maitrisé et afin de ne pas s'ennuyer Fincher opte pour le dialogue "croisé" : un même discours par deux personnes différentes (parfois plus) dans deux scènes différentes et à deux moments différents. Le rythme est décapant sur ces passages et on pense inévitablement au film d'Oliver Stone : JFK. The Social Network ambiance les incroyables scènes de dialogues par des effets sonores/musicaux qui intensifient clairement le sujet. La bande originale déchire et tout est utilisé très intelligemment.
Que dire de la photographie encore excellente , très sombre (90% du film est souvent dans le noir et la nuit) et niveau mise en scène on pensera bien évidemment à Zodiac pour la sobriété dont fait preuve Fincher depuis 3 films.
Les acteurs sont tous formidables et c'est un film d'une classe presque enivrante qui nous fait face.
Jesse Eisenberg est parfait dans son rôle de NERD solitaire, désinvolte et faussement hautain mais très très malin, intelligent et à la répartie grinçante et franche. un personnage intéressant (la thune ne l'intéresse quasiment pas) et dont la résonance sur toute une génération de mecs comme lui va en captiver plus d'un.
L'acteur de Boy-A Andrew Garfield prouve encore une fois son immense talent et c'est clairement un acteur à suivre de très prêt. Seul ami de Mark son personnage est plus matérialiste, plus opportuniste mais aussi plus sociable, plus à l'aise dans ses pompes mais très intelligent. Il connait ses limites, alimente une conscience assez honnête tandis que Mark est plus détaché du monde et se fout royalement de beaucoup de convenances. Lui court après la thune tandis que Mark veut prendre sa revanche personnelle : pas sur son ex petite amie mais une revanche sur la vie, sur son style de vie, sur sa misérable existence solitaire qui ne veut jurer que par une reconnaissance.
Le film est une véritable boucherie intellectuelle : par ses dialogues, ses acteurs jeunes et talentueux habités par leurs rôles d'étudiants ingénieux mais aussi par la critique subtil des grandes écoles/universités comme Harvard etc...avec sont lot de beaux gosses sportifs à la recherche du "toujours plus haut, toujours plus fort", leurs codes et leurs valeurs élitistes et prétentieuses à la limite de la secte : c'est par ce type de personnes que Facebook a été alimenté très rapidement en profil. Des gens pour qui le salut se trouve dans le fait d'avoir des milliers d'amis, de connaissances, de relations etc... Des gens au-dessus de tout mais qui se rabaissent inconsciemment dans des soirées dépravées et des envies futiles.
C'est d'ailleurs dit dans le film : Facebook est surtout créé de manière a attirer du monde avec le fameux statut "célibataire" ou pas. Le sexe restera le maitre mot. Les femmes. Les mecs les matent via leurs profils et peuvent les noter : c'était le but de facemash, sorte de brouillon du futur facebook.
Le film est aussi (et surtout) l'histoire d'un mec "seul" et qui finira seul comme ce putain de dernier plan évocateur de toute une génération d'internautes vivant une double vie: la réelle et la virtuelle. Cette dernière se résume simplement et Fincher l'évoque ne un plan : un mec seul devant son pc qui demande en amie une femme qu'il ne niquera jamais et le mec actualise et actualise et actualise pour voir si la fille l'accepte. Voilà le funeste destin d'un homme qui créa un réseau social gigantesque. Voilà tout simplement le destin de plusieurs millions de geeks, no-life ou autres. Le net ne rapproche pas. Il éloigne encore plus les gens. Jusqu'à la séparer. Mark:son ex puis Mark/Eduardo puis Mark/les Jumeaux et ainsi de suite...
Le film n'évite pas les classiques du genre; l'argent qui corrompt, l'opportunisme, l'amitié fragile, notre génération basée sur l'apparence et les relations sociales qui prennent trop d'ampleur et d'importance etc...
Fincher réalisait en 1999 un putain de film générationnel coup de poing avec Fight Club et avec The Social Network il signe LE film de notre temps et dresse en 2h toute une époque de vie virtuelle, de frustration personnelle, de débauches et de capitalisme. Une sacré critique du monde d'aujourd'hui porté par un réalsiateur de génie, des acteurs impliqués et plus qu'excellents, une ambiance et une photo hypnotiques et un sujet porteur, passionnant et dans l'air du temps. Le parallèle sur notre jeunesse à qui tout est offert : l'opportunité de créer facilement un mouyen de se faire rapidement de l'argent avec un maximum (forcément) de bonne volonté, de motivation, d'ingéniosité. Google, Facebook, Microsoft, Apple etc..mais tout ça n'est que poudre aux yeux. Ne reste que l'envie de réussir : pour s'affirmer, se faire reconnaitre, se prouver quelque chose. S'entourer. Et tout rater. Le thème musical principal du film explore parfaitement cette solitude mélancolique portée par le personnage central dont le jeu de Jesse Eisenberg mérite direct un oscar.
Je regrette de ne pas pouvoir poster d'image convaincantes car sur le net je ne trouve rien et je ne veux pas le télécharger en cam pourri juste pour ça. Plus tard peut-être à la sortie du br/dvd.
Je ne m'attendais vraiment pas à cela. C'est d'une maitrise totale (le montage est out bonnement exceptionnel), une sobriété raffinée et classe. Un vrai film. (reste une scène où Fincher nous rappelle qu'il vient de la pub : celle de la course d'avirons : la seconde, la compétition où le rythme, le visuel, les effets de styles et le reste s'excitent à mort j'ai trouvé ça décalé et inutile mais c'est maitrisé quand même).
Adaptation assez fade du roman de HG Wells, ce film n'en reste pas moins "violent" dans le traitement de plusieurs thèmes : la science et ses limites ainsi que des déviances, l'instinct animal confronté à la conscience humaine etc...
Le docteur Moreau y est brillamment interprété mais peu exploité mais le personnage possède de bonnes répliques pertinentes mais Burt Lancaster quant à lui est vraiment pas bien dans ses pompes. Je ne le trouve pas crédible dans ce film et ne lui trouve pas une interprétation plus impliquée que ça aurait du l'être. la réalisation est banal mais le ton est adulte et une partie de la fin est très violente : (notons cette bataille entre les humaines/créatures et les vrais animaux : on croirait un vrai fight entre tout ce petit monde et parfois on se demande comment le réalsiateur a pu gérer tout ça : on voit un vrai tigre se battre contre deux mecs, un léopard se faire courser par un homme-loup ; une hyène effrayé sur le champ de bataille etc... ca du demander un paquet de thunes et d'organistiosn tout ça comme le film "ROAR").
Enfin bref, c'est fade visuellement, la forme est pas chiadée, les persos sont pas mal mais ça manque d'envergure, d'implications, ça a été fait a l'arrache je pense et la fin est très expéditive. Néanmoins ça reste assez pessimiste mais l'histoire d'amour entre la femme set à rien et plombe le film 2-3 fois. D'ailleurs la jaquette dvd des Introuvables de la Fnac illustre très mal le film c'est une affiche bien mito.
Bah l'affiche que j'ai mis elle tue je trouve et pour le fight final ça vaut le coup j'avais jamais vus ça avant dans un film mais tout ça c'est qu'une histoire de montage comme dans "Deux frères" où un simple jeu -avec des passages accélérées- passe facilement pour un gros combat.
Mais ouais les 6-7 dernières minutes avant les 2 min de fin sont vraiment intenses, violentes (dans un sens mais ya pas de jet de sang et tout quoi).
Étonnant dessin-animé boudé en salles et en dvd mais devenu culte. Brad Bird aux commandes, on ne peut être que confiant avec cette histoire très simple voir même vue et revue mais qui fonctionne toujours à merveilles (on pensera notamment à ET : d'ailleurs , ce dessin-animé aurait très bien pu être réalisé par Spielberg car la quintessence des thèmes de son cinéma années 80's s'y trouve ; la partie SF, l'enfance, la perte de l'innocence (ici ça concerne plus le robot que l'enfant), l'amitié entre un gamin et un être venu d'ailleurs, la mère veuve donc un repère paternel en moins pour l'enfant, l'époque : bombe atomique, guerre froide (Spielberg est plus encré dans la seconde guerre mondiale mais les thèmes sont les mêmes: la technologie dévastatrice, la peur d'étranger, la course à l'armement tout ça est lié et j'ai donc énormément pense au travail de Spielberg pendant le film).
Bref, le style et la forme sont simples mais ont un charme indéniable et l'aspect graphique rappelle la sf à l'ancienne avec un robot fait de simples boulons et un aspect rétro-futuriste. (j'ai même pensé à King kong pendant le film pour le final avec les militaires, la petit ville, le robot tenant le gamin dans une main etc...). il y a par moment (surtout dans les bois et lors de certaines vues d'ensembles un effet pas déplaisant de relief et il ya quand même un bon boulot : par moment on dirait de la 3d. On est pas juste entrain de regarder un dessin "plat" mais vraiment quelque chose d'un peu plus immersif.
On évite les chansons niaises de Disney ; on suit une hsitoire qui fonctionne, qui touche, des personnages sympas (dont l'artiste dans sa casse perdue) et la touche d'humour fait agréablement sourire. C'est loin d'être vide : on a droit à pas mal de thèmes récurrents de la SF des années 50-60 et ya des petits parallèles sur la peur de l'autre, la guerre froide et un court passage sur Spoonik, la peur de l'insécurité etc...ça c'est pour la toile de fond et le vif du sujet c'est bien plus l'enfance, la perte d'innocence, presque un quête initiatique de ce robot qui ne se connait pas et ne contrôle pas ce pour quoi on l'a conçut. Une amitié profonde entre deux êtres que tout oppose (encore une fois c'est surtout pour imposer l'idée humaniste qu'il n'y pas de barrières entre deux personnes issus de deux mondes différents ce qui renvoie aux conflits terrestres de notre propre espèce séparés en pays, frontières et totu ce que cela entraine d'où guerre froide climat de tension palpable et dangereux d'une époque de folie et de paranoïa).
Le film n'en perd pas moins une légère poésie (vite rattrapée par la réalité...où le robot se retrouve face à ses propres sentiments : la tristesse et la colère qu'il ne contrôle pas)
Malgré tout cela le film est court et aurait pu mérité plus de profondeur mais en soit le résultat final explose énormément de concurrents dits "de qualité" qui ne sont pourtant que très formatés mais ceux-ci sont par contre plus profond, plus travaillés, plus de moyens aussi faut l'avouer.
La fin les auteurs auraient du s'arrêter au gamin dans on lit entrain de dormir et la pièce entrain de clignoter et sortir du carton et sorti par la fenêtre mais sans que le gamin se réveil et sans les plans des membres en Antarctique...ça fait trop happy-end genre le robot n'est pas mort et je trouve ça un peu trop convenu.
Divertissement sympathique, faussement violent (les gerbes de sang rouge vifs...mais par contre il n'y en a finalement pas tant que ça et le numérique n'est pas tant grillé non plus), très rythmé, survival/péplum brutal (de nombreux combats) mais porté par un scénario minable, des personnages inintéressants (et ce n'est pas la voix-off pompeuse qui changera la donne)et une réalisation quelconque (enfin j'entends par là que pour ce genre de film la réalisation est basique et ne tente rien de très original et se contente de livrer un boulot correct mais sans plus) qui pompe un peu partout (les très nombreux plans aériens des légionnaires entrain de courir dans de sublimes paysages ça vous fait penser à rien? en soit c'est pas Peter Jackson qui inventa ce genre de séquences mais dans Centurion c'est surexploité à mort et ya des plans c'est la copie conforme de certains de la trilogie du Seigneur des anneaux. Les combats à la Ridley Scott, une ambition qui se veut similaire à celle d'un Gladiator, la photo qui ressemble au combat d'ouverture de Gladiator mais c'est quand même moins tout public ce Centurion etc...).
Bon niveau intrigue je me demande encore à quoi servait ce faux personnage de femme-louve au côté mystique alors que c'est sous exploité, je m'attendais à un background plus étoffé. L'actrice n'est même pas iconisée plus que cela et son perso fait jamais peur et ne met jamais la pression. Limite écrit à la va-vite, ce Marshall ne peut pas rivaliser avec son chef d'oeuvre : the Descent.
Bref, ce Marshall est un pur objet distractif, il fait bien son taff mais ça vole pas super haut. Des mecs courent les 3/4 du film et on a jamais vraiment l'impression d'avoir vu un film sur le destin tragique de cette 9ème légion. Et Centurion bénéficie en plus d'une fin de merde. Bon la présence de Fassbender est top : sorte de Viggo Mortensen en plus jeune mais au parcours pour l'instant similaire dans les rôles. Un film presque vide et cliché mais jouissif.
Deux films que j'ai bien envie de voir Le géant de fer je suis toujours passé à coté car j'ai jamais croisé son chemin ni à la TV ni en DVD en magasin... pourtant j'aime bien Brad Bird
Le géant de fer je l'ai vu ce week-end et j'ai vraiment bien accroché . Très sympa avec de nombreuses références (King Kong et superman étant les plus flagrante).
Pour la fin je suis d'accord mais je dois avouer que d'un côté
On s'attache tellement au robot que j'étais content . Ca fait un peur fleur bleue mais j'ai trouvé le film très immersif et vraiment sympa
La mer devient une rivière. Le requin devient le piranha (au pluriel). Le traitement est quais identique avec quelques scènes très pompées comme le final genre station balnéaire champêtre avec attaque sur des enfants qui joue sur des bouées (dans c'était vers le début et c'était qu'un seul enfant) ou encore les personnages assez développé comme dans Jaws (mais celui-i a plus de profondeur et d'envergure sur ce plan) et Piranha est entouré d'une légère aura post-Viet-Nâm teinté d'écologie et de critique directe de l'armée et de la science. Jaws avait droit à une scène qui faisait un parallèle sur le bombe H et l'Indiannapolis. Ce genre d'éléments ajoutent un intérêt à ce genre de films et c'est souvent la même chose, le même fond mais c'est quais devenu inhérent au genre. Malgré cela il y a pas mla de daubes de nos jours qu ine développent pas les perosnnages(qui sont de plus ne plus de simples teen-geek attardés) et c'est vraiment le genre de films qui va se perdre m'est d'avis. d'ailleurs au ciné ça se fait quasiment plus. On notera une scène d'intro dans l'esprit de celle de Jaws mais en carrément moins efficace. Faut être clciar: le film de Joe Dante n'arrive pas du tout à la cheville du travail de Spielberg. Piranhas ne fait pas peur, ne met pa mal à l'aise et n'a choquer personne finalement. C'est surtout la scène finale mouvementée et bruyante (les cris, les éclaboussures, un peu de sang, la zizanie parmis le baigneurs , les blessures mais on voit presque rien)
J'ai cependant des petits points à faire remarquer :
Le film n'est pas si violent que ça. On ne voit quasiment rien de tout le film et à part la scène , la grosse boucherie finale sur les gamins , visuellement on voit quand même que dalle. Je m'attendais à plus de gore, plus de trucs choquants.
Les piranhas ne sont pas assez iconisés à mon gout et la douleur que ressentent les victimes bah nous on la ressent pas comme on pouvait ressentir ça dans Jaws...Le bruitage utilisé lorsque les Piranhas attaquent c'est au choix : c'est culte ou c'est ringard. Je suis entre les deux.
Sinon c'est assez bien joué, c'est pas expéditif, ça prend le temps de discuter, de parler du fond, les explications sur les Piranhas et la réalisation est correct mais rien de transcendant non plus. Notons une créature façon Harryhausen au tout début et c'est d'une utilité tellement importante que le réalisateur insiste dessus plein de fois et au final on la reverra jamais et elle n'aura servie à rien. La montrer une foi ok mais là on la suite, on l'aperçoit qui obersve les personnages, il leur arrive un truc, et on la revoit etc..puis d'un coup elle existe plus on ne la revoit plus. J'ai pas capté le truc. OK ça vient des expériences mais pourquoi insister dessus comme ça? On avait déjà vu le truc dans l'aquarium et les explications du mec suffisaient amplement.
Bon je trouve ça loin du culte qui l'entoure. De toute façon dans le genre, Jaws, Rogue après ya pa trop d'équivalence ou de films susceptibles de faire face à ces deux-là.
5/10
(le film en pâti à cause de la réal pas super inspirée, l'ambiance pas travaillée, pas vraiment de tension, de la violence pour pucelle quand même etc... tout l'inverse de Jaws quoi).
J'ai pas dit que ça faisait l'apologie de l'écologie mais dans le film ça en parle. C'est donc en avance sur son temps quoi. Et sinon, tu remarqueras que c'est l'armée qui fuck l'écologie parce que les autres ils veulent pas envahir la rivière d'un produit toxique mais de toute façon ils ont pas le choix et le suspens final sous entend que les Piranhas sont pas morts et qu'ils ont rejoins l'océan...
waylander a écrit:J'ai pas dit que ça faisait l'apologie de l'écologie mais dans le film ça en parle. C'est donc en avance sur son temps quoi.
Heu... L'écologie, ça fait un sacré bout de temps que ça existe, quand même... On a surtout vraiment commencé à en parler à la fin des années 60 (même si le discours écologiste existait préalablement). Au ciné, notamment, des films comme Silent Running ou Soleil vert, abordaient frontalement la question.
Certes, dans Piranhas, c'est moins l'enjeu écologique de fonds (où va le monde ?) qui est en jeu que le comportement de certains (les méchants pollueurs irresponsables). Mais là encore, la thématique de l'armée qui fait n'importe quoi avec l'environnement au point que ça créée des monstres terribles, c'est dans les années 50 que ça commence (Them ! par exemple).
Le tout pour dire que je n'ai pas eu l'impression que Piranhas innovait beaucoup, tout de même, au niveau du récit : il s'agit d'un film de série, comme on en tournait beaucoup, quasiment à la chaine, dans le genre.
Oui tu as raison Cela dit j'ai pas mis Piranha sur un piédestal non plus par rapport à l'écologie j'ai juste dit que ça en parlait. Et ça fait quand même que 10-15 ans que l'écologie c'est devenu important et bien mis sur le devant de la scène. C'est comme pleins d'autres sujets: ça existait déjà depuis un sacré paquet d'années mais il aura fallut tout ce temps pour déclencher vraiment le processus. Mais sinon je suis d'accord, l'armée, les monstres et l'écologie ça existe depuis des lustres au cinéma. rien que Godzilla c'est le parfait exemple.
waylander a écrit:Oui tu as raison Cela dit j'ai pas mis Piranha sur un piédestal non plus par rapport à l'écologie j'ai juste dit que ça en parlait. Et ça fait quand même que 10-15 ans que l'écologie c'est devenu important et bien mis sur le devant de la scène. C'est comme pleins d'autres sujets: ça existait déjà depuis un sacré paquet d'années mais il aura fallu tout ce temps pour déclencher vraiment le processus. Mais sinon je suis d'accord, l'armée, les monstres et l'écologie ça existe depuis des lustres au cinéma. rien que Godzilla c'est le parfait exemple.
Cela dit, c'est vrai qu'on a beau en parler depuis des lustres, ça n'est vraiment rentré dans les préoccupations (et encore) que depuis peu de temps... Jusque là, on n'en parlait qu'en science-fiction, ça ne concernait pas vraiment le présent...