Braveheart de Mel Gibson
Un bonne épopée porté par le charisme Scottish de Mel Gibson qui n'échappe pas à quelques longueurs et facilités mais qui dans son ensemble délivre un message de liberté bien barbare.
Tout la première heure est véritablement impeccable des prises de vues en hélico de ses superbes paysages écossais porté par la cornemuse de la B.O. de Horner avec une histoire d'amour et de vengeance simple mais authentique, il faut souligner que le gamin joue incroyablement bien, après quelques passages de bonne humeur communicative la tragédie est lancé avec un viol qui se transforme en attaque de village sanglant et marquant.
Par la suite le film est moins convaincant enchainant deux grandes batailles qui se ressemblent alors oui c'est sauvage la première fois mais au deuxième coup ça n'a plus le même effet ensuite le film tente d'approfondir son histoire par des intrigues de couloir et complot mais ça reste très basique porté par des second rôles pas toujours crédible ou pas très bien écrit entre le roi d'anglettere qui se croit plus malin que toute le monde, son fils gay et sophie marceau qui a beau pleuré mais reste toujours aussi fade et va forcement tombé dans les bras de Mel.
Ce que je reproche au film c'est que ça soit très téléphone (le petit copain du prince qu'on balance par la fenêtre) ou très appuyé comme tout ces ralenti à la fin annonçant clairement par sa mort christique le rapport tordu que Gibson à la violence. Le film reste quand même bien prenant, j'ai apprécié le jeu du fils du lépreux vraiment intense, l'ambiance générale et la présence imposante de Mel Gibson.
8/10