L'IMPASSE
10/10
Pas juste un trang grand polar , bien plus qu'a magnifique film noir, ca va au dela du thriller dramatique , depasse sont statut de film de gangster tragique , c'est tout simplement un veritables chef d'oeuvre de cinema dans chacun de ces domaine. 10 ans apres scarface , le trio pacino/depalma/bergman se retrouve pour une sorte de suite officieuse de ce que tony montana aurait pue devenir .
sauf que bien que je voue un culte et un amour infinie a scarface , la sur carlito , c'est bien plus tenebreux car le recit est profondement realiste et que tout le monde donnera sont meilleur et livrera pour depalma , son meilleur film aussi bien en terme de pur realisation et aussi en narration et equilibre , et donnera a pacino l'un de ces plus beau role , dans l un de ces plus beau film , une prestation magistrale .
le prologue en noir et blanc place direct le film sous le signe de la fataliter et de l'ineluctable .pacino laisse rien au hasard , tout est preparer et les apparence compte . sa barbe pour definir son ethnie et l afficher , ces vetment noir , et en cuir , les chemise bien ouverte, comme si il etait encrer dans l'epoque post prison d'ou il venait . De palma reconnnait que la voix off omnipresente de carltito est un mechanisme classic du film noir ( la reference a bogart est pas anodine ) . il est plus inspire que jamais au niveau de la mise en scene avec des plans memorables, et des cadrages encore plus oses et anti academiques. ca real est toujours tres etudie, jouant beaucoup avec les bords cadres ainsi que les arrieres plan, et ca a ete deja dit , en employant magnifiquement le procede Hitchockien du climax, etirant jusqu'à plus soif son suspens (la sequence de l'ascenseur qui rappelle celle de Pulsions) .
il fait un peu de l'impasse un film sur les regards, c'etait evident dans le trailer d epoque , et en y regardant de plus pres, c'est vraiment une thmetique que le brian a develloper sur ce film . pacino et penn joue des lunettes , nombreux paln sur les verre de plusieur perso, les reflet , les yeux , les regards . Carlito ne vit que par ce regard intense ( sous la pluir a mater gail , sur le pas de sa porte ) , profondement triste sur le monde qui l entour sauf sur la courese final sur le quaie de la gare . les malfrat on des lunette noir , il se cache , alors que kleinfeld laisse passer son regard derrier ces verre medicaux pour mieux tromper . C'est aec se rapport de force que pour un temp seulement , carlito domine son petit microcosme comme par exemple son regard panoramique sur sa boite de nuit .
Depalma enfille les gradn scnes et moment tres touchant et intense avec une aisance et une coherance folle , entre une intro dans la tribunal tres demonstative ou la gestuel de pacino fait le boulot et bien mit en evidence , la camera est souple , ample, les dialogues resonne , puis une scene de fusillade meemorable dans l’arriere salle d’un bistrot qui concluait la partie de billard devenue culte , la on vire sur un film plutot noir ou les personnages prennent le pas sur l’action . on a aussi une magnifique histoire d amour au millieu et Quant au climax dans la gare , c’est de la haute vole : un moment d'anthologie, virtuose , une fillature de 15 minute halteante et muete , une chasse a l’homme comme on n’en voit plus aujourd’hui , qui vous tord les bouillot. en temp reel , intense, on perd rien de l;action , de la tension , de l'urgence , une de spiece maitresse de l'oeuvre depalmiene .
Le tout mixe sur un scenario peaufine a la virgule pres qui est L'occasion pour DePalma d'arborder de nombreux themes autre theme qu on trouve souvent chez lui et qui ici cre une vrai mytholigie , une realiter plein de detail et de passion tels que l'impossibilite de changer veritablement, le passe qui ressurgit inevitablement, le code d'honneur des truands appris dans la rue, l'amitie, la trahison. C'est riche et bien que partant d'un pitch bien connue c'est a chaque instant interessant et ce meme apres de nombreux visionnage, grece a d'excellents personnages , des acteur en or et a un tres bon scenario, ecrit comme une vraie tragedie donc.
Mais le film est aussi d'un grand romantisme, affichantcomme je le disait une des plus belles histoire d'amour pourtant fragile. Cette relation culmine evidemment dans l'ultime scene poignante et bouleversante , putain a chaque fois on croise les doigt et espere que benny blanco et pachanga se soti tromper de quaie . Ce qui est tres tres fort puisque le film s'ouvre sur la conclusion et que tout le film n'est que les dernier souvenrir de carlito , ce qui fait du film une marche funebre , une ligne a haute tension, illustrer par pacino qui ne caisse de courir et marcher d'un pas rapide au quatre coin du film sans relache . le film doit sa noirceur fasciante par ce recit fermer ou tout est joue d'avance et qui construit ce climat anxiogene, . Pourtant, des lueurs d'espoirs il y en a de tempt en temp et elles viennent percer cette chape de plomb mais, a chaque fois, le destin et le passif de criminel de Carlito se rabat sur lui.
oui oui qu on se le dise , carlito's way est un authentique et exceptionnel chef d'œuvre, maitrise d'un bout à l'autre par une realisation exemplaire et des acteur sublime et le tout animer par la superbe composition de Patrick Doyle, qui apporte un pti coter operatique et tragique determinant dans l'apprehension emotionnelle du film. top 10 voir meme 5 pour moi et s'affirme comme tel de plus en plus a chaque visionnage .
.