LA RAFLE
3/10
Putain c'est long mai j ai l'impression qu il fallait que je me justifier d avoir trouver le film presque totalement imbuvable et grotesque , pourtant J'y allait vraiment de bon cœur , plein de bonne volontiers , j'aime bcp de film qui parle de se sujet, cette époque , français ou autre peut importe , j'ai pas de réticence particulière avec le cine frenchy . j'hésitais pour la notation de toute façon bien subjective et toujours perso , mais au final j ai trancher et ce sera 3 , comme pour le eastwood sur mandela, car le deux film sont proche pour moi , c'est a dire des sujet qui sont passionnant , prenant , fort , puissant , sur le papier et en reel , et au vue des talent impliquer on est en droit d'attendre un traitement adulte et sans concession , hors ces 2 film se révèle être des gros pensum démonstratif qui laisse un affeux gout , les bon sentiment formater et trop naive se conjugue sans émotion avec l'horreur des propos.
alors oui le fillm a des intention tres louable et peut etre trop ambitieux pour le 1er fillm de la réalisatrice . rendre hommage aux victimes françaises de l’un des plus grands crimes contre l’humanite et temoigner de ce drame .... la real et son producteur de mari arrive apres que deja bcp de film ai traiter du sujet avec énormément de talent et de reussite , c'est donc avec bcp de courage et de couille qu il fallait livrer un truc au moins aussi réussi . trop ample , trop amitieux , pas assez de subtiliter , elle evite jamais aucun ecueil inherent du genre .
Bien sur, un film ultra didactique, bourrer d'anachronisme , mal documenter et qui tourne quelque fait a son avantage pour servir son propos n’est pas nécessairement incompatible avec une reflexion esthétique et cinématographique . la , Force est helas de constater que le film est plomber dejas par la pesanteur de la reconstitution, et empetrer dans une certaine raideur démonstrative. avec tout de même un poil plus de reussite , le moyen l'armer du crime évitait pas non plus les meme faux pas et le vouloir dire .
le film est jamais original , il applique les recettes de ses prédécesseurs sans une once de personnalité , tu roule des yeux tout du long et a la fin c'est juste un enieme film de plus sur le genre . Du coup, chaque scene de cette Rafle donne l’impression d’avoir deje ete vue mille fois, et pis semble renvoyer qu’a d’autres images, et pas au drame historique qu iles essayen de reconsituer. bon au nivo logistic c'est du grso budget , avec la reconstitution d epoque, les decors , les costume les figuration ect c'est presque trop lisse , ultra academique , terriblement scolaire , tout est a sa place, rien ne dpasse, rien ne vit ni ne vibre, pas d ame. les violons jouent au moment ou ils faut , jean reno est toujour auissi mono-expressif et déblatère son texte en articulant bien tout les mot comme un gentil eleve , melanie laurent fait la meme chose a chaque film , et a l'air de la faire chier d etre la , ils jouent role avec une application un peu laborieuse
La construction du film est binaire et prévisible . on se tape une intro genre pud knaki herta avec l’insouciance des gamin et les scenes de bonheur domestique terriblement cliches,et puis arrive la fameuse rafle et la lente descente au enfer le tout lourdinguement appuyer par la bo de phillip glass peu inspirer
on pourrI comprendre que la rela veuilel s attarde rsur le sort poignant des gamin , mais putain un peu de subtilité . ils on tous des bouilles adorables , un tentiniet exagerer sur le coter mignon genre le chat dans shrek qui fait ces yeux qui pleure et le choix d'epargner a nono l’horreur des fait et de le faire reapparaetre alors qu’on le pensait disparu a Auschwitz pour vouloir rassurer son public en lui servant sa dose d’attendrissement et d’espoir, c'est un choix surprenant et pas forcement bienvenu etant donne le sujet . ca doit etre des contrainte de producteur pour pas trop choquer et il faut arreter d etre naife mais cest pour etre aussi commercial , alors que putain un film sur la rafle nivo espoir et commercial c etait carrment pas l optique a suivre ..
Roselyne Bosch est donc aussi maladroite que sincere , putain mais faut voir comment elle use d’images bien trop propres et leches pour montrer l’horreur des camps , c'est limite super chiades , wtf ?? du coup c est bien Difficile en effet d’evoquer la promiscuite, le manque d’hygiene, la faim et le desespoir absolu quand , comme elle l'avoue elle meme en interview , tu choisit de prendre une approche visuel ameli pouliesque , vla l elegence mal placer .... la comparaison avec les plans sobres, fugaces et terriblement marquants des moment de Liberter est ecrasante. laval , le marechal petain et hitler sont tres mal jouer, leur scene de dialogues mal fichues, ces scenes sonnent terriblement faux et on en vient a se dire que ce n’est pas l’extermination elle-meme qui est irrepresentable, mais plutet les discussions et les tractations politiques qui la planifient et l’organisent ! la scnes ou l acteur piteusement grime en hitler qui s’apitoye sur le sort des animaux de boucherie est d un grotesque .
bon allez 3 point pour la grosse production , c'est pluto documenter et donne une vision assez saine de la France occupe, loin de tout manicheisme ,les Français ne sont pas tous presentes comme des Justes, mais pas non plus comme d’infemes collabos , a ce titre mem esi la rafle pue du cul , ca pas aussi pire que le lamentable femme de l'ombre qui etait le neant du film francais sur ce theme . bon le loby de cine francais a placer les antisémites haineux comme cette boulangere caricaturalement antipathique, et de policiers au service d’officiers allemands sadiques et glaçants . alles et pour vincezo cocotti et lui montrer que j ai un grand coeur je veut bien admettre que le film met galement en scene une foule de resistants ordinaires, de braves gens que leur conscience amene a secourir leur prochain, a cacher les enfants de familles deportes rappelons que la France fut le pays occupe ou le plus d’enfants juifs on ete ainsi sauves de la barbarie nazie et c'est la le seul merite de ce film rate, que de ne pas totalement faillir a la mission pedagogique qu’il s’était fixe.