[Niko06] Mes critiques en 2010

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Re: [Niko06] Mes critiques en 2010

Messagepar Heatmann » Jeu 26 Aoû 2010, 14:25

amen. :super:
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Re: [Niko06] Mes critiques en 2010

Messagepar Niko06 » Sam 28 Aoû 2010, 12:27

En fait c'était surtout pour confirmer la place de n°1 du film 8)
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Re: [Niko06] Mes critiques en 2010

Messagepar jean-michel » Sam 28 Aoû 2010, 12:30

:eheh: un topic stratégique!! :eheh: :mrgreen: :super:
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Re: [Niko06] Mes critiques en 2010

Messagepar Heatmann » Sam 28 Aoû 2010, 12:37

ouai c'est bien ca , je devrai me forcer et mettre 2 ligne pour que mon 10 soit referencer et du coup les 2 sale note de morice et milk ne feront pas trop baisser le film 8)
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Re: [Niko06] Mes critiques en 2010

Messagepar jean-michel » Sam 28 Aoû 2010, 12:40

moi impossible de me forcer, j'écris que sur les films qui mon donné quelques choses!! :mrgreen:
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Re: [Niko06] Mes critiques en 2010

Messagepar zack_ » Sam 28 Aoû 2010, 12:44

Heatmann a écrit: ouai c'est bien ca , je devrai me forcer et mettre 2 ligne pour que mon 10 soit referencer et du coup les 2 sale note de morice et milk ne feront pas trop baisser le film 8)


Pffff... n'imp'
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Expendables : unité spéciale - 5/10

Messagepar Niko06 » Lun 30 Aoû 2010, 19:22

Expendables: Unité Spéciale
Sylvester Stallone

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Il y a certains films qui feraient un excellent support d’étude pour des sexologues au moment de répondre à la question récurrente: faut-il réaliser ses fantasmes? C’est le cas d’Expendables : Unité Spéciale. En deux films étalés sur quatre ans la légende Sylvester Stallone avait opéré ce qui restera comme un des plus beaux revival devant comme derrière la caméra. Rocky Balboa venait clore une longue fresque dans l’émotion sincère tandis que John Rambo était un modèle d’actioner bourrin à souhait et hyper généreux pour les amateurs de sang et de testostérone. Fin 2008 quand Sly annonce vouloir réaliser un film d’action en hommage à toutes les séries B sévèrement burnées et un peu cons des années 80, avec en tête un des castings les plus fous jamais réunis et avant même de voir la première image de ce projet dingue, c’était un vieux fantasme qui prenait vie. L’ambition était folle, rassembler dans un vrai film (car Stallone a montré qu’il était capable de faire du vrai cinéma) tous les action heroes des 80′s à aujourd’hui, et pour quiconque a grandi en s’abreuvant aux Commando, Rambo, Die Hard et autres, l’attente ne pouvait qu’être immense. On passera rapidement sur l’absence des Van Damme, Seagal ou Norris, qui avec le recul ont peut-être eu de la chance ou ont fait le bon choix de ne pas s’embarquer là dedans mais Expendables : Unité Spéciale, et c’est un véritable crève-coeur que de le dire, est une déception à la hauteur des attentes, c’est à dire très grosse. Cela ne veut pas dire que tout y est mauvais, loin de là, mais il est clair qu’alors que ses deux précédents films ont été faits avec le coeur et les tripes Stallone a réalisé celui-ci en ne quittant jamais son portefeuille des yeux. Quel dommage!


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Expendables : Unité Spéciale est clairement un film schizophrène. D’un côté on a la réunion de grosses brutes qui ont l’air de bien s’amuser ensemble, un scénario prétexte à tout faire péter dans tous les sens et de l’action à revendre. Mais de l’autre on trouve des ambitions de faire quelque chose de sérieux, qui ne dépasse surtout pas du cadre et qui surtout doit remplir le tiroir-caisse. Ces deux approches diamétralement opposées n’ont de cesse de se télescoper du début à la fin du film qui ne trouve jamais vraiment son identité propre. Ainsi là où on n’attendait qu’un bon gros film bien bourrin et décérébré on retrouve certes un spectacle majoritairement crétin mais qui se retrouve bien trop souvent parasité par des tentatives de faire dans de l’émotion bien trop artificielle pour convaincre. Le sous-texte traitant du vieux héros fatigué est bien présent, celui d’un passage de flambeau entre la génération Stallone et la génération Statham également, mais relativement mal traité, tout comme une dose de romantisme à deux balles abordée avec une maladresse évidente. Autant faire l’impasse dessus tant cela n’apporte absolument rien si ce n’est une bonne dose d’ennui.

Car oui, la véritable et très mauvaise surprise elle est là: on trouve le temps long. Avec 1h45 au compteur on pouvait presque s’en douter mais c’est flagrant, le rythme souffre terriblement de moments de creux insupportables. Tout ce qu’on lui demandait c’était de faire vibrer notre fibre nostalgique, de nous faire mouiller le caleçon en nous montrant nos icônes se foutre sur la gueule et balancer des punchlines qui auraient fait fureur dans les cours de récré des années 80. Pourquoi vouloir en rajouter dans le pathos foireux? le résultat est sans appel, passée une introduction savoureuse avec l’équipe au complet et avant le final ultra jouissif qui nous rappelle à quel point Stallone aime tout faire exploser, les bâtiments comme les personnages, on compte les vrais moments de bravoure sur les doigts d’une seule main. Expendables : Unité Spéciale n’est finalement pas le film de groupe attendu, il est essentiellement centré sur le couple maitre/élève Stallone/Statham, souffre d’une overdose de private jokes et LA scène tant attendue entre les 3 monstres sacrés Sylvester Stallone, Bruce Willis et Arnold Schwarzenegger vire rapidement à la grosse blague bien lourde même si le plaisir de les voir réunis dans un même plan est immense.


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Toutefois tout n’est pas noir comme dit plus haut. Expendables : Unité Spéciale distille une bonne dose d’action bien bourrine et de fun décomplexé, même si cela est trop rare. Une poignée de séquences géniales pendant tout le film, de gros moments de vide, mais surtout un final assez démentiel qui s’étire sur une bonne demi-heure. À une poignée de mercenaires contre plusieurs centaines de soldats latinos, on en a pour son argent niveau explosions en tous genres et bodycount qui atteint des sommets. Donc oui de l’action il y en a et les séquences sont même plutôt bien construites sauf qu’on en vient au très gros défaut du film, son montage. Car si Stallone ne fait pas vraiment de miracle à la mise en scène, c’est même assez décevant, il semblerait que le monteur ait abusé de substances psychoactives excitantes quand il était devant sa table. Le résultat est souvent illisible. Quand c’est pour masquer des performances physiques en retrait de certains acteurs ça se comprend mais quand il y a à l’écran un acteur martial du calibre de Jet Li, en forme, et qui voit toutes ses chorégraphies massacrées par un montage plus épileptique que cut, on a envie de crier au scandale!

Pour le reste Stallone a beau tenir la forme il a l’air de plus en plus fatigué, Statham bénéficie de son physique imposant et de sa classe naturelle, Jet Li hérite du rôle du petit chinois de service, Rourke fait de la figuration dans un rôle entre le gipsy crade d’Iron Man 2 et l’introspection façon the Wrestler, Randy Couture et Steve Austin sont toujours aussi impressionnants, Dolph Lundgren est même surprenant avec l’âge même si son rôle n’est qu’accessoire… rien de bien transcendant si ce n’est la prestation délicieuse d’Eric Roberts qu’on ne se lassera définitivement jamais de voir à l’écran.

Déception et promesses non tenues, c'est ce qui vient en premier en repensant à Expendables : Unité Spéciale. Le film d'action ultime annoncé n'est pas au rendez-vous à cause d'un rythme en dents de scie et des choix scénaristiques douteux. Stallone semble avoir repris la grosse tête et c'est bien dommage car il avait les cartes en main pour s'asseoir à nouveau sur le trône du roi de l'action. Reste que derrière une ambition déplacée et des CGI tout pourris le plaisir nostalgique et coupable est tout de même présent, et le long climax bourrin nous emporte, mais c'est l'impression d'un rendez-vous manqué qui prime.


5/10
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Re: [Niko06] Mes critiques en 2010

Messagepar zack_ » Lun 30 Aoû 2010, 20:14

Tu le voulais plus dans le top 50 hein!
Bon loupé au ciné je l'achèterai en BD les yeux fermées quand même
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Re: [Niko06] Mes critiques en 2010

Messagepar lordpolo » Lun 30 Aoû 2010, 21:30

Entièrement d'accord avec ta critique....mon 4/10 arrive !

Franchement ce film dans le top 50, ca serait une mauvaise image pour BOM :lol:

Y'aura sans doute des notations revus à la baisse à la sortie dvd/bluray !
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Re: [Niko06] Mes critiques en 2010

Messagepar Scalp » Mar 31 Aoû 2010, 12:53

zack_ a écrit: Tu le voulais plus dans le top 50 hein!
Bon loupé au ciné je l'achèterai en BD les yeux fermées quand même


Il était plutôt au alentour de la 90 ème place, là y vient de gicler car sa moyenne est en dessous de 8.
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Requiem for a dream - 7/10

Messagepar Niko06 » Dim 12 Déc 2010, 10:49

Requiem for a Dream de Darren Aronofsky

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Estampillé culte quasiment dès sa présentation au festival de Cannes en 2000, et alors que le nouveau film du réalisateur, Black Swan, s’apprête à mettre tout le monde d'accord dans quelques semaines, c’est l’occasion de revenir sur le phénomène Requiem for a Dream, quelques années après le choc de la découverte. Car oui il faut l’avouer, Requiem for a Dream est un choc de cinéma, une expérience brutale et douloureuse, telle que l’était la lecture de Retour à Brooklyn, le roman d’Hubert Selby Jr. lui servant de base scénaristique. Mais un électrochoc fait-il un film culte pour autant? Après quelques courts métrages dont Protozoa avec Lucy Liu qui abordait déjà le thème de la drogue, Darren Aronofsky avait bénéficié d’un sérieux succès d’estime auprès des cinéphiles grâce à Pi, sorte de thriller paranoïaque dans un noir et blanc cradingue et sous forte influence du David Lynch des débuts. En acceptant d’adapter ce roman d’une noirceur extrême il marque une étape dans sa quête identitaire en tant qu’artiste, recherche qui n’a semble-t-il toujours pas abouti tant ses films, aussi réussis soient-ils, ne semblent pas s’inscrire dans une oeuvre véritablement homogène. Il n’empêche que pour un réalisateur sans véritable signature, ce qui ne signifie pas que ses films sont fades, il possède un style et une maitrise de la mise en scène qui ne peuvent que mettre tout le monde d’accord. Cependant, avec Requiem for a Dream il atteint une limite. Faire vivre une expérience viscérale au spectateur est une chose intéressante et difficile à atteindre, produire un choc émotionnel également, mais à trop vouloir en faire dans le choc instantané, Aronofsky en oublie que ce sont les chocs naissant d’une certaine forme de sobriété qui fonctionnent le mieux, car ils durent longtemps après le générique de fin, contrairement à celui-ci qui est bien trop artificiel pour durer.


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La drogue, vaste sujet avant tout social qui n’a rien de véritablement original dans le cinéma américain. On a tous en mémoire des oeuvres coups de poings ou bouleversantes telles que Bad Lieutenant ou Panique à Needle Park, que peut bien apporter un jeune réalisateur doté d’un talent complètement dingue mais qui se cherche encore? Et ce n’est pas vraiment dans la trame narrative qu’on trouvera une réponse. En effet, Requiem for a Dream ne brille pas particulièrement par un scénario extrêmement original. Cela ne l’empêche pas d’être efficace mais simplement peu inventif de ce côté là. On y suit quatre personnages dans autant d’intrigues qui s’entremêlent en permanence, quatre caractères issus de la classe moyenne de Brooklyn, quatre êtres qu’on aura beaucoup de mal à aimer mais qu’on prendra directement en pitié étant donné qu’ils ne nous sont jamais montrés autrement qu’au fond du trou, en dérive perpétuelle. Ainsi le scénario ne réserve que peu de surprises, on sait d’entrée de jeu qu’ils ne se relèveront pas et ne feront que sombrer dans une déchéance de plus en plus dangereuse.
L’intérêt principal au niveau du message est que Requiem for a Dream ne se cantonne pas à la seule dépendance des drogues dures. Le film brasse à peu près toutes les formes d’addiction possible, de la plus contrôlable à la plus destructrice. Les consommations d’héroïne, de cocaïne ou de marijuana nous sont montrées de façon relativement crues et à côté d’elles, au fur et à mesure qu’avance le film, cela traite de drogues plus perverses telles que le régime, la télévision ou le sexe, avec comme point d’orgue terrible la dépendance aux médicaments, ou comment un élément sensé reconstruire une personne et l’aider devient son pire ennemi. Tous ces portraits héritent d’un traitement des plus noirs et pessimistes, sans que jamais ne se crée un espoir de sortie. Construit selon le rythme des saisons – symbolique un peu facile – Requiem for a Dream suit la trame connue « déchéance, illusion de rédemption, rechute, fin » et souffre assez d’un ton finalement trop glauque. En oubliant complètement l’aspect ludique de ces drogues, dures ou pas, l’ensemble s’en trouve finalement bien trop moralisateur. On ne souhaitait pas y trouver une quelconque forme d’apologie mais un film comme Trainspotting par exemple traitait le sujet de façon plus délicate et voyait son impact décuplé.


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Si sur le fond il n’y a rien de bien nouveau en plus de manquer de justesse parfois dans cet engagement, il convient de souligner que Requiem for a Dream puise tout de même une force gigantesque de par son côté formel. Là encore Aronofsky n’invente pas grand chose mais recycle à la perfection. Sa mise en scène et le montage de Jay Rabinowitz qui fait un grand écart hallucinant par rapport à ses habitudes chez Jim Jarmusch apportent au film une puissance visuelle démente et en accord parfait avec la partition diaboliquement entêtante de Clint Mansell. Symbiose totale entre l’image et le son, Requiem for a Dream dévoile une palette d’effets de style en frôlant l’overdose, ce qui est finalement assez logique étant donné le sujet. C’est un festival d’astuces visuelles reprises des clips musicaux et publicités les plus imaginatives des années 90, cela se traduit à l’image par des mouvements de caméra et des cadres dingues, du ralenti, de l’accéléré, du grand angle qui vire au fisheye, de longs travellings complexes, du split screen et une répétition de scènes montées ultra cut pour souligner la routine maladive. L’effet sur le spectateur est immédiat, souligné par la musique, et le malaise est permanent, tout comme le dégout. Mais ce trop plein d’effets finit par nuire au film qui y puise toute sa force et n’apparait au final que comme un objet expérimental fascinant plus qu’un film possédant un véritable impact durable.
Reste que Requiem for a Dream bénéficie également d’un casting dément. Le trio composé de Jared Leto, Jennifer Connelly et Marlon Wayans fonctionne à la perfection, mais tous trois se font voler la vedette par la rescapée des 70′s Ellen Burstyn qui trouve là un rôle immense. Pathétique, effrayante, bouleversante, elle cristallise toutes les névroses d’une junkie et livre une prestation tout simplement bluffante d’intensité. Non seulement elle fait partie des rares actrices à ne pas avoir volé leur oscar mais son interprétation continue d’éblouir aujourd’hui encore.


7/10
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Re: [Niko06] Mes critiques en 2010

Messagepar zack_ » Dim 12 Déc 2010, 11:14

Le Bluray mérite-il un rachat face au DVD?

Jennifer Connelly

:love: Déjà rien que ça c'est un argument de réussite
Un jour si je fais un film sexuel j'y rajouterai Penelope! :lol: ah on est pas dans le topic des fantasmes? :eheh:

le montage de Jay Rabinowitz

C'est clair qu'au delà des images le montage est un élément important sur ce film - c'est ce qu'il fait que le métrage devient presque gênant surplombé du musique dérangeante.
Il a monté quoi comme autre film mémorable?
zack_
 

Re: [Niko06] Mes critiques en 2010

Messagepar nicofromtheblock » Dim 12 Déc 2010, 11:28

zack_ a écrit:
le montage de Jay Rabinowitz

C'est clair qu'au delà des images le montage est un élément important sur ce film - c'est ce qu'il fait que le métrage devient presque gênant surplombé du musique dérangeante.
Il a monté quoi comme autre film mémorable?

Comme l'a dit Niko, c'est le monteur attitré de Jim Jarmusch (Dead man, Ghost dog, Broken flowers).
C'est aussi lui qui a fait le montage de The fountain et actuellement il bosse sur celui de Tree of life de Terrence Malick.


Sinon, pour ma part, mon appréciation de Requiem for a dream ne baisse pas avec le temps.
J'ai beau l'avoir revu plus d'une dizaine de fois, le film me fait toujours le même effet : une vraie claque.
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Re: [Niko06] Mes critiques en 2010

Messagepar osorojo » Dim 12 Déc 2010, 11:33

Jolie critique en tout cas :chinese:

Requiem for a dream pour moi, c'est clairement une symbiose totale entre image et son, avec un boulot sur les ambiance audio complètement vertigineux, à l'image des scènes de shoot. J'hésite à le revoir, peur d'être déçu. Peut être aussi qu'on en a tellement soupé du thème de Mansel, que si je le revoie, je vais être parasité à ce niveau là ! :p
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Re: [Niko06] Mes critiques en 2010

Messagepar zack_ » Dim 12 Déc 2010, 11:34

Jim Jarmusch (Dead man, Ghost dog, Broken flowers)

Un réalisateur que je connais pour le moment que de nom - je vais ouvrir son topic pour en connaitre un peu plus sur ses films
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