[Droudrou] Mes critiques en 2010

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Re: [Droudrou] Mes critiques en 2010

Messagepar jean-michel » Lun 30 Aoû 2010, 17:42

moi oui!! :love: :mrgreen: elle ma marqué cette zik!! :love: :love:
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Re: [Droudrou] Mes critiques en 2010

Messagepar Scalp » Lun 30 Aoû 2010, 17:43

ViCo a écrit: J'suis certain que tu repenses à la scène où le groupe part pour être fusillé avec la zik des Dossiers de l'écran...


Oui et la fin avec Simone Signoret aussi.
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Re: [Droudrou] Mes critiques en 2010

Messagepar jean-michel » Lun 30 Aoû 2010, 17:43

:love: :love: :love: :love:
Scalp a écrit: L'armée des ombres fait une entrée fracassante dans le top 5.
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Re: [Droudrou] Mes critiques en 2010

Messagepar ViCo » Lun 30 Aoû 2010, 17:45

C'est rempli de scènes intimistes à la puissance émotionnelle rare...
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Re: [Droudrou] Mes critiques en 2010

Messagepar jean-michel » Lun 30 Aoû 2010, 17:49

et puis la liste d'acteurs de talent dont dispose ce film est affolante quand même!! :love: :love:
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Re: [Droudrou] Mes critiques en 2010

Messagepar droudrou » Lun 30 Aoû 2010, 17:54

ViCo a écrit: C'est rempli de scènes intimistes à la puissance émotionnelle rare...

chaque instant du film ne peut nous laisser insensible, Vico !
j'ai fait exprès pour mes illustrations d'insérer en dernier l'image de Simone Signoret qui mérite une mention spéciale ici après sa prestation "Le jour et l'Heure". (si je ne fais pas une erreur de titre !...)
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Arrête-moi si tu peux - 6/10

Messagepar droudrou » Lun 06 Sep 2010, 07:47

Arrête-moi si tu peux 2002 - Steven Spielberg - Leonardo di Caprio - Tom Hanks - Christopher Walken - ma note 6/10
Je n’étais guère convaincu en m’installant hier soir face à mon écran de télé pour regarder ce film contant une part de la jeunesse de Frank Abagnale Jr.,
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personnage réel présenté comme un véritable imposteur
devenu depuis la part de ses exploits rapportés par le film un spécialiste de la lutte antifraudes aux Etats-Unis dont Wikipedia vous présente la biographie

C’est un film sympa et superficiel qui manquerait singulièrement de rythme et de profondeur dont les héros seraient parfois à la limite de la caricature. Mais le film se regarde de bout en bout et l’apparence juvénile de di caprio confère une crédibilité certaine à son personnage et ses tribulations, même si son interprétation est loin d’être géniale.
Je concèderai à ce film un caractère de comédie qui rappellerait le cinéma américain des années 30 pour les nostalgiques et dont la mise en scène n’aurait pas déplu à un certain Alfred Hitchcock avec un dénommé Cary Grant dans le rôle titre…

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dans la mesure où l’affiche nous dit « l’histoire vraie d’un véritable imposteur » je n’ai pu m’empêcher d’évoquer
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l’histoire vraie très différente de Ferdinand Waldo Demara surnommé « Le grand Imposteur » auquel en 1961 Tony Curtis, alors très en vogue, a prêté ses traits dans un film de Robert Mulligan … film de ton très différent et passionnant… d’après le récit de Robert Crichton
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Re: [Droudrou] Mes critiques en 2010

Messagepar groo » Lun 06 Sep 2010, 09:45

Pour moi, le film de Spielberg reste plus réussi que Le roi des imposteurs, par l'ampleur de sa mise en scène, son travail sur le rythme et la description des relations entre le personnage de Di Caprio et celui du policier qui le poursuit. A ce niveau, le film de Mulligan s'attache à une relation avec un curé (Karl Malden, impeccable par ailleurs), et on est moins dans l'affectif, plus dans la morale. Une morale préservée du fait qu'à la fin, imposteur ou non, le personnage de Curtis devient un héros national. Les choses sont donc rétablies dans l'ordre. Cela dit, le film doit beaucoup à la qualité de l'interprétation de Curtis, en termes de mise en scène, Mullligan reste discret, et, en dehors de quelques métonymies dont il a le secret, ainsi qu'un travail de montage réussi, ne m'a pas vraiment marqué.

Inversement, dans le Spielberg, le héros souffre d'une blessure majeure, l'absence de père (un trait Spielbergien en diable), et cela rend sa relation avec Tom Hanks plus émouvante. Par ailleurs, la mise en scène intervient souvent dans la narration même du film, et le rythme est tout aussi maitrisé.

En me replongeant dans mes notes, je m'aperçois que j'ai noté le Mulligan 7,5/10, et le Spielberg 8/10 (je note toujours trop haut, mais ici seule la gradation est pertinente).

En revanche, musicalement, la BO de The great Impostor, par Henry Mancini, est un vrai bijou, qui, une fois n'est pas coutume, m'apparait comme bien meilleure que la composition de Williams.
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Sentinel (The) - 3/10

Messagepar droudrou » Lun 06 Sep 2010, 12:59

The sentinel (2006) Clark Johnson– ma note 3/10

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Voici un film que j’ai fait l’effort de regarder deux fois espérant y découvrir quelque chose qui m’avait échappé tant en VOST qu’en version française !... Que nenni ma seconde vision ne m’a rien apporté d’un film qui eût pu être nettement meilleur si confié à une équipe plus inspirée d’autant que certains ingrédients étaient là dès les premières images !
Le film ouvre sur l’attentat qui avait failli coûter la vie à Ronald Reagan… et qui offrait alors un préambule dramatique parfait suivi, avec l’arrivée de Michael Douglas, d’une présentation intéressante du cadre de travail à la Maison Blanche occasion de pouvoir situer à la fois ce que peuvent être les mesures de sécurité et le cadre de travail d’un agent de la sécurité chargé de la protection du couple présidentiel aux Etats-Unis.
Après deux films de Clint Eastwood dont essentiellement « Dans la ligne de mire » dans l’évocation de cette fonction et « Les pleins pouvoirs » où nous découvrons la vie privée du patron de la Maison Blanche. on pouvait s’attendre à mieux en terme d’intrigue surtout quand nous apprenons que Pete Garrison (Michael Douglas) entretien une liaison avec Sarah Ballentine (Kim Bassinger) la femme du président des Etats-Unis…

Même cette petite chose qui s’appelle Eva Longoria n’apporte pas une plus-value à un film qui ne décolle pas du niveau d’un épisode d’une série télévisée…

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et que dire de la présence de Kim Bassinger en première dame des Etats-Unis bien froide par rapport à son personnage de « 9 semaines et demi » et qui semble vouloir nous dire « never say never again » … La présence au générique de Kim Bassinger et de Michaël Douglas, véritable bête de sexe depuis « Harcèlement » et « Basic Instinct », aurait pu nous valoir quelques moments sulfureux pimentant cette histoire au goût plutôt fade ! Malheureusement il n’en est rien ! Même la substitution de la fin alternative ne nous aurait rien apporté…
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Re: [Droudrou] Mes critiques en 2010

Messagepar droudrou » Lun 06 Sep 2010, 13:06

groo a écrit: Pour moi, le film de Spielberg reste plus réussi que Le roi des imposteurs, par l'ampleur de sa mise en scène, son travail sur le rythme et la description des relations entre le personnage de Di Caprio et celui du policier qui le poursuit. A ce niveau, le film de Mulligan s'attache à une relation avec un curé (Karl Malden, impeccable par ailleurs), et on est moins dans l'affectif, plus dans la morale. Une morale préservée du fait qu'à la fin, imposteur ou non, le personnage de Curtis devient un héros national. Les choses sont donc rétablies dans l'ordre. Cela dit, le film doit beaucoup à la qualité de l'interprétation de Curtis, en termes de mise en scène, Mullligan reste discret, et, en dehors de quelques métonymies dont il a le secret, ainsi qu'un travail de montage réussi, ne m'a pas vraiment marqué.

Inversement, dans le Spielberg, le héros souffre d'une blessure majeure, l'absence de père (un trait Spielbergien en diable), et cela rend sa relation avec Tom Hanks plus émouvante. Par ailleurs, la mise en scène intervient souvent dans la narration même du film, et le rythme est tout aussi maitrisé.

En me replongeant dans mes notes, je m'aperçois que j'ai noté le Mulligan 7,5/10, et le Spielberg 8/10 (je note toujours trop haut, mais ici seule la gradation est pertinente).


En revanche, musicalement, la BO de The great Impostor, par Henry Mancini, est un vrai bijou, qui, une fois n'est pas coutume, m'apparait comme bien meilleure que la composition de Williams.


félicitations pour ton intervention - pour ma paume j'ai vu "le roi des Imposteurs" en 1961 ça fait un bail ! Même si malgré mon AVC je suis reconnu pour avoir une excellente mémoire! ça m'arrive de bien me tromper, en revanche, je n'ai pas l'impression que la vie monacale de Demara représentait une part si importante dans ce même film...
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Terre des pharaons (La) - 4/10

Messagepar droudrou » Mer 08 Sep 2010, 20:45

La Terre des Pharaons Howard Hawks (1955) Jack Hawkins Joan Collins James Robertson Justice (musique Dimitri Tiomkin) ma note par protection 4/10
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Assurément il fut un temps où les vieux machins de Band of Movies (moi et mon copain Jipi) où grisés par nos bons vieux souvenirs de l’adolescence aurions mis d’emblée à ce film de Howard Hawks tourné en Cinémascope la note maximum selon nos échelles d’interprétation.
À l’époque de sa sortie 1955 cette superproduction considérée comme une des légendes du cinéma avait de quoi émouvoir mais je crois que trois phénomènes justifiaient notre appréciation :
D’abord pour des ados à l’esprit mal tourné la présence de Joan Collins auprès de ce vieux machin non charismatique qu’était Jack Hawkins (un des piliers emblématiques à l’époque du cinéma britannique) que nous reverrons en 1957 dans « Le pont sur la rivière Kwaï » où en chef de commando il sera certainement plus crédible qu’en Pharaon…
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Ensuite en termes d’exotisme le récit se passe en Egypte, pays qui a toujours su émouvoir notre imagination à cause des sables du désert et des pyramides - il y a une fascination réelle de l’occident pour la civilisation égyptienne qu’un splendide cinémascope contribue à mettre en valeur (c’est en 1956 que sortira au format VistaVision le film de Cecil Blunt De Mille « les dix commandements »)
Enfin il y a je pense surtout cet épilogue du film où au cœur de la pyramide l’avide et perfide maîtresse de Pharaon déclenche le mécanisme qui scellera à jamais le tombeau, se murant vive pour l’éternité entourée des prêtres auxquels on a coupé la langue fin horrible et infamante.
Aujourd’hui le film a beaucoup perdu de son aura car les situations décrites très conventionnelles ne passent plus d’autant que la musique de Dimitri Tiomkin sonne beaucoup plus juste pour un « Canons de Navaronne » que pour un récit se déroulant dans l’Empire Egyptien…
Il convient de savoir que ce film a été une improvisation totale et constante, construit sur un scénario de William Faulkner qui ne maîtrisait pas son sujet, écrit à la hâte sans références historiques après de conséquentes beuveries et au milieu de manœuvres politiques permanentes entre le gouvernement Egyptien de l’époque et l’équipe du film ! Projet ambitieux bâti essentiellement sur la réputation de Howard Hawks qui réunit son équipe avec une seule idée « Nous allons bâtir un film dont l’action se déroule dans la lointaine Egypte au temps des pharaons » Le tournage a été un constant gaspillage de moyens en beuveries et histoires de cul…
Projet tout à la fois pharaonique et de prestige d’emblée il était indispensable de réunir au sein du casting sir James Robertson Justice grand amateur de whisky et ami très proche de la couronne britannique peu à sa place dans le rôle de Vashtar l’architecte juif qui conçoit le système qui permettra de sceller le tombeau de Pharaon et qui figurera dans le casting des « Canons de Navaronne » où sa présence ne dénotera pas… Il est indispensable de noter que ce même système est une pure invention scénaristique et cinématographique.
Il convient de noter que ce film est aujourd’hui une curiosité un monument du passé au même titre que les pyramides de ce qu’a été le cinéma Hollywoodien à une certaine époque avant que d’autres réalisations plus prestigieuses et plus sérieuses sinon inspirées viennent marquer l’Histoire du cinéma !...
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Re: [Droudrou] Mes critiques en 2010

Messagepar jean-michel » Mer 08 Sep 2010, 20:53

j'aime beaucoup le ton de ta critique! super: :mrgreen: :eheh: :super:
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Re: [Droudrou] Mes critiques en 2010

Messagepar alinoe » Mer 08 Sep 2010, 21:32

Critique très intéressante.
Du coup, moi qui garde un bon et lointain souvenir de ce film, je vais éviter de le revisionner. Je resterai ainsi sur ma bonne impression.
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Re: [Droudrou] Mes critiques en 2010

Messagepar Jipi » Jeu 09 Sep 2010, 07:50

En plus ça picolait pas mal sur le tournage.
Le zéro bipolaire. Le néant infini et son absolu infini. Une forme pleine dans une valeur nulle.
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Incorruptibles (Les) - 3/10

Messagepar droudrou » Ven 10 Sep 2010, 16:47

les incorruptibles (the untouchables) Brian de Palma 1987 - Kevin Costner - Sean Connery - Andy Garcia - Robert de Niro - ma note 3/10 par protection…

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J'ai revu ce jeudi 9 septembre le film sur FR3 dans de très mauvaises conditions et, plutôt que camper sur mes positions, me réserve de donner un avis beaucoup plus circonstancé ultérieurement !...

Par tempérament, je considère Brian de Palma comme un gougnafier que je rejetterais systématiquement pour ses effets au même titre qu’un Tarantino, un Oliver Stone (à géométrie variable selon ses réalisations et le choix de ses sujets) ou un Tim Burton auquel pourtant je concède son Ed Wood, sachant que j’aime beaucoup les 2 Kill Bill et Jackie Brown ; il en va ainsi… (à mon grand âge comme dit l’évangile : « il lui sera beaucoup pardonné pour avoir beaucoup aimé….. le cinéma… »).


J’avais découvert les incorruptibles en salle à sa sortie au format cinémascope.

Aficionado des Incorruptibles, façon Robert Starck, à la télé et en noir et blanc, j’avais absolument voulu voir cette version haute en couleurs avec au générique un Sean Connery et un Robert de Niro que j’avais beaucoup aimé dans « Le parrain 2 » et « Voyage au bout de l’Enfer » et qui avait volontairement pris 14 kilos pour incarner le personnage d’Al Capone poussant sa performance jusqu’à vouloir porter les mêmes vêtements que son modèle…
La critique était élogieuse dans la mesure où le film de De Palma se voulait être une anthologie du cinéma évoquant entre autres « Scarface » de Hawks et « le cuirassé Potemkine » avec la fameuse scène de la poussette lors de la scène dans les escaliers de la gare de Chicago
hors ces mêmes critiques, la publicité avait joué à fond son rôle d’appel diffusant régulièrement la fameuse scène de l’explosion au début du film et celle des 4 cavaliers lancés au galop pour intercepter les contrebandiers sans omettre les coups de flingue et de mitraillette…

J’étais ressorti de ma séance assez désabusé, écœuré de l’abominable cabotinage de de Niro, pâle copie des gangsters de la trilogie du « Parrain », d’« il était une fois en Amérique » et même des films de Billy Wilder dont « Certains l’aiment chaud », une prestation qui, en fait, modifiait singulièrement la tournure dramatique qu’aurait dû avoir « Les incorruptibles » si on prend pour modèle la fameuse série dont il se voulait être le successeur.
Certes De Palma nous met dans une ambiance où la corruption et la traîtrise sont les maître-mots, ridiculisant même outrancièrement certains personnages et certaines situations comme par exemple au moment de l’arrivée de Ness ces flics en uniforme noir qui ont tout des nazis… ou ce moment où le même Ness commence à recruter son équipe contraste violent entre les deux meilleurs tireurs du groupe… J’oubliais enfin les fameuses scènes qui se déroulent dans l’enceinte du tribunal où, à force de charger son personnage, De Niro en ridiculise la légende…
Que De Palma cherche à nous en mettre plein la vue avec des cadrages de caméra qui ne semblent appartenir qu’à lui, je dis pourquoi pas ! Sauf dans une plongée chez le barbier à nous fournir une véritable caricature d’un De Niro boursoufflé sachant que tout cela ne contribue nullement à valoriser un film…
De fait, De Palma ayant accumulé tous les poncifs scénaristiques, en sortant de la séance, on retenait beaucoup plus De Niro et Sean Connery (oscarisé pour sa prestation) que Kevin Costner (Eliott Ness) personnage principal que le scénario fait vivre, lui et sa famille, dans un cadre très conventionnel de situations au regard de l’intrigue ! Nous sommes loin du Costner que nous découvrirons dans « Treize jours » où, même si, dans ses fonctions, il symbolise l’American Way of Life, il y sera nettement plus crédible…

Qu’à la base le film connaisse des faiblesses, confirmées dans plusieurs articles que j’ai lus, je suis d’accord pour accepter ces occurrences mais raison de plus pour, par une mauvaise diffusion de l’image, ne pas les accentuer : j’ai navigué hier soir dans le monde de l’horreur !
Au hasard de mes recherches, j’ai découvert un blog bien fait qui vous permettra de pouvoir apprécier les images originales dans leur contexte

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