[Heatmann] Mes Critiques en 2010

[Scalp]

Duo Mortel ou Duel Sauvage, j'en ai vu un des 2, ptet les 2, m'embrouille avec tout ces titres

[Heatmann]

oh putain m'en parle pas !! les titre francais se ressemble tous !!!! et pis apres les titre originau et US c'est le bordel

[Heatmann]

CONFESSION OF PAIN

3.5/10

pas forcemetn long met tu sent passer le temp , et pis c'est bien soporifique . merde venant de la team d infenral affairs ca fout les boule , parcque meme si les perso son interressant et les acteurs tresb on , ben c'est un peu nul quand meme .
A hk un flic a buen du mal sur une affaire inssoluble, l'assassinat de son beau-pere. aider par son ex partnaire alcoolo , il va se lancer dans une bien perilleuse et chiante chasse a l'homme.

2 hero bien meurtri, ses bars lounge enfumes, ses rendez-vous confortables et alcoolises, ses douloureux flash-backs lourds de sous-entendus, Confession of Pain y va pas avec le dos de la cuillier pour assener l ambiance noir , glauque ,et dramatique . En surface, le nouveau casse-tete d'Andrew Lau et Alan Mark a tout pour plaire les amateur du genr e, jy suis vraiment aller de bon coeur pres a passer plein de defaut pour kiffer l amosphere , j etait tout acqui a la cause du film , ben j ai pas pue me mentir longtemp , c'est pas au nivo mais vraiment pas.

au fur et a mesure que Bong descend ses bouteilles de whisky et que le polar sombre dans un vaudeville rocambolesque, plus le film se revele enfait creut . Tony Leung et Takeshi Kaneshiro sont quand meme bon mais tu sent que la limite du cabotinage est pas loin , MR73 est d'ailleur bien plus reussis a tout les nivo. cocorico . meme si ces perso torturer , mutique , taciturne sont imposant , ben ca tourne vide a vide et en rons. l'intigue de kaneshiro accumule les pathos gluant . Shu Qi joue le role d'un gogole bien relou .vraiment on apres infernal affaires , c;est le jour et la nuit. ca reste presque honnete , carre, lisse, propret , jamais inventif , pas d etincelle . en plus de tout ca et de l enorme deception , Confession of Pain a un defaut majeur, son scenario pourri: a force de detours et de simagres, ca veut a tout pris brouiller les piste inutillement pour faire style , le melodrame vire a la soup , et le twist y changera rien et surtout pas la mise en scnes paraisseuse et aseptyser . je note dur mais pas grand chose ne ma plue et que icarus c'etait bien mieux alors ... c'est mieux initial D?

[Scalp]

Initial D c'est encore plus pourri ( y doit y avoir ma critique de référencer ).

[Heatmann]

effectivement jvient d aller lire ca.. , et ben , pas fameux tout ca .....

si ca interresse quelqu'un mon confession of pain degouter au vue des acteur et de la team

[Scalp]

Kaneshiro je l'ai trouvé particulièrement mauvais dans ce film.

[Heatmann]

ah bah il c'est dit que c etait du role torturer tu voit donc faut la jouer profond et grandiloquent . y aura pptetre de l award a la clef !!.. jl aime bien le takeshi , mais c est pas loin du cabotinage oui

[Heatmann]

LE COMBAT DES MAITRES

6.5/10

Bon ben pas mal du tout , mais sur celui la j'en doutais pas vraiment, je prefere un poil 2 heros quand meme car il est plus rythmer , plus de fight , mais c est quand meme tres plaisant car y a bcp d'entreinement , du bien bon kung fu pian de ce bon gars qu'est lui chia lang , real des 8 diagramme qui est toujour un des mes SB prefere perso , e tpis tout les film avec wong fai hong quej ai vue je kiff , un super perso, et pis y en a des tonne de film , et meme a part les OUATIC et drunken master y en a plein d autre de bon , le sympa fist of red dragon avec donnie , dasn iron monkey aussi , claws of steel pas mal avec jet pis magnificient butcher avec sammo .

dans mon fameux bouquin qui est devenu ma bible de chevet , y ena meme + de 100 de referecner et meme des serie tv !!.la pour changer on ne suit pas un Wong comme un combattant age, mais on nous raconte pluto ses jeunes annes, celles de la formation d’un futur maitre. c'est toujour cool a l ecran les entreinement . liu a bien appris a l ecole de chang cheh , la il choisit de montrer un personnage loin du combattant invincible et du medecin accompli qu'on connait , en tout ca pour moi , et pis c'est aussi et surtout le 1er grand role de Gordon Liu , il sen sort pas trop mal en acting , par contre il a deja rien a prouver nivo martial . Les amateurs d’action pure sront peut-etre un poils decut par cet opus, qui s’interesse pour l’essentiel a la formation et l’entrainement, ainsi qu’a la philosophie martiale.

liu reste fidele au persos et sa legende , et distille la morale de Confucius qui est sienne , c'est la seule chose que j ai retenue du film avec yun fat : tuer son adversaire n’est pas le vaincre, le but est de l’amener a changer , en gros Moins de coups, plus de compassion . l’affrontement de Wong et de l’assassin de son ennemi sfinira d’ailleurs sur un geste de grand pardon, et en soignant la jambe peter de son adversaire, il annonce egalement son avenir de medecin. bon y a quand meme quelkque sequences d’action, et surtout 2 splendides affrontements au bâton
bn voila , apres techniquemen comme on peu s y attendre avec les talent impliquer, c est nickel . bonne choregraphie, filmer avec soint , juste un bemol pour les combat peu nombreux mais surtout un peu trop court . entre les rare mise sur la gueule , le voyage initatique se taille la plus grosse part du gateau . c'est prenant tout de meme et le philo tres cool et zen passe bien et change un peu des bourrin qui veule juste devenir les maitres les plus puissant .

bon ben allez je vais mettre la suite , avec la meme equipe , martial club qui s anonce aussi bien , avec un touche de comedy kung fu mais surtout bcp de demo martial et de baston !! en tout cas tout ce que j ai vue de ce real j aime bcp , 36 chamber se presente plus , le shaolin avec jet est excellent , le wong fei hung bourrer avec jacky est un classic . pas encore vue les 18 arme du kung fu ou drunken monkey .

[Scalp]

Tient je l'ai maté aujourd'hui celui là, ma critique est prête ( je suis moins prolixe que toi ) et j'ai mit 7.

[Heatmann]

oula , suis prolixe moi ... l'avait vue ily a quelque jour avec les autre de la page precedente , du coup le poste maintenant . j'aurai pue mettre 7 aussi , mais pour rester dans mon bareme c'est en dessou de 2 heros et c est comme frere de sang

c'etait bien , vais mater l'autre du coffret maintenant , martial club

[Heatmann]

LA RAFLE

3/10

Putain c'est long mai j ai l'impression qu il fallait que je me justifier d avoir trouver le film presque totalement imbuvable et grotesque , pourtant J'y allait vraiment de bon cœur , plein de bonne volontiers , j'aime bcp de film qui parle de se sujet, cette époque , français ou autre peut importe , j'ai pas de réticence particulière avec le cine frenchy . j'hésitais pour la notation de toute façon bien subjective et toujours perso , mais au final j ai trancher et ce sera 3 , comme pour le eastwood sur mandela, car le deux film sont proche pour moi , c'est a dire des sujet qui sont passionnant , prenant , fort , puissant , sur le papier et en reel , et au vue des talent impliquer on est en droit d'attendre un traitement adulte et sans concession , hors ces 2 film se révèle être des gros pensum démonstratif qui laisse un affeux gout , les bon sentiment formater et trop naive se conjugue sans émotion avec l'horreur des propos.

alors oui le fillm a des intention tres louable et peut etre trop ambitieux pour le 1er fillm de la réalisatrice . rendre hommage aux victimes françaises de l’un des plus grands crimes contre l’humanite et temoigner de ce drame .... la real et son producteur de mari arrive apres que deja bcp de film ai traiter du sujet avec énormément de talent et de reussite , c'est donc avec bcp de courage et de couille qu il fallait livrer un truc au moins aussi réussi . trop ample , trop amitieux , pas assez de subtiliter , elle evite jamais aucun ecueil inherent du genre .
Bien sur, un film ultra didactique, bourrer d'anachronisme , mal documenter et qui tourne quelque fait a son avantage pour servir son propos n’est pas nécessairement incompatible avec une reflexion esthétique et cinématographique . la , Force est helas de constater que le film est plomber dejas par la pesanteur de la reconstitution, et empetrer dans une certaine raideur démonstrative. avec tout de même un poil plus de reussite , le moyen l'armer du crime évitait pas non plus les meme faux pas et le vouloir dire .

le film est jamais original , il applique les recettes de ses prédécesseurs sans une once de personnalité , tu roule des yeux tout du long et a la fin c'est juste un enieme film de plus sur le genre . Du coup, chaque scene de cette Rafle donne l’impression d’avoir deje ete vue mille fois, et pis semble renvoyer qu’a d’autres images, et pas au drame historique qu iles essayen de reconsituer. bon au nivo logistic c'est du grso budget , avec la reconstitution d epoque, les decors , les costume les figuration ect c'est presque trop lisse , ultra academique , terriblement scolaire , tout est a sa place, rien ne dpasse, rien ne vit ni ne vibre, pas d ame. les violons jouent au moment ou ils faut , jean reno est toujour auissi mono-expressif et déblatère son texte en articulant bien tout les mot comme un gentil eleve , melanie laurent fait la meme chose a chaque film , et a l'air de la faire chier d etre la , ils jouent role avec une application un peu laborieuse

La construction du film est binaire et prévisible . on se tape une intro genre pud knaki herta avec l’insouciance des gamin et les scenes de bonheur domestique terriblement cliches,et puis arrive la fameuse rafle et la lente descente au enfer le tout lourdinguement appuyer par la bo de phillip glass peu inspirer
on pourrI comprendre que la rela veuilel s attarde rsur le sort poignant des gamin , mais putain un peu de subtilité . ils on tous des bouilles adorables , un tentiniet exagerer sur le coter mignon genre le chat dans shrek qui fait ces yeux qui pleure et le choix d'epargner a nono l’horreur des fait et de le faire reapparaetre alors qu’on le pensait disparu a Auschwitz pour vouloir rassurer son public en lui servant sa dose d’attendrissement et d’espoir, c'est un choix surprenant et pas forcement bienvenu etant donne le sujet . ca doit etre des contrainte de producteur pour pas trop choquer et il faut arreter d etre naife mais cest pour etre aussi commercial , alors que putain un film sur la rafle nivo espoir et commercial c etait carrment pas l optique a suivre ..

Roselyne Bosch est donc aussi maladroite que sincere , putain mais faut voir comment elle use d’images bien trop propres et leches pour montrer l’horreur des camps , c'est limite super chiades , wtf ?? du coup c est bien Difficile en effet d’evoquer la promiscuite, le manque d’hygiene, la faim et le desespoir absolu quand , comme elle l'avoue elle meme en interview , tu choisit de prendre une approche visuel ameli pouliesque , vla l elegence mal placer .... la comparaison avec les plans sobres, fugaces et terriblement marquants des moment de Liberter est ecrasante. laval , le marechal petain et hitler sont tres mal jouer, leur scene de dialogues mal fichues, ces scenes sonnent terriblement faux et on en vient a se dire que ce n’est pas l’extermination elle-meme qui est irrepresentable, mais plutet les discussions et les tractations politiques qui la planifient et l’organisent ! la scnes ou l acteur piteusement grime en hitler qui s’apitoye sur le sort des animaux de boucherie est d un grotesque .

bon allez 3 point pour la grosse production , c'est pluto documenter et donne une vision assez saine de la France occupe, loin de tout manicheisme ,les Français ne sont pas tous presentes comme des Justes, mais pas non plus comme d’infemes collabos , a ce titre mem esi la rafle pue du cul , ca pas aussi pire que le lamentable femme de l'ombre qui etait le neant du film francais sur ce theme . bon le loby de cine francais a placer les antisémites haineux comme cette boulangere caricaturalement antipathique, et de policiers au service d’officiers allemands sadiques et glaçants . alles et pour vincezo cocotti et lui montrer que j ai un grand coeur je veut bien admettre que le film met galement en scene une foule de resistants ordinaires, de braves gens que leur conscience amene a secourir leur prochain, a cacher les enfants de familles deportes rappelons que la France fut le pays occupe ou le plus d’enfants juifs on ete ainsi sauves de la barbarie nazie et c'est la le seul merite de ce film rate, que de ne pas totalement faillir a la mission pedagogique qu’il s’était fixe.

[Kakemono]

Bien bien tes dernières critiques.
Les 3 Royaumes je me susi prit une claque au ciné, faut absolument que je vois la version longue.
Faut que j'enrichisse aussi ma collection Shaw Brothers éditée par Wild Side, y'a de très bons titres dans le lot. J'en ai quelques uns mais pas assez a mon goût.

[Heatmann]

merci

red cliff en version longue tu sera mit sur orbite ! et oublie pas de venir en dire 2 mot e tposer ton 10 que le film est ca digne place plus haut dans le classement , je compte sur toi

les SB c'est comme une drogue douce , tu commence et tu peut ne pas en mater pendant quelque moi et quand tu recommence tu te souvient alors comment c'est trop bon si mes dernier avis peuvent t aider , j'en suit content .

dommage qu'au millieu me mes seagal , van damme , austin , stallon et film asiatique, t'a la rafle qui est venue cacher cette belle lancer de bon film a la suite .. bon y a eu aussi le dernier indy et clone wars , mais la pour le coup jme sui fait plaisir et amuser en ecrivant leur critique

[Alegas]

DESPERADO

7.5/10

completment Decomplexe et explosif, en meme temp comment ne pas l'etre vue les ambition du film et ces moyen . Desperado est tout autant la suite que le remake d’El Mariachi, realise deux ans plus tot et meme si c etait bourre de talent imagination et bonne volonter, cete relecture est quand meme meilleur a tout les nivo et la maturation et le pognon en plsu au ete tres benefique a l'idee de robert rodriguez pour pouvoir assouvir son trip. Une histoire de legende urbaine qui instore un mysterieux Mexicain, accompagne d’un etui a guitare bourrer de gun, en croisade contre des dealer de drogue. Son desir de vengeance n’a d’egal que son talent de mariachi, et son sex-appeal aqu il forme avec salma hayek est une grosse valeur ajouter qui ajoute mechament de la classe .

encore aujourdhuit le film a une peche et une fraicheur presque inedite et inesperee , c'est communicatif , et pour une fois dans un deriver de western d action , on oublie pas le glamour qui ici ne fait pas tache. rodriguez signe la un film tres couillu et prodigue, une des meilleur series B jouisif , cartoonesques et degrippes des 90's. Rodriguez se permet de jolies audaces visuelles, pleines de couleurs et d’excentricite, et etale franchement , au risque d’agacer les plus reac, toute sa culture et ses references. il est tres la l aise dans cette univers qu il a creer en s'inspirant de Leone, Woo et Peckinpah , Grace a une fraicheur et une sincerite salutaires, il n’imite ni ne parodie jamais ses modeles, tentant meme constamment de booster ses plans d’idees majorees et pis surotut maitrisant parfaitement l’espace et de son utilisation dans l’action jusqu’a son morcellement au montage , il livre une petite demi-douzaine de sequences de feu, ou rythme, musique, deflagrations et poussiere se confondent en un tout endiabler , maitriser , et juste trop kiffant .

Banderas qui danse sur un comptoir au rythme des pistoleros, un balai de feintes instinctivement choregraphier ... Salma Hayek chantonnant les yeux fermes, couvrant de sa douce voix les pas de gringos au gueule patibulaires armer jusqu’aux dent ... c'est tout autant de moments benis d’une fraicheur opportune et d’une candeur adolescente. RR prend soint de bien creer sa propre mythologie du heros sans nom ( bonjour eastwood), et y parvient sans mal et de facon tres convaincante grace au charme du banderas de l'epoque. tout comme dans d'autre films d’action testosterones et severement burnes, la figure du Mariachi sexy et cool, a de l’eclat et du panache.

Comme pour Le 13eme Guerrier , Banderas apporte a son perso une grace dans les mouvements, de la subtiliter dans ce sexpresiion et une sensualite dans le regard . dans les cascades comme dans les scenes de comedie qui lui conferent une aura singuliere. Desperado est ce que l’on peut faire de mieux en matiere de serie B d’action fauche et debrouillarde. Bien ser, le film est superficiellement ecrit , a part les repliques qui sont epargnes, avec notamment les excellents monologues de Buscemi et Tarantino, et l'intrigue pretexte a l’action fougueuse. Rodriguez confie la narration de son film au defilement des images et aux magnifiques morceaux de Los Lobos au lieu de structurer le tout autour d'un script dense et en fin de compte qui serait mal placer.

[Scalp]

Celui là ado j'ai dut le voir au moins 10 fois ( enfin certains passages plus que d'autres ), pas revu depuis 10 ans par contre.