ROCKY BALBOA
10/10
Les ancien contre les pti nouveau. Le vieux contre le jeune. Le classique contre le moderne… Jusque dans sa forme avec ce noir et blanc Vs couleur, ralentis Vs acceleres…, Rocky Balboa dernier opus d’une série a la sincérité indéniable, ne parle que de ça. Comme d'hab et comme le 5 , le film commence par un fight mais la , quelque chose a changer... Le noir et blanc cede progressivement la place a la couleur. Le filmage, la photo, c'es tpas ce a quoi Sly nous avait habitues et ce combat se rapproche plutot d’une retransmission tele. Les annes 80, epoque benie des Rocky 4 et Rambo 2, sont oubliees, et les annes 70 enterres. Nous sommes a l’heure de MTV et du satellite, la representation visuelle et avec elle l’œil du spectateur on changer, sly a changer, a vecut , et il va le faire sentir dans ce rocky 6 .
Sly est passer du sommet d'hollywood a has been , ex-legend qui a dumal a accroche rau wagon des annes 2000 qui apres de solide film au coures des 90's , se vera deliasser par un public et une nouvo cinema trop moderne pour lui,sfx etc... il va apparaitre dan taxi et prendre le 3 ou 4 eme role dans un spy kid , e tpis dtox et avenging angelo la c'est le fond du fond , allucinant de voir un monument dans de ce ptit film indigne de lui. comment boucler une boucle et redorer ces galon , en restant credible , honnete , La reponse sera foudroyante: au cours d’un combat final entre l’ancien et le moderne, symbolises notamment par cette contamination progressive du noir et blanc par la couleur, le corps de Sly, energiquement, se reveil , bouge , revitt, s’ebranle, liberant la bete qui le ronge( comme quand il l explique a paulie dans une sublime scnes ), bouleversant les pronostics, se synchronisant avec ce qui l’entoure. Deplacer a Vegas, finit les salle de philadelphia , filmer nerveusement , immersivement, ce dernier combat represente tout du dernier adversaire a battre a surmonter , pour rocky et sly , afin de se liberer et pouvoire continuer d aller de l'avant .
Si rien n’a changer en apparence au debut , Rocky vit pauvrement a Philadelphia, croise Paulie de temps a autre, porte un chapeau, court avec son chien, le film s’ouvre sur des plans de la ville rythmers par la musique Take you back, il ne manque que adrian . On pourra caricaturer a foison Stallone, la bouche en biais, le visage en sang, hurlant le nom d adrian , mais reste que ce perso et sans doute un des plus beau de la serie, pas trop en soit mais par ce qu il represente pour rocky . ben ouai c'es totu pour lui , Sans Adrian, et le soupçon de fierte qu’elle lui apporte , c'est cramer pour rocky. la elle est plus la , Foudroye par un cancer, elle est morte quelques annes auparavant, et le film commence par une autre scene magnifique ( ben enfait c est ca rocky balboa , une succesion de scnes mangifique , touchante , humble , trepidante , normal qu une foi le film fini on soit emerveile et emoustiller ! ) dans laquelle Stallone rend visite a la tombe de sa femme. c'est simple , touchant et putain linterpretation flingue ! aussi une superbe petite BO discrete et subtile .
Reste la figure de l’absente. la replique "Adrian’s gone but she ain’t gone" prend un tout autre sens , Hanter par le souvenir de sa femme, Rocky n’en finit plus de retourner sur les lieux du passer, ceux ou il l’a rencontre, ou il l’a embrasse pour la premiere fois, effectuant un troublant pelerinage sur les traces du premier film, au detour d’une scene bouleversante. plus qu un echo au 1er film, c'est le complement parfait , apres des episode clinquant , fun , pop corn a sont top , vla qu on revient dans la tragique , serieux , frois, un vrai drame avec un peu de boxe dedans et des persos en or , ecrit avec amour .
Ce film s'adresse a tous ceux qui vibrent lorsque les lettre R-O-C-K-Y du titre apparaissent sur la sublime partition de Bill Conti qui continue de nous mettre la chair de poule , tu a gone lfying now dans ton mp3 en allant au boulot la matin ? tu voit donc ce que je veut dire ! a tous ceux qui ont decouvert la serie du haut de leur 10 ans et ont depuis vu chaque episode des dizaines de fois; a tous ceux qui ont compris que l'interet de la serie n'était certainement pas dans ses combats de boxe, qui jamais n'atteignent la force visuelle d'un Raging Bull ou d'un Ali.
Rocky Balboa c'est pas un film sur la boxe. Ce n'est pas Rocky 6 non plus. c'est pa sun vehicule pour la gloire de sly ou essayer de percer a nouvo , c'es tun chant du signe d'un personnage legendaire, super beau , emouvant , juste , cinematographjiquement elever , C'est un film magnifique, melancolique, sur un homme qui a tout perdu, qui tente de survivre comme il peut, au milieu des rares amis qu'il lui reste et qui eux aussi sont de vrais dinosaures comme surnomer par le commentateur , et d'un monde qu'il ne comprend plus. Rocky Balboa, c'est Stallone en larmes qui parle de son amour perdu et de la rage qui le ronge , et ca moi ca me troue le cul , c'est Stallone emu qui explique a son fils que le courage, ce n'est pas de savoir cogner, mais de recevoir les coups et d’avancer malgre tout , c'est Stallone en furie dans un combat de boxe a l'issue aussi intelligente que splendide , c'est Stallone aussi fantomatique qu'un Clint Eastwood magistrale dans million dollar baby qui est est un sublime cousin eloigner, dans sa meilleure performance depuis Copland. C'est un putain de film qui vous fout la boule dans la gorge et vous terrasse litteralement lors de plusieurs scenes et d'un generique final fausse bonne idee mais qui se termine par un plan magnifique. Rocky Balboa, c'est Stallone hurlant a la face du monde qu’il existe toujours en tant qu'acteur et, en tant que metteur en scène. Rocky Balboa, c’est tout simplement le retour sur le devant de la scene d’un acteur oublier, moquer, dont la rage de vivre donne des frissons. Ça sonne comme d’emouvantes retrouvailles? et bien C’en est .