THE KILLER
10/10
Pff faire une critique de the killer parceque je vient encore de le revoir en blu ray ( pas grosse demo image mais un lifting qui fait du bien ) , c'est dur , mais bon comme il est pas referencer je vais essayer de laisser ma trace . tout a ete dit , et peros je m'en cogne des critique ou avis genreaux , moi je cause a mon nivo a moi , expendables ca claque mechament , je le crie sur les toit , heat c'est le meilleur film du monde , fact , et , et , et ... the killer pas loin ( quoi que a choisir je prefere hard boiled mais bon entre la perfection et la la magnifissance ) !! ben ouai c'est plus on le revoit plus on se rend compte . un bijou du polar comme on n’en avait jamais vu alors , un monument du film d'action , du gun fight, de la classe sur pellicule . Vingt ans apres, The Killer retient toujour son pouvoir de fascination, surtout parce que l’art de John Woo s’y exerce comme rarement aussi intensement dans sa filmographie , ( hard boiled c'es tplus rentre dedand , la c'est lyrique , poetique ) l’art d’un cineaste dont le plus grand talent est certainement d’avoir toujours su accorder sans fausse note le cinema d’auteur et divertissement , si si !!
quan sort le killer , Woo n’en est certes pas a son 1er d’essai. Sans compter ses nombreuses participations a des films de commande, il a deja signe les 2 Syndicat du crime ( tin faut que je les revoi et me prenne le coffret hkv , mes dvd sont degeulasse ) , diptyque extraordinaire s'il en ait ! th ekiller c est vraiment le 1er quia permit a woo d etre reconnue un peu plus internationalement , certe , et merci pour ca quoi , mais egalement, et surtout, celui qui condense avec l’intensite emotionel ( moin d'emotion dans hard boiled mais plus de munition ) la plus forte, la virtuosite la plus remarquable presents chez le realisateur. d'ailleur a ce propos , la version longue de red cliff ( ma critique arrive , car revue a moiter , ce soir c'est la 2em partie apres je m attele a la review ) aura besoin de temp mais je pense que ca va pas etre loin dans l'oeuvre de woo pour etre reconnue presque au meme nivo , et pour pouvoir, eventuellement, supplanter le film qui reste le magnum opus inconteste de John Woo : The Killer.
Chow Yun-Fat est imperial dans son rôoe de tueur rongr par le remord et sa volonte de rendre la vue a la femme qu'il a aveugler par accident . Et le coter chevaleresque n'en reste pas la grace a la relation entre le tueur et le flic , opposés par leur fonction, ils en vienne finalement a s'estimer l'un l'autre et a briser les barrières qui les separent. Des les premieres images, on est bluffes par la perfection de la mise en scene et du montage.
a bien y regarder et ewn extrapolant un chouilla , l’intrigue ressemble a celle des red cliff , a une subtile difference. Le triomphe de ceux qui tienne la Falaise Rouge contre Cao Cao tient a ce que les militaires ne contestet jamais le pouvoir imperial du royaume du nord, mais celui du ministre corrompu. ok . Une grande partie du film tourne ainsi autour de la presentation des forces en presence . un luxe que ne s’offre jamais The Killer, meme si la dynamique narrative reste la meme. ben si , tient , Ainsi, on ne sait rien du tueur Ah Jong , de son frere d’armes Fung Sei ou de l’inspecteur Li. Pourquoi en sont il la ou il en sont ? l’un du coter de la loi, les autresdes hitman ? quid de leur passer , , qu’est-ce qui pousse Ah Jong a vouloir decrocher, quel accident a coute sa fierte a Fung Sei ?
Et surtout, quel est ce monde dont la nostalgie impregne chacune des penses des protagonistes ?. La relation entre l’inspecteur et l’assassin c'est un peu la la concrétisation de cette nostalgie , Li se rend compte qu’Ah Jong vit selon les codes qu’il aimerait respecter . lui aussi, et met de coter sa croisade justiciere moderne super styler ! proceduriere certe et purement legislative, pour une justice plus rude, plus fatale, mais aussi plus exaltante et je le dit encor eune fois ici : Which looks cool on the screen !!
Cineaste quand meme misogyne jusqu’a recemment il faut l acvouer (ya que red cliff qui vient changer sa et donne un vrai place au femme), Woo cantonne son monde existant a ces deux hommes .Woo lui-meme est un amateur avoue d’un cinema disparu depuis, auquel il rendait hommage dans l’un des wuxia pian du debut de sa carrière, La Dernière Chevalerie , meconnue , qu ej ai vue pour first time il y a peu et qui tue !! La encore, l’ide de fin d’une ere est tres presente, et le diptyque des deux hommes en perpetuelle opposition/admiration contient l’entiere mécanique narrative du cineaste.
Peu importe, finalement, les armes et les costumes et les epoque . les personnages developps par Woo dans The Killer tienne de la destine. D’une puissance surnaturelle, ils sont a la fois conscient de leur propre tragedie, et un peu du besoin de cette tragedie. Ah Jong meurt aveugle, sans avoir pu serrer dans ses bras celle qui represente tout pour lui, a la fois son amour et son honneur d’homme , quand l’inspecteur Li voit sa carriere brise, ses ideaux en lambeau, l’important c'est jamais qu’il s’en sortent, car les perso sont intrinsequement conscients qu'il fasse bien raconter l’histoire, quel qu’en soit le pri pour eu !!. le monde , la mytologie , creer par Woo c'est un peu un truc idealist e, mais bon on le connait comme ca le bonhomme , c est avant tout celui de heros plus grandioses, plus glorieux, plus romanesques que possbile.
Ca se rejoitn pour Les heros des better tomorow , commepour bulltet in the head , c exactement de la meme façon , les hero wooien 9 ca se dit ? !!) possedent une reelle dimension humaine qui va disparait des qu’il se voie pris par la necessitr de l’héroisme au millieur De la sueur, du sang, des larmes et des colombes of course !
The Killer condense toutes les money shot , les gimmick , les inspiaration , la plastique et les thems qu’on peut trouver chez son auteur , choregraphies martiales frenetiques , instinctive (tmouahahahah la triple roulade impromptue qui ouvre la fusillade de la plage !! ), voles de balle ininterrompu et multidirectionnelles, jaillissements de sang. a ce bouillonnement non stop , la mise en scene elle , est toujour en accord et refleichis avec l’espace et le rythme et donne toute sa lisibilite et son ampleur cinetique.
tin la scnes ou sequence ou tu voit Ah Jong qui y commence par deambuler dans un hotel, silencieux et elegant, une echarpe blanche autour du cou, a l’ecoute de la voix de la chanteuse, furtif , discret , tu le remarque pas a trver les autre gens . Puis il frappe a une porte. On ouvre. Et l a, en un seul plan prive de transition (on decouvre l’arme qu’Ah Jong a en main, il tire, il tue), l’atmosphere de detente bascule dans la frenesie. Le simple raccord abrupt sur ce plan au ralenti annonciateur d’un massacre, en plus de rendre d’entre de jeu a la violence son caractere brutal et perturbateur . c'est la qu'on voit que l’elegance de poseur , comtenplative , materialiserpar le costume blanc , est clasher avec la viloeknc e, la furi et c'est la aussi le clash entre les 2 plusa grand influecen revendiquer de woo , a l afoi d' un coter la clasee epurer silencieuse chez Melville et le lyrisme de la mise en scene de la violence de Peckinpah.
y a donc 20 ans entre The Killer et Les Trois Royaumes mais la parenter entre les 2 films apparait evidente. 20 ans pendant lesquels beaucoup plus ou moins inspires, se sont essayer a reproduire un style si particulier , combien de clone de woo ?le retour du real dans red cliff a ce qui a fait de The Killer certainement son film le plus important et personnel . le respect du recit , des persos . on change les gun fight par des bataille a l arme blanche , les acteur eu reste toujoru aussi imperieux , sublime .