[Heatmann] Mes Critiques en 2010

[Milkshake]

Bien d'accord avec ta critique The Gost Writer le final est bien décevant oui c'est adapté d'un écrivain très lambda Robert Harris qui a touché au scénario même si ça reste efficace, que tout le monde joue bien, le film montre les limites en terme de réalisation de Polanski.

[Scalp]

Polanski ça a jamais été un génie de la mise en scène, genre Chinatown sont sois disant chef d'oeuvre c'est assez basique.

[Milkshake]

Moi aussi tout les films que j'ai vu de lui c'est toujours filmé de manière pépère et trop classique, en terme de réalisation pure c'est un gars ultra surestimé parce que dans Ghost Writer tu enlève le décors du loft sur l'ile qui rend vraiment bien à l'écran bai le reste du temps en terme d'idée de réalisation c'est le néant, ça se suit bien mais c'est tout. A l'image de sa carrière.

Et Chinatown quand je l'ai vu il y a plusieurs années j'avais trouvé d'un chiant.

[Heatmann]

ouai on est bien d'accord

ghost writer c'est bien , rien a dire , mais c'es tout , tin au vue des critique( us ou uk ou fr hein ) qui se sont palucher la decut ( mais l'actu de vieux polak a du jouer la dessus ,c'est pas possible autrement ) je m attendai a ultime comme annonce , et carrement pas . genre state of play ca ma fait bcp bcp plus d effet .
Comme tu dit , et je le souligne dans mon avis , tin tu resent l age du bonhomme qui etait deja pas un virtuose de la mise en image , c'est bien pepere et oui sans le loft et l'ile , il reste pas grand chose . ca dure trop longtemp pour un intrigue finalement pas tres compliquer , bon ca va quand meme faut pas faire la fine bouche , mais oui 6.5 quoi , bien , pas super .

[Heatmann]

LES TROIS JOURS DU CONDOR

8/10

Quelle bonne idee que de Tourner le film quelques mois seulement juste apres le scandale du Watergate, toute la team etait alor encore ne pleine parano et eta d esprit tres suspicieux , ca a du bien servir a mettre dans le bain et faire que lon resent tout ca , Les Trois Jours du Condor adaptent donc un roman ecrit par un journaliste d’investigation. Redford, simple employe de la CIA, poursuivi par une force invisible, parcourt New York en quete d’un retour a l’ordre qui semble relever d’une epoque révolue....
En pur produit de son epoque, Les 3 Jours du Condor est au final clairement a ranger dans le haut du panier des thriller paranoïaque et politique a cotes de Marathon Man , le genial Conversation secrète de coppola ou meme Les Hommes du Président .

Dans tous ces films profondement impregner du scandale du Watergate, ona toujour ou presque un homme seul qui se trouve au centre d’une conspiration dont il ne cerne ne les enjeux, ni l’ampleur. le 1er qui me cite la firme il me parle plus et qudn je lit que ghost writer c'est du meme acabit , je m'insurge !!
Condor est le nom de code du jeune ecrivain , redford, qui pour gagner sa vie bosse aussi a la cia et son taf consiste a lire toute la litterature d’espionnage mondiale afin d’y decouvrir d’hypothetiques messages codes qui impliquerai de possible menace exterieures a l’encontre des USA !! genail comme boulot et pis ca creer direct une attrait et un interet enorme au film on est captiver , c;est dingue !

Un jour, la fiction rejoint la realiter alors quil part pour bouffer,, redford retrouve les cadavres de toute sa minuscule et confidentielle antenne des services secrets. Lorsque l’on mene une vie de mensonge et de dissimulation, comment savoir a qui confier la veriter le jour ou cela devient vital ? l
ya chez le perso de redford pas mal de ressemblance ave cle perso de cary grant dans north by northwest , il apparait au premier abord comme un mec insignifiant, risible sur sa mobylette, limite invisible, banal , faisant preuve d’un humour potache pas toujours apprecier de ses collegues. Bref, en gros il voulait jsute bouffer ces sandwich qu il etait partie acheter , et non pas demanteler toute une machination qui implique les plus hauts representants des institutions americaines.!!! Comme Cary Grant, il veut pas croire a cqui lui arrive et reste persuader pendant une bonne partie du film que tout ce malentendu prendra fin bien vite quand il aura trouver la bonne oreille pour l’ecouter.

Dans son aventure, redford va apprend progressivement qu’il sait rien sur personne, qu’il aurait bien tort de faire confiance a quiquonque. La parano devient alors la seule attitude pour sa survie. Tout ce qui l’entoure eveille ca mefiance, jusqu’a une femme qui pousse un landau.... Craignant le danger de partout, c'est vachement bien rendue , la tension et les soupson s'empare du specateur , bravo !
Condor s’engage donc dans une fuite permanente dans New York, filmer comme une ville bien abstrait, peuple de decors aux contours geometriques, comme le muse Guggenheim ou le grand hall de la CIA. ce sera repris il y a peu dans the interntional , l architechture des batiment et l environement urbain est dans ces 2 film tres imporetante, mis en avant et evoque pas mal de chose . ainsi La plupart des toiles de fond sur lesquelles evolue les person evoquent des ramifications ... les branches d’arbre sans feuille, une grande carte du monde clignotante, les lignes de telephoniques, les grands reseaux autoroutiers. Dans cet univer tout est prevu pour la communication, Pis sur l'image elle meme L’utilisation des fonds flous ou en aplats unis reussisse fotn contraster encor eplus les perso par rapporte a leur environnem on a bien compris la metaphore .plus le sperso plonge dans un bordel inamaginabl eplus on les suit au fond de ces meandre et plus le monde leur parait futile et faux . Pour suivre le Condor, il faut prendre plaisir a se laisser bringuebaler avec lui, quitte a ce que l’aventure se termine en forme de point d’interrogation...

Redfors est super, classe, rien a dire , pis bon face a lui Max von Sydow est inquietant de froideur et de cynisme , en bad guy c'est un peu le top quand meme lui ! Pollack signe un belle mise en scnes toute en double sens comme evoque rplus haut, on sent bien que le perso est enfemrer cette pourtant grand ville ouverte , c'est juste dommage quon se tape une petit love sotry bien inutile avec dunuway
Pollack sait exploiter les decors pour mieux faire ressortir la detresse du heros et pis la jolie photo bien authentique , urbaine , realiste , ne fait pas dans le beau thriller sur papier classer, c'est les 70';s et ca se voit , et pis meme les petit pointe d action sopnt sympa , le combat dans l'appartement de Cathy est superbement choregraphie , on dirai du bourne begins ! un film d'espionnage brillant formellement tres reussi avec un suspense qui tient en haleine. bon moi la fin ultra obscure m a donner une legere impression d'inachever quand meme

[Scalp]

Ouep du grand film d'espionnage à voir et à revoir.

[Heatmann]

ouai , 1er fois que je le voyait , excellent , et pis quesque j'aime ce gewnre de film mais surtout de cette epoque quoi , c'etait l age d'or . et tu fait bien de de a revoir car la fin m'a laissez sur ma faim justement ,faut que je denoue tout ca un peut plus en profondeur le petit blur ay est bien sympas, pas grandiose , mais ca apporte un super confort

[Scalp]

Moi j'adore la fin avec Redford et Von Sydow.

[Heatmann]

ouai ca claque comme tout le film , mais je sait pas si j'etait un peu ramolie du cerveau , mais j 'ai pas trouver ca tres clair , vraiment obscure, presque sans reel denouement .. un gros point d interrogation , enfin c'est peut etre aussi ca le but ... on est dan sle meme etat d esprit que condor quoi , rah tres fort !!

[Scalp]

Oue c'est le but, le film se termine comme ça en nous laissant dans le doute.

[Heatmann]

THE CROSSING GUARD

4/10

Un film dramatique au emotion a fleur de peau , teinter de film noir , voyage au bout de la rancoeur , la redemption , toujour bien efficasse et avec quelque gros atouts , le dessus il y a rien a dire , cependant je le revoit largement a la baisse .
Oui je ne l'avait vue qu'une seule fois et il y a tres longtemp , j'etait alors bien jeune et logiqeumetn vue bien peu de film pour comparer et bcp moin de "connaissance" en la matiere. SI on m'aurait demander hier ce que je pense de crossing guard , ben je me serai baser sur mon souvenir lointain et bien encrer , c'est a dire que c'est excellent et sans reproche , 8/10 easy , et ben hier soir , c'est plus du tout ca .

Disont le tout de suite ca reste quand meme assez bon , mais il y a plein de defaut et de truc bien bancal et douteux , ca me saute au yeux maitenant et le visionnage na pas ete sans critique ou meme petit coup d'oeil a ma montre ...
Deja ca se paye un sale vieux look bien ringuard de mauvais telefilm de seconde partie de soire . si si , alors la sur le plan estetique c'est tres laid . Ca a pris un coup de vieux immense , bien has-been et juste un rendu amateur qui aide pas a rentrer dans le trip que penn essaye par tout les moyen a nous faire comprendre que c'est torturer .

Ensuite ben la mise en scnes est bien plate et pas assurer elle non plus , c'etait deja mon plus grand reproche sur indian runner ( que je prefere a ce crossing guard au final ) , un bon film , bien ecrit et interpreter mais gacher par une realisation tres moyenne , ou penn utilise a outrance des ralentie inutile, moche , qui insiste bien trop sur des element dramatique , pis des gros plan hazardeu , bref , c'est un peu tape a l'oeil , experimental et surtout vain . Ces 2 premier film donc ce demarque vraiment , et de tres loin de ces 2 dernier sur la plan purement visuel et plastic , peut etre a t il ecouter les nombreuse critique fait a ce sujet . Non parceque the pledge et into the wild tu dirait plue du tout le meme realisateur et c'est pour moi mes film favoris du mec .

Ensuite bon les persos individuellement sont super bien traiter et on droit a des dialogue et des scenes de face a face toujour aussi poignante , troublante et dechirante , mais pour ce qui est des montage en parrallele avecd nicholson qui se tape des pute et du JD en slow motion dans un club a l'eclairage et music ringuard et en parralelle super pas subtile du tout tu voit david morse qui essaye de reprendre une vie normal , ne s'autorise aucune joie, lutte pour se regarder en face ect ... 1 fois ca va on a compris , mais quand penn nous le refait de la meme maniere 4 fois de suite c'est relou et tourne en rond .
C'est donc vraiment l'histoire de ces 2 mecs , eux ils sont vraiment imperiaux , les interpretation de jack et morse c'est du beton armer, un show a ne pas louper . ils cree des persos tres complex , uen vraie psychologie , des sentiment reel qui transparaisse mangifiquement et pis leur relation et echanges sont ce qui fait vraiment avancer le film . Morse est hanter par ce qu'il a fait , cherche une redemtpion , accept sont destin , mais va peut a peut s'autoriser de "revivre" , son physique super imposant fait que il en impose grave ...physiquement !!!! ben oui quoi ca joue bcp !

et pis ben nicholson l ac'est vriamnet un regal de le voir a chacune de ces apparition , deja j e suis assez fan de lui , mais la il est vriament bluffant ,c'est un volcan en constante eruption , il ne reagit que par pulsion , au resto, arreter au bord de la route par un flic , chez son ex femme ect , une crise existentiel comprehensive qui le ronge , dommage que ca passe par l'insistance de penn a en faire du sensationalisme exprimental un peu pompeux .
Bon a coter d'eux angelica huston et robin wright sont bien fadasse et on pas grand chose a dire , c'est juste des faire valoir pour leur amant , et c'est la aussi un peu trop de faciliter . Le rythme et l'atmosphere pesante general contribue bien a se mettre dans le bain , et le titre de springsteen est toujour aussi sublime .

[Scalp]

Ah bein dans mes souvenirs aussi ça vaut 8, mais bon ça remonte à loin

[Alegas]

Découvert en début d'année, je donnerais sensiblement la même note.

[Heatmann]

on est un peu dans le meme cas de figure quoi ! ben ouai comme je l explique , j en avait un super souvenir , et ca reste quand meme bien , mais en gros c'est des bon perso ,b ien ecrit , bon dialogues, superbe casting et performance , un film lugubre, touchant , noir , mais bon un traitement un peu grandiloquent et cherhce le sensationlisme et pis plomber par un look ringuard et une mise en scnes peu inspirer et abus d'effet maladroit .

[Milkshake]

Ouai les trois jours du condor c'est vraiment un classique du film d'espionnage l'amourette est un peu superflu mais le côté paranoïaque est très bien retranscrit un classique du genre d'ailleurs l'auteur du bouquin a fait un bon nombre de bon livres.