LES TROIS JOURS DU CONDOR
8/10
Quelle bonne idee que de Tourner le film quelques mois seulement juste apres le scandale du Watergate, toute la team etait alor encore ne pleine parano et eta d esprit tres suspicieux , ca a du bien servir a mettre dans le bain et faire que lon resent tout ca , Les Trois Jours du Condor adaptent donc un roman ecrit par un journaliste d’investigation. Redford, simple employe de la CIA, poursuivi par une force invisible, parcourt New York en quete d’un retour a l’ordre qui semble relever d’une epoque révolue....
En pur produit de son epoque, Les 3 Jours du Condor est au final clairement a ranger dans le haut du panier des thriller paranoïaque et politique a cotes de Marathon Man , le genial Conversation secrète de coppola ou meme Les Hommes du Président .
Dans tous ces films profondement impregner du scandale du Watergate, ona toujour ou presque un homme seul qui se trouve au centre d’une conspiration dont il ne cerne ne les enjeux, ni l’ampleur. le 1er qui me cite la firme il me parle plus et qudn je lit que ghost writer c'est du meme acabit , je m'insurge !!
Condor est le nom de code du jeune ecrivain , redford, qui pour gagner sa vie bosse aussi a la cia et son taf consiste a lire toute la litterature d’espionnage mondiale afin d’y decouvrir d’hypothetiques messages codes qui impliquerai de possible menace exterieures a l’encontre des USA !! genail comme boulot et pis ca creer direct une attrait et un interet enorme au film on est captiver , c;est dingue !
Un jour, la fiction rejoint la realiter alors quil part pour bouffer,, redford retrouve les cadavres de toute sa minuscule et confidentielle antenne des services secrets. Lorsque l’on mene une vie de mensonge et de dissimulation, comment savoir a qui confier la veriter le jour ou cela devient vital ? l
ya chez le perso de redford pas mal de ressemblance ave cle perso de cary grant dans north by northwest , il apparait au premier abord comme un mec insignifiant, risible sur sa mobylette, limite invisible, banal , faisant preuve d’un humour potache pas toujours apprecier de ses collegues. Bref, en gros il voulait jsute bouffer ces sandwich qu il etait partie acheter , et non pas demanteler toute une machination qui implique les plus hauts representants des institutions americaines.!!! Comme Cary Grant, il veut pas croire a cqui lui arrive et reste persuader pendant une bonne partie du film que tout ce malentendu prendra fin bien vite quand il aura trouver la bonne oreille pour l’ecouter.
Dans son aventure, redford va apprend progressivement qu’il sait rien sur personne, qu’il aurait bien tort de faire confiance a quiquonque. La parano devient alors la seule attitude pour sa survie. Tout ce qui l’entoure eveille ca mefiance, jusqu’a une femme qui pousse un landau.... Craignant le danger de partout, c'est vachement bien rendue , la tension et les soupson s'empare du specateur , bravo !
Condor s’engage donc dans une fuite permanente dans New York, filmer comme une ville bien abstrait, peuple de decors aux contours geometriques, comme le muse Guggenheim ou le grand hall de la CIA. ce sera repris il y a peu dans the interntional , l architechture des batiment et l environement urbain est dans ces 2 film tres imporetante, mis en avant et evoque pas mal de chose . ainsi La plupart des toiles de fond sur lesquelles evolue les person evoquent des ramifications ... les branches d’arbre sans feuille, une grande carte du monde clignotante, les lignes de telephoniques, les grands reseaux autoroutiers. Dans cet univer tout est prevu pour la communication, Pis sur l'image elle meme L’utilisation des fonds flous ou en aplats unis reussisse fotn contraster encor eplus les perso par rapporte a leur environnem on a bien compris la metaphore .plus le sperso plonge dans un bordel inamaginabl eplus on les suit au fond de ces meandre et plus le monde leur parait futile et faux . Pour suivre le Condor, il faut prendre plaisir a se laisser bringuebaler avec lui, quitte a ce que l’aventure se termine en forme de point d’interrogation...
Redfors est super, classe, rien a dire , pis bon face a lui Max von Sydow est inquietant de froideur et de cynisme , en bad guy c'est un peu le top quand meme lui ! Pollack signe un belle mise en scnes toute en double sens comme evoque rplus haut, on sent bien que le perso est enfemrer cette pourtant grand ville ouverte , c'est juste dommage quon se tape une petit love sotry bien inutile avec dunuway
Pollack sait exploiter les decors pour mieux faire ressortir la detresse du heros et pis la jolie photo bien authentique , urbaine , realiste , ne fait pas dans le beau thriller sur papier classer, c'est les 70';s et ca se voit , et pis meme les petit pointe d action sopnt sympa , le combat dans l'appartement de Cathy est superbement choregraphie , on dirai du bourne begins ! un film d'espionnage brillant formellement tres reussi avec un suspense qui tient en haleine. bon moi la fin ultra obscure m a donner une legere impression d'inachever quand meme