BLINDNESS
6/10
mouai mouai , c'est pas mal hein mais bon j'y ai pas vue le grand film d'anticipation apocalyptique que bcp on vue , je vais peut etre me sentir un peu seul sur ce coup la mais bon , il y a des bonnes choses , mais dans l'ensemble le film ne ma pas franchement convaincue .
Des l'intro avec Gros plan sur un feu de circulation. Orange. Klaxons. une voiture qui ne demare pas. Rouge. Vert. Quelquue chose d’anormal se passe, l’image et track sononre sont la pour nous mettre la puce à l’oreille. Le gros plan, tres gros, trop gros, prend tout le champ et empeche de voir. Les sons prennent trop d’espace : le leger tic fait par le passage du feux orange au feu rouge s’entend aussi bien que le vacarme des klaxons et des cris. D'emblée, on est plonge dans un univers de ou la perception des sens se verra distordue. On voit mal, on entend trop. le mec dans la voiture vient d'etre atteint de l'étrange mal blanc contagieux qui va pousser a l’affolemment de la population et des autorites. Comme des lepreux, les malades sont mit en quarantaine par des autorites demissionnaires ( ok c'est un partie pris mais on e ne verra jamais donc ce que fait reelement le gouvernement ect... a par lorsque danny glover apparait de nul part avec une radio juste pour raconter un peu de background , facile ) relegues dans un hopital abandonne , ils sont livre a eux meme et surveiller par des hommes armes, comme des bestiaux , ils vont devoir s'organise , vivre , survivre , bref ca rappelle a un peu evidement les camps de concentration .
cette longue intro m'a un peu souler par contre a partir du moment ou on est dans ce huit clos c'esrt deja plus prenant et couillue , on comprend enfin l'etendue des degat et ou le real veut en venir , le film y prend sa vrai teneur , etouffant, violent, repugnant. Le point de vue adopte est principalement celui de julianne moore , comme elle on est les seul a voir et donc temoin et juge direct . L’hopital se transforme en un rien de temps en unrepere de clodo qui donne envie de vomir, jonche d’immondices et de merde et de pisse dans lesquelles se vautrent les malades qui abandonner de leur repere confortable de la civilisation voit leurs insinct animal remonter a la surface , L’homme est un loup pour l’homme ect .. blablabla , la c'est quand meme bien representer , sur le forme j veut dire , biensure Meirelles a recourt abondamment a la surexposition, joue aussi du flou et du dedoublement mais c’est par l’attention portee a la bande son qu’il parvient le mieux a plonger le spectateur dans une sorte de semi-non-voyance. on est tour a tour a la place des aveugle , de moore ect .. rien a dire c'est riche et recherche , le film prend une sorte de dimension de fable metaphorique de sci-fi ( opposition dortoir 1 et 3 ) , la demission des politiques , pis la reflexion sur le pouvoir est bien lourd et enfantine , pis meireilles y va pas ave cle dos de la cuillier dans le demonstratif , ... le manicheisme deboule avec la troupe a ruffalo tres digne et honorable face au gros bourrin animaux et dictateur , c'est pas d une grand finesse ni bien subtil et on peut pas dire que le suspence est le point fort du film , par contre la , nivo interpretation c'est excellent rien a dire .
La deuxieme partie du film, alors que les malades retrouve leur liberte dans les rues desertees, parcourues de hordes d’aveugles affamestombe dans un scénario hollywoodien au rabais tout ce qu'il y a de plus convenue et se dirige ver la fin bien cul cul a la moral bidon . alors notre societer nous pousser a etre dependant de nos confort , on vie dans un monde pourri aussi amoral que lorsque on est demuni de nos sens , et une fois que les gens se mettent a retrouver leur vision c'est pour "voir " mais voir pour la 1er fois ( comme le dit si lourdement glover ) avec un regard neuf , wouahhh merci de la lecon .
L’histoire se passe dans un "Ailleur" spatio-temporel indefini. Alors oui, les images du film suscitent dans notre esprit une avalanche d’autree imagees, chargees, elle, d’un véritable poids historique ,l’hôpital evoque les camps de concentration et les rues desertes, les ruines, les aveugles errant en quete de nourriture, les morts manges par des chiens font surgir les images des lendemains des catastrophes naturelles, des attentats , mais faut pas crier au post-apo d'anticipation super bien travailler et profond tout de suite hein , moi je suis bien gene par l’absence d’ancrage concret ajouta a un souci trop ouvertement esthetique de l’image cinématographique a une attitude manieriste qui pousse la forme a prendre le dessus sur le fond. The constant gradner avait deja un coter "m-as tu vue ?" , la aussi c'est un peu le cas .