[Scalp] Mes critiques en 2010

[Scalp]

euh non Steven ça fait 10 ans qui courre plus dans ces films, y peut plus

[moricenlive]

Seagal c'est pas du fight ?

Seagal c'est des courses au ralenti, des images de l'armée incrusté par manque de budget et de belles tirades moralisatrice : un cocktail explosif pour se marrer.

Ha mais j'ai rien contre Seagal, je kiffe, et j'pense que j'vais autant kiffer NINJA une fois que je l'aurai savouré en entier.

[Heatmann]

ah captain conan pis tavernier c'est un mec en OR , il est souvent venue dans mon resto ( je sait pas ce qu il venat foutre la jai pas trop demander ) et c'est un mec super pas coincer , simple , abordable ... et c'est pas pour me faire mousser mais j'ai eu la chance de recevoir plusieur personalite du cinema et c'est un des plus "terre a terre " , pas comme d'autre ....

[Scalp]

Tavernier en plus il est passionnant a écouter parler.

[Heatmann]

ben c'est ca , j'ai fini quelque bouteille avec lui , et j aurait pue rester toute la nuit ..

[Scalp]

Oue bon moi c'est dans les dvd que je l'ai vu parler

[Heatmann]

ah bah moi j'avait encore mon tablier et pis je sentait le rotie mais bon quand un hotel t'appele pour reserver un table au nom de tavernier parcequ'il sait que le proprio du resto est francais ben je fait en sorte d'avoir la soire de libre sinon j'ai eu christopher walken super sympa , daniel auteill une vrai pute , alain delon est vraiment comme on l imagine , ray winstone tres sympa et pis il etait venue avec brian cox , bill clinton voulais que je ferme le resto pour lui , james mcavoy aussi mais j'etait en vacance ...

[Milkshake]

Maintenant si il faut dérouler la liste de célébrité que l'on a rencontré j'ai du lourd en stock ....

Tu fais quoi comme type de bouffe dans ton resto Heatmann, il va falloir noter l'adresse.

[Heatmann]

non mai la c est qu on parlai de tavernier qui est une des seul "personalite" reguliere chez moi .apres c est clair que mon parcour professionele [ geneve paris NY miami vegas london edinburgh) ma fait indirectment rencontrer plein de monde cine ou autre .en fait un topic pourrai etre sympa et fun en partagant nos rencontre et experience

[jean-michel]

cool! moi personne!

[moricenlive]

Moi moi.

[jean-michel]

z'êtes pas sur dvdclassik vous par hasard!! vu un topic comme cela sur mon forum pour les vieilleries que j'aime!!

[droudrou]

euh non Steven ça fait 10 ans qui courre plus dans ces films, y peut plus

à propos de steven seagal

[Scalp]

Voyeur Stephan Elliott - 1999

" "L'Oeil", un agent des services secrets britanniques, enquête sur le chantage dont serait victime le fils d'un sénateur américain. Une certaine Joanna, aussi belle que dangereuse, serait le suspect numéro un. Lorsqu'elle commet son premier crime, la scène est si rapide que l'Oeil a juste le temps de la photographier. Le choc qu'il ressent n'est pas tant celui du meurtre qu'il découvre mais plutôt le développement de la photo, quand se superpose l'image fantômatique de sa propre fille."

Adaptation du roman de Marc Behm qui a déjà connu une adaptation avec Mortelle Randonnée de Miller.
Drôle de film que voilà, j'ai pas vraiment compris les motivations des persos principaux, McGregor décide du jour au lendemain de suivre sans arrêt Ashley Judd qui se révèle être une tueuse froide ( serial peut être mais on sait pas trop finalement ), avec lui il a tout un arsenal de gadget pour l'espionner discretement mais il a aussi un merveilleux anorak rouge qui fait à peine tricard, l'incrédulité est ici poussé à son maximum.
On part donc en promenade avec nos 2 acteurs et on visite pas mal de grande ville US pour terminer le voyage au bout du monde en Alaska. La gestion du temps se révèle catastrophique on a aucune indication de tout le film ( à la fin on sait juste que ça fait 2 mois qu'ils sont en Alaska ) donc on sait pas trop si ça dure 1 ans ou 10 ans, y a des ellipses un peu brut comme après le passage à Vegas ou McGregor tabasse Brandon, d'un seul coup on retrouve Ashley à l'hopital.
La première demi heure est réussit mais le manque d'enjeu et des personnages trop distant font qu'on déconnecte vite par la suite et qu'on suit tout ça de loin, pas spécialement ennuyeux mais terriblement mal raconté, la menace policière est toujours très lointaine et quand elle se rapproche hop c'est expédié en 2 minutes, les parts d'ombre c'est bien mais là y a que de ça, on se contente donc juste de McGregor est devenue l'ange gardien de Judd : pourquoi ? parce que, comment ? comme un gros gogol pas discret.
La dernière scène et la dernière réplique relève le niveau mais il est malheureusement trop tard, surtout qu'avant on se tape une scène complétement incompréhensible ( pas compris le coup du flingue et des balles à blanc ).
Le film rate le coche ce qui aurait dut être très malsain devient juste étrange, sérieux la fin j'ai rien compris au jeu auquel joue McGregor.
Ewan McGregor est mauvais comme souvent donc ( et en plus il est trop jeune pour le rôle ), Ashley Judd ( à l'époque ou elle arrivait a avoir des premiers rôles ) est plutôt pas mal, surement un de ces meilleurs rôle, ici elle est vraiment mis en valeur ( et topless ) , dans les seconds rôle on retrouve Patrck Bergin en aveugle et Geneviève Bujold.
La BO est assez mauvaise.
Heureusement la réalisation de Elliott est plutôt inventive, y a des chouettes fondu a base de boule de neige et la scène de la baignoire est très jolie, du coup le film est pas complétement mauvais.

4/10

[Scalp]

Un Shérif à New York Don Siegel - 1968

La première collaboration du duo Eastwood/Siegel donna un film plus que moyen heureusement les 4 films suivant seront meilleur, enfin surtout Les Proies et Dirty Harry.
On se retrouve devant un polar urbain qui préfigure un peu Dirty Harry avec Clint qui interprète Coogan un flic ( et cow boy ) au méthode expéditive d'Arizona et pas du Texas ( excellent running gag du film ) qui va devoir faire face au flic de la grande ville ( et leurs paperasserie ou quand le western rencontre le polar ) qui le prenne un peu pour un plouc ( son look 100% cow boy ne plaidant pas en sa faveur ).
Coogan délaisse donc ces grandes étendus désertique pour se retrouver dans la jungle urbaine et ces hippies ( excellente scène de la boite de nuit ) mais il ne délaisse pas ses méthodes un peu brutal et frapper une femme ça le gêne pas trop.
Le rythme général est quand même bien mou ( faut 40 minutes avant d'arrivé a l'élément perturbateur du film et avant c'est vraiment juste gentillet, on sourit un peu mais pas de quoi être intéressé par ce qu'on voit ) et y a des facilités un peu gênante ( Clint retrouve son prisonnier un peu facilement quand même, pour le suspens on repassera ) et le seul intérêt de la première heure du film est finalement le choc des cultures avec notamment Clint qui se frotte à des hippies .
Niveau mise en scène Siegel nous a habitué a mieux mais il se réveille pour la course poursuite en moto très réussi et on a une bonne petite baston de bar bien sympathique ou Clint défouraille du voyou mais le reste c'est quand même pas bien folichon.
Clint est bien entendu parfait dans un mix entre l'homme sans nom et Harry, en un peu plus queutard ( Clint emballe 3 femmes en 1h30 ) qui frappe d'abord et pose les questions ensuite, le film se repose essentiellement sur lui et le reste du cast à part Lee J. Cobb est un peu en retrait.
Le score de Lalo Schiffrin est sympa comme toujours.
Film plus que mineur qui vaut que pour Clint.

5,5/10