GOR |
Réalisateur: Fritz Kiersch acteurs: Urbano Barberini, Oliver Reed, Rebecca Ferratti, Paul L. Smith, Larry Taylor, Donna Denton, Jack Palance, Arnold Vosloo, Nigel Chipps
année: 1988 genre: Heroic Fantasy sans heroisme ni fantaisie Pays: Etats-Unis |
7/10 sur l'échelle du nanar |
L'histoire et la critique : Avant que j'oublie de l'avoir vu, je fais une petite critique de ce film qui va rentrer dans une section parallèle de mes critiques: "le nanar". Le vrai, celui qui n'est pas fait exprès (tant mieux) et qui fait rigoler sans adjuvant alcoolisé. la note est donc sur l'échelle du nanar, sinon les notes négatives n'étant pas prises en compte, c'était pas possible autrement.
Préambule fini, l'histoire que tout le monde attend sauf si vous avez lâché en cours de route pour lire celle de nanarland.
Tarl Cabot, universitaire américain montre à ses élèves dubitatifs une bague, sensé ouvrir les portes d'un monde parallèle. Les étudiants américains, à qui on impose la découverte d'objets diverses et variés depuis la maternelle, n'en ont rien à battre et soupirent même, ce qui fait passer pour un gros nase ce prof qui avait basé tout son programme sur cette démonstration, de dépit il soupire lui aussi mais c'est la fin du cours et tout le monde est content. Heureusement, il est tout content car il va dans "une cabine au fond des bois" (dixit le film) avec sa copine. Et paf, la momie débarque (arnold vosloo) et lui pique sa copine, parce que le prof n'est qu'un gros nase et qu'il a des lunettes. la momie parti faire du surf sur sa planche d'ex copine, il se retrouve seul en route vers sa cabane (en français). Pas de bol, c'est la nuit et il pleut averse, tellement qu'il en essuie son pare brise de l'intérieur pour enlever l'eau à l'extérieur. les gars, c'est un universitaire, il peut pas tout savoir. En plus il se fait secouer la voiture par 2 machinos ayant bu du 36 litres de café chacun. Désappointé par tant de médiocrité, la bague rougeoit et un arbre venu à sa rencontre le foudroie. Il se retrouve le plan d'après dans le monde de Gor, qui est en fait une carrière désaffectée. C'est ballot, tout ça pour ça. Mais bon, pour l'occuper il tombe au milieu d'un conflit entre villageois pauvres et humbles et méchant barbares ricanant dés qu'une mouche pète, dont le chef est sarn, joué par cet vieil outre rempli d'alcool d'oliver reed.
Le conflit c'est une histoire de pierres sacrées, dont j'ai oubliées à quoi elles servaient, si ce n'est qu'elles viennent d'une fin de stock de chez gifi. Soudain, notre héros, pourtant malicieusement caché derrière un caillou, se fait poursuivre par les méchants, parce qu'ils n'ont pas vu la différence entre une mec avec une cravate et d'autres avec des guenilles. D'ailleurs acculé au fond de la carrière pour leur apprendre à faire la part des choses à ces vils ignares...il leur montre.....
Bon aprés c'est à l'avenant, il tue sans le toucher le fils de sarn, et devient un héros qui ne se fait pas la "bombasse" du film.Mais il est copain avec le nain qui est le meilleur acteur du film (il est tellement bon que je pense que george lucas s'en inspiré pour jar jar binks) et qui ne sert à rien.
J'espére que vous avez remarqué la coiffure de la bimbo, pas facile à faire dans ce monde de brute où on ne trouve que des tavernes (en fait une grotte qui sert aussi de repère dans un autre plan où ils n'ont pas bouger la caméra).A la fin ayant tué Sarn, sans être déconcentré par les 3 figurants qui passent et repassent à l'arrière pour faire la foule hystérique. Le calme et la pierre revenue, on voit débarqué en prêtre tout gentil jack palance ,que tout le monde déteste (son perso, pas jack), mais son rictus de méchant qui ne cadre pas avec son coté mielleux y est peut être pour quelque chose. Mais la suite de son perso est dans le 2, où on découvre qu'il était effectivement méchant et on verra si j'ai le courage de le voir
tarl cabot, revient dans son monde (enfin le notre...), et retrouve sa copine qui le trouve définitivement cool aprés avoir mis un pain à la momie. Oui dans ce film les femmes aiment les grosses brutes, et sont presque contentes d'être réduit en esclavage (machiste ?,...oooh faut pas voir le mal partout) Ah oui j'ai oublié dire qu'il y a paul smith en brute locale (il est tellement bon que je crois que george lucas s'en est inspiré pour Jabba the hutt)...et que la fille est quand même bien choisi