Pédagogie: Parents & Enseignants dans l'éducation ds enfants

[zack_]

Ouai enfin dans ma matière ca sert a rien.... pour un prof de géo c'est plus qu'utile

[Eikichi Onizuka]

ouai c'est clair, malheureusement ils sont pas tous comme ça.
certains n'ont sans doute jamais bougé leur cul et nous sorte des cours plus que nase
tain qu'est ce que je donnerai pas pour avoir la même carrière que mon prof de biogéographie

[zack_]

Tu peux aussi voyager et ne pas être pédagogue, y a pas de règle je pense dans ce domaine, si ca semble quand même essentiel pour un prof de géo - rien que de pouvoir parler de son "histoire"

[moricenlive]

Moi mes profs de fac c'étaient des putains de branle-couilles... des têtes d'affiche.

[Eikichi Onizuka]

ouai j'ai en aussi mais en géo ça va c'est des bons

[moricenlive]

Pourtant v'là la réputation de Segalen...

[Eikichi Onizuka]

c'est clair
à chaque fois c'est:
Mr X: "t'es ou à la fac ?"
Moi: "ben à Segalen"
Mr X: "ah ouai la fac de branleur"
Moi: "casse toi pauvre con"
bon la dernière je la dis jamais

[lucifred]

s'pèce de Sarkoziste !!!!!.....

[Eikichi Onizuka]

ça va finir au tribunal ce genre d'insulte
je pourrais porter plainte

[Jeff Buckley]

Grand homme Segalen
Rien que le nom force le respect
Victor Segalen (1878 - 1919) est un poète, et aussi médecin de marine, ethnographe et archéologue français.

Il est né le 14 janvier 1878 à Brest (rue Massillon). Après des études de médecine à l'École du service de santé des armées de Bordeaux[1], l'officier-médecin est affecté en Polynésie française. Il n'aime pas la mer, ni naviguer mais débarquer et découvrir. Il séjourne à Tahiti en 1903 et 1904. Lors d'une escale aux îles Marquises, il a pu acheter les derniers croquis de Gauguin, décédé trois mois avant son arrivée, croquis qui seraient, sans lui, partis au rebut. Il rapporte en métropole un roman, les Immémoriaux (1907), un journal et des essais sur Gauguin et Rimbaud qui ne seront publiés qu'en 1978.

En 1908, il part en Chine où il soigne les victimes de l'épidémie de peste de Mandchourie. En 1910, il décide de s'installer en Chine avec sa femme et son fils. La première édition de Stèles voit le jour à Pékin en 1912. Il entreprend en 1914 une mission archéologique consacrée aux monuments funéraires de la dynastie des Han. Cette étude sur les sculptures chinoises ne sera publiée qu'en 1972 (Grande Statuaire chinois). À ce titre, et en ce qui concerne la littérature, il renouvelle le genre de l'exotisme alors encore trop naïf et ethnocentrique.

En Chine, il rencontre un des rares Européens qui s'y trouvaient alors, et qui le marque beaucoup, le sinologue belge Charles Michel qui lui inspire le personnage de René Leys.

Il meurt le 21 mai 1919 dans la forêt de Huelgoat, Hamlet à la main. Après coup, l'État français a inscrit son nom sur les murs du Panthéon en tant qu'« écrivain mort pour la France pendant la guerre de 1914-1918 »[2].

L'une des universités de Bordeaux, où Victor Segalen fit ses études, porte son nom (Université Victor-Segalen Bordeaux 2). La faculté de Lettres et Sciences sociales de Brest, sa ville natale, lui rend aussi hommage en portant son nom. Le lycée LFI (lycée français international) Victor-Segalen, à Hong Kong, porte également son nom.

[BenderIsBack]

Un mot pour décrire Victor Segalen : Royal

[lucifred]

[Tyseah]

Pourtant v'là la réputation de Segalen...

Je sais pas dans les autres filières mais en Anglais elle se place plutôt bien la FAC Ségalen.

[moricenlive]

Depuis que je suis au collège, j'ai toujours entendu vanner la fac de lettres. C'est l'image quoi, je n'ai jamais suivi un cours là-bas donc aucune raison de critiquer.

[zack_]

Un prof poignardé hier!

Cette fois, l’agression a eu lieu en milieu rural, dans un établissement qui n’est ni en zone sensible, ni en ZEP, ni dans une cité bétonnée.
Le professeur poignardé n’est pas un débutant. Il a une soixantaine d’années.

« Après une réflexion que lui fait son professeur de Sciences de la Vie et de la Terre sur la tenue de son cahier, un élève de 4ème est invité à venir s'en expliquer à la fin du cours, vers 10 heures. C'est à ce moment que l'adolescent de 13 ans sort un couteau et poignarde son enseignant à l'abdomen », peut-on lire dans la presse.

Lundi, ce lundi 26 avril, c’est une surveillante en Avignon qui a fini à l’hôpital. Son crime ? Avoir demandé à un élève d’éteindre sa cigarette. L’élève a roué de coups la jeune femme qui a dû être conduite d’urgence à l’hôpital.

Combien de professeurs, de surveillants devront tomber sous les coups de leurs élèves pour que le Ministre et sa cohorte d’experts fassent enfin preuve de fermeté et de courage ?

Combien de morts dans nos écoles pour qu’ils cessent de nous matraquer avec leurs bons sentiments, adjoignant les professeurs de « redonner du sens aux sanctions », de dialoguer avec les élèves violents, de faire voter les enfants sur les « règles du vivre ensemble », de ne donner que des sanctions « éducatives » et « comprises et acceptées par tous », etc., etc., etc.

Sans parler de leurs leçons de morale pour faire culpabiliser les professeurs qui donnent des punitions. Le Ministre l’a encore souligné en conclusion des États généraux de la sécurité à l’école : il veut restreindre le plus possible le recours à l’exclusion, et compliquer encore les procédures des conseils de discipline.
De toutes façons, les soupçons se portent toujours sur le professeur : c’est lui qui est mauvais, malhabile, pas assez perspicace et imaginatif, c’est lui qui ne sait pas contrôler ses élèves, c’est lui qu’il faut surveiller !

Ça suffit !


Je vous rassure c'est pas partout pareil, et je suis content de voir la motivation, l'engagement ou tout juste le respect de mes élèves cet après midi pour le déplacement à Cagnes-sur-mer au forum de l'emploi... Même si c'est fait pour eux, y en a qui le font aussi pour notre lycée