[Val] Mes critiques en 2010

[Riton]

Encore heureux que la journée de la femme c'était hier, sinon il aurait été beau mon topic.

La journée de quoi ? de la femme de ménage ?

Non, ça c'est au portugal

[Val]

[jean-michel]

Encore heureux que la journée de la femme c'était hier, sinon il aurait été beau mon topic.

La journée de quoi ? de la femme de ménage ?

Non, ça c'est au portugal

tu est un pote a longuet riton??

[Riton]

[Val]

Mort sur le Gril de Sam Raimi (1985)



Véritable cartoon multi-référencé, Crimewave, second film de Sam Raimi après le génial Evil Dead,
préfigure ce que sera la carrière du cinéaste et en particulier la suite de la saga Evil Dead.
Personnages déjantés, situations improbables et humour très orienté second degrés sont au menu d’un film absolument formidable.
Hautement recommandé.

8/10

[zack_]

Putain je connais pas mais tout m'attires sur le peu que tu nous a dit Je vais me voir ça tiens!

[Alegas]

Un nommé Cable Hogue de Sam Peckinpah (1970)



Petite surprise que ce Peckinpah assez déroutant à la vue des autres œuvres du cinéaste,
en effet on retrouve ici une bonne dose d’humour insoupçonné de la part de l’auteur de la Horde Sauvage
(humour très second degrés quand même, à l’image de cette scène où le prêcheur drague une jeune femme en deuil).
Cela n’empêche pas pour autant le film de présenté les thèmes de prédilections du cinéaste (l’amitié, la mort).
Un western surprenant porté par des acteurs géniaux (Jason Robards, David Warner), à découvrir.

7/10

[Val]

Eyes Wide Shut de Stanley Kubrick (1999)



Ultime film du plus grand cinéaste de tout les temps (rien que ça), Eyes Wide Shut est un voyage troublant,
sensuel, érotique et bouleversant comme seul Kubrick pouvait nous en offrir.
Honteusement descendu à sa sortie, le film est enfin reconnu à sa juste valeur : un chef-d'oeuvre.

10/10

[zack_]

Honteusement descendu à sa sortie

Pour toi car je me suis fait d'un chier sur ce film! Après il y a pas tout a jeter je le reconnais

[Scalp]

Justement descendu à sa sortie

[Jeff Buckley]

Effectivement un chef d'oeuvre

[Eikichi Onizuka]

Good Morning England de Richard Curtis

En 1966, le rock explose dans le monde, et particulièrement au Royaume Uni, son berceau originel. Malgré cela, la BBC diffuse moins de 45 mn quotidiennes de ce son nouveau... Radio Rock, une radio pirate diffuse ses programmes depuis un bateau navigant dans les eaux internationales au large de la côte anglaise. Le gouvernement britannique est bien décidé à réduire ces voix dissidentes au silence, mais ces incroyables disc jockeys ne comptent pas se laisser faire. Quand ils occupent l'antenne avec du sexe, de la drogue et du rock'n roll, près d'un Anglais sur deux est à l'écoute.

Spécialiste des comédies britanniques à succès, Richard Curtis revient en adaptant l’histoire de Radio Caroline, radio pirate spécialisée dans la diffusion de morceaux rock dans l’Angleterre conservatrice des années 60. Sur le papier, le film a tout pour plaire, que ce soit dans son sujet ou dans ses comédiens. Une fois devant le résultat, il faut avouer une légère déception. En effet, a aucun moment le film ne nous surprend, tout semble bien à sa place et l’ensemble manque donc d’une légère touche de folie, un comble pour un film qui parle de rock. Ainsi, on retrouve les personnages habituels de ce genre de film, que ce soit le parrain qui se révèle trop cool, le gros comique de service qui prend le jeune héros sous son aile, et bien évidemment, l’ado mal dans sa peau qui a peu d’amis et qui va se dévergonder au contact de ses nouveaux comparses. D’ailleurs, il serait bien d’arrêter de prendre des acteurs sortis tout droit d’un magasine de mode pour jouer ce genre de personnage ; pour la crédibilité, on repassera. De même, les situations restent malheureusement prévisibles : le dépucelage, la découverte du père,… Malgré ces défauts qui pourraient se révéler handicapants pour un tel film, on se prend facilement au jeu car le cinéaste arrive à créer un vrai univers peuplé de personnages extrêmement attachants campés par des acteurs tous formidables (on retrouve le génial Bill Nighy animé de son flegme légendaire, le toujours parfait Philip Seymour Hoffman, mais aussi Nick Frost, Rhys Ifans et Kenneth Branagh entre autres) si bien que l’on se plaît dans cet univers et que l’on y passe un moment tout à fait réjouissant. Et pour couronner le tout, la B.O. est absolument génial et nous quelques classiques des Who, de Jimi Hendrix, David Bowie, les Kinks,…
Au final, un film qui arrive à surpasser ses défauts scénaristiques pour nous offrir un spectacle absolument réjouissant qui donne une furieuse envie de se repasser les classiques du rock en boucle.

7,5/10

[zack_]

Y a des chanceux dans ce film au vu des photos de ta critique
Beaucoup de bonnes critiques sur ce long-métrage, c'est un film que je n'aurai jamais vu si j'avais pas lu vos écrits et qui me donne envie, même si ca parait loin de mon univers

[Heatmann]

Le Dernier Train de Gun Hill de John Sturges (1959)



Une histoire de vengeance et d'amitié dans un magnifique Western interprété avec talent par les merveilleux Kirk Douglas et Anthony Quinn.
Recommandé à tout amateur de western qui se respecte.

8/10

la flemme de faire des critiques , donc voila , j'ai vue aussi ce last train to gun hill ce week end , meme note que val , c'etait vachement bien , a choisir je prefere d'un poil ok corral mais excellent western

[Alegas]

La Balade Sauvage de Terrence Malick

Kit (Martin Sheen) est éboueur. Il rencontre Holly (Sissy Spacek), une jeune fille, dont le père (Warren Oates), peintre, refuse la liaison de sa fille avec un éboueur. A la suite d’une dispute, Kit tue le père de Holly. S’en suit une équipée au cours de laquelle le couple laissera de nombreux cadavres derrière lui.

Dernier film de Malick qui me restait à voir, j’aurais donc vu sa filmographie dans le sens inverse, d’abord Le Nouveau Monde, puis La Ligne Rouge, Les Moissons du Ciel et enfin ce Badlands. Alors que retenir de cet opus Malickien ? Et bien pas grand-chose de nouveau, le film ressemble beaucoup aux Moissons du Ciel par l’ambiance. A l’image de ce dernier, l’histoire peine à captiver malgré cette magnifique mise en image. Peut-être qu’a l’époque l’histoire d’un couple de meurtrier était une nouveauté, mais maintenant, c’est du vu et revu (Bonnie & Clyde, Tueurs Nés). Ce n’est donc malheureusement pas vers l’histoire qu’il faut se tourner mais peut-être vers ses acteurs, car voir Martin Sheen et Warren Oates, ça fait toujours plaisir. Je suis par contre plus réservé sur Sissy Spacek avec laquelle j’ai décidément beaucoup de mal. Une fois encore, c’est la mise en scène qui fera toute la différence et qui, à condition que vous acceptiez de vous laisser prendre par cette balade (le film porte donc très bien son titre français, une fois n’est pas coutume), pourra en captiver certains. Ca n’a pas vraiment marché sur moi, bien que je sache reconnaitre les qualités évidentes du film. C’est comme ça, on s’est tous retrouvé à un moment donné à bloquer sur un réalisateur « renommé ». Peut-être qu’une redécouverte dans quelques temps sera l’occasion de lui redonner sa chance.

6/10

EDIT : revu le film en 2013 et je passe ma note à 9/10. Le film fait désormais parti de mes préférés de Malick.