[Scalp] Mes critiques en 2010

[Heatmann]

tin faut vraiment que j'etoffe mes possession lancasterienne , pour l'instant tout ces films que j'ai , j'ai aimer et lui rayonne a chaque fois dedans , un putain de charisme , de gueule et de talent !
Bon il s'est un peu dispercer et fait pas mal de truc tres douteux mais y a bcp de classic que j 'ai pas encore vue .

D'ailleur c'est marrant la coinsidence , je vient juste de recevoir ce matin le Bluray du Guepard , mon lancaster preferer et accessoirement un putain de chef d'oeuvre que vai revoir ce week end en HD avec madame qui l'a jamais vue et aime bcp Delon , critique next week

[Scalp]

Oue c'est vrai que dans sa fin de carrière on trouve un peu de tout, mais c'était un putain d'acteur.

[Heatmann]

bon j'en pas vue des masse ( notamment "tent qu'il y aura des hommes " mais je peut vraiment pas encadrer montgoemry clift ) mais putain le Gunfight at Ok coral avec burt et douglas ca poutre j'adore cet version de holliday et earp et pis vera cruz aussi verai mon podium , le guepard etant hors compet

[Scalp]

Vera Cruz c'est amha son meilleur rôle, et c'est clairement un des western marquant de l'histoire.

Y a les professionnels aussi ou il est excellent.

[Heatmann]

ouai les professionels c'est sympa ( mon avis reference ici ) et un cast qui claque mais pas un western qui se demarque , 7/10 quoi par contre vera cruz c'est respect quoi

il a d'ailleur un film de pirates avec christpher lee qui traine sur mes etagere depuis des annes et un autre de bataille naval avec clark gable , je les verrais surment dans 1 ans ou 2

[Scalp]

Oue c'est juste sympa les professionnels mais Burt y est vraiment très bon dedans et il tire le film vers le haut ( comme Lee "tough guy" Marvin )

[Scalp]

New York 2 heure du matin Abel Ferrara - 1984

Carrière très inégale que celle de Ferrara, ici il signe un polar mineur. Au début ça fait penser à The Chaser ( nuit, fille tuée, un "mac" qui cherche le tueur ) puis finalement après ça s'en éloigne carrément Ferrarra en a rien a battre de son histoire, l'enquête bien y en a pas, la chasse au tueur promise y en a pas non plus ( truc qui aurait pu donner lieu a quelques chose de sympa comme une alliance forcé entre les flics et les mafioso ), Berenger tombe sur le tueur à la fin comme par magie (collector ça). Du coup les flics servent vraiment pas a grande chose ( enfin ça permet d'avoir des scènes sympa ou Billy Dee Williams insulte les italiens ), le tueur nous ai montrer très ( trop ) rapidement ( de plus il est vraiment pas développé, genre le "Fear City" titre original du film est pas développé et sert à rien ).
Le film se concentre sur le couple Berenger/Griffith (idée de merde) et repose vraiment sur son excellente ambiance nocturne même si l'ambiance se limite à des strip club et des ruelles bien glauque, et le climat de terreur voulu s'installe doucement mais surement, par contre dommage que la paronia aille pas plus loin, film qui montre bien le changement de NY à l'époque avec des italiens qui vivaient entre eux et qui n'ont rien pu faire pour empêcher l'arrivé d'une nouvelle forme de criminalité.
Mais voilà les quelques points positifs du film sont réduit à néant par un dernier acte surréaliste avec un tueur qui s'avère être un karaté kid du pauvre (déjà que karaté kid c'est cheap) et du coup on a un combat !!! un combat à la karaté kid dans un polar urbain !!! mais WTF. Et passons sur la réplique finale de Billy Dee Williams qui sort de nul part et qui nous fait dire que Ferrara en avait vraiment rien à foutre de son film et je parlerais pas des scènes d'entrainements, c'est mieux.
L'atout numéro un du film est l'excellent Tom Berenger qui interprète un ancien boxeur en quête de rédemption, son personnage est vraiment bien écrit, c'est le seul écrit du film, pour le traitement de ce perso on pense à un peu à Scorsese. Parce que le tueur il a le charisme de Adam Driver dans SW7 (alors lui il est parti pour en prendre pendant 5 ans c'est mon nouveau Ryan Gosling). Melanie Griffith n'est pas une grande actrice ça l'a jamais été et là à part bouger son corps elle fait pas grand chose.
La réalisation a rien de bien marquant (façon Ferrara c'est pas un formaliste), les meurtres sont terriblement décevant, y a aucune recherche de mise en scène, c'est dommage ( mieux vaut voir l'Eventreur de NY qui raconte la même chose ), heureusement que NY de nuit est bien shooté, en même temps c'est pas dur de bien filmer NY.
Un film qui sait pas trop ce qu'il a envie de raconter et qui est plombé par une fin on ne peut plus ridicule mais la perf de Berenger et l'ambiance nocturne appellent à l'indulgence.

7/10

[Heatmann]

vas-y avoue , ca te fait un peu chier quand meme de pondre un truc sur The train hein !!! ouai ouai je sais ce que c'est

[Scalp]

Non même pas, en plus elle est presque fini la critique, bon je te donne la note, j'ai tranché et ce sera 4.

[Scalp]

7/10

Eye of the Needle de Richard Marquand - 1981

Adapation d'un roman de Ken Follet, le mec qui fait des romans historiques pour gonzesses, le terme politiquement correct c'est romanesque y parait, bon je dis ça mais ptet dans le lot y a des romans cool, j'ai pas lu.
Un petit thriller d'espionnage qui repose beaucoup sur les épaules de Donald Sutherland (surement son meilleur film en tant que lead, car faut dire qu'il a surtout fait une très solide carrière de second rôle), impeccable en espion allemand opérant en Angleterre et qui sème les cadavres de manière froide et efficace ( et toujours de la même façon, avec sa lame qu'il sort très rapidement dans des supers scènes) et devient rapidement attachant ( faut dire que les anglais qui le poursuivent sont assez relou et pas bien malin, bon y c'est vrai que Sutherland est aidé par des situations improbables ), Sutherland c'est le genre d'acteur toujours bon qui ne plombe jamais un film. C'est la grosse qualité du film et c'est même assez couillu, rendre un nazi (le camp du mal) plutôt attachant, alors bien sur on peut parler d'ambiguïté mais clairement pour moi il est attachant.
Mais voilà car il y a un gros mais c'est vraiment dommage que les enjeux du film soient réduit a néant rapidement (immédiatement même), on sait d'avance que Sutherland ne réussira pas sa mission (à moins de se la jouer Tarantino et de changer l'histoire), du coup on suit ça mais on est pas plus captivé car la fin est inéluctable, heureusement que la partie sur l'ile devient vite tendue (mais bon là aussi l'issue finale ne fait aucun doute) et l'histoire d'amour n'est pas envahissante (et un brin érotique, d'ailleurs c'est une histoire basée uniquement ou presque sur le désir physique) et donc plutôt ambigu ( enfin pas tant que ça je pense que Sutherland joue clairement la comédie pour pouvoir terminer sa mission, si il ne veut pas la tuer c'est juste qu'il est pas obligé, il tue que pour sa survie, enfin plusieurs interprétations sont possibles mais pour moi si il est obligé de la tuer, il l'a tue sans hésité ).
Kate Nelligan s'en sort très bien face à Sutherland et campe une épouse délaissée par son mari handicapé convaincante (son passage de objet du désir à femme qui joue sa survie est bien fait), le derniers tiers du film se transforme en suspens à la Hitchcock, la scène où elle comprend ce qui se passe est géniale, c'est un volcan sexuel endormie sur le point d'exploser, toute la partie "survival" qui va suivre est bien tendue du string ( mais si comme je l'ai déjà dit se révèle sans aucune surprise, enfin si c'est surprenant dans sa violence, y a un mini plan "gore" sur des doigts coupé ).
Coté mise en scène y a rien de bien emballant, c'est tout plan plan (tu m'étonnes que le gros George ait choisit Marquand pour son Retour du Jedi, il s'est dit tient un mec qui filme mou comme moi), surtout que la fin y avait moyen de faire un pur truc à la Chien de Paille mais bon ça reste Richard Marquand, donc faut pas s'attendre à un truc super énergique, heureusement qu'il sait mettre en scène le suspens quand même.
Le score de Miklos Rozsa est vraiment beau.
Un bon thriller mais donc le suspens est mal géré (le fait qu'on sache immédiatement que Sutherland est un espion est à la fois une qualité et un défaut), je veux quand même garder le positif de ce qui est clairement à voir.

[Scalp]

Train Gideon Raff - 2009



Film qui a subit les foudres de la censure, catégorie au dessus de R lors de son premier passage devant les branleurs de la classification, du coup plein de truc on passé à la trappe comme du gore et du sexe explicite, du coup y reste un film classé R mais avec rien de bien choquant.
C'est un peu nul mais bon quand on sait a quoi s'attendre ça se laisse regarder sans se faire chier ou presque. C'est donc du sous hostel dans un train ( des pays de l'est bien entendu ou tout les habitants sont sales, moche mais surtout méchant ), la partie présentation est pas trop longue ( heureusement car elle est assez soulante ) et les premières scènes gores arrivent assez vite ( au bout de 25 minutes ).
Bien entendu c'est sans surprise, vu qu'il y a qu'une seule actrice connue c'est pas trop difficile de savoir qui va s'en sortir.
Le fameux train pue le studio a plein nez et pis quels idée débile de perdre les gens dans un train de 3 wagons, par contre y manque des scènes dans le film, genre a un moment y a Thora qui va chercher son copain disparu, sa copine et un gars la suive donc bon y peuvent difficilement se perdre vu qu'il y a qu'un chemin possible, bein plan suivant paf y a la pouf qui se retrouve toute seule dans un wagon, alors comment elle y est arrivé, ça on le saura jamais, et ces potes se rendent même pas compte qu'elle a disparue, y en parle même pas, sur le coup j'ai même fait retour en arrière pour voir si j'ai pas somnoler sans m'en rendre compte ou que j'ai raté une ligne de dialogue, bein non j'ai rien manqué, c'est bien une grosse erreur de script, on se demande comment c'est possible d'ailleurs vu que le script doit tenir sur une feuille de pq.
Bon après on a de la partie de cache cache dans le train et c'est vite soulant, surtout que sans savoir comment y se croise jamais.
Niveau gore ça va par contre ça livre la marchandise, ici c'est pas de la torture ( enfin si mais non ), les pauvres petits ricains sont kidnappé pour qu'on leur pique leurs organes et bien entendu c'est sans anesthésie, ça arrache des yeux, ça enlève des organes après avoir coupé à la scie sauteuse, ça met pas mal de coup dans la tronche ( y a une scène ou j'ai bien ri avec la tête a claque qui se fait défoncer par les 2 roumains ( bon on s'en fout si c'est pas des roumains y se ressemble tous ) qui après l'avoir roué de coup lui pisse dessus, ça saigne beaucoup et pas du sang numérique pourri et les FX sont plutot réussi, mais dans l'ensemble ça reste plus soft que Hostel.
Le réalisateur fait le boulot pour ce genre de film mais y a rien a retenir à part son prénom : Gideon, le gars il a du avoir une enfance difficile.
Sinon y a un peu de nibard ( mais vraiment léger ), la fin est bien pourri et ose un honteux flashback explicatif, au tout début Thora apprend une prise de lutte, et quand on est pas gogol on se doute bien qu'elle va s'en servir à la fin bein lorsqu'elle l'utilise enfin ( je l'ai attendu longtemps, me demandait quand elle allait la faire sa putain de prise ) vla pas qu'on nous sort un flashback pour débile.
Le casting dans son intégralité est mauvais, pas un acteur pour sauver l'autre, Thora au fil des films devient de plus en plus masculin.
Le meilleur truc du film reste le générique de début qui fait croire qu'on va voir un truc bien.

4/10

[Heatmann]

ah bah de ce que tu en dit , et malgre la note , je vais bien le voir quand meme a l'occasion parceque dans le genre rip off d'hostel on a eu une tonnes de truc tres pourri ces dernieres annees , je parle de 1 ou 2/10 la ...

[Scalp]

Les Charognards Don Medford - 1971

Y pas a dire Peckinpah a marqué son époque et tout comme l'homme de la loi ce film en est un digne héritier, avec une arrivée en ville qui rappelle immédiatement Wild Bunch.
Dès le début on sait que ça va pas être "fun", première scène du film Candice Bergen se fait brutaliser par son mari Gene Hackman ( excellent en gros enculé très déviant ) qui tout de suite après la quitte pour allez chasser pendant 1 mois, il part en train avec ses potes plein de thunes et là il est tout fier il leur montre sa nouvelle carabine qui a une porté de plus de 700 mètres ( la winchester elle c'est du 300 mètres ), bon après y a une orgie avec des putes et là on sait définitivement que Gene ce sera pas le héros du film, le voila qu'il torture une prostitué sans aucune raison autre que assouvir des pulsions un peu bizarre, pendant ce temps là sa femme se fait kidnapper par un brigand : Oliver Reed ( lui aussi excellent ) qui l'a kidnappé parce qu'il voulait apprendre à lire (super raison mine de rien) et bien entendu la femme délaissée par son mari va succomber aux charmes de cet homme un peu rustre mais qui sait être tendre (enfin pas tout de suite) et qui s'intéresse à elle. Par contre dommage que ça ne joue pas plus sur l'ambuiguité dès le début Hackman est montré comme un gros enculé et Reed on voit vite que c'est un bon gars, y aurait fallu mettre un peu plus de doute là dedans, histoire que le suspens fonctionne encore plus mais ça c'est histoire de chipoter.
La poursuite met du temps à arriver (et la poursuite c'est les méchants poursuivi par des enculés, ça donne le ton), ainsi pendant 45 minutes on nous pose bien la situation et on a le temps de s'intéresser aux personnages, on comprend bien que Hackman ne se lance pas à leur poursuite par amour pour sa femme mais carrément parce qu'il est du genre à pas se faire emmerder puis arrive le premier mort, violent, sanglant et très graphique ( les douilles font vraiment mal et ici contrairement au western rital c'est pas fun ), la longue porté des fusils associé à la lunette fait des ravages et Hackman fait un carnage, l'heure qui suit va donc être une longue poursuite ou Hackman saura profiter un maximum de son avantage et fera des carnages. Cet avantage est un truc qu'on retrouve très peu dans un western et on voit Reed et ses hommes pris au dépourvu, ne sachant pas à quoi ils ont à faire.
C'est jusqu'au boutiste et le métrage est vraiment âpre, ici c'est pas la joie qui domine. On assiste pas à des duels en bon et due forme mais à des massacres sans concessions où il n'y a finalement pas de héros mais juste des chasseurs et des proies, des tueurs et des survivants
Bon Medford ( inconnu au bataillon pour ma part ) abuse peut être un peu trop du ralenti ( bein n'est pas Peckinpah qui veut quoi ) au détriment d'une recherche de mise en scène, mais bon c'est vrai que ça renforce la violence du truc, l'ambiance est moite, on sent la chaleur étouffante, on bouffe la poussière avec eux et la fin est vraiment sans concession elle me rappelle celle de Seraphim Falls. Bon par contre c'est du western sans scope et ça c'est pas bien, un western c'est en scope, pas de débat là dessus. Après c'est un refus d'esthétiser l'ensemble, tout est filmé de manière très crue.
Le score de Ortolani est une belle réussite.
Gene Hackman c'est le genre de rôle où il fait des ravages, brutal, violent, sadique, il est plus que convaincant et il a pour lui d'être du bon coté de la loi, Oliver Reed est bourru mais est clairement moins salopard mais ça l'empêche pas de violer Bergen et de dire qu'il regrette pas, il offre une prestation de premier ordre, charismatique à souhait, Candice Bergen c'est marrant à l'époque elle jouait que dans films assez "fort" ou violent, entre ça, le Soldat bleu ou le Milius elle jouait pas dans des trucs tout public et elle est une nouvelle fois parfaite dans un rôle où elle aurait put tomber dans un truc de pleureuse.
Une oeuvre crépusculaire malgré une réalisation impersonnelle qui mériterait d'être plus connu tant on est devant une belle oeuvre lyrique et tragique, le seul tort du film est de ne pas être signé Peckinpah finalement.

8/10

[Niko06]

Jamais entendu parler!

[Scalp]

Ouep il est inconnu ce film et c'est bien dommage, le titre VO c'est The Hunting Party.