[nicofromtheblock] Mes critiques en 2010

[zack_]

Cocorico! Je connaissais pas

[Moviewar]

BRIGHT STAR
Jane Campion - 2009
7/10

Je suis un poil déçu par ce nouveau film de Jane Campion ... Je croyais à son retour au niveau de La leçon de piano après le moyen In the cut et même si ce nouveau film reste sympa dans l'ensemble, il lui manque un petit quelque chose.

Avec ce film, la réalisatrice retourne donc aux films en costumes. Se déroulant au début des années 1800, le film raconte la vie du poète anglais John Keats et sa histoire d'amour avec sa voisine Fanny Brawne. Mais, en fin de compte, le film raconte surtout comment ils vécurent leur histoire à distance étant séparés à de multiples reprises pour des raisons diverses (travail, maladie). Alors qu'on s'attend à voir une grande histoire d'amour fusionnelle, on se retrouve devant un film où les sentiments passent par des petits gestes ou des mots ... c'est assez original pour un film de ce genre.

Pourtant, on a la sensation que le film manque de réelles émotions ... Trop de romantisme tue le romantisme et là, on a affaire à un homme qui est l'archétype du romantique. Il faut dire que leur relation est perturbée par la présence de la petite sœur de Fanny qui leur sert de chaperon et la séparation les force à vivre leur amour de façon différente. Et c'est cela qui va permettre à John Keats de devenir l'un des plus grand des poètes romantiques, cette frustration qui le pousse à écrire ses sentiments à sa dulcinée plutôt que de les vivre.

Côté interprétation, le duo d'acteurs s'en sort plutôt bien. Ben Whisham arrive parfaitement à mettre en avant le côté "fillette" de ce personnage qui a une vision si idéaliste de l'amour. Quant à Abbie Cornish, elle apporte une véritable aura à son personnage même s'il y a certains passages où j'ai trouvé qu'elle surjouait un petit peu ... Je la préférai quand même dans Somersault mais il est clair que c'est une actrice à suivre ! Le personnage du meilleur ami de John Keats est également un peu stéréotypé mais l'excellente interprétation de Paul Schneider le rend quand même crédible.

Pour ce qui est de la mise en scène, Jane Campion comme à son habitude, prend son temps pour filmer et s'applique sur l'esthétique de ses plans. On a l'impression par moments d'être devant de véritables tableaux. Les décors, les costumes, la musique : tout est là pour participer à l'ambiance du film. Dommage qu'on n'arrive pas à retrouver l'émotion qu'elle avait réussi à insuffler à La leçon de piano car sinon, il n'y a vraiment rien à reprocher à son film.

Au final, la réalisatrice nous livre un beau film romantique qui se démarque des autres films du genre par un amour quasi platonique des 2 personnages alors qu'ils semblent presque submergés par leurs sentiments. Malgré un petit manque d'émotion, le film mérite amplement le détour

[nicofromtheblock]

AMERICAN PIE : LES SEX COMMANDEMENTS
John Putch - 2009
4,5/10

Ce septième opus de la franchise "American pie" est loin d'être le meilleur mais ça n'est pas non plus le plus mauvais. Seul problème récurrent à cette franchise : sous prétexte d'un nouveau postulat de départ, on nous ressert à chaque fois le même scénario sans aucune imagination !

Ici, le film est sensé tourner autour d'une "bible du sexe" que trouvent les héros. Malheureusement, il doit y avoir 2 scènes qui ont un lien direct avec ce livre (et ça n'est pas forcément les meilleures ...). Le reste n'est que du brodage déjà vu dans les précédents films. Le pire c'est que cette histoire se conclut sur une morale à 2 balles : la meilleure façon de faire l'amour à une fille, c'est d'en être amoureux ... c'est pas ce qu'on a envie d'entendre quand on regarde un teen-movie.

Après, même si c'est loin d'être génial, ça se laisse regarder pour peu qu'on aime le genre : y'a des gags bien débiles et l'humour ne monte jamais au-dessus du niveau de la ceinture (une prostituée septuagénaire meurt en s'étouffant avec le sperme du héros, le méchant de l'histoire finit par se faire sodomiser par un élan, ...). Quant aux actrices, elles sont plutôt charmantes et n'hésitent pas à montrer leurs atouts !

Il serait quand même temps qu'ils mettent un terme à cette franchise parce que ça tourne en rond depuis un moment ! Vous vous en douterez, si déjà moi, je ne mets pas la moyenne à ce film, c'est que ça ne vaut pas le coup que vous perdiez du temps à le regarder ... mieux vaut regarder un film de qualité comme College rock stars

[Alegas]

PIQUE-NIQUE A HANGING ROCK
Peter Weir - 1975
7,5/10

J'ai profité de la réédition de ce film de 1975 pour le découvrir au cinéma. J'en avais entendu beaucoup de bien : il est considéré comme un classique des films de "pensionnat". Et en effet, le film mérite sa réputation même si j'avoue avoir été déstabilisé par cette ambiance si particulière.

On assiste ici à un véritable huit-clos dans un pensionnat du fin fond de l'Australie. Du début à la fin du film, on suit ce microcosme qu'est un pensionnat de jeunes filles perturbé par un évènement étrange ... En effet, un professeur et 3 élèves ont disparu mystérieusement lors d'une promenade au rocher d'Hanging Rock. Alors que le film s'oriente vers une enquête de police dans un premier temps, il change rapidement de direction et nous présente l'effet de psychose qui se propage sur le pensionnat. Le réalisateur arrive parfaitement à mettre en place une atmosphère lourde et mystérieuse. L'enquête de la police devient secondaire et on suit plutôt les réactions des jeunes filles et des professeurs qui semblent comme sous l'emprise d'une force étrange ... difficile à décrire cette sensation mais on reste hypnotisé par cette ambiance.

Les interprètes s'en sortent toutes très bien en particulier Rachel Roberts qui joue la directrice de l'établissement et qui semble débordée par les évènements. D'ailleurs, il est étonnant de voir qu'aucune de ces actrices ne se soit fait connaitre depuis.

Côté mise en scène, Peter Weir prend particulièrement soin à rendre "Hanging Rock" le plus énigmatique possible. Tous les plans en extérieur sont particulièrement travaillés esthétiquement et chaque apparition des jeunes filles disparues parait fantomatique ... Le tout est appuyé par une excellente musique de Gheorghe Zamfir et de son incontournable flute ! Pour les plans à l'intérieur du pensionnat, ça reste un peu plus basique mais toujours efficace.

Au final, on est un peu pris à contre-pied par ce film extrêmement sensoriel et on reste un peu perplexe devant cette histoire non résolue. Mais le réalisateur arrive à nous hanter avec presque rien et c'est très fort !

[Moviewar]

AGORA
Alejandro Amenabar - 2009
7,5/10

Pour son retour derrière la caméra après 5 années d'absence, le réalisateur espagnol Alejandro Amenabar s'essaye encore à un nouveau genre : le péplum. Mais ne vous attendez pas à voir une grande fresque avec des batailles spectaculaires et autres grands spectacles ... Amenabar reste un auteur intimiste quel que soit son sujet.

Le réalisateur nous plonge donc au IVe siècle dans la grande Alexandrie sous domination romaine. Il nous présente une période charnière où le christianisme va prendre le dessus sur "les païens". Mais plus qu'un affrontement entre 2 religions, il traite de l'affrontement entre le christianisme et la science. Et en cela, il ne fait aucune concession : la religion chrétienne en prend un sacré coup et les croyants pratiquants ne verront pas se film d'un bon œil ...

Tout en y insérant une romance qui rend le tout plus dramatique, Amenabar arrive à nous livrer une superbe reconstitution historique qui ne peut que nous faire réfléchir sur la religion et ses dérives extrémistes. Bien sûr, on sent que le budget ne rivalise pas avec les grosses productions hollywoodiennes mais il s'en sort déjà bien avec les moyens qu'il a. Sa réalisation très sobre se démarque du péplum traditionnel qui reste du film à grand spectacle. Ici, l'histoire passe avant la mise en scène ... ce qui ne l'empêche pas de soigner l'esthétisme de ses plans et en particulier l'utilisation des plans en plongée totale qui font penser que les hommes sont observés par une force supérieure.

Côté interprétation, Rachel Weisz nous livre une nouvelle fois une très belle interprétation de cette femme seule face au pouvoir des hommes et qui essaye tant bien que mal à prôner la paix et à considérer la science comme sa propre religion. A ses côtés, Max Minghella, Oscar Isaac et Rupert Evans jouent tous les 3 des rôles complémentaires en anciens disciples d'Hypatie qui ont pris des chemins différents. Quant à Ashraf Barhom, il est excellent dans le rôle d'Ammonuis un extrémiste religieux qui, malgré ses actes effarants, finira canonisé.

Le scénario écrit par Amenabar lui-même avec l'aide de son ami Mateo Gill est parfaitement mené et on ne s'ennuie à aucun moment pendant ces 2h de film. De plus, cette histoire d'amour non réciproque entre Hypatie et 2 des personnages masculins (à savoir Davus et Oreste) participe à la dramaturgie du film sans pour autant avoir un effet néfaste sur la partie historique du film. Les personnages sont particulièrement bien détaillés et leurs relations restent toujours ambigües.

Au final, ce film réussit pleinement son contrat en retraçant une période charnière de l'humanité tout en nous poussant à réfléchir sur le sujet. Et c'est à la fois un bel hommage à cette grande philosophe et astronome qu'était Hypatie que je ne connaissais pas avant ce film.

[Moviewar]

KEN PARK
Larry Clark & Ed Lachman - 2002
8,5/10

Après Kids et Bully, Larry Clark continue à sonder l'adolescence à problème. Mais alors qu'il prenait l'option de ne pas montrer les parents dans ces 2 autres films, ici il se penche sur le fossé qui se crée entre parents et adolescents. Et c'est en cela que ce film semble encore plus abouti que ses précédents.

On suit ici 4 jeunes amis (3 garçons et 1 fille) ainsi que la cellule familiale dans laquelle ils vivent.
- Shawn semble avoir une vie plutôt normale même si sa mère semble être plus préoccupée par son travail et les taches ménagères que par ses 2 fils mais surtout Shawn vit une aventure avec la mère de sa petite amie qui profite de son innocence pour assouvir le manque d'attention de son mari ...
- Claude subit les railleries de son père alcoolique qui le considère comme une lopette et qui voudrait qu'il fasse de la muscu comme les vrais hommes. Ce besoin de virilité cache une homosexualité refoulée qui refera surface ...
- Tate vit chez ses grands-parents qui semblent très gentils au premier abord mais qui lui tapent sur les nerfs par leurs petites manières de vieux. De plus, Tate semble un poil taré ...
- Peaches vit avec son père , catholique ultra pratiquant qui, suite au décès de sa femme, voit sa fille comme une sorte de prolongement de celle-ci. Il surveille donc ses faits et gestes jusqu'à l'extrême ...

Ce quatrième film de Larry Clark est de loin son plus trash. Il ne fait aucune concession et nous plonge tout de suite dans le vif du sujet avec le suicide d'un jeune skateur de façon très explicite. Les scènes sexuelles qui parcourent le film sont toutes non simulées et pourraient choquer les plus puritains : Shawn qui fait un cuni à sa future belle-mère, Tate qui se masturbe devant un match de tennis, Peaches qui caresse son copain attaché au lit, ... jusqu'à la scène de triolisme finale. Mais toutes ces scènes ne sont pas gratuites puisque le réalisateur essaye de nous montrer comment ces adolescents tentent d'échapper à la dure réalité par la pratique du sexe sans tabou.

Les acteurs se donnent tout entier à leurs rôles et n'hésitent pas à présenter leur intimité sans aucune pudeur.
Il fallait donc des acteurs amateurs pour réussir en tirer autant d'eux ... et on peut dire qu'ils sont tous très bons : James Bullard, Stephen Jasso et Tiffany Limos font preuve d'un grand naturel et nous livre une dernière scène d'une grande poésie. Les adultes sont également remarquables : Wade Williams tient un rôle difficile de père alcoolo, Julio Oscar Mechoso fait peur dans le rôle du père catholique qui vénère sa défunte femme et Maeve Quinlan est ultra bandante en mère de famille adultère.

Au final, malgré son coté choquant qui pourra en laisser plus d'un sur le carreau, voici le film de Larry Clark que je trouve le plus abouti car il prend la peine de s'attarder sur l'entourage de ces adolescents. Et le final est vraiment superbe : associant des scènes de sexe non simulées entre les 3 personnages et leurs voix-off qui parlent de leurs illusions perdues, on obtient une scène vraiment poétique. Une belle réussite qui semble clore une trilogie vu son dernier film Wassup rockers qui change clairement de ton.

[Heatmann]

AGORA d'Alejandro Amenabar 7,5/10

bon celui la j ai bcp envie de le voir mais pas du tout annoncer en uk , j devrait surement attendre la sortie du BR FR tsssss

[Milkshake]

Pique-nique à Hanging Rock : un des tout premier Weir ta critique m'a donné envie de le découvrir

[nicofromtheblock]

MAMA'S BOY
Tim Hamilton - 2007
5,5/10

Voici une petite comédie américaine des plus classique.
Rien de bien mémorable dans ce film mais il se laisse regarder sans ennui.

On y retrouve Jon Heder qui reprend son rôle habituel de gros "nerd" : Napoleon Dynamite, La revanche des losers, Les rois du patin, il tient toujours le même genre de rôle et ça lui colle à la peau ! En même temps, il a la gueule de l'emploi ... Ici, il joue donc un astronome de 29 ans qui vit toujours chez sa mère en attendant de faire une grande découverte scientifique. Mais sa vie va être bouleversée le jour où sa mère va rencontrer un homme avec qui elle va rapidement entamer une relation sérieuse ... Dans le rôle de la mère, on retrouve Diane Keaton qui elle aussi commence à être abonnée à ce genre de comédie (The family Stone, Because I said so, ...). On ne peut pas dire que la comédie soit son univers de prédilection mais elle s'en sort pas trop mal. On retiendra surtout la présence de Jeff Daniels dans le rôle du petit ami de la mère. L'acteur se fait trop rare mais il excelle dans la comédie. Il joue ici un gourou de la pensée positive qui essaye par tous les moyens de créer un lien amical avec Jon Heder alors que lui essaye à tout prix de briser son histoire avec sa mère.

On n'a pas à faire ici à de l'humour lourdingue mais c'est plutôt gentillet. Du coup, on n'a pas vraiment de fou rire mais on sourit à de nombreuses situations même si ce genre de comédie joue forcément sur la caricature ... Et il ne faut pas oublier Anna Faris dans le rôle d'une paumée travaillant dans un café et essayant de devenir chanteuse dont Jon Heder tombe amoureux. Contrairement à son habitude, elle un rôle moins caricatural que dans les derniers films dans lesquels elle a pu jouer. Elle ne joue pas "la blonde sans cervelle" mais juste une jeune femme un peu perdue mais attachante.

Même si le scénario est prévisible comme dans la plupart de ces petites comédies US, on se laisse porter par cette histoire et ces personnages plutôt attachants. Ne versant ni dans la comédie grotesque ni dans le mélo volontairement larmoyant, voici un film sans prétention qui mérite qu'on y jette un œil même s'il n'est pas mémorable.

[nicofromtheblock]

PANDORUM
Christian Alvart - 2009
4/10

J'avais raté ce film lors de sa sortie ciné, je me rattrape donc avec le DVD ... Pour résumer rapidement, prenez Sunshine de Danny Boyle, Alien de Ridley Scott et The descent de Neil Marshall, mélangez le tout et retirez le talent des 3 réalisateurs précités et vous obtiendrez Pandorum.

Sur le papier, il y avait de l'idée mais le film ne décolle jamais réellement. Pourtant, vu son premier film Antibodies, le réalisateur semblait avoir un bon potentiel mais ça ressemble plus à un nouveau film de Paul W.S. Anderson qui n'est pourtant que producteur sur celui-ci ... En effet, la mise en scène est tout aussi ratée qu'un Event horizon ou qu'un AVP : c'est tout juste digne d'une bonne série B. Du coup, il est difficile d'imprégner le film de l'ambiance dont il aurait besoin ... et la musique n'aide pas non plus !

Le scénario n'est pas non plus dépourvu de défaut. Le film essaye de viser plus haut que ses capacités et nous livre une pseudo réflexion à la Solaris ou Sunshine. Pour ce genre de film de SF, il est plus judicieux d'aller à l'essentiel plutôt que de nous embrouiller en nous expliquant l'origine de ces mutants et les problèmes existentiels des personnages ... A vouloir insérer un message philosophique là où il n'y en a pas besoin, le réalisateur nous ennuie plus qu'autre chose. Je n'ai pas vu Eden log mais j'ai l'impression que c'est un peu le même problème.

Pour ce qui est de l'interprétation, Ben Foster confirme qu'il a un gros potentiel même si son interprétation est assez anecdotique par rapport à ce qu'il a pu faire dernièrement. Quant à Dennis Quaid, il est toujours aussi mauvais acteur, ce qui n'aide pas pour son rôle de chef qui devient progressivement fou à lier. A leur côté, l'actrice allemande Antje Traue apporte une touche de charme mais son personnage manque d'intérêt et Cam Gigandet (vu dans Twilight tient un rôle ambigu plutôt réussi mais trop secondaire ...

Reste que l'univers est plutôt réussi : les décors du vaisseau spatial permettent une large marge de manœuvre et on sent qu'il y a plus de budget que sur un Dante 01. De même les créatures mutantes sont très convainquante même s'il est clair que les créateurs ont généreusement pompé à droite à gauche (The descent, Creep, SDA, ...)

Au final, on obtient une série B dans la lignée d'Event horizon qui malheureusement n'assume pas son statut. A réserver aux fans de SF qui ne sont pas trop difficile ... Autrement dit : si vous avez aimé Outlander, vous aimerez Pandorum.

[blackula]

c'est dommage, ça avait l'air plutôt tentant, mais c'est vrai que les échos étaient franchement défavorables. Et puis j'aime bien Dennis Quaid , mais il choisit vraiment trés mal ces films (angle d'attaque, les trucs de l'apocalypse ).
La comparaison avec outlander tue toute envie...

[zack_]

Y a des films qui donne envie, et y a des déceptions au vu de tes notes comme Pandorum... En tout cas encore de belles critiques! Continues comme ça on va modifier le forum pour que les critiques du jour soit mises en avant sur un nouveau portail

Ps: merci pour le spoiler d'Américan Pie, même si question nichons y a mieux

Ps 2: Je verrai bien ta rubrique Sorties de la semaine dans la partie cinéma! Ca sera toi qui l'organiserai et ca serait le rendez vous du mercredi ? Ca te dit?

[nicofromtheblock]

Moi, je veux bien mais ça ne vaut le coup que s'il y a une discussion autour.
Sinon, ça ne sert à rien de faire un topic à part.
C'est comme tu veux

[Heatmann]

ah ben tient moi j'ai pas trop aimer Outlander mais j'aime plutot bien ce pti pandorum

[jean-michel]

Pique-nique à Hanging Rock de Peter Weir 7,5/10

Agora d'Alejandro Amenabar 7,5/10

Ken Park de Larry Clark & Ed Lachman 8,5/10

j'ai bien aimé tes critiques sur ces 3 films!!! très intéressant!