Actualités - Rumeurs - BA - Bientôt sur nos écrans...

[Riton]

AH non, surtout pas avec Disney

[zirko]

EuropaCorp, la société de production de Luc Besson, est sur le point de conclure une entente avec deux importants studios américains pour faire un remake du film français «Ne le dis à personne».

Lancé en 2006, le film de Guillaume Canet s'inspirait d'un roman d'Harlan Coben. On y suivait l'histoire d'Alex, un médecin qui ne se remet pas du meurtre de sa femme, Margot, survenu il y a huit ans. Alors que le souvenir de leur relation ne cesse de le hanter, il reçoit un e-mail qui lui présente une vidéo où Margot apparaît au milieu d'une foule. François Cluzet, André Dussollier, Marie-Josée Croze, Nathalie Baye, François Berléand et Jean Rochefort composaient la distribution originale.

Le film a récolté 6 millions $US aux Etats-Unis seulement.

Le remake sera tourné d'ici la fin de l'année.

Par ailleurs, EuropaCorp est également en négociations avec un partenaire américain pour tourner une version en langue anglaise du film «Banlieue 13». Le film de Pierre Morel, paru en 2004, suivait un policier et ancien criminel en mission secrète dans le but d'infiltrer un gang qui a mis la main sur un bombe à neutrons.

Le remake sera baptisé «Brick Mansion».

EuropaCorp a également d'autres projets en production dont «L'immortel» avec Jean Reno qui sera tourné incessamment. Le film suivra un retraité dans la cinquantaine, habitant à Marseilles, qui a survécu miraculeusement après avoir été criblé de vingt-deux balles. Il tentera de découvrir l'identité et la motivation de ses agresseurs. Le long-métrage sera tourné par Richard Berry.

La société européenne prépare aussi l'adaptation cinématographique du roman «The Big Picture» (L'Homme qui voulait vivre sa vie) de l'auteur Douglas Kennedy. Ce projet estimé entre 19,4 et 26 millions $US racontera l'histoire d'un avocat accompli qui doit fuir et prendre une nouvelle identité. La réalisation sera confiée à Eric Lartigau (Prête-moi ta main»). Le tournage doit débuter à la fin mai.

(source: Variety)

[jean-michel]

le monde

Un an après la fin de la grève des scénaristes d’Hollywood, le mouvement mené entre le 5 novembre 2007 et le 12 février 2008 par la Writers Guild of America a laissé de profondes traces dans une industrie du cinéma et de la télévision qui était déjà contrainte, à l’époque, de faire face à un marché en recession.

Le bienfondé de l’action menée par les scénaristes n’est pas ici en cause. Ils exigeaient et ont obtenu une revalorisation de leurs rémunérations, notamment en raison des nouveaux supports de diffusion, ainsi qu’une révision de leurs condictions de contrat. Leurs demandes étaient légitimes, mais elles ont eu des conséquences.

Les grandes entreprises de l’entertainment n’avaient certainement pas besoin d’une raison supplémentaire pour procéder à des réductions de coût, à un moment où les marges de profit se réduisaient sensiblement. La grève leur a toutefois fourni un argument idéal. On peut craidre que la tendance s’impose à long terme, d’autant que le combat mené et remporté par la WGA a suscité de nouvelles revendications, chez les acteurs de la SAG.

Eux aussi réclament une amélioration de leurs conditions de rémunération, et des discussions avec les producteurs sont prévues les 17 et 18 février, comme le rapportait récemment l’AFP. Rien n’est réglé, mais la menace d’une nouvelle cessation de travail n’est pas encore à l’ordre du jour. Seule certitude, la situation s’est dégradée en un an et pas seulement à cause de la crise économique qui rend plus délicate à action dure.

La grève des scénaristes a eu trois conséquences immédiates.

Une réduction rapide et spectaculaire des “fees” (les honoraires) versés aux acteurs et scénaristes, les plus demandés sur le marché.

Une perturbation des programmes du prime-time, notamment en raison de l’annulation ou de l’interruption de nombreuses séries. Cela a engendré des ajustements et des retards dans l’actuelle saison. Conséquence, on a vu se multiplier les adaptations de séries en provenance de Grande-Bretagne (Eleventh Hour, Worst Week ou encore Life on Mars, sans parler de Leverage qui est une copie de Hustle) ou d’Israël (The Ex-List ou In Treatment).

Une grève de fait s’est imposée en raison de l’incertitude provoquée par les revendications des acteurs de la SAG. Cela a plongé toute l’industrie dans une sorte de torpeur générale et attentiste, alors même que la question des scénaristes était réglée.

Dans ce contexte plombé, est arrivée la crise financière. Et Hollywood doit faire face à des restrictions budgétaires et à une réduction de son activité qui auraient existé même en l’absence des trois mois et demi de grève.

Les grandes chaînes et les réseaux câblés se sont trouvées à cours de fictions originales pour remplir leurs grilles de programmes et cela a entraîné des baisses d’audience notamment en prime-time. Des séries parfaitement rôdées comme CSI, House ou Grey’s Anatomy ont perdu des fidèles dans l’opération. Le seul exemple contraire étant celui de NCIS qui a vu ses chiffres augmenter, comme le notait le NY Times en septembre. Le fonctionnement routinier des séries est particulièrement sensible aux interruptions dans la programmation.

Le coût de la grève a été estimé à plus de deux milliards de dollars en perte d’activité économique, tandis que les pertes de salaires pour les employés dans le seul comté de Los Angeles sont évaluées à 2,5 milliards.

Mais, la conséquence la plus importante à terme est sans doute celle de l’abandon de projets. La grève a fourni aux industriels un argument tout trouvé pour réduire immédiatement leurs coûts sans avoir l’air d’apparaître frileux. En janvier 2008, NBC Universal, Time Warner, News Corp. ou encore CBS Corp. ont rayé d’un trait de crayon des projets en cours, réalisant ainsi des millions de dollars d’économie.

En ces temps de rigueur, ABC et CBS ont imposé des réductions de budget de 3 à 10% sur les productions de séries et ce, avant même que la crise fasse sentir ses effets. Les séries parfaitement implantées dans le paysage et offrant de bons taux d’audiance n’ont pas été épargnées par ces mesures.

L’exemple le plus symptomatique des changements opérés concerne évidemment NBC. La chaîne, qui autrefois se targuait d’être la plus originale et la plus inventive en matière de fictions, paraît durement souffrir comme nous le remarquions dans ce billet. Certains estiment même qu’elle n’est déjà plus une grande chaîne puisqu’elle a confié la dernière heure de son prime-time au talk-show de Jay Leno depuis cet automne.

De fait, la rentrée de septembre a pu apparaître à tous les fans de séries comme un peu terne en terme de nouveautés. Tout fut centré sur Fringe, grâce au nom de J.J. Abrams, et sur True Blood grâce au nom d’Alan Ball décliné par un marketing viral assez agressif. Le mois de janvier n’a guère été plus convaincant et l’on a le sentiment qu’un an plus tard, une morosité ambiante s’est largement installée.

Les séries sont de bons baromètres de l’ambiance générale et l’on n’a assisté à aucun grand projet d’envergure. La question est de savoir si cette morosité est de nature à durer. Le prochain round de négociations entre les scénaristes et les producteurs est prévu pour 2011.

[BenderIsBack]

Et bah ! Ça craint !

[jean-michel]

oui! si la crise touche aussi l'usine à rêve!!!

[BenderIsBack]

L'imagination et le rêve sont attaqués par l'omniprésence du frics ! pfffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffff

[zirko]

Ghost House Pictures, la société de production du réalisateur et producteur Sam Raimi, développera les versions américaines de deux films d'horreur européens.

Le premier, intitulé «Angoisse», a été écrit et réalisé par le réalisateur espagnol Bigas Luna («Jambon, jambon) en 1987.

Dans «Angoisse», deux jeunes filles, qui regardent un film d'horreur, se retrouvent plonger eux-mêmes dans l'horreur lorsque la réalité emprunte au scénario du film. Jake Wade Wall («When a Stranger Calls», «The Hitcher») planchera sur le scénario.

Sam Raimi et son partenaire Rob Tapert produiront le film en association avec Vertigo Entertainement. Les deux sociétés avaient collaboré ensemble pour les remakes des films «The Grudge» et «The Grudge 2».

Le deuxième est un film d'horreur danois intitulé «Room 205» lancé sur les écrans en 2007. Martin Barnewitz dirigera le remake qui sera rebaptisé «The Dorm».

L'histoire suivra un nouvel étudiant à l'université qui va rester dans un dortoir et qui découvre que sa chambre est hantée par des forces sinistres. Stephen Susco, qui a scénarisé «The Grudge» et «The Grudge 2», se chargera de l'adaptation.

Sam Raimi et son partenaire Rob Tapert produiront le projet.

Ghost House a récemment tourné le film «Drag Me to Hell», réalisé par Raimi, pour Universal.

[Niko06]

Ouais enfin ghost house c'est un peu que de la merde qu'ils ont produit jusque là, à part 30 jours de nuit et à la rigueur le remake de the grudge

[Val]

La star de "Slumdog Millionaire" chez Woody Allen

On ne perd pas de temps à Hollywood. Moins de 48 heures après avoir vu son film Slumdog Millionaire triompher aux Oscars (lire la brève), Freida Pinto a un nouveau projet sous le coude. L'ex-mannequin devenue comédienne, qui incarne Latika adulte dans le film, fera en effet partie du cast du prochain film de Woody Allen.

L'actrice, âgée de 24 ans, a fait ses premiers pas au cinéma dans Slumdog Millionaire, et ce rôle dans le nouveau film du réalisateur new-yorkais n'est donc que son deuxième rôle au cinéma. Elle y donnera la réplique à Naomi Watts, annoncée hier. Le film n'a pas encore de titre, et on ignore pour l'heure de quoi il traitera.

D'ici sa sortie, les fans de Woody Allen pourront retrouver le réalisateur dans un nouveau film, Whatever Works, prévu pour juin.

[zirko]

Comme quoi ça sert de tourner dans un film qui a eut des oscars.

[zack_]

UNE NOUVELLE TRILOGIE SCREAM ?

Les rumeurs sur un quatrième opus de la franchise hurlante commencent à être sérieusement confirmées, Kevin Williamson planche sagement sur son scénario, quand soudain... Irruption d'une nouvelle rumeur, bien plus folle que la précédente ! Les Weinstein serait encore loin d'en avoir terminé avec le fameux tueur masqué et la malheureuse Sidney Prescott. C'est reparti pour 3 tours ?
La rumeur vient d'un site de fan, Ghostface qui a reçu un potentiel scoop. L'expéditeur, vraisemblablement quelqu'un qui a accès à l'intranet de la William Morris Agency (qui détient les droits de la franchise), a fait une capture d'écran d'un mail que vous pouvez voir ici

[zack_]

Hollywood s'adonne en ce moment à un vague de remakes de films cultes qui laisse le futur spectateur entre froide excitation et grande désolation. Tout récemment fût annoncé le remake de Total Recall mais on s'effarera surtout de celui de Bonnie and Clyde ainsi que celui des Oiseaux d'Alfred Hitchkock.
On peut aussi se permettre d'éclater de rire quand on entend que pour ce dernier film, on ne s'est pas tellement cassé la tête puisque le choix d'acteur s'est porté directement sur la charmante Naomi Watts, dont il fût 100 fois écrit qu'elle avait des allures hitchkockiennes. Côté masculin on retrouvera George Clooney, lui-même 100 fois comparé à un des plus emblématiques parmi les acteurs du maître, Cary Grant.



Aujourd'hui nous apprenons que la modernisation du chef d'oeuvre (une des caractéristiques du chef d'oeuvre n'est elle pas d'être intemporel ?) pourrait se faire via un passage en 3 dimensions. Comme ça, on sera sûr de bien ressentir la crainte des oiseaux si jamais Martin Campbell n'arrive pas à la cheville d'Alfred Hitchcock. Rien n'est encore sûr concernant la 3-D mais l'attente est insoutenable...

[zack_]

La rumeur courait maintenant depuis des années et vient d'être enfin officialisée aujourd'hui : MacGyver, la série culte des années 80-90, arrive sur le grand écran ! New Line vient en effet de publier un communiqué de presse officiel annonçant le développement du film, lequel n'a encore ni acteur, ni réalisateur, ni scénario. Le studio a néanmoins confirmé que le film reprendra le concept original de la série, racontant les aventures de MacGyver, agent secret de la Phoenix Foundation, se sortant de toutes les situations avec une ingéniosité légendaire en inventant avec trois bouts de ficelles (et un trombonne) une arme pour vaincre ses adversaires. Le studio ne cache pas vouloir créer une franchise de films "funs et divertissants".



Le film est lancé ! Plus d'informations prochainement...

Sortie cinéma : 2011/2012

[Niko06]

[Riton]

Putain j'ai hâte

Pour la nostalgie




On aura peut-être droit au retour de Murdoch