[Niko06] Mes critiques en 2009

Modérateur: Dunandan

Re: [Niko06] Mes critiques en 2009

Messagepar Niko06 » Mar 10 Mar 2009, 08:26

merci bik :wink:

non scalp je voulais le voir avant de l'acheter :mrgreen:
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Re: [Niko06] Mes critiques en 2009

Messagepar Scalp » Mar 10 Mar 2009, 13:55

rho moi je peux pas faire ça, je supporte plus les divx
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Re: [Niko06] Mes critiques en 2009

Messagepar Niko06 » Mar 10 Mar 2009, 14:37

j'aime pas trop non plus mais bon... y'a des films à risque pour lesquels je préfère économiser mes sous :eheh:
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In the mood for love - 10/10

Messagepar Niko06 » Mar 10 Mar 2009, 16:49

In the Mood for Love
de Wong Kar Wai

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In the mood for love c'est le film qui a définitivement placé Wong Kar Wai sous les projecteurs, tardivement car ses films précédents sont tous aussi bons. C'est peut-être le changement de rythme qu'il a apporté à celui-ci qui aura conquis. Délaissant le montage très serré et nerveux (il l'avait initié sur Happy Together) il livre une oeuvre très mélancolique, stylisée à l'extrême, dans laquelle aucun détail n'est laissé au hasard. Le travail d'orfèvre réalisé sur les cadrages impressionne et marque la signature d'un génie déjà capable d faire un bilan de son travail après seulement 5 films impressionnants!

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In the mood for love ne se regarde pas vraiment comme un film banal, il se vit un peu comme un rêve bercé d'une musique douce et triste. Wong Kar Wai manipule la notion du temps avec une facilité déconcertante et nous propose une succession de scènes qui semble se dupliquer, étire certains moments à priori futiles en utilisant excessivement les effets de ralentis (chez d'autres c'est poseur et ridicule, chez lui c'est beau!). En s'appuyant sur une lumière magique de Christopher Doyle et en reprenant l'esthétique d'Happy Together (poussée plus loin) et une thématique proche de Chungking Express et days of being wild, WKW raconte ce qu'il maitrise le mieux, une histoire d'amour nostalgique et qui n'aboutira jamais au bonheur. Un couple qui se rencontre en emménageant sur même palier et qui va se rapprocher sans vraiment le vouloir, chacun étant la victime de l'infidélité de son conjoint.
Entre dénis, tristesse et résignation, le couple formé par Tony Leung Chiu Wai et Maggie Cheung va passer par tous les stades du deuil d'une relation détruite par la trahison, les 2 l'abordant de façon différente. Ils vont vivre leur propre histoire à part d'une manière tout à fait platonique, en gardant du respect envers ceux qui leur font tant de mal...

Image

Les deux acteurs forment un couple magique, beaux et élégants, ne laissant s'exprimer leurs sentiments que par des regards. Quand ils se laissent aller aux larmes ils sont seuls et d'autant plus émouvants. In the mood for love représente avant 2046 toute la quintescence du cinéma de WKW, tout n'y est que fantasmes et jeux de séduction. Fantasme d'une relation parfaite, fantasme de l'aveu d'adultère, fantasme d'une séparation qui n'arrivera jamais. On y parle d'êtres seuls qui n'ont qu'un besoin: la présence de l'autre.
Intelligemment WKW travaille ses cadres comme il a l'habitude, plaçant toujours quelque chose au premier plan comme pour donner au spectateur la sensation d'être caché quelque part pour observer telle ou telle scène. Il prend aussi ce parti-pris de ne jamais montrer le visage des coupables de l'adultères, on les voit tout d'abord de dos puis au fur et à mesure que le film avance ils deviennent des silhouettes pour ne finir qu'en étant une voix et un souvenir... On peut y voir la disparition progressive de l'autre.

En esthète brillant, le réalisateur le plus romantique et élégant du monde nous offre un film magnifique à tous les niveaux, mélange d'influences chinoises et latines, à la fois mélancolique et moite. Il symbolise l'action du temps sur les sentiments jusque dans ce beau final dans les ruines d'Angkor où l'on enterre ses souvenirs. Et cette façon de suspendre le temps... c'est juste fascinant.

10/10
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John Rambo - 8,5/10

Messagepar Niko06 » Mer 11 Mar 2009, 20:07

John Rambo
de Sylvester Stallone

Image


Après Rocky Balboa, chant du signe d'une icône qui l'a rendu star, Stallone nous revient avec son autre rôle culte, John Rambo. Pour la 1ère fois il réalise lui-même un opus de la saga qui renait 20 ans après un rambo III de triste mémoire. Et s'il ne tend pas vers l'origine du premier film, à savoir les conséquences d'un entrainement et de la guerre sur un soldat d'exception, ce nouveau Rambo nous plonge dans un festival de violence au réalisme surprenant, avec une morale légèrement douteuse mais qui constitue un divertissement de premier choix en ces temps de disette cinématographique (en particulier dans le genre du film d'action qui n'apporte plus rien de bien intéressant ou de nouveau depuis longtemps!)

Image

Ca commence avec des images chocs des massacres en Birmanie, histoire de bien appuyé le message "la guerre c'est moche" mais heureusement le message n'est pas là, d'ailleurs il n'y a pas vraiment de message là-dedans. John Rambo est devenu une sorte de monolithe qui chasse des serpents et bien entendu on vient le sortir de sa petite vie tranquille pour aller dans un coin bien dangereux, en plein conflit... Pas de chance dans le film on vient même lui casser les noix deux fois. Et si la 1ère il règle juste leur compte à quelques pirates vite fait entre deux grimaces d'ennui, la 2ème fois c'est la bonne pour que la machine de guerre se remette en route!
Et il faut avouer que ça frappe plutôt fort! Stallone ne nous épargne aucune horreur et multiplie les plans gores. Il est loin le temps où on se contentait de 3 explosions pour illustrer un combat aux armes d'assaut. Ici le sang gicle dans tous les sens, les membres sont arrachés... C'est simple le lieu de la "bataille" finale ressemble à une boucherie! Et avant elle on a droit à tout, de l'exécution de gamins à un magnifique arrachage de gorge à main nue!!!

Image

Carrément généreux dans son approche, Stallone impressionne aussi bien devant (sauf quand il parle, même si sa réponse préférée "Go home!" restera en mémoire) que derrière la caméra et signe un film sans concession, complètement dédié à son héros. La dernière partie est juste un modèle de barbarie tellement Rambo défouraille de soldats. Son regard de bête tranche avec cette mélancolie dans la première partie, celle d'un homme qui s'ennuie dans une activité qui n'est pas faite pour lui. Un flashback judicieux avec le colonel Trautman nous le rappelle bien, il a la guerre dans le sang, c'est la seule chose qu'il sait faire et en plus il aime ça: il n'y a qu'à voire ce plan magnifique où il contemple son "oeuvre".
Par moments on se dit même que le bonhomme a presque la carrure d'un Clint Eastwood réalisateur avec cette vision complètement désabusée et crépusculaire...
D'une beauté étonnante, ce film relance plus qu'il ne clôt la série. Entre la série B jouissive et la réflexion sur la violence extrême, le spectacle est juste ahurissant! Et d'un coup d'un seul, on attend son prochain projet avec une énorme impatience!!!

8.5/10
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Re: [Niko06] Mes critiques en 2009

Messagepar zack_ » Mer 11 Mar 2009, 20:15

Comme j'ai hate de me prendre la saga en BD :super: Sublime critique :super:
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Re: [Niko06] Mes critiques en 2009

Messagepar Scalp » Mer 11 Mar 2009, 20:17

Rambo un film pour les mecs, les vrai 8)
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Re: [Niko06] Mes critiques en 2009

Messagepar Niko06 » Mer 11 Mar 2009, 20:30

c'est clair, sévèrement burné le film :super:
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Re: [Niko06] Mes critiques en 2009

Messagepar kenshiro » Mer 11 Mar 2009, 20:37

Rambo c'est un dur un tatoué

la preuve
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Re: [Niko06] Mes critiques en 2009

Messagepar Bik » Jeu 12 Mar 2009, 00:00

:super: mon Niko :bisou:
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Forbidden Zone - 9/10

Messagepar Niko06 » Jeu 12 Mar 2009, 10:28

Forbidden Zone
de Richard Elfman

Image


Voilà un film carrément culte aux States alors qu'il est quasiment invisible chez nous. Heureusement la popularité du compositeur Danny Elfman a enfin décidé un éditeur à le sortir en France (Le chat qui fume) pour le plus grand plaisir de tout amateur d'ovnis cinématographiques. Car oui c'est bien de ça qu'il s'agit, le film ne suit aucune logique, il n'y a pas vraiment de scénario... A la rigueur une trame qui pourrait se rapprocher d'Alice au pays des merveilles mais en beaucoup plus simple. On sent bien qu'au départ il ne s'agit que d'une accumulation de sketches que l'équipe à souhaiter transformer en long métrage.
Le résultat c'est film complètement fou, entre le Rocky Horror Picture Show, Freaks et Charlie et la chocolaterie, forcément indispensable!

Image

Le film est réalisé par Richard Elfman, frère du compositeur, c'est sa première réalisation suite à son retour aux USA, après son expérience au sein du Grand Magic Circus de Jérôme Savary. Au centre du récit il met en scène sa femme à la ville, Marie-Pascale Elfman (avec un accent à couper au couteau). Le reste du casting est essentiellement constitué de membres de l'équipe à l'origine de ce projet avec quelques acteurs plus connus comme Hervé Villechaize (le nain de l'île fantastique), Susan Tyrrell (la chair et le sang) ou encore dans un petit rôle l'excellent Joe Spinnel (Maniac).
Tout dans ce film n'est qu'absurde et on sent bien qu'il s'est fait dans une ambiance de délire absolu. Sans aucune limite et contre toutes les règles en vigueur au cinéma Elfman crée un monde imaginaire dans des décors en carton tout droit sortis du Cabinet du Docteur Caligari, et qui a leur tour serviront d'inspiration à Tim Burton sur l'étrange Noël de Mr Jack.

Image

Dans ce spectacle surréaliste et musical, on croise de tout... Une grenouille qui danse le twist, un homo refoulé qui se prend pour un poulet, un enfant toxico, un grand-père ancien lutteur sourd-muet, une salle de classe dans laquelle l'institutrice fait régner l'ordre avec une mitraillette (faut dire que parmi ses élèves on trouve un sosie d'Hitler et un gang black sorti tout droit de Shaft et qui joue au poker en classe), un chandelier humain... Sans oublier le couple royal de la 6ème dimension, complètement déjanté et un Satan lubrique joué par Danny Elfman himself. On ne peut pas non plus passer sous silence le rôle de la princesse tenu par une Gisele Lindley qui passe la totalité du film en topless...
Dans un noir et blanc dû à un faible budget autant qu'à un hommage à l'impressionnisme allemand du début du siècle, Elfman maitrise son joyeux bordel et nous livre un film kitsh et psychédélique, un truc qui n'a aucun sens, la plupart du temps joué à l'improvisation théatrale et agémenté de séquences d'animation dignes des Monthy Pythons. C'est aussi la toute première composition de Danny Elfman pour le cinéma (avec son groupe, les Mystic Knights of Oingo Boingo!!).

C'est du pur pétage de plomb jubilatoire qui n'obéit à rien, c'est génialissime.

9/10
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Re: [Niko06] Mes critiques en 2009

Messagepar Riton » Jeu 12 Mar 2009, 12:05

Scalp a écrit: Rambo un film pour les mecs, les vrai 8)


Le genre de film qu'on regarde les couilles posées sur la table 8)
Mes DVD a vendre à partir de 0.70€ 8)
helldude™ a écrit:bik et moi vivions déjà le grand amour avant l'épisode de l'éjaculation faciale

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Hana-Bi - 9,5/10

Messagepar Niko06 » Ven 13 Mar 2009, 17:18

Hana-Bi
de Takeshi Kitano

Image


Hana-Bi est le film qui a fait exploser la carrière de Kitano en occident, en partie grâce à son Lion d'or obtenu à Venise mais aussi grâce à sa simplicité et son message universel. Cet ancien flic, qui va perdre peu à peu toute notion de réalité, de bien et de mal, après deux épreuves tragiques qui vont le ronger, on ne peut que le comprendre. Se mettant une fois de plus en scène, une fois de plus dans un rôle quasi mutique qui va à l'extrême opposé de son image publique au Japon, où il joue un véritable clown de télévision, Kitano nous émeut jusqu'aux larmes, et ce sans artifice... Sans doute son plus beau film.

Image

Première apparition devant la caméra pour Kitano après son accident de moto qui a failli lui coûter la vie et qui lui laissa la moitié du visage paralysée, Hana-Bi est un film véritablement émouvant, mais dans lequel nos émotions ne sont guidées ni par la mise en scène ni par la musique, tout le contraire d'un mélo lacrymal en fait, et d'autant plus puissant. Et pourtant la musique est fabuleuse, composée par Joe Hisaishi (surtout connu chez nous pour ses compositions pour Miyazaki mais qui travaille sur tous les films de Kitano depuis A Scene at the Sea jusqu'à Dolls), elle apporte une poésie et une mélancolie qui élèvent encore plus le film.
Pour ce qui est du casting, Kitano se donne le premier rôle et s'entoure de ses collaborateurs habituels. Il livre une prestation exemplaire (on pourrait dire comme à son habitude) malgré une économie de dialogues qui peut rebuter... On n'entend pas sa voix avant 1/4 d'heure et s'il prononce 10 lignes pendant le film c'est beau!

Image

Kitano doit être le seul acteur au monde à réussir à faire passer autant d'émotions rien qu'avec son visage mais sans son regard qui est caché derrière des lunettes noires pendant tout le film. De son aveu, il ne souhaite pas que le spectateur soit guidé dans ce qu'il ressent.
Il incarne à merveille cet homme qui se pose en symbole d'une société japonaise en pleine mutation. Il lâche tout et emmène sa femme avec lui dans ce qu'on voit de suite comme leur dernier voyage, loin de la ville pour profiter de choses aussi simples que la neige ou le bord de mer.
En personnage naïf, Nishi veut donner à des choses toutes simples une importance vitale, comme ce matériel d'artiste qu'il envoie à son ami cloué dans un fauteuil, ou cet argent de la pègre qu'il redistribue autour de lui. On retrouve comme dans presque tous ses films la présence de yakuzas. ici ils ne sont pas au centre du récit mais viennent perturber le voyage et ramènent Nishi à la réalité.

La mise en scène est sobre, on trouve surtout des plans fixes comme toujours chez le réalisateur. Des scènes paisibles qui aussi soudainement que brièvement, comme son personnage de Nishi, sont traversées d'excès de violence. On rigole aussi beaucoup.
Une image résume à elle seule le film, la femme de Nishi qui arrose un bouquet de fleurs fanées, scène incompréhensible pour l'ignorant qui passe par là.
Hana-Bi signifie feu d'artifice, Hana signifie Fleur (symbole d'Amour), et Bi signifie Feu (symbole de Mort)... Que dire de plus?

9.5/10
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Re: [Niko06] Mes critiques en 2009

Messagepar Solodzo » Ven 13 Mar 2009, 17:35

Tu as tout dit, Hana-Bi c'est juste essentiel, à égalité pour moi avec Dolls et un peu plus loin l'été de Kikujiro.

Il n'y a pas de fausses notes dans sa filmo, même son petit passage américain avec Aniki mon frère est loin d'être dégueulasse.

Ca me fait penser qu'il n'y a pas de topic sur Takeshi Kitano.
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Re: [Niko06] Mes critiques en 2009

Messagepar Niko06 » Ven 13 Mar 2009, 18:27

Ah ben tout pareil que toi sauf qu'au niveau de Dolls et Hana-Bi je mets aussi Sonatine, pour d'autres raisons.

Aniki c'est très bien aussi, et contrairement à ce qu'on pense c'est un film complètement japonais, à part que c'est tourné à LA :wink:

Par contre ses tous derniers films semblent étranges (Takeshis et le suivant...) :?
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