[Scalp] Mes critiques en 2009

[Scalp]

oue le debut claque bien avec une mort mémorable puis apres bein plus grand chose.

[Scalp]

Ultime Evasion



Un film de prison qui n'apportera rien au genre, la seule nouveauté c'est que ça se situe dans une prison anglaise et que du coup exit tout les gangs latino, black ...., pas cool ça a la place on se retrouve avec un boss de prison rouquin interpreté par Damian Lewis ( le perso principal de band of brothers ), et il est pas tres convaincant dans ce role.
Bon sinon c'est du film evasion classique qui se demarque des autres avec sa narration qui alterne le present de l'evasion et les flashback du comment ils ont fait, mouais au début on se demande pourquoi c'est comme ça ( surtout que je trouve que ça plombe un peu le truc ) et finalement on a une explication grace a un twist aussi ridicule qu'inutile ( bon alors oui on peut y voir un message que certains trouveront "trop beau", mais moi ça m'en touche une sans bouger l'autre ).
Le cast manque vraiment de bonne grosse gueule patibulaire, mais bon Brian Cox assure comme toujours, Joseph Fiennes se revele le plus convaincant du lot, Liam Cunningham est pas mal.
La partie preparation de l'evasion est pas super captivante dans l'ensemble tout de même, et dommage aussi que chaque scene importante soit plombé par une musique qui en fait des tonnes.
Pas un mauvais film, mais un film de prison banal a rajouté à la longue liste du genre.

5.5/10

[Scalp]

Bon Voyage



Films injustement boudé par la critique et les spectateurs alors que c'est vraiment un des meilleurs film français des années 2000, quand on voit la gueule de la concurrence c'est d'autant plus surprenant.
Film du très rare Rappeneau ( 8 films en 40 ans ).
Une intrigue riche avec une dizaine de personnages important ( collabos, futur résistant, espions, et une intrigue a base de bombe nucléaire ), des sous intrigues et un contexte historique (rarement montré à l'écran finalement) passionnant et complexe avec la résistance et la collaboration qui se mette en place chacun de leur coté : on y croise aussi De Gaulle dans un clin d'oeil savoureux.
L'aspect légèrement comique apporte un réel plus à l'intrigue, on ne peut s'empêcher de sourires à plusieurs moment.
Le casting pouvait faire peur avec Isabelle " je suis l'actrice française la plus surestimé avec Catherine Deneuve" Adjani, bein elle est très convaincante dans son rôle de chieuse qui essaye de s'en sortir par tout les moyens, l'humour passe vraiment par son personnage et malgré son coté chieuse elle est très attachante, Attal fait du Attal ( c'est à dire qu'il est très limité en tant qu'acteur mais ici le rôle est pas trop exigeant donc ça va il s'en sort bien, Depardieu y trouve ici un de ces derniers grand rôle, Peter Coyote a un rôle intéressant, le héros dont j'ai zappé le nom est très crédible, et c'est dire si Rappeneau est un grand directeur d'acteur parce que même Ledoyen joue presque bien.
Le film est passionnant pendant près de 2h, le rythme ne baisse pas et on ne s'ennuie jamais, certains dialoguent sont vraiment savoureux, les persos sont vraiment attachant et les rebondissements s'enchainent.
La reconstitution d'époque est parfaite et l'ambiance de défaite qui règne est parfaitement retranscrite.
La réalisation de Rappeneau est vraiment classe, faite de fabuleux plan séquence de foule et un cadrage vraiment parfait avec une utilisation agréable du scope, rien ne vient alourdir le film inutilement (pas de surdramatisation), le dernier plan de Depardieu est génial.
La bo est parfaite aussi.
Dommage qu'on ai pas plus de film populaire comme celui là en France par charité je parlerais pas des films populaire qu'on se tape actuellement.

8/10

[Niko06]

C'est vrai qu'il mérite une chance ce film car il est excellent

[Scalp]

The Beast Stalker Dante Lam - 2008

Après une première vision enthousiaste je revois le film un peu à la baisse, bon c'est toujours du bon petit polar mais j'y vois plus le meilleur film de Dante Lam, la palme revient à Stool Pigeon.

Le film commence comme un polar HK classique : un groupe de flic va arrêter un gros bonnet, on a droit a une petite course poursuite ( pas terrible, celle de Connected était plus réussi ) qui accouche sur une bête de carambolage ( très très important le carambolage, séquence très bien réalisé avec du ralenti qui tue ), suite à ça Nick Tse flingue les truands mais

en tirant sur la voiture, il bute une fillette qui se trouvait dans le coffre, et vu qu'on est a HK le corps est pas hors champ.

Suite a ça on a droit a un kidnapping d'une fillette par Nick Cheung, et Tse en quête de rédemption va tout faire pour la retrouver et là on est trop proche du pathos par moment.
L'histoire est prenante et repose beaucoup sur les épaules de Nick Cheung qui campe un méchant très déterminé, dont le perso est vraiment bien écrit, et le "twist" final est loin d'être anecdotique ( même si on s'en doutait, enfin sauf

le coup de l'accident qui implique tout le monde).

malheureusement le film se permet des petites facilités embêtante ( comme par hasard c'est une magistrat qui se retrouve impliqué dans l'accident et comme par hasard elle a 2 filles ).

La réal de Lam heureusement est bien chiadé et bourrine quand il faut, le climax final est un bon gros monument barbare, la course poursuite de milieu de film est efficace, on y retrouve la vrai rage urbaine qui habitait les polars des 80's et 90's ( de Ringo Lam et Kirk Wong ) et qui avait un peu disparu dans les 00's, par contre c'est pas aussi violent que ça l'aurait été dans les 90's ( on menace beaucoup mais au final on fait pas grand chose ), mais Lam en fait un peu trop sur le pathos avec des plans qui durent trop longtemps

Dans le cast on retrouve donc Nick Tse, l'un des meilleurs ( oui oui je l'aime bien et pis bon Time and Tide quoi ) acteur de la nouvelle génération issue de la génération mèche rebelle, il a pas le meilleur rôle du film ( y chouine trop ) et se fait donc bouffer par Cheung, mais il fait très bien ce qu'il doit faire pour rendre son rôle crédible ( bon y a certains flashback par forcement nécessaire et un poil too much ), face à lui on a donc Nick Cheung qui trouve ici un de ces meilleurs rôle ( avec ces participations chez To qui l'ont vraiment installé comme une valeur sure ), il est parfait en type normal ( ou presque ) qui va virer psychopathe ( ce rôle de méchant est vraiment bien écrit et tout a fait crédible ), dans le reste du cast on retrouve la mignonne ZHANG Jing-Chu ( Seven Swords quand même ) qui s'en sort pas trop mal

Un petit polar sympa qui a mes yeux souffrent de facilités d'écriture qui parasite le film, du coup c'est finalement pas si meilleur qu'un Fire of Conscience, le film étant surtout tiré vers le haut par un Nick Cheung en état de grâce mais c'est ce film qui a véritablement donné un coup de fouet à la carrière de Lam qui jusque là était un faiseur plutôt anonyme responsable de quelques trucs sympa comme Hit Team ou Triad Zone et depuis il enchaine vraiment les polars efficaces.

6,5/10

[Scalp]

L'ile aux pirates Renny Harlin

On est en 1994 et le studio de la Carolco à 100 patates à filer pour produire un gros blockbuster, soit Crusades du hollandais Verhoeven avec Schwarzy, soit un film de pirates par le bourrin finlandais Harlin qui vient de cartonné au box office avec Cliffhanger, ayant dut tirer a pile ou face c'est Harlin qui gagne le gros lot, pas de chance le film sera un flop monumental : 11 millions de gagné seulement, et coulera le studio, détruit par la critique boudé par le public, Harlin se verra donné une seconde chance avec Au revoir a jamais, mais de pas de chance pour lui le film ne marchera pas non plus, depuis il est cantonné au serie b sans envergure.
Alors ce film mérite t'il autant de haine, bein non alors oui c'est un peu nul, mais pas plus que Pirates des Caraibes, le film a rien a lui envier, déjà c'est pas du CGI, mais un vrai film de pirates en live.
Alors oui c'est filmé en dépits du bon sens, y a des plans sorti de nulle part, l'intrigue est nul, entre les scènes d'actions c'est chiant ( mais bon c'est bourré d'action donc ça va on s'ennuie pas ), et les scènes d'action c'est du Harlin pur jus, les pirates ont des lances grenades ( oui oui des lances grenades ) et des que Renny peut tout faire pété il le fait, les explosions il aime ça le finlandais, et le budget on le voit a l'écran ( la scene d'évasion de la prison est une des plus cher du cinéma ), l'action est lisible mais putain y a des plans : genre en pleine scénes d'action le voila qu'il film les pieds de Geena , par contre dommage y a pas de sang ( le film étant malheureusement tout public ) et ça a dut le démanger le finlandais de pas pouvoir coupé des membres, la mort de Langella est vraiment mythique, les scènes d'escrimes sont pas mal.
Niveau casting Geena Davis est bien entendu très convaincante et c'est elle qui porte les couilles, Matthew Modine étant peu concerné ( a noté qu'il a eu un accident sur le film, a un moment des nombreux moment ou ça explose il s'est pris un baril sur la tronche, Harlin a gardé la scène et on peut le voir dans le film ), Langella fait un méchant très crédible, dans le reste ou retrouve le grand frère de Malcom dans un rôle très soulant, et y a un singe aussi histoire de rappeler que c'est un film pour les gamins.
Donc l'ile aux pirates c'est nul mais au contraire de pleins de blockbuster, le budget est bien visible a l'écran et ça se regarde en entier, bon pas la moyenne quand même.

4/10

[Scalp]

Gangster Number One



Film de gangster faussement cool et vraiment chiant réalisé par Paul McGuigan ( Slevin, le seul truc potable de sa filmp ).
Ca commence bien avec Malcom McDowell en chef de la pegre londonienne, son ancien chef sort de prison apres 25 ans de prison et c'est partit pour un long flashback d'1heure avec Paul Bettany qui interpretra McDowell jeune ( drole de choix alors que tout le reste du cast a été vieilli pour Bettany on change d'acteur histoire d'avoir un acteur bankable dans le film ).
Le debut de l'ascension est pas trop mal, ça fait pensé un peu à du Scorcese avec la voix off et de la zic bien sympa, mais on dechante vite, ça devient vite ennuyeux, tout les persos on s'en fout, Bettany a beau se demener pour faire vivre son perso psychopathe on en a carrement rien a foutre, ça reste juste un gros enculé ( et a aucun moment on s'attache a lui ou on le deteste, non juste on s'en bats les couilles ), c'est long, on a droit a une scene de meurtre bien ridicule ( genre le coup du gateaux dans le remake de 2 soeurs ) avec des effets de style inutile ( putain la tete de Bettany qui ouvre grand la gueule c'est juste nul ).
Arrive la derniere demi heure interminable avec le retour de McDowell qui en fait des tonnes, la derniere scene avec son ancien chef donne des envies de suicides tellement c'est mauvais ( et mon dieu ces jump cut tout moche et inutile ), elle dure elle dure elle dure, pour rien, ça raconte du vent.
Mal réalisé, histoire de merde ( y avait pas de script avant de tourné c'est impossible !! ), mal interpreté dans l'ensemble, pas grand chose a sauver a part le premier quart d'heure.

2/10

[Ron Howard]

[mode Scalp on] Moi je me fais toujours chier devant les films de gangsters ![Mode Scalp off]

[Alegas]

The Killer



Il y a une très petite liste de films qu'on peut revoir à l'infini sans jamais être lassé et même à chaque fois y voir un petit détail qu'on avait pas vu, et dans cette petite liste de film il y en a qui marque à vie, on se souvient encore quand on l'a vu à quel moment, avec qui, ce qu'on portait, bref des trucs qui font que ça va au delà du cinéma, des trucs qui font qu'on est marqué à vie, putain c'est beau ce que j'écris. Et The Killer dans cette liste il trône sur le podium, dès les premières notes de la BO, j'ai 13 ans et je me revois entrain de savourer chaque instant de ce métrage. The Killer c'est le genre de film qui donne un passeport à son réalisateur, le passeport qui fait que tu peux faire des merdes jusqu'à la fin de ta vie mais c'est pas grave parce que t'as fait The Killer (John Woo a d'ailleurs bien tapé dans ce passeport).

Sinon le film, bein c'est The Killer quoi, avant j'aimais bien dire que chaque fois je revois un John Woo mon préféré change, mais en fait non y a clairement The Killer et le reste parce que celui là il a plus de chose à coté qui font que je le regarderai toujours avec mon regard d'ado (qui a bien disparu quand même). The Killer c'est ce genre de film qui prend au tripes, alors quand on est un tocard on dit que ça a en fait trop et que c'est bourré de pathos, je répondrais juste aller vous branler devant du Nolan ou du Aranofsky et laisser le cinéma au personne de gout (c'est pas fini j'en ai encore pleins en stock des attaques gratos), car merde en plus d'être le plus grand film d'action all time c'est aussi avec une vraie histoire d'amour tragique.
Woo en bon cinéphile paye son tribut à Jean Pierre Melville, mais quand certains sont incapable de se démarquer quand il rende hommage (coucou Refn, les attaques gratos c'est pas finies), Woo le fait à sa manière, avec son style outrancier, un style qui aura bien entendu été depuis mainte et mainte fois copié depuis, c'est marrant de se dire que 25 ans après, sur ce "sujet" du hitman seulement 2 films peuvent se mesurer à The Killer (je les cite pas, quand on a bon gout, on sait).

Vision après vison ce film garde tout son charme et c'est peu de le dire, un film où Chow Yun Fat une fois de plus bouffe l'écran comme jamais, sa gestuelle est classe, son charisme illumine l'écran et éclipse le reste du casting a chaque apparition, Daniel Lee fait ce qu'il peut, il a pas le talent de Leslie Cheung ou Tony Leung mais ça reste un bon acteur ( et il le fait bien, il trouve vraiment ici un de ces tout meilleurs rôle, son coté rigide balai dans le cul fonctionne bien), son duo avec CYF fonctionne à fond (bon le sous texte gay je laisse ça à ceux qui aime bien chercher des trucs gays de partout, ça doit cacher quelque chose). Sally Yeh apporte son charme naturel et sa candeur a un environnement remplit de testostérone ( et elle chante divinement bien, le thème principal est magnifique ), SHING Fui-On dans ce qu'il sait faire le mieux : un bon gros rôle de bad guy ( chez Woo de toute façon y a toujours du bad guy de qualité : Waise Lee ou Anthony Wong c'est le top de l'enculé ), Paul Chu y trouve son rôle plus célèbre en la personne de Sidney, peut être le personnage le plus tragique du film.
Malgré un script tout simple (on va pas se mentir, c'est pas écrit par Sorkin, enfin le bon Sorkin pas celui qui écrit la dernière merde de Boyle, hop encore un truc gratuit). Woo transcende véritablement son histoire et livre un film passionnant de bout en bout, bon après si t'es pas passionné, t'as qu'a faire de la poterie car c'est pas la peine de venir nous péter les couilles en commentaire en disant que c'est bof, c'est bien la poterie c'est pour les fan de cette grosse daube de Ghost (là je sais même pas pourquoi je vanne ce film).
The Killer transcende donc son genre: il est un superbe film d'action mais aussi un mélodrame, une comédie, une réflexion sur la faute et la rédemption à l'intérieur du film noir, tout ça avec une vraie mélancolie, et ouais c'est tout ça à la fois, et si tu le vois pas, bein retourne voir Star Wars ce sera moins compliqué pour ton cerveau, et en plus tu pourras y revoir Carrie Fisher comme ça tout pourra encore parler des RIP complétement osef de 2016.
Quand je disais que Woo apporte sa touche au film de tueur c'est parce qu'on y retrouve tout ce qui fait le sel de sa filmo : amitié virile (tsais le truc que certains appel sous texte gay), rédemption, code du samourai, enfin des trucs bien. On y trouve bien entendu tout ses gimmick habituels (je cite pas, on les connait mais au cas où y a trucs religieux, des piafs, enfin voilà quoi).
Le film regorge de scènes magnifiques (mais des vraies hein, pas des trucs avec des CGI pétés ou des trucs avec des zombies dans un train, là j'avoue je sais même pas pourquoi j'écris ça) : celle ou Daniel Lee s'assoit à la même place que CYF et ou il revit la scène est prodigieuse (prodigieuse, oui c'est le mot que je choisi car ca pète des culs et je pourrais presque pleurer, enfin je pourrais presque pleurer devant tout le film), et bien entendu les gunfights sont dantesque ( moins impressionnant que ceux d'A Toute Epreuve mais plus immersif ou du moins on est plus impliqué émotionnellement ), le final fait pensé à du Peckinpah c'est violent et sans concession (le précurseur, bisou Alegas), le montage est parfait (gros gros travail une nouvelle fois de David Wu, qui est facile dans le top 5 des meilleurs monteurs de tout les temps) avec une alternance de ralenti ( et le ralenti il le maîtrise comme personne, le nombre de ralenti pété qu'on se tape depuis les films de John Woo c'est ouf ), d'accéléré, multiplications de plans (quand on a un champ avec un mec qui tire, le contre champ chez Woo sera pas forcément les mecs touchés), des véritables ballets aérien ou CYF a la classe sur chaque plan, et pis c'est fun de le voir butter des jogger en tout en blanc, en fait depuis tout à l'heure je dis qu'il y a pas de sous texte gay mais finalement on peut tomber amoureux de Chow Yun Fat en regardant ce film.
Il y a les bons films, les chefs d'oeuvre et il y a The Killer, en cette période où chaque semaine ça se paluche sur le dernier truc à voir qui est trop de la balle parce que 4 pékins l'ont décidé (coucou la dernière merde de Bayona), revoir un vrai grand putain de classique est primordial, histoire de voir si son échelle de valeur est pas pété. Et quand on nous bassine avec ohlala quel grand réalisateur c'est ce (alors là j'hésite sur le tocard que je vais citer, la liste est tellement grande) Roman Polanski (oui ça faisait longtemps que j'avais pas parlé du pédophile, du coup ça me manquait).
La perfection a un nom : The Killer et si t'es pas d'accord, comment dire, bein t'as tort.
Si un jour ce film est remaké, je pourrai devenir violent.

[Niko06]

Chef d'oeuvre intemporel, c'est tout

[Ron Howard]

Normal que aimiez, y'a un gars qui pointe un flingue sur l'affiche ! Y'en a même deux sur la photo... Ce film a été fait pour vous deux ! ^^

[Scalp]

accessoirement c'est aussi une leçon de cinéma

[Ron Howard]

J'aime pas les leçons sous la contrainte d'une arme !

[kenshiro]

Au fait scalp tu as vu la version longue ?

Si oui elle apporte beaucoup (perso je l'ai vu il y a longtemps (sur canal de mémoire) et depuis que j'ai le dvd j'ai pas pris le temps de voir la version longue...

[Scalp]

là me suis fait la version courte, la version longue je l'ai vu la premiere fois que j'ai eu le dvd ( y a longtemps donc ) et la qualité d'image est vraiment top malheureusement, pour les apports honnetement me souviens pas, Woo reconnait plus la version courte et le montage des gunfight est different et plus réussi dans la version courte ( dixit John Woo himself )