[Scalp] Mes critiques en 2008

[BenderIsBack]

ok je verrais ça ! merci !

[zack_]

ma critique de Taken p162 a pas été enregistrer a la place l'autre ( oui je sais je suis chiant )

J'ai mis un lien dans ta critique - Re-vision du film avec un lien pour avoir les deux avis...surtout que tu as la même note
A moins que tu préfères avoir que le second avis...

[Scalp]

bein le 2 eme est mieux, revu le film en vo et j'ai un peu affiné quoi.

[Dunandan]

6.5/10

Kiba Ōkaminosuke: Jigoku giri de Hideo Gosha - 1966

En 1966, Gosha a quand même fait 4 films, c'est assez fou et c'est 4 bons films en plus. Ici on retrouve le personnage de Kiba dans un second opus et c'est toujours aussi court (ça c'est bien), y a toujours autant de persos pour une intrigue toujours simpliste (ça commence comme un convoi de prisonnier mais le prisonnier va s'évader). Dans l'ensemble je garde une petite préférence pour le premier, ici on un Kiba encore plus relégué au rang de second rôle et qui passe la moitié du film à subir les évènements et qui perd pas mal du charisme qu'il avait dans le premier film au détriment du perso de Magobei, d'ailleurs Magobei a raison qu'il ne mérite pas son surnom de loup tant il est naïf ici. Par contre j'aime bien le début où il se lie d'amitié avec le prisonnier parce qu'il lui rappelle son père tué alors qu'il était gamin, à ce moment on se dit qu'il fait le bon choix et que Magobei (l'acteur est une tête connue qu'on a vu dans pleins de second rôles) est un bon mec et puis dès qu'il s'évade on se rend compte qu'il a berné son monde et qu'il est sans pitié.
La galerie de perso est moins haute en couleur, alors on a toujours de la femme vénale et du ronin qui veut tout découper et si dans l'ensemble c'était mieux foutu dans le 1, ici le perso de Magobei est tellement excellent qu'il emporte le film avec lui et on regrette de pas plus le voir finalement. Reste la fin douce amer qui est réussit mais dans l'ensemble c'est décevant par rapport au premier, on peut une nouvelle fois noter un personnage féminin très intéressant (Oren).
La fin avec son coté doux amer est une belle réussite et on regrette finalement que la si courte durée ne permette pas plus de développer les personnages qui avaient vraiment du potentiel.
Pour la réalisation il y a toujours ce souci de bien mettre en scène les scènes de sabre en variant les choix de caméra (utilisation sympa des plans aériens et utilisation intéressante des inserts en plein combats, truc finalement assez novateur pour l'époque) mais j'ai une petite préférence pour la réal du premier, enfin reste des bons gros trucs qui tuent, le plan du duel au clair de la lune a grave de la gueule, de manière générale de tout façon c'est ses films en NB qui sont le plus intéressant au niveau de la réal. Et encore une fois on a vraiment l'impression d'être devant un western avec une violence qui fait penser aux films de Corbucci et cie.
Une suite kif kif avec le premier film, dommage que la saga se soit arrêté à 2 épisodes.

[Dunandan]

8/10

Bōryoku gai de Hideo Gosha - 1974

Chez Gosha une des thématiques qui revient souvent c'est le "onsefoutsurlagueuleparcequecestcommeça", bon ici y a un enlèvement qui tourne mal (oh merde j'ai tué la meuf), des clans yakuzas qui vont décider d'aller faire un chier un "pauvre" yakuza à la retraite qui demandait rien à personne mais forcément c'est le mec à pas faire chier, lui il veut juste bosser pépère dans son bar. Mais voilà tout le monde va le faire chier, d'ailleurs dès son intro on comprend qu'il faut pas le faire chier pourtant, c'est un mec de l'ancienne école, y pète les tronches avant et parlemente après.
Et le film parle de ça, le passage de l'ancienne génération à la nouvelle, comme aurait très bien pu le faire un Melville ou un Peckinpah (je trouve d'ailleurs qu'on y voit vraiment l'influence d'un Melville ici), ça traite de la fin d'une époque avec des truands pour qui le code de l'honneur à encore un sens qui se voient remplacer par des mecs en costards n'accordant que peu d'intérêt à la vie humaine et regardant tout ça depuis leur tour d'ivoire, Gosha livrait alors une vision sans concession de son Japon.
Sous ses airs de films à la cool avec des personnages hauts en couleur ( un tueur qui se promène avec un perroquet, un tueur travesti, Sugawara qui nous la joue Chow Yun Fat), le film est surtout complétement nihiliste et ne laisse aucune chance à personne.
1h30 bien remplie où tout va très vite et où les séquences chocs s'enchainent, alternant avec les petites scènes de bar avec de la petite zic bien sympathique, d'ailleurs la première scène on se croit plus à Mexico qu'à Tokyo.

Qui dit Gosha dit film blindé de fulgurances visuelles ou métaphoriques (les plans sur les animaux, les mannequins), en un plan tout est dit, ces hommes à l'ancienne sont juste bon à s'entretuer comme des chiens. Gosha soigne ses cadres, ses éclairages (on dirait plus du Suzuki que du Gosha d'ailleurs) et il se fait un plaisir de faire des débordements graphiques de violence.

Noboru Ando apporte tout son flegme à son perso d'anti héros usé par le temps qui veut juste vivre tranquillement dans son bar et qui va devoir ressortir les armes, Bunta Sugawara débarque de nul part, son gros casque sur les oreilles, balance quelques phrases, et bute quelques yakuza au fusil puis repart aussi vite qu'il est arrivé, plein de coolatitude. Le reste du cast c'est des habitués de Gosha comme Tetsuro Tamba et Isao Natsuyagi.
Un bon petit polar pendant 1h20 puis la fin arrive et hop bonus.

[Alegas]

Step Brotehrs (Frangins malgré eux)



Je fais court j'ai la flemme, alors c'est pas le meilleur Apatow prod, mais c'est sympa et pour une fois y a pas de coup de mou en plein milieu comme les autres apatow.
C'est porté par un duo d'acteur en pleine forme.
Le film reserve des beau ptit moments d'anthologie comme Sweet Child O'Mine avec la famille dans la bagnole, juste enorme cette scene, ou encore les entretiens d'embauche, le pipi d'Alice, le pet de Dale, les couilles de Brennan ( oui je suis tres pipi caca moi ).
On sourit plus qu'on ne rit, la fin pleine de guimauve fout la gerbe comme toujours mais c'est plutot fun.

5/10

[Dunandan]

Death Shadows Hideo Gosha - 1986

Les années 80 c'est vraiment le début de la déchéance du cinéma japonais (bon y aura un soubresaut dans les années 90 avec quelques réal tout de même), et là Gosha est en bout de route, alors le manque de budget aide pas mais ça sert pas d'étude on se tape encore une histoire avec 50 perso convoitant un objet (ici un parchemin).
Il accumule les choix discutable et laid (l'esthétique pop nous fait attraper un cancer des yeux ) entre les interludes dansant, le samourai qui se prend pour Bruce Lee, le cabotinage permanent de certains acteurs, une esthétique si cheap qu'on se croirait dans un bis rital. Reste les 2 persos féminins et quelques idées bis (la maison piégé) qui sauvent le film de la nullité.
C'est trop long et l'incessant chassé croisé entre les personnages devient très vite pénible à suivre.
Par charité je parlerais des scènes d'actions qui font plus Austin Powers que chambara, l'héroine fait plus pensé à une championne de Gymnastique rythmique qu'à une tueuse.

3/10

[zirko]

N'oublie pas le titre français Scalp. J'ai édité.

[Scalp]

Deadbirds



Une grosse merde, une vraie.

0/10

[kenshiro]

en tout cas on comprend mieux le texte de la jaquette : "il y a parfois des choses pire que la mort"

[Riton]

En tout cas, je kif la critique. Court, simple mais très efficace.

[kenshiro]

Je crois que tu peux demander des royalties Riton

[Bik]

Step Brotehrs (Frangins malgré eux)



Je fais court j'ai la flemme, alors c'est pas le meilleur Apatow prod, mais c'est sympa et pour une fois y a pas de coup de mou en plein milieu comme les autres apatow.
C'est porté par un duo d'acteur en pleine forme.
Le film reserve des beau ptit moments d'anthologie comme Sweet Child O'Mine avec la famille dans la bagnole, juste enorme cette scene, ou encore les entretiens d'embauche, le pipi d'Alice, le pet de Dale, les couilles de Brennan ( oui je suis tres pipi caca moi ).
On sourit plus qu'on ne rit, la fin pleine de guimauve fout la gerbe comme toujours mais c'est plutot fun.

7/10

Ca me choque de voir une telle note pour cette sous merde

[Scalp]

bein t'es un peu le seul a le trouver aussi mauvais.

[Bik]

bein t'es un peu le seul a le trouver aussi mauvais.

Oui enfin, je prefere etre seul que du meme gout que Riton et toi