[Jipi] Mes critiques en 2008

Modérateur: Dunandan

Re: [Jipi] Mes critiques en 2008

Messagepar Scalp » Sam 29 Nov 2008, 09:39

oue l'illusionniste c'est un peu dla merde quand même :eheh:
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Re: [Jipi] Mes critiques en 2008

Messagepar Riton » Sam 29 Nov 2008, 12:10

Le film dont tu devines la fin au bout de la première demi-heure quoi :mrgreen:
Mes DVD a vendre à partir de 0.70€ 8)
helldude™ a écrit:bik et moi vivions déjà le grand amour avant l'épisode de l'éjaculation faciale

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Re: [Jipi] Mes critiques en 2008

Messagepar Jeff Buckley » Sam 29 Nov 2008, 12:25

Ba moi j'ai tjs pas compris la fin. :eheh:
dunandan a écrit: Puis j'oubliais de dire que Logan me faisait penser à Burton avec sa méchanceté légendaire concernant certains films/réalisateurs/acteurs
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Re: [Jipi] Mes critiques en 2008

Messagepar Jipi » Sam 29 Nov 2008, 14:15

La théorie du dernier parti politique encore possible (La magie) succeptible de faire réver les foules m'a interressé. Il ne semble plus rester que cela pour nous sortir de nos angoisses.
Le zéro bipolaire. Le néant infini et son absolu infini. Une forme pleine dans une valeur nulle.
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Guerre des roses (La) - 8/10

Messagepar Jipi » Sam 29 Nov 2008, 16:40

La guerre des rose de Danny De Vito 1990

Comment tout en vivant à deux briller par soi-même pour soi-même en contemplant sa propre réussite dans un espace domestique commun ?

Ce couple de Yuppies embrumé par l'ennui consume rapidement ses procédures amoureuses pour ne voir indépendamment que lumières et réussites professionnelles rendants indépendantes deux cellules vivant sous un même toit.

On ne peut plus sortir d'un carriérisme fabriqué par l'absence d'une rhétorique vibratoire amoureuse à long terme, tout s'émiette pour ne faire place qu'à un seul concept « Le job » offrant la délivrance d'une récurrence saupoudrée d'un statut constructif hors de la demeure.

Parfumés d'indépendances, les rose en pleine embellie bureaucratique se déclare la guerre, tout vole dans les pièces, pas de quartiers, on frappe la ou ça fait mal, il n'y a aucune dépendance tout ce qui a été patiemment acquis est détruit sans regrets dans un acharnement démentiel ôtant chaque composant à une maison à l'agonie.

Ce film exerce une fascination nauséabonde, la perception de ces scènes apocalyptiques sédentaires combinatoires délivre un rire cramoisi, cette destruction mutuelle évolutive semble banale et procédurière, les sentiments ne sont pas entretenus, ils disparaissent rapidement. Les esprits sont au bureau, la hiérarchie s'invite au domicile conjugal du collaborateur en s'accaparant la table familiale ou le mari et les enfants n'apparaissent plus.

Les récompenses professionnelles sont des natures mortes à l'image d'un mobilier détonateur d'affrontements celui-ci étant paradoxalement carbonisé dans un moment de lucidité mutuelle.

« La guerre des Rose » n'offre pas une perception comique, les quelques arabesques de Barbara Rose projetée violemment dans les escaliers par un mari hors de tout contrôle maintiennent un sourire figé. La procédure relationnelle de ce couple moderne moteur dans l'entreprise est scrutée de la passion à la destruction avec un couperet voyageant incognito, la prise de conscience d'un individualisme menant irrémédiablement à la destruction d'une dualité, la routine familiale n'est qu'un prétexte.

« Je ne t'aime plus » prononcée par une Barbara au regard glacial n'est qu'un hymne à un voyage en solitaire.

Anéanti par le « moi » rémunéré en récompense d'un investissement extérieur les rose se pâment devant un paraître investissant un domaine privé sans défenses.

Ces deux machines de guerre dans l'incapacité de faire un retour arrière s'autodétruisent paradoxalement en tentant de sauver ce qu'ils ont vus couler sans réagir : Leur maison dans sa définition première.

8/10

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Film: Guerre des Rose (La)
Note: 2/10
Auteur: Scalp

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Re: [Jipi] Mes critiques en 2008

Messagepar Jipi » Sam 29 Nov 2008, 16:43

Jipi a écrit: La théorie du dernier parti politique encore possible (La magie) susceptible de faire réver les foules m'a interressé. Il ne semble plus rester que cela pour nous sortir de nos incertitudes.
Le zéro bipolaire. Le néant infini et son absolu infini. Une forme pleine dans une valeur nulle.
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Fils de l'homme (Les) - 10/10

Messagepar Jipi » Dim 30 Nov 2008, 16:00

Les fils de l'homme de Alfonso Cuaron 2006

Londres sert bien souvent de test apocalyptique, deux mille vingt sept sonne sur l’horloge d’une terre à feu et à sang. Emigrés illégaux, immeubles évacués manu militari explosions soudaines, bétails calcinés, convois caillassés sur fond de tubes des années soixante.

On se déplace sur une mer de boue et de bris de glaces. Le cochon des Floyd survole un sol jonché de détritus, certaines cheminées n’ont plus la force de cracher une pollution ravageant des visages creusés par la faim. Les voitures brigandées sur les routes sont des tombereaux.

L’homme évolue dans sa propre toile, une peinture vomissant une lente agonie économique et politique, un fascisme éclos sur un tas d’ordures s’acharnant sur un déchet humain titubant entre les terroristes et les extrémistes sur fond de guérilla urbaine.

Une rondeur absente depuis dix huit ans redonne vie à un concept uniquement présent sur des tags muraux. Un alphabet sur le tableau d’une classe dévastée dévoile l’empreinte du saint des saints devenue invisible.

L’enfant de la renaissance ne peut être que celui de tous ces hommes en uniformes environnées par les ruines fumantes de leur propre cerveau. Tous ces pères en puissance récupérés par la violence baisse un instant leurs machines à tuer devant le passage d’un immense espoir, certains s’agenouillent offrant les premiers remous d’une perception s’éloignant de balles tirées par n’importe qui sur n’importe quoi.

Les images sont dures, pénibles, les visages s’accrochant à quelques minutes supplémentaires de vies sont filmés par une caméra sur haut de colline ou à hauteur d’homme. Cette virtualité insoutenable devient une anticipation de plus en plus difficile à comprimer.

« Les fils de l’homme » film d'une noirceur remarquable dénonce un point grossissant se rapprochant dangereusement de nos existences, Il existe un art démentiel que personne ne désire côtoyer un enfer Dantesque potentiel que nos consciences bannissent, ce film courageux offre la partition d’un nombre égal à lui-même que Saint Jean connaît bien.

Cette déferlante n’est plus abusive elle est l’impact d’un avenir que nous ne pouvons plus ignorer, l’image n’est plus chargée c’est l’actualité des prochaines décennies si nous ne faisons rien.

Le Soleil vert dans les années soixante dix conduisait le spectateur à la fin de la projection dans les latrines pour y vomir l’avenir de ses enfants, "les fils de l’homme" est dix fois plus impressionnant, un signal d’alarme à la batterie presque épuisée.

10/10

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Vingt-cinquième heure (La) - 7/10

Messagepar Jipi » Lun 01 Déc 2008, 11:05

La vingt-cinquième heure de Henri Verneuil 1967

« Je n’ai jamais su pourquoi j’étais la ou j’étais ».

La vingt-cinquième heure se rapproche plus d’un spectacle de qualité que d’une sensibilité. La mise en scène par instants grandiose annihile la perception d’une émotivité mêlant l’odyssée d’une ressource rurale protégée par les rituels liés à sa terre à un contexte historique inconnu en guerre ou il faut survivre.

Malgré sa bonne volonté ce film fleuve n’est souvent qu’un prétexte permettant d’exhiber du matériel militaire, des bombardements et des mouvements de foules plus alimentaires que réaliste.

Toute une panoplie d’idées reçues sur des thèmes cycliques telle la guerre et ses attributs s’exhibent plus de manière esthétique que naturelle.

Une récupération racoleuse de perceptions standards sur les coutumes d’un pays aux mœurs naïves volontairement montré comme immobile pataugeant dans une boue environnée d’oies et de poules accompagné d’une surcharge émotionnelle individuelle ou de masse plus fabriquée que ressenti cloisonne cet opus dans le compartiment du divertissement tragique, agréable mais sans essence véritable.

Ballotté aux quatre coins de l’Europe le simpliste Johann Moritz survit en se pliant sans bien les comprendre à toutes les situations rencontrées.

La scène sur la théorie du croisement des races dont Moritz fait l’objet est le pic d’un trajet ressemblant à une odyssée endurée dont le but est de récolter émotions et larmes par l’intermédiaire d’un produit répondant à des critères populaires.

Malgré son aspect dramatique, la contenance de ce catalogue historique demeure sur un palier de lecture adapté à l’interprétation d’images disposant de gros moyens plutôt qu’une réflexion intimiste sur l’apprentissage d’une délocalisation temporaire.

Le déracinement incompris de Johann Moritz donne naissance à un rapatriement excessif d’effets visuels étouffant l’accès à un circuit intéressant à débroussailler.

L'étude approfondie d'un esprit absent mécanisé métaphysiquement pour survivre et retourner chez lui est ignoré, dommage

7/10

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Belle Américaine (La) - 7/10

Messagepar Jipi » Mar 02 Déc 2008, 14:36

La belle Américaine de Robert Dhéry 1960

Inégale, décousue bien souvent dispersée un peu importe ou, la belle Américaine malgré ses lacunes détient une denrée rare surtout de nos jours, la chaleur d’un groupe de déjantés lunaires sédentarisés dans une alliance de proximité valorisant leurs libertés d’appréhender le monde d’une manière décalée.

Cette atmosphère détendue redistribue dans la joie et la bonne humeur le nectar de ces merveilleuses années soixante avec comme thème principal les couleurs bénéfiques du long terme relationnel entre des personnages presque marginaux raccordés de manière durable par leurs absences de maturités.

Robert Dhéry se rit de cet organigramme administrato Policier de répressions se changeant soudainement en courbettes devant une hiérarchie confortée par les lâchetés et les hypocrisies de rouages obscurs.

Certaines maladresses mimiques calquées sur Stan Laurel sont compensées par un hommage malicieux aux Temps modernes de Charlie Chaplin. Les comédiens certes sous l’emprise d’un concept de divertissement ont la possibilité de s’exprimer librement dans des panoplies professionnelles fortement caricaturées celles-ci leurs permettant d’en faire des tonnes.

Le travail de Robert Dhéry ne cherche qu’à distraire en se servant d’une outrance pulsée à son maximum.

« La belle Américaine » est avant tout un climat, celui d’un cinéma que l’on ne sait ou que l’on ose plus faire. Un rendu clownesque et facial obtenu grâce au concours de situations cocasses permettant à des comédiens d’exprimer astucieusement leurs manières de faires dans l’envolée du geste et la grimace convulsionnée.

Un petit cours sur l’esprit farfelu des branquignols est nécessaire afin de capter le message de cette œuvre volontairement incohérente respectant un processus comique.

Le point fort étant l’acceptation mutuelle presque naturelle d’un groupe à se mouvoir selon ses propres règles dans un monde administré par la mécanique de l’exactitude.

7/10

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Blood Diamond - 10/10

Messagepar Jipi » Mar 02 Déc 2008, 16:26

Blood Diamond de Ed Zwick 2007

Sur certains continents une nouvelle ressource naturelle n’engendre que malédiction, sang sueur et larmes. Le diamant rose successeur de l’ivoire, de l’or, du caoutchouc et du pétrole naguère porteurs d’une terre faussement utopique n’offre que la machette à des fermiers traqués et recrutés de force pour sa cueillette.

Ou se situer parmi un gouvernement pourri, des rebelles sanguinaires, un voyeurisme journalistique, des trafiquants motivés et une religion récupératrice d’enfants meurtris, tous ces organismes ne travaillant naturellement que pour leurs propres comptes.

La boucle existentielle politicienne des lieux ne varie jamais d’un pouce, on prend le pouvoir, on s’enchirit puis l’on fuit au Mexique ou ailleurs en laissant un bourbier ingérable à une rébellion imprégnée d’une manière de faire épuratrice elle-même sur le grill d’un temps compté.

L’enseigne C.C.A (C’est ça l’Afrique) offerte dans une éternelle répétition.

Les enfants enrôlés de force sont sauvagement endoctrinés loin de la paysannerie ancestrale des pairs. Les femmes pleurent un disparu ou se prostituent. La terre teintée de rouge entretient une violence présente depuis la nuit des temps, une détermination sans limite s’y adonne sur terrain conquis.

La phrase « Vous connaissez une époque ou le monde allait bien » est un constat validant la non retenue d’une barbarie.

D’innombrables réfugiés sont parqués, des retrouvailles émouvantes sont violées par des photos indécentes ne respectant pas le respect que l’on doit à un groupe reconstitué.

Le sous sol torturé d’une Sierra Léone de fin de siècle sert de couverture diamantaire à des magazines politiquement corrects. « Pas d’Apartheid dans les tranchées » scandé par Archer (Leonardo di Caprio) évoquant un passé solidaire avec l’autochtone révèle une légère éclaircie vite estompée par ces tueries quotidiennes ou femmes et enfants ne sont aucunement dissociés des balles.

Solomon (Djimon Hounsou) lutte afin de retrouver sa famille, Archer l’accompagne de manière intéressée mais peu à peu devant un 60/40 menaçant la vie d’un enfant son comportement change, une procédure de cœur se construit en se terminant par une bravoure de repenti s’exprimant sur une vue magnifique.

« Blood Diamond » est l’apologie de la pierre qui pourrit tout, du Pécheur au Diamantaire tout le monde succombe à une luminosité artificielle orchestrant des massacres au soleil loin de ces villes brumeuses européennes ou ces roses de sang extirpées dans la douleur rutile sur les rombières.

Le contexte reproduit est remarquablement réaliste et maîtrisé, une magnifique reconstitution logistique barbare de terrain s’offre dans toutes ses intolérances, un enfer vert ou les humains ont des senteurs de Babouins.

Solomon véhicule en parallèle un défaitisme collectif légendaire en spécifiant à Archer

« Tu peux tirer, je suis déjà mort ».

La Sierra Leone prend l’aspect d’un modèle témoin image d’un continent exsangue. Les richesses internes découvertes sont détournées au profit d’un grand blanc sans scrupules armé jusqu’au dent ne laissant au résidents qu’un hypothétique filet de pèche pour sa pitence quotidienne.

Le processus Kimberley adopté en 2000 atténue sensiblement un processus d’intérêt aux bases solides ayant toujours globalement la tête hors de l’eau.

Diamond Blood est un film remarquable montrant les hommes esclaves de leurs profondeurs.

10/10

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Re: [Jipi] Mes critiques en 2008

Messagepar Scalp » Mar 02 Déc 2008, 16:56

tient Eikichi t'es plus le seul a mettre 10 à blood diamond :eheh:
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Re: [Jipi] Mes critiques en 2008

Messagepar Eikichi Onizuka » Mar 02 Déc 2008, 18:30

normal on doit être que 2 à avoir véritablement aimé ce film non pas pour ce qu'il est (film majoritairement tourné action) mais pour ce qu'il montre.
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Re: [Jipi] Mes critiques en 2008

Messagepar Bik » Mar 02 Déc 2008, 18:31

Bah j'ai aimé mais bon j'ai pas mis 10
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Re: [Jipi] Mes critiques en 2008

Messagepar Tyseah » Mar 02 Déc 2008, 19:54

Eikichi Onizuka a écrit: normal on doit être que 2 à avoir véritablement aimé ce film non pas pour ce qu'il est (film majoritairement tourné action) mais pour ce qu'il montre.



Sympa pour moi. :tantpis:
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Re: [Jipi] Mes critiques en 2008

Messagepar zack_ » Mar 02 Déc 2008, 22:06

Faut vraiment que je me force a le voir ce film qui me donne pas envie :lol: :super:
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