[Scalp] Mes critiques en 2008

[Scalp]

Chocolate




je developpe demain en tout on peut y voir une baston une autiste contre un Gilles de la Tourette

7/10

[Scalp]

non j'ai pas oublié die hard, j'ai juste la flemme

[Dunandan]

Chocolate



Ong Bak version fille bein c'est pas mal, bon niveau histoire ç'est aussi recherché que les Tony Jaa, apres la statue magique et les elephant ici on cherche de l'argent pour guerir la maman malade d'un cancer, et bien entendu on encore droit au sidecick inutile. L'heroine est une jeune autiste qui a peur des mouches qui sait foutre des coups de tatanes.
Toujours réalisé par PINKAEW Prachya et qui est toujours un pietre realisateur mais il fait ce qu'il peut et au moins c'est toujours lisible ( là y peut dire merci a ces acteurs ).
Le debut est pas trop chiant ( y a même un plan de nichon, premiere fois que je vois ça dans un film Thai ), des que ça commence les coups de tatanes c'est pas trop mal et c'est de plus en plus impressionnant au fil des combats qui font référence à 3 grands noms : Bruce Lee ( dont elle reprend les mimiques ), Jackie Chan pour l'utilisation du decors et une scene qui renvoit à Dragon foreveres et bien entendu Tony Jaa ( elle apprend a se battre en regardant Ong Bak à la télé )
Bon le real ne sait toujours pas mettre en valeur ces combats, bon c'est super lisible mais ça reste quasiment que du plan large, le montage des scenes d'actions a pas du demander beaucoup de travail, par contre le dernier fight sur la facade est plutot bien ficelé avec une bonne utilisation de la grue pour nous montrer que le metier de cascadeur thailandais c'est tres dangereux : les chutes de l'immeuble sont vraiment impressionnante ( le generique de fin nous montre toute les blessures du tournage icon_mrgreen.gif )
Le meilleur moment du film reste ce fight entre notre autiste bouffeuse de mm's et le syndrome de la tourette, oui oui vous avez bien lu, c'est juste enorme !!!
Les coups font moins mal que dans Ong Bak mais ça doit faire quand même mal par moment, Nicharee Vismistananda est la combattante la plus impressionnante que j'ai vu dans un film.
Des guns, des sabres, des travestis, des yakusas, des bad guys qui ressemble a rien, des mouches en CGI, des coups de tatanes dans la gueule, c'etait bien quoi.

7/10

[Niko06]

Il a l'air bien cool ce film
Et le blu ray?

[Scalp]

Moyen dans l'ensemble, la photo du film est moche donc ça aide pas en plus, y a pas mal de scene bien granuleuse.
Mais bon un combat entre une autiste et un gille de la tourette c'est a voir

[Dunandan]

Prison on Fire 2



Un brin moins bon que le premier ( mais vraiment un brin ). On apprend pourquoi CYF s'est retrouvé en prison, et le film parle des rivalités entre hong-kongais et continentaux confinés au sein de la même prison, il y a toujours les paris, les bastons entre gangs ( voir le concert qui degenere en 2 secondes ) et le maton en chef qui est une vrai ptite pute ( Roy Cheung ne tient plus le role et fait juste un caméo ), bon Elvis Tsui c'est pas Cheung mais il se debrouille bien dans ce role.
Contrairement au premier on y voit des evasions ( la 2 eme de CYF est un poil abusé quand même, mais ça va c'est pas celle de Mesrine ).
CYF est une fois de plus parfait : drole et émouvant, son personnage est d'ailleurs plus approfondit par rapport au premier.
Comme dans le premier épisodes, les bagarres sont nombreuses et vraiment rentre dedans, par moment on a vraiment mal pour eux.
Et tout le comme le premier la fin est vraiment positive loin des autres Lam donc.
Pas un film essentiel de Lam, mais un divertissement vraiment correct et un un bon film de prison.

7/10

[Scalp]

4/10

Mesrine, de Jean François Richet - 2008

Le premier film était correct, mais alors là on est clairement 2 crans en dessous (surtout à cause de ces 20 dernières minutes qui plombent littéralement le film), Richet réussi l'exploit de raté TOUTES ses scènes d'action, on dirait qu'il a découvert la camera a l'épaule ( après avoir découvert le split screen dans le premier ) et ça donne un mal de crâne, c'est un truc de fou c'est toujours illisible camera penché, montage ultra cut qui aide bien, ça fait vraiment montage cache misère, dans le premier l'attaque de la prison était plutôt bien torché et Assault est bien foutu aussi niveau action (même si ça reste une remake en bois), mais là c'est juste naze et je parlerais pas des scènes de voiture.
Sinon on bouffe toujours de l'ellipse et ça raconte pas grand chose au final, on a plus l'impression de voir un one man show de Cassel (et faut bien qu'on voit qu'il a prit des kilos exprès pour le rôle) que de voir un film avec un vrai script, bon heureusement cette fois les scènes durent un peu plus longtemps ( quoique on a droit a Mesrine en prison, Mesrine chez le juge, Mesrine et les journalistes ... )
On a plus l'impression de voir un documentaire ( intéressant si on connait pas la vie de Mesrine) et on a donc encore l'impression d'être devant un film qui souffre du syndrome Wikipedia, et je préfère largement le traitement romanesque même si des fois too much de Marchal dans les Lyonnais. En fait pendant plus d'une heure ça va, ça se suit mais après c'est un peu chiant et dès que Lanvin apparait c'est sans intérêt.
Le passage avec Almaric (qui quand il joue pas dans James Bond est plutôt bon) est le plus intéressant du film, sinon on a Le Bihan et Lanvin qui passent dire bonjour (heureusement que Le Bihan ça dure pas car il est comme d'hab quoi), Ludivine Segnier a part ses seins elle a quand même pas grand chose à proposer, les seconds rôles ne servent qu'a marquer une période précise de la vie de Mesrine est disparaissent brutalement dés qu'on doit placer Mesrine ailleurs, alors oui c'est la vie des Mesrine mais quand ça dure presque 4h t'as le droit d'avoir des seconds rôles solides. Gourmet quant à lui est comme souvent plutôt convaincant.
Cassel quand a lui est vraiment énorme ( dans tout les sens du termes d'ailleurs et Richet arrête pas de filmer son gros bide ) et tient le film entièrement sur ses épaules et ses punchlines, ça fait peu au final.

Le film se termine sur un parti prit final foireux qui joue sur le suspens et c'est bien raté (surtout quand c'est la scène qui ouvre le premier film quoi) , la scène est bien trop longue est sans AUCUN intérêt, et c'est pas en changeant le point de vue que ça change un truc ( ( oh attention Mesrine a disparu, bein non connard on sait très bien qui va juste chercher sa voiture car scoop on a vu le premier film ). Alors oui par rapport aux polar français de cette période c'est mieux mais ça en fait pas pour autant un truc réussit et si on veut voir Cassel en braqueur autant revoir Doberman.

[Bik]

Outch ca charcle

[zirko]

Et bien ça fait mal. C'est dommage si le 1er est bien et le 2ème naze.

[Scalp]

là j'ai du mal a comprendre les 2 9/10 quand même.

[Chacha]

moi je l'ai pris comme documentaire et film biographique, et tout ce que j'attendais je l'ai trouver, donc moi j'ai bien aimer, c'est clair que le fait de revoir plusieurs fois la même scéne c'est pas le plus judicieux, mais ça ne m'a pas déranger non plus

et puis bon, j'ai aimer c'est tout

[Bik]

Je viens de le voir, ma critique à venir, mais j'suis décu alors que j'"avais adoré le 1er
Trop de scene découpés selon moi dans ce second "opus"

[Scalp]

Revenge Tony Scott - 1989

Bon film de Tony Scott qui mériterait vraiment d'être réhabilité via sa directors cut.

Le script de cette nouvelle de Jim Harrison a beaucoup tourné passant notamment dans les mains de John Huston et Johnatan Demme ( on a évité le pire ), Tony Scott a l'époque était pas forcément un choix évident, sa collaboration avec Bruckenheimer le destinait pas à tourner un film aussi radical en plus le début du film ( les 5 premières minutes ) on se croirait dans Top Gun 2.
Pour cette version DC Tony Scott vire donc plus de 20 minutes de bobine, incorpore des nouvelles scène et change même de BO, pour les changements en gros Scott a virer tout les trucs sur-explicatif qui ralentissait le film, et rajouté de la violence et du cul ( sans que ce soit un choix racoleur ).

L'histoire est donc classique dans sa première moitié et ça prend son temps sans que ce ne soit jamais chiant et Scott se révèle beaucoup plus subtile qu'on aurait pu imaginer et les 40 premières minutes jamais on se dit qu'on est devant un film de Tony Scott tant ça prend son temps pour développer ces personnages, ainsi on croit à l'histoire d'amitié entre Costner et Quinn et on croit à l'histoire d'amour, ce qui renforce vraiment l'impact final.
Alors oui c'est sans surprise ( sauf pour les 5 dernières minutes ) on sait où on va et la scène central qui marque la rupture du récit est vraiment surprenante ( on sait que ça va arriver mais on s'attend pas à ce que ce soit aussi radical, tin le chien quand même ) et violente, ensuite la partie revenge prend une tournure inédite avec un léger coté road movie et un anti climax final carrément surprenant ( c'est pas le genre de scène qu'on attend dans un film de revenge mais on la comprend vraiment avec le mot honneur qui prend tout son sens, car ici finalement il n'y a pas de méchants ou gentil juste 2 amis qui ont le tort d'aimé la même femme et l'amour sera plus fort que la vengeance, c'est vraiment rar ) et puis la fin pleine de sobriété est d'une puissance émotionnelle rare.
Les scènes érotique sont vraiment bandante, y a pas beaucoup de film qui dégage autant une sensualité que celui là, c'est à ranger avec Bound, les histoires d'amour c'est pas le truc que Scott fait habituellement et là tout en simplicité ( et bestialité ) il nous livre une histoire d'amour à laquelle on croit.

Scott fait ici son film le plus calme, le plus posé au niveau du cadres où on sent qu'il a vraiment choisit les cadres pour profiter au maximum de son cinémascope, on est très loin de l'orientation que prendra son style à la fin des 90's, ici il film même à l'ancienne j'ai envie de dire, il fait un vrai western à la Anthony Mann où chaque décors naturel est sublimé ( y a un petit coté No Country For Old Men je trouve, et même dans l'approche crépusculaire, Revenge c'est le premier néo western en fait ) et ça fait tout drôle de voir un Tony Scott sans filtre de couleur et sans jump cut.

Et quand la violence arrive elle est cash et sans concession mais en même temps on y retrouve toujours un vrai sens du cadre, on sent que Scott se fait plaisir à filmé ça et il nous livre donc des très beaux plans

Outre la réal classieuse de Scott, l'autre atout du film est sans aucun doute son casting irréprochable, Costner alors sur le chemin qui allait le mener au sommet de sa gloire est très convaincant ( il était aussi producteur ), bon Costner c'est pas l'acteur qui a le registre le plus étendu ( quoique il a prouver avec qu'il pouvait camper un bad guy convaincant dans Destination Graceland ) mais ce genre de personnage il est vraiment super bon et charismatique et c'est ce genre de rôle qui fait que j'adore cet acteur, Anthony Quinn ( dans un rôle où Nicholson avait été fortement envisagé ) en impose vraiment dans ce rôle de patriarche qui faut pas faire chier et son personnage se révèle bien plus subtile qu'un bad guy de base, et puis on a Madelein Stowe, bein elle a jamais été aussi bandante, son cul c'est quelque chose ( et on peut bien l'apprécier sous toute les coutures : robe moulante, en string, sans string ), elle donne un vraie intensité à son personnage, on croit à sa passion et sa déchéance n'en sera que plus douloureuse, dans les seconds rôle on peut reconnaitre John Leguizamo et surtout Thomas Milian en garde du corps ( malheureusement rôle muet et seulement 2 scènes ).
La BO est envoutante.

Si je trouve pas que c'est le meilleur Scott ( je lui préfère True Romance et Man on Fire entre autre ) c'est sans aucun doute son film le plus touchant et le plus beau visuellement et bizarrement même si les 2 films ont pas grand chose à voir ça me fait pas mal penser à Guet Apens.

7,5/10

[Scalp]

Slaughter Night



Cool un slasher hollandais avec une jaquette bien cool, c'est ptet bien bein non la jaquette reste le meilleur truc du film.
Bein c'est nul, pendant 1 heure c'est même tres nul, heureusement la derniere demi heure nous reveil un peu avec quelques morts bien gorasse, mais bon ça reste nul.
Script bateau de chez bateau ( enfin c'est un slasher donc on s'en fout un peu du script sauf que là on se tape 45 minutes de presentation qui frole le néant absolue ), les persos sont au mieux sans interet au pire bien soulant.
Le debut est donc tres chiant et on s'en fout royalement, la partie slasher c'est un mix entre Hidden ( le fantomes prend possession des corps de ces victimes ) et The Descent pour l'unité de lieu clos.
Bon heureusement le bodycount est elevé et les meurtres bien violent : y une decapitation avec une pelle bien sympa et un coup de shotgun qui arrache bien la tete comme y faut, mais c'est tout, la fin est sans surprise les 2 survivants etant ceux qu'on devine au bout de 30 minutes.
C'est tres mal filmé avec des que ça attaque une caméra qui bouge dans tout les sens, la photo est degueu, y a pas de nichons pour passer le temps.

3/10

[Niko06]

Merde, il avait l'air sympa