[Scalp] Mes critiques en 2008

[Scalp]

9/10

pas référencé

[Scalp]

ah bein c'est parce que j'ai pas mit le titre comme y faut alors, le titre c'est Versus

[Tyseah]

S'il y avait eu le titre en plus de l'image, le référencement aurait été parfait. Enfin moi je dis ça, je dis rien.

[Scalp]

pas de ma faute si les admins ont des connaissances cinématographique limité

[Riton]

+1

[Scalp]

A 10 ans quand tu vois Double Impact t'es le king de la récré, aujourd'hui quand tu le revois tu te marres bien, des films du début de carrière de JCVD (en gros avant les films avec les réals HK) c'est de loin celui que je trouve le moins mauvais, après je suis pas spécialement convaincu faute à un Sheldon Lettich qui s'avère être un bon gros tâcheron. Si j'arrive encore à le regarder aujourd'hui c'est parce que c'est pas juste un film de tape à mains nues, et le début de carrière de JCVD à part ce Double Impact c'est que des films de tape sauf que le mec à part faire le grand écart, un coup de pied sauté et crier il est clairement pas convaincant en artiste martial (c'est un peu con quand tu bases ton film là dessus), du coup ici à part les bastons à mains nues obligatoire on a pleins de gunfight et tout de suite ça rend l'ensemble moins chiant, même si c'est filmé souvent un peu n'importe comment ( le mec est incapable de monter une scène d'action qui tienne la route), le combat final contre le Bolo Yeung a le mérite de montrer tout ce qu'il faut pas faire quand on film et chorégraphie une scène d'action, ami du champ contre champ, bonjour.
Double Impact c'est aussi et surtout des grands moments d'acting avec JCVD badass et JCVD queer, on nous refera le coup des 2 frères dans le Ringo Lam et ce sera bien plus réussi.
Les scènes avec les 2 JCVD sur le même plan ça vieillit mal mais bon c'est pas trop grave. Le film est un peu long pour ce que ça raconte mais ça va c'est pas trop mal rythmé, sous entendu ça se fout fréquemment sur la gueule et la confrontation entre les 2 frères bien différent est marrante. Sinon ça fait plaisir de voir ce bon vieux Geoffrey Lewis toujours un plus sympathique dans un film.
Malgré des défauts évidents, le film se regarde encore avec plaisir car au moins il délivre la marchandise, on peut pas dire la même chose d'un Full Contact et d'un Kickboxer et leurs combats tout pété, enfin ça reste loin d'un Risque Maximum ou d'un Wake of Death qui eux pour le coup sont des vrais bons films car bon là c'est surtout le facteur nostalgique qui fait que je met la moyenne car ce film je le vois en salle aujourd'hui c'est du 2/10 cash dans sa gueule.

6/10

[Scalp]

5.5/10

Mesrine, L'instinct de mort de Jean François Richet - 2008

Projet ambitieux que voilà sur la vie de Mesrine, sauf que quand on veut faire un projet ambitieux faut pas le donner à Richet, il serait doué ça se saurait depuis le temps. Un film qui propose tout les meilleurs moments dans sa BA et c'est bien dommage car quand on le regarde il y a plus aucune surprise. Déjà ça commence mal avec cette intro en écran splité qui casse les couilles, Richet c'est le genre de mec qui connait les outils de mise en scène sauf qu'il sait jamais quand les utiliser.
Ensuite le film continu dans l'ordre chronologique et c'est pas chiant ( c'est quand même un bon point ça ) malheureusement on bouffe vraiment trop d'ellipse ( genre la scène de 2 minutes en Algérie censé expliquer quelque chose sur la psychologie du personnage et qui au final explique que dalle, on se demerde avec ce qu'on vient de voir ), le début est un enchaînement de scènes de 2/3 minutes et du coup c'est pas évident de rentrer dans le film, y a pas de fil conducteur c'est plutôt Mesrine au café, Mesrine qui baise, Martine à la maison, Martine en prison, Martine découvre la paternité, Martine est raciste, Martine frappe sa femme, que des scènes qui dépassent pas les 2 minutes, la partie au Canada relève le niveau car ça prend un peu plus son temps et la partie en prison est vraiment cool. Après l'histoire on la connaît c'est un méchant mais un gentil méchant, il a le sens de l'honneur et toussa bon faut oublier qu'il met un flingue dans la bouche de sa femme quand même, y a quand une volonté de rendre le personnage attachant alors que ça reste un connard.

Le film cumule pas mal de défauts quand même : l'évasion oh putain le truc sans tension quoi ( coucou je fais le chien pour faire diversion ) , l'interprétation féminine : Cécile de France est pas crédible une seule seconde (non mais la voir avec son canon scié c'est une barre de rire) mais la palme revient a Florence Thomassin qui mériterait une titre rien que pour sa prestation, Gille Lelouche aussi est vraiment pas terrible, enfin comme d'habitude.
Y a une scène aussi quand il se barre de chez ces parents ou y a une zic bien pourri et tu te dis non y vont pas oser en rajouter autant, bein si il en rajoute dans la scène, alors que la scène en elle même est très bien comme ça, rajouté dla zic pour faire mélo etait bien inutile.
Heureusement y reste des qualités : Depardieu ( j'aurais jamais pensé en dire du bien car bon lui c'est quand une fois sur 10 depuis 20 ans ) qui est vraiment bon ( et qui en rajoute pas et c'est très bien, il en impose carrément ), comme dit plus haut toute la partie au Canada ( enfin a partir de la prison surtout, et là les scènes de prison sont vraiment réussies ) avec les acteurs canadiens dont je connais pas les noms mais qui en impose bien (comme quoi y a pas que les tocards de chez Dolan), et surtout Cassel qui bouffe vraiment l'écran même si clairement on voit pas Mesrine mais Cassel qui fait le show.
La scène d'action du film est correctement torchée pour un film français récent, ça mitraille bien au M4 comme y faut et Mesrine a vraiment une grosse paire de couilles parce que l'attaque de prison fallait oser quand même.
On se bouffe tellement de biopic inutile qu'une fois de temps en temps un biopic sur un mec dont y avait vraiment matière ça change, et d'ailleurs c'est juste parce que la matière est là que le film se regarde, c'est surement pas grâce au point de vu de Richet. Loin d'être un grand film, même un bon film, ça reste regardable malheureusement la suite est bien naze de mémoire.

[Eikichi Onizuka]

Le 5ème élément



Je l'avais pas revu depuis 10 ans, bein y a pas a chier c'est une belle purge, ecrit par un gamin de 12 ( a qui ça a du prendre 2 minutes en comptant celle ou il a pompé un peu partout : l'incal, Star Wars,Bilal ... ) et realisé sans AUCUN talent.
Le scenario est d'une naiveté incroyable ( bon à la rigueur c'est pas un défauts mais bon vu que niveau action c'est light ) et l'humour est à la rue
Au moins c'est bien c'est mauvais d'un bout à l'autre ( y a juste la scene de fight avec Willis qui est bien torché, ce qui fait 5 minutes sur 2h de films ) et surtout que c'est moche putain j'ai jamais vu un film aux costumes et au design aussi laid ( mis a part le taxi ) entre le tee shirt orange de Willis et le look pas possible de Oldman on nage en pleine serie Z ( je crois que c'est Gauthier qui a fait les costumes, ça m'etonnerait vu ces gouts de merde ).
Le casting est bien mauvais dans l'ensemble, Willis fait du Willis ( bon ça va, j'aime bien Willis ) mais attention le reste c'est du lourd : Oldman qui campe un bad guy sans envergure et qui cabotine comme un cochon, Chris Tucker une fois de plus insupportable, Mila est bien moins soulante dans RE, la galerie de second role fait bien pitié : Putain Mya Fry quoi !!! Kasso qui soule en 10 secondes, le black qui joue le president est aussi credible que Paris Hilton jouant un prix nobel, heureusement y a Tricky et moi j'aime bien Tricky.
Et tout ces personnages sont bien entendu super mal ecrit ( ça a bien du lui prendre 1 minutes pour tous les caractérisé : alors le gentil, le sidecick, le mechant tres mechant, le mechant laid ... du travail d'orfevre quoi ).
Niveau realisation c'est fou comment c'est banal on se croirait devant un film de Rattner, la plupart des scenes tombent à l'eau : le fight avec Milla en montage parallele c'est un modele de truc raté, bon heureusement la scene avec Willis gun en main est bien ( mais ça dure 5 minutes quoi ), sinon y a des explosions histoire de justifier le budget est des plans larges pour voir qu'il y a plein de trucs dont on se fout à l'ecran.
La musique du film est bien entendu insupportable comme tout les zics de ce mauvais qu'est Serra.
5 element un film de merde ? ça ne fait aucun doute.

2/10

[Alegas]

7.5/10

The Sting de George Roy Hill - 1973

" Not only are you a cheat, you're a gutless cheat as well"

Quand on cite la collaboration entre Newman et Redford, on cite toujours Butch Cassidy et le Kid du même réal, mais j'ai jamais compris l'aura de ce film que je trouve vraiment mauvais (on fait pas de comédie avec un western, c'est toujours pourri, c'est un fait), alors que L'Arnaque (titre français plutôt bien choisi) est clairement un meilleur film. Si c'est pas le film d'Arnaque ultime on sent vraiment que c'est une influence pour bon nombres d'entre eux et la saga Ocean Eleven lui doit beaucoup (bien plus que le film qui a été remake d'ailleurs). On est ici devant un modèle d'écriture, un film de 2h où tout s'imbrique à merveille et qui file à toute allure, on est clairement devant un très grand script pour un film de ce genre (y a des rebondissements et des surprises, ah ce petit twist final sur le tueur) et on finalement on est perdu entre jeu et réalité, par moment on ne sait plus qui arnaque qui, c'est brillant et puis l'enjeu reste simple avec une bonne vieille vengeance et la vengeance sera toujours un enjeu qui n'a pas besoin de se perdre en dialogue de trop. Le genre de film qui ne vieillit pas.
Précurseur donc évidement des films d'arnaques, c'est aussi presque on peut dire un précurseur de blockbuster avec ce casting prestigieux et ce coté gros budget qui saute aux yeux (enfin pour l'époque).
Niveau réalisation c'est vraiment très solide( en plus le montage est terrible, j'adore l'enchainement des scènes ) la reconstitution d'époque des années 30 est plutôt réussi, la partie de carte pfff c'est un modèle du genre ( ce moment où le carré de 3 se transforme en carré de valets c'est magique ), les scènes avec le tueur italien sont vraiment bien réussies aussi ( vue subjective a chaque fois, ce qui est logique vu le twist ).
Le film est évidemment porté par son casting qui pu le classe (c'est d'ailleurs assez marrant de noter que le film a gagné une multitude d'Oscars (pas forcément tous mérités d'ailleurs), sauf pour ce qu'il a de plus réussi : ses acteurs) : Redford est très convaincant ( le personnage insoucieux et rieur du départ laisse peu a peu place a un visage plus sérieux et fermé ), Newman c'est la classe comme toujours et il est vraiment magistral par moment (la partie de poker il est tellement bon) et l'alchimie entre les 2 sonne comme une évidence (aucun des 2 ne veut prendre l'ascendant sur l'autre), Robert Shaw campe un bad guy de premier ordre sans tomber dans le cabotinage (Shaw était vraiment toujours un excellent choix de casting de toute façon), toute la galerie de personnages secondaires est très bonne aussi avec des têtes plus ou moins connues qui font clairement le taf.
Un ptit mot aussi sur la zic et le piano de Scott Joplin livre une partition sans faille.
Un film qui même si il n'est pas un classique à mes yeux (manque pas grand chose) reste un divertissement comme on aimerait en voir aujourd'hui.

[zirko]

Merci d'indiquer les vrais titres pour le référencement !

[Scalp]

L.A Confidential Curtis Hanson - 1997

SPOIL Comme un gros coup de Shotgun dans la tronche !!!

Bon comme toujours pour ce genre de film je commence par la partie vol d'oscar comme pour Boogie Nights le film a été honteusement oublié aux oscars, à part le titre mérité pour Basinger et celui du script le film est reparti bredouille, meilleur film ? volé par Titanic, meilleur réalisation ? volé par Titanic ( bon là la rigueur j'accepte ), meilleur acteur ? volé par Nicholson et Williams, une honte tout simplement.
Revision après lecture du bouquin et donc oui maintenant je l'affirme ce film est une merveille d'adaptation et on prend un merveilleux plaisir a voir les écrits de Ellroy prend forme à l'écran, Brian Helgeland a vraiment sut tailler dans la gras en gardant l'essence du roman, il a sut quel intrigue secondaire zappé sans que ça fasse préjudice au film ( toute la partie avec la victime du viol notamment, l'intro avec Buzz ( personnage clé du Grand Nulle Part ) c'est dommage car c'est épique cette intro dans le bouquin, et l'intrigue dans sa globalité a été vraiment simplifié ) et il a osé changé la fin en tuant ce vieux Irlandais de Dudley Smith ce qui a dut en surprendre plus d'un, mais dans l'ensemble Helgeland réussit à ressortir avec brio une intrigue complexe, dense et tortueuse qui nous tient en véritablement en haleine.
C'est surprenant de voir qu'un gars comme Hanson réussit là ou De Palma ( enfin surtout son scénariste ) a foiré dans les grandes largeurs avec son plus que moyen Dahlia Noir.
Curtis Hanson livre le travail de sa vie ( le reste de sa filmo alternant la bonne grosse purge in her shoes entre autres et les films plus que mineure : 8 miles, comme quoi quand on veut on peut ), le script est vraiment solide ( impossible de deviner la fin ) et captivant ( multiple ramification sans que l'on soit perdu une seule fois, le film est très riche en info et faut vraiment assimiler pleins de trucs et ça commence direct avec l'intro sur Mickey Cohen qui prendra son importance qu'a la fin, bon par contre les 2 fois ou Crowe découvre un indice c'était pas la peine de faire un rappel et nous prendre pour des neuneus, mais c'est vrai que retenir le nom d'un gars qu'on 30 secondes au début du film c'est peut être pas si évident ), bon c'est sur que quand on adapte Ellroy on a de l'or dans les mains mais c'est pas évident à retranscrire ( y a qu'a voir le pitoyable Cop ) et la récit est vraiment ultra fluide, les 2h20 passent toute seule et c'est vraiment super riche, et le casting prestigieux et en pleine forme.

Niveau réalisation c'est la classe, Kim Basinger est filmé avec une réel grâce et on tombe amoureux d'elle d'entrée, les 2 gunfights sont un modèle d'efficacité ( quoique le shotgun fait pas assez de dégâts mais je chipote un peu là ), avec des séquences vraiment bien découpé et des plans assez long, j'aime bien la mini course poursuite après le gunfight dans l'appart avec la camera qui suit Pearce entrain de courir et pis sympa l'idée du gunfight où la caméra ne sort pas de la maison, on reste du coté des assaillit, ça rend la séquence vraiment immersive on sait pas par où arrive les ennemis et Hanson démontre un talent surprenant sur ce climax final, bon le reste du film est un poil fonctionnel ( ou académique ) mais c'est pas spécialement un drame car ça reste efficace et puis Hanson sait sortir les doigts du cul sur les grosses séquences importante du film et c'est bien là l'essentiel car moi le gunfight final c'est vraiment un de mes préférés tout film confondu.
La reconstitution d'époque est parfaitement réussi ( ça a grave de la gueule, on se croirait vraiment dans le LA des 50's tant au niveau de l'ambiance que des costumes et accessoires ), et le portrait dressé de la police corrompu est réussit.
Le cast est sans faille : Crowe EST Bud White un flic qui frappe d'abord et cause ensuite et trouve véritablement ici un de ces meilleurs rôle ( la scène de l'interrogatoire déchire ) il fait vraiment honneur au White du roman, homme de coeur et de poing, Guy Pearce qui choisit toujours très très bien ces rôles ( enfin sauf la machine a explorer ) est une fois de plus parfait en flic intègre et arriviste et lui aussi il campe un Exley convaincant et il apporte avec talent la finesse voulu pour le rôle, K.Spacey bon comme d'hab quoi ( c'est a dire bon ) dans un rôle d'un flic un peu moins intègre ( dommage que la rédemption de son perso soit un peu relégué au second plan par rapport au bouquin, d'ailleurs son perso est celui qui a le plus de coupe par rapport au roman, la scène de sa mort on dirait que Spielberg a bien aimé car il nous fait la même dans Minority Report ), les 3 premiers rôles incarne 3 flics aux méthodes et aux personnalités radicalement différente et qui seront rendu tout les 3 attachant malgré leurs défauts, le cast de second rôle est parfait aussi Kim Basinger trouve ici son meilleur rôle, et de loin et son oscar est vraiment amplement mérité ah cette merveille de premier plan sur elle avec la caméra qui tourne autour de sa capuche et qui tarde a montrer son visage : c'est vraiment LA femme fatale dans toute sa splendeur, James Cromwell quand a lui bouffe carrément l'écran bon je le trouve un poil trop vieux pour le rôle de Smith ou peut être un poil moins imposant que sur le papier mais il campe quand même avec brio ce putain d'enculé que Ellroy a crée, Danny De Vito est pour une fois pas insupportable et campe un journaliste fouineur a merveille et il apporte sa touche d'humour avec talent, hush hush, David Strathairn fait un merveilleux Pratchett ( par contre là aussi le personnage a moins d'importance que dans le livre ).
La musique de Jerry Goldsmith est quand a elle parfaite, sobre et toujours dans le tempo du film.
La photographie de Dante Spinotti est de toute beauté, mais vraiment.
Une entière réussite ( la seule ) de Curtis Hanson.
Le film approche réellement la perfection. Un vrai polar noir ( un des derniers ) et nerveux ou on règle ces problèmes a coup de shotgun, LA c'est l'un des tout meilleurs polar ricain des années 90 ( avec Copland ) et c'est à ranger avec les Incorruptibles, du polar Hard Boiled qui fait plaisir et qu'on aimerait voir plus souvent, d'ailleurs je kifferais voir une adaptation du Grand Nulle Part et pis tant qu'a faire par Fincher.
Ma note est peut être un poil haute par rapport à la qualité réel du film mais le coeur a parlé ( et sans parler de la qualité du film je pense que tout le monde est d'accord si je dis que ce film est désormais un classique ), bien entendu le roman reste un cran au dessus mais j'aime vraiment ce film.

9.5/10

[jean-michel]

10/10 pour le boulot! bon..
le cinquième élément je suis à l'opposé de ton avis, moi j'aime tout!!
L.A confidential je suis d'accord , un film équilibré et de qualité!
L'arnaque vu il y a longtemps à la télé et je me rappel plu.
Mesrine je pensais que c'était un top!! suis déçu!!

[Scalp]

Bein le 5 eme si on a plus de 12 ans c'est difficilement defendable.

[jean-michel]

alors j'ai gardé mon âme d'enfant!! cool!!

[Scalp]

Y ame d'enfant qui reflechis et ame d'enfants qui kiff les bouzes