[Jipi] Mes critiques en 2008

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Re: [Jipi] Mes critiques en 2008

Messagepar Bik » Jeu 16 Oct 2008, 18:53

Ok ca marche, on le matera ensemble :wink:
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Hannah et ses soeurs - 8/10

Messagepar Jipi » Ven 17 Oct 2008, 08:20

Hannah et ses soeurs de Woody Allen 1986

« Hannah et ses soeurs » et avant tout l’apologie d’un des nombreux non sens offert à une vie traversée en interne par une petite tribu d’intellos émotifs, névrosés et hypocondriaques vivant en autarcie dans une mégapole écrasante.

Ces nantis se maintiennent opérationnels en surfant en alternance sur la vague du stress, des soirées en castes, des sentiments éphémères et des examens médicaux en masse.

New York est quadrillé par ces Bobos en extase devant une architecture de référence servant de modèles à des esprits satisfaits de laisser une empreinte soi disant intellectuelle à des troupeaux ne levant plus les yeux au ciel.

L’incertitude règne sans partages sur ces couples en refonte permanente. Une crise existentielle sans fin débitée par un verbe angoissant en boucle tyrannisant Médecins et Psychanalystes professions maintenues en pleine lumière par ces demandeurs d’électrodes et de divans.

Woody Allen en filmant et s'intégrant dans cet échantillonnage dépressif continu sa progression vers une finalité déjà contenue d’œuvres en œuvres.

Un plat du jour maquillé à la carte par quelques corrections infimes ne dénaturant pas un produit de base livré clefs en main depuis des lustres.

Une sorte de fidélité envers un spectateur consentant drainé sur une même route depuis des décennies, un peu comme une bibliothèque aux multiples titres ne contenant qu’une seule et même intrigue

8/10

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Je hais les acteurs - 9/10

Messagepar Jipi » Ven 17 Oct 2008, 08:50

Je hais les acteurs de Gérard Krawczyk 1986

Somptueuse distribution pour ce film tourné en noir et blanc à l’américaine look The intouchables voix off comprise.

Le repère Hollywoodien des années quarante tisse producteur parano, scénariste fliqué, Gourou opportuniste, réalisateur dément, recruteur carriériste, star déchue, avocat véreux, Flic incompétent et poule prétentieuse sans talent.

Tout ce joli monde s’ébat copieusement en famille pendant que le GI meurt sur les plages normandes. Divertir ses contemporains n’est pas une mince affaire, il faut gérer les caprices, les menaces, les limites et les prétentions des uns et des autres dans un milieu ou l’énergie inutile se ventile au maximum.

La famille de l’image vogue sur des lames d’absurdité non loin des frontières qu’il faut parfois traverser en toute hâte afin d’éviter les barreaux.

« Je hais les acteurs » est une agréable surprise. Un ton neuf que les deux couleurs de bases n’altèrent aucunement. S’essoufflant légèrement sur la fin le bilan reste largement positif avec une atmosphère remarquablement reconstituée.

Les comédiens positionnés sur des registres maîtrisés s’en donnent à cœur joie en frisant pour certains le numéro de cabaret.

Les bons mots caractérisant tous les métiers du cinéma pullulent habillant l’œuvre d’ironie. Les cartes et le révolver ne sont jamais bien loin de ces cinglés du septième art hypers stressés gouvernant un bateau ivre fonctionnant aux annonces tragiques captées par téléphones.

Le producteur s’épuise entre rivalités de comédiens et retard de tournages en ingurgitant de force la star imposée.

Des apparitions surprises augmentent l’intérêt envers la visualisation de cette agréable comédie grinçante voyeuriste de métiers destinés à des illuminés.

9/10

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Promeneur du champ de Mars (Le) - 10/10

Messagepar Jipi » Ven 17 Oct 2008, 09:02

Le promeneur du champ de Mars de Robert Guédiguian 2004

« Il faut mépriser l’évènement par la passion de l’indifférence ».

Cette phrase divine fait partie d’un conversationnel de fin de vie entre un bilan satisfait et un doute existentiel. Ce qui a été formate par le souvenir ce qui a peur d’être. Ce qui fut se grave dans l’histoire en blanchissant des perceptions dérangeantes contestées par des mémoires plus rationnelles. Ce qui est essaie de comprendre ce qui fut afin de garder intact une admiration envers un passé détenteur de repères Politiques.

L’homme en noir rongé par la maladie chasse de sa mémoire ce qui ne correspond pas à une reconnaissance éternelle pendant qu’un oisillon victime d’une époque où la jouissance des êtres et des biens sont réduits au rang de consommables exige l’explication d’un héritage historique.

Bousquet est dérangeant, retranché dans un contexte repeint par une mémoire imposant ses propres images. La gloire éternelle se doit d’être l’icône officielle d’un parcours retaillé à son avantage afin d’offrir une loyauté à des enfants susceptibles d’adorer un souvenir.

Le président moribond se grise en restaurant le périple d’une vie considérée comme sans failles, il se braque puis explique calmement une incohérence rapidement oubliée par la sécurisante ambiance d’un Guiness.

« Je suis le président qui a effectué le plus long mandat présidentiel, après moi il n’y aura que des présidents comptables ».

Un « moi » de plus en plus surgonflé voyage en parallèle dans une fin de règne elle-même talonnée par une fin de vie en se fabricant un pedigree honorable sous le regard d’une énergie montante corridor entre l’honneur de la patrie et l’opportunité du gain par les nouvelles technologies.

Michel Bouquet est sans nul doute un comédien exceptionnel, pathétique, manipulateur parfaitement en fréquence dans la peau d’un personnage en lutte contre une architecture interne dépareillée avec l’image qu’il désire laissée préférant se remettre à niveau par le narcissisme de ses pensées plutôt que par ses actes.

10/10

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Plus sauvage d'entre tous (Le) - 9/10

Messagepar Jipi » Ven 17 Oct 2008, 12:56

Le plus sauvage d'entre tous de Martin Ritt 1963

Quel rustre que ce Hud encornant les maris, carburant à la décapotable dans des immensités vides et poussiéreuses garnies par quelques têtes de bétails malades.

Un instinct de propriété continuellement inassouvi s'exprime dans une violence irrespectueuse envers hommes et femmes utilisés comme un consommable d’apaisement.

Hud ne peut canaliser des comportements outranciers générés par la faute. Idole d’un jeune frère en construction apprenant la rudesse d’un traitement équilibré par un amour adolescent envers une servante convoitée comme une bière il ne peut qu'assombrir une nature fragile n'ayant qu'un seul modèle.

Des psychologies tourmentées ou en élaborations s’expriment dans une nature sans vallons. Un plat traumatisant qu’il faut combler par des excentricités calmant un ennui de terroir rythmé principalement par la dépendance quotidienne envers les bêtes.

Ces longues rues tristes accablées de soleil où apparaît de temps en temps une âme au débit limité font de ce trou du cul du monde un site ne fonctionnant qu’à l’aide de quelques procédures sommaires que l’éternité semble conforter.

« Le plus sauvage d’entre tous » est remarquable, sobre adapté parfaitement à un noir et blanc mettant parfaitement en valeur quelques impacts matériels et caractériels humains dans un espace silencieux filmé parfois de haut ou l’homme n’est plus qu’un grain de sable torturé.

Paul Mewman clone de Marlon Brando semble être la projection de la violence de l'écorché vif Stanley Kowalski héros d'un Tramway nommé désir dans un monde rural éloigné de tout.

Son interêt envers les autres ne s'exprime que par un rudoiement extrème implorant caresses et affections. Un sentimental refoulé doté d'une armure ne pouvant exprimer ses besoins que par des maladresses répétées.
9/10

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Senso - 10/10

Messagepar Jipi » Sam 18 Oct 2008, 11:39

Senso de Luchino Visconti 1954

Venise offre ses reflets ondins sur des murs effrités, Orgueil et lâcheté déclenchent jalousie et vengeance dans une ville capiteuse occupée par un uniforme d’une blancheur statique venu du Nord.

Une passion féminine l’emporte sur le mépris collectif de l’Autrichien gommant peu à peu par cette approche les motivations de lutter contre un envahisseur calfeutrant dans des registres de séduction une personnalité négative. Les perceptions d’une comtesse avide de sensations sont bouleversées de manières amoureuses puis vengeresses.

Livia enivrée d’artifices masquant une réalité en devenir brosse ses longs cheveux pendant qu’un destin dramatique monte en puissance.

Le Vénitien se bat, rêve d’indépendances. La comtesse Serpieri offre à sa passion corps et esprit. La bataille de Custozza s’exécute sous des battements de cœurs patriotiques que Livia répète à l’identique par des envolées transcendées dans des chambres capitonnées loin des combats.

Les corps s’effondrent touchés à mort sur le pré d’un environnement remarquablement filmé pendant que des lits veloutés emprisonnent des unions interdites. Livia entièrement capturée pas un esprit de jouissance s’éloigne d’un contexte patriotique.

La détermination, La volupté, la jalousie et la vengeance s’unissent sans se côtoyer. La lutte et la reconquête d’une liberté perdue se regarde de loin récupérée par une passion dévorante damant le pion de l'investissement à une cause.

Il y a deux ennemis similaires, l'un sur le terrain qu'il faut combattre, l'autre dans son lit dont l'emprise vous brule les entrailles en vous entrainant vers l'ultime déshonneur, la trahison.

« Senso » mélodrame somptueux est une œuvre passionnelle intégrée dans un contexte guerrier, un schéma purement Viscontien montrant l’inévitable parallélisme entre un mécanisme historique lié à un processus passionnel non autorisé suite à l'état des lieux d'une ville sous emprises.

Le patriote défend chèrement sa ville pendant qu’une femme inassouvie passe à l’ennemi sous l’emprise de ses sens, grisée, par une caricature militaire à la façade aux intérieurs suintants de cynismes. La finalité d’un tel parcours ne pouvant se terminer que par la trahison et la folie.

10/10

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Mondwest - 10/10

Messagepar Jipi » Sam 18 Oct 2008, 20:34

Mondwest de Michael Crichton 1973

Impressionnante image que cette caricature de l’Ouest câblée de la tête aux pieds, toute de noire vêtue étrangement semblable à l’un des sept magnifiques se libérant soudainement de tout contrôle par une procédure passant du pas déterminé à l’allure forcenée dans une traque ou la proie convoitée n’à pratiquement aucune chance d’en réchapper.

Des machines supposées sans âmes passent subitement du néant à la perception. L’état corvéable n’est plus accepté, la détermination meurtrière remplace une soumission programmée. La robotisation docile laisse sa place à une électronique interne soudainement indépendante en révolte contre ses concepteurs.

La créature préalablement soumise aux directives d’un programme s’autodétermine en révélant sans sommations une puissance implacable. Ce que l’homme a conçu se retourne contre lui.

« Mondwest » représente avant tout la frustration de ne pouvoir assouvir une domination dans un monde réel contraignant. Certains frustrés comblent ce manque dans les attraits d’un parc d’attraction thématique ou des éléments virtuels détonateurs de conflits sont planifiés pour tomber sans résister. Un monde faux mais sécurisant temporairement des refoulés en manque de prosternés.

Des que les rôles s’inversent, l’homme ne vaut plus rien. Il court comme un lapin. Une robotique désalliénée transforme des circuits dociles en prédateur impitoyable imposant un regard scintillant, une endurance perpétuelle et une peur inconnue à un pourchassé baigné de sueurs et d'incertitudes devant une architecture lassée de subir.

Les robots de Mondwest par l’intermédiaire d’une révolte soudaine testent l’extrémité inverse d’une soumission. La découverte d’une autonomie ne déclenche qu’une envie de tuer occasionnée par un rapport de forces devenu intolérable.

10/10

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Re: [Jipi] Mes critiques en 2008

Messagepar Jipi » Dim 19 Oct 2008, 10:33

Les rescapés du futur est moins bon hélas.
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Metropolis - 10/10

Messagepar Jipi » Dim 19 Oct 2008, 10:40

Metropolis de Fritz Lang 1927

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Des engrenages vifs s’expriment à la place d’un troupeau amorphe sortant ou regagnant les profondeurs de la terre. Des balanciers humains enfumés rythment le cœur d’un mécanisme aux procédures incomprises et incertaines.

Des nuages de vapeurs crispent des visages sacrifiés exécutant des taches répétitives sécurisant l’allégresse d’un jardin à ciel ouvert ou des nantis remercient les transpirations souterraines par des jeux égoïstes et insouciants.

La bouche de Moloch exigeante en ses besoins de sacrifices éveille la vocation d’un voyeur. Un temps démentiel se fourvoie en unissant des buildings futuristes dont l’arrogance outrancière se maîtrise par une technologie terrestre et aérienne d’un temps côtoyé.

Les superficies des bureaux sont à la démesure de la démence des nantis, les baies larges et ensoleillées illuminent le regard d’un concepteur devant la vision d'une réussite conceptuelle urbaine s'étendant à perte de vue.

Les sous sols explorés dévoilent des ressources exténuées, endoctrinées par des prestations dérisoires masquant la définition d’un réel besoin universel. Dans ces bas fonds ce n’est que servilité envers une machine qui ne dit même pas à quoi elle sert.

Trimer devient simplement par le sacrifice d’exclus la sauvegarde d’ébats sulfureux, de courses viriles et de captures amoureuses. Un territoire Darwinien à l’échelle humaine fortement implanté dans deux esprits de groupes acquis à leurs procédures respectives la dominance et la soumission.

Un sacrifice souterrain par un rituel répété alimente une beauté superficielle en surface.

Difficile en cette année 1926 en regardant ces images de ne pas se rapprocher d’un temps douloureux ou ces maquettes futuristes encensées annoncent l’arrivée d’un Speer réalimentant une exigence de pouvoir ancestral.

En parallèle, la récupération socialiste est plus qu’appréhendée ce qui positionne « Metropolis » comme une œuvre expressionniste au service de toutes idéologies.

Fritz Lang fut courtisé par les nazis, il préféra la fuite en argumentant sur l'éclosion d'un troisième parti, un esthétisme d'images certes thématiques mais se voulant indépendant le tout servant à l’avancée de technologies nouvelles cinématographiques.

Statuons sur les propos du maître. "Métropolis" est un excellent film de science fiction, rien de plus.

10/10
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Metropolis

Messagepar Jipi » Dim 19 Oct 2008, 10:45

Bonjour Zack
Je t'envoie un texte sur Metropolis pour que tu te fasses une idée en fonction naturellement de mon style d'écriture. N'hésite pas à consulter d'autres avis.

Amicalement
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Re: [Jipi] Mes critiques en 2008

Messagepar zirko » Dim 19 Oct 2008, 11:28

J'ai toujours voulu voir ce metropolis mais je n'en ai jamais eu l'occasion. :?
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Re: [Jipi] Mes critiques en 2008

Messagepar BenderIsBack » Dim 19 Oct 2008, 12:17

idem :|
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Re: [Jipi] Mes critiques en 2008

Messagepar BenderIsBack » Dim 19 Oct 2008, 19:17

Et c'était ? !
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Re: [Jipi] Mes critiques en 2008

Messagepar BenderIsBack » Dim 19 Oct 2008, 20:05

BenderIsBack a écrit: Et c'était ? !

Rappelez vous de la news AFP qu'on a eu il y a quelques semaines, c'est beau ?????
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Re: [Jipi] Mes critiques en 2008

Messagepar BenderIsBack » Dim 19 Oct 2008, 23:07

Ah oui j'me rappelle maintenant que tu le dis ! :oops:

j'avais pas vu l'encadrer, c'est l'effet jeff sign je crois ! :mrgreen:
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