Après ça fait plusieurs films ou je trouvais qu'il allait dangereusement vers l'autosatisfaction pour finalement ne pas délivrer autant que ces promesses.
Et l'esbroufe, je parle aussi de tout les à-côté genre Eli Roth et la façon dont à une époque, on ne pouvait pas voir un film de "genre" sans qu'il y ait marqué "Tarantino présente", "Tarantino a dit que c'était super", "Le nouveau protégé de Tarantino"et c'était le plus souvent des grosses merdes.
J'ai l'impression qu'avec son succès, il est persuadé que tout ce qu'il fait est mortel et que tout ce qui touche se transforme en pépite.
On va dire que la déception est encore plus cruelle quand c'est quelqu'un qu'on apprécie à la base
Vivement le prochain tout de même
