*2025* Classement annuel des BKRiens

[osorojo]

Broken rage : 3/10

[caducia]

The Gorge : 4/10
ça partait bien pourtant

the brutalist 5.5/10

[Jed_Trigado]

Broken Rage : 3/10

Team oso sans conteste, le Kitano trolleur de Getting Any ressurgit pour notre plus grand malheur.

[Mark Chopper]

Putain, vous me découragez.

[francesco34]

Bridget Jones: 6.5/10

[Alegas]

Jouer avec le feu : 5/10

Un sujet intéressant (un père se rend compte que l'un de ses deux enfants penche de plus en plus vers l'ultra-droite) mais malheureusement mal développé côté écriture, et surtout mis en scène de façon doit générique, soit raté dès que ça part dans les effets de style.
Reste les prestations du trio Lindon/Voisin/Crepon.

[Dionycos]

Le Dernier souffle : 3/10
C'est nase. Un film de vieux pour les vieux qui ont peur d'être vieux, et qui fait tout sauf du cinéma. C'est l'adaptation d'un bouquin écrit par un médecin en soins palliatifs et un philosophe. Et à l'image, ça donne un enchainement d'anecdotes d'un médecin en soins palliatifs racontées à un philosophe. Voilà.
Je précise que j'ai vu ce truc dans le cadre de mon boulot.

Un parfait inconnu : 7/10
Bob Dylan de 1961 à 1965, vu par son entourage : ses 2 amantes, son mentor, ses producteurs etc. Approche super intéressante, mais qui aurait nécessité des choix de mise en scène bien plus radicaux. Mangold se contente d’emballer son produit sans réfléchir à ces questions de point de vue. Résultat, une désagréable sensation de voir un biopic qui ne traite pas son sujet. Le processus créatif de Dylan ? Son envie de s’extirper de la folk ? Son engagement politique ? On ne comprendra pas, le personnage reste un mystère, mais pas pour les bonnes raisons. Mangold se contente de raconter l’homme à travers les paroles de ses chansons.
Malgré ces réserves, j’avoue avoir été emporté par les très nombreuses séquences musicales, ça m’a suffi à passer un très bon moment sans voir le temps passer. Je surnote clairement, mais c’est le ressenti qui prime.

Presence : 6/10
Intéressant exercice de style, qui manque toutefois d’ambition.

Mémoires d'un escargot : 5/10
C’est rude, et j’en suis le premier frustré car j’en attendais beaucoup. L’histoire est très touchante, la DA et l’animation sont formidables. Mais ce genre de narration quasi 100% voix-off, je peux pas. Je reste à distance tout le long. Va encore pour les séquences humoristiques (parfois hilarantes, j’avoue), mais tous les moments d’émotion sont tombé à plat pour moi.

[Moviewar]

La chambre d'à côté 6/10

[Mr Jack]

Mercato : 5.5/10

[francesco34]

The gorge (apple tv): 7/10

[logan]

L'attachement : 7.5/10

The monkey : 2/10

[Alegas]

Wolf man : 6/10

Une vision intimiste et psychologique de la transformation en loup-garou, qui permet une approche fraîche du sujet.
C'est thématiquement intéressant, mais tellement évident que le film en devient très prévisible, ce qui le rend finalement assez frustrant.

[Dionycos]

The Brutalist : 7,5/10

Pas le chef-d'œuvre annoncé, et encore moins le truc monumental qui redéfinit le cinéma avec un petit budget, comme on peut le lire ou entendre du côté de la critique qui a collectivement fumé un bon gros splif qui leur a fait voir des trucs tout simplement absents. Ou alors ils sont partis après la scène d'ouverture, effectivement géniale et inventive pour suggérer énormément avec 3 fois rien.
Le film a coûté 10 millions, et ça se voit. Non pas qu'il soit cheap (sauf la fin). Le réal, également producteur, fait tous les choix pertinents pour composer avec son budget. Mais il est contraint de restreindre sa grande fresque, notamment en limitant sa reconstitution historique avec des plans très serrés. Et surtout, la seconde partie peut s'avérer très frustrante tant elle ne répond pas à l'attente du truc visuellement monumental teasé au terme de la 1ère partie. Corbet est forcé de partir sur d'autres chantiers, plus intimes.

Maintenant, une fois cette frustration évacuée, il y a effectivement un très bon film qui aborde plein de sujets passionnants : le traumatisme juif d'après guerre et l'antisémitisme toujours latent, le capitalisme et ses rapports de domination/esclavage déguisé. Le tout avec d'excellents acteurs. Brody, bien sûr, qui parvient à totalement me convaincre malgré son habituelle composition de chien battu, mais surtout Guy Pearce qu'on a rarement vu aussi bon. La relation entre les 2, amicale et suave en apparence, mais toute en tension contenue, porte tout le film.

[Olrik]

Companion : 5,5/10