[Alegas] Mes Critiques en 2024

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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2024

Messagepar Scalp » Lun 09 Déc 2024, 13:52

Mark Chopper a écrit:
Si tu avais découvert ce film collégien ou lycéen dans les 90's, tu aurais mis la moyenne parce qu'on en a tous des bons souvenirs :eheh:


Passage obligé celui là avec Desperado et le téléfilm qui remake le Facteur sonne toujours 2 fois.
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2024

Messagepar Mark Chopper » Lun 09 Déc 2024, 14:25

Et les Hollywood night. Et Sex Crimes.

Alegas ne peut pas comprendre. Ado, il pouvait déjà mater Sasha Grey en mpeg sur son ordi.
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2024

Messagepar Scalp » Lun 09 Déc 2024, 16:10

Les Hollywood Night c'était la roulette russe, y en avait des très généreux et d'autres c'était Hélène et les Garçons.
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2024

Messagepar Alegas » Lun 09 Déc 2024, 18:48

Mark Chopper a écrit:Alegas ne peut pas comprendre. Ado, il pouvait déjà mater Sasha Grey en mpeg sur son ordi.


On pourrait le penser mais ce n'est pas le cas : je n'ai pas eu internet avant la fin du lycée, donc c'était compliqué pour le porn.
Du coup, je pense avoir eu une expérience similaire à la vôtre via les dvd (Le nom de la rose, Soleil levant, Basic Instinct, pour ne citer que ceux là), la tv (les téléfilms érotiques sur M6 et RTL9) ou des magazines de charme.
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2024

Messagepar osorojo » Lun 09 Déc 2024, 19:28

Mon père se foutait bien de ma poire quand je lui disais que j'enregistrais Culture Pub :mrgreen:

Perso, ça a été la VHS de Pulsions, j'ai longtemps beaucoup aimé les 10 premières minutes. On parlait de films qu'on revoyait, c'est ptet celui là mon record en fait -__-
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2024

Messagepar Mark Chopper » Lun 09 Déc 2024, 19:36

Culture Pub, c'est une émission que j'ai longtemps détestée alors qu'elle était cool :mrgreen:

Mais bordel, M6 ne respectait jamais les horaires et ça décalait le programme suivant :evil:
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2024

Messagepar pabelbaba » Lun 09 Déc 2024, 19:57

Sinon y'avait Sexy Zap le vendredi soir. Pour le coup, c'était vraiment Hélène et les Garçons. :mrgreen:
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Sinon, oui, j'aime les nibards. :chut:
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2024

Messagepar Jed_Trigado » Lun 09 Déc 2024, 20:12

Puis on avait la sempiternelle pub pour 36 15 Ulla. :mrgreen:
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Messagepar Val » Lun 09 Déc 2024, 20:52

Alegas a écrit:
Mark Chopper a écrit:Alegas ne peut pas comprendre. Ado, il pouvait déjà mater Sasha Grey en mpeg sur son ordi.


On pourrait le penser mais ce n'est pas le cas : je n'ai pas eu internet avant la fin du lycée, donc c'était compliqué pour le porn..


On a le même âge mais je vois que tu n'avais pas la chance d'avoir Canal+ a la maison...

Par contre, tu as eu Internet seulement vers 2008 si je compte bien. :shock: Ça devait être galère, non ?
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2024

Messagepar Alegas » Lun 09 Déc 2024, 21:02

Ton compte est bon, j'ai eu internet à partir de fin 2007.
Avant, c'était compliqué surtout au collège où j'étais très handicapé pour les exposés. A partir du lycée, j'étais en internat donc il avait des salles d'ordis connectés à internet, c'était déjà mieux.

Et ouais j'ai pas eu la joie de Canal. Pour te donner une idée rien que les chaînes publiques je les avais pas avant 2004/2005. :mrgreen: La TV servait uniquement pour des VHS/DVD ou pour une console de jeu.
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Roi de cœur (Le) - 6/10

Messagepar Alegas » Mar 10 Déc 2024, 18:56

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Le Roi de cœur de Philippe de Broca
(1966)


Au premier abord, c’est un De Broca vers lequel on ne se dirige pas automatiquement : il ne jouit pas d’un casting de premier ordre (il y a bien quelques têtes connues comme Micheline Presle, Michel Serrault, ou Pierre Brasseur, mais pas de lead qui pourrait porter le projet comme Belmondo ou Noiret), et surtout il a été un échec non négligeable à sa sortie, qui a fait que c’est un métrage assez peu connu du grand public. Mais le temps fait son office, et peu à peu le métrage se refait une petite réputation, aidé par le fait que son réalisateur l’a souvent cité comme l’un de ses favoris. Sans aller jusqu’à dire que c’est une petite pépite à réhabiliter, il y a effectivement quelque chose dans ce film : on sent que c’est une oeuvre où De Broca synthétise en grande partie son style formel et narratif, et le fait que ce soit une ode à la folie donnerait presque envie de revoir la filmo du réalisateur sous un autre jour.

Sur un pitch intriguant (pendant la Première Guerre Mondiale, un soldat anglais est envoyé en éclaireur dans un village français où l’on suspecte que les allemands y ont placé des explosifs capables de raser le lieu, mais par un concours de circonstance le même village est abandonné par ses habitants, et laissé aux occupants de l’asile local), De Broca développe toute une intrigue qui vient questionner la folie des hommes : à l’heure d’un conflit mondial, les plus fous ne sont-ils pas ceux qui combattant, plutôt que les simples d’esprit qui veulent simplement vivre ? Un développement qui marche plutôt bien, qui s’avère même touchant selon les scènes (j’aime particulièrement la fin, qui vient parfaitement conclure le récit), mais qui, comme souvent chez De Broca, manque peut-être d’une certaine rigueur d’écriture : ça se laisse suivre, mais ça n’est jamais passionnant pour autant, le script est souvent une succession d’éléments un peu gratuits qui viennent créer des péripéties.

Autre chose qui n’aide pas : le curieux choix d’Alan Bates en tant que lead. Ce n’est pas tant que l’acteur soit mauvais, loin de là, mais il manque singulièrement de présence pour porter le métrage, et il se fait souvent éclipser par les seconds rôles qu’il côtoie. Visuellement, c’est pas ouf avec une reconstitution que je trouve très étrange (en fait on dirait plus un film de WWII que de WWI dans le look), et qui tient surtout par la beauté du village dans lequel la majorité du métrage est tourné, et une mise en scène qui manque aussi de rigueur, on sent une envie de bien faire mais il y a des trucs assez grossiers que De Broca laisse passer à l’image (le massacre final c’est la foire aux figurants peu investis, avec notamment un cadavre qui se retourne après s’être fait marcher sur la main, le tout à trois mètres de la caméra :eheh: ), tout ça donne vraiment l’impression d’un tournage qui devait se faire très vite, aux dépens des qualités visuelles. Tout ça donne un résultat globalement intéressant, mais je comprends tout de même l’échec à sa sortie : les bonnes intentions ne font pas tout.


6/10
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À vif ! - 3/10

Messagepar Alegas » Mer 11 Déc 2024, 02:20

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Burnt (À vif !) de John Wells
(2015)


Un film que j’ai surtout lancé pour son réalisateur, à savoir John Wells qui avait signé le beau August : Osage County. Burnt est donc son film suivant, et le seul en date d’ailleurs, puisque le bonhomme semble désormais être retourné complètement à la série télévisée suite à la réception critique et publique du métrage. A vrai dire, quand on le découvre, on se dit que c’est peut-être pas plus mal, car autant Osage County avait beaucoup de qualités, autant là on déchante très très vite :eheh: . Sur le papier, pourtant, on se dit pourquoi pas : un drame dans l’univers de la cuisine, avec en perso central un ancien chef qui revient d’un exil pour lancer un nouveau restaurant, un script de Steven Knight qui est autant un drame qu’un simili film de casse (notamment pour la partie recrutement de l’équipe), et enfin un gros casting : Bradley Cooper, Omar Sy, Sienna Miller, Alicia Vikander, Uma Thurman, Daniel Brühl, Lily James, Emma Thompson, excusez du peu.

Le truc, c’est que le film part vite en couilles, avec notamment un défaut majeur, à savoir son personnage principal, qui est tout simplement un mec complètement détestable. Alors why not, on a déjà fait des films entiers sur des protagonistes antipathiques sans que ça n’empêche l’ensemble d’être captivant, mais là, que ce soit au niveau de l’écriture et de l’interprétation de Bradley Cooper, il y a un mélange que je qualifierais de particulièrement toxique, qui consiste à montrer le perso faire les pires saloperies possibles à ceux qui l’entoure, mais qui est toujours montré sous un bon jour, genre mec à la cool qui attire autant les femmes et hommes de tous bords. Je n'exagère pas : le script contient un perso gay qui se fait constamment humilié par le mec mais qui en reste amoureux, et le rôle d’Uma Thurman est un caméo sans intérêt aucun, de deux minutes, qui consiste en une journaliste culinaire qui lui dit sans raison “mais pourquoi j’ai couché avec toi alors que je suis lesbienne”, bonjour le level d’écriture :shock: . Le pire étant que le récit vient par la suite justifier les pires actions du perso, et limite avoir les protagonistes secondaires, qui ont souffert à cause de lui, qui viennent s’excuser de ne pas avoir cru en son potentiel et sa vision. Franchement, je suis pas du genre à prendre la mouche facilement face à des personnages ambiguës, mais là, une écriture et un perso pareil dans un film sorti en plein milieu des années 2010, c’est chaud :evil: (distribué par les Weinstein, à partir de là on pourrait tisser un lien :chut: ).

C’est vraiment pas un film intéressant niveau écriture, les personnages secondaires peinent à exister, tout le parcours humain du héros est tout ce qu’il y a de plus prévisible (“je retrouver le plaisir de cuisiner en évitant de me prendre trop au sérieux et en étant ami avec les gens plutôt qu’en les traitant comme de la merde”, well, no shit :lol: ), et c’est pas comme si la mise en scène anecdotique venait rehausser le niveau. En plus de ça, il y a vraiment l’impression que le film gâche son casting : Bradley Cooper joue très bien le connard et est sur 90% des plans du film, mais le reste de la distribution est utilisée de façon assez incompréhensible tant c’est inégal. Emma Thompson a un rôle de psy sur deux scènes, Uma Thurman comme dit plus haut a deux minutes de film, Alicia Vikander sert de deus ex machina pour une storyline secondaire et apparaît, elle aussi, le temps de deux minutes, Lily James c’est de l'ordre du caméo, genre elle a cinq plans à tout casser. Finalement, seuls Sienna Miller, Omar Sy et Daniel Brühl ont du temps à l’écran, mais faut voir la pauvreté des personnages qu’ils défendent :evil: . Non vraiment c’est un film ni fait ni à faire, hyper complaisant et problématique dans ce qu’il raconte via son personnage et l’absence de questionnements qui en découle. A oublier donc.


3/10
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Candyman (2021) - 5/10

Messagepar Alegas » Mer 11 Déc 2024, 14:38

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Candyman de Nia DaCosta
(2021)


Un film que je voulais voir au cinéma à la base, mais de mémoire il avait quitté très rapidement les salles, bon au moins ça m’aura permis à l’époque de découvrir le Candyman de Bernard Rose. Sous ses apparences de reboot/remake, on a bien un film qui est une suite de l’original (j’ignore par contre si ça prend en compte les deux suites Candyman faites dans les années 90), et pour le coup j’ai été agréablement surpris à quel point ça s’inscrit bien dans la lignée du film de Rose. C’est bourré de bonnes idées, entre le fait d’avoir un Candyman différent à chaque génération qui permet de perpétuer la légende urbaine (et de justifier un changement d’acteur même si on a l'apparition de Tony Todd), ou le fait de placer l’action dans le même quartier de Chicago que l’original, mais qui a été complètement reconstruit, ça permet d’avoir un discours sur l’urbanisation (ce qui fait sens vu que c’était le cas aussi du premier film), et plus précisément sur l’évolution de la place des afros-américains dans une grande ville. C’est même presque dommage que ce ne soit pas poussé encore plus loin, et c’est là où je regrette que Jordan Peele ne soit que producteur de ce film, je pense qu’on aurait eu quelque chose de plus abouti s’il avait été réalisateur.

Par contre, là où le film est vraiment décevant, c’est sur son aspect horrifique, où on a un peu l’impression de voir un film de genre qui a du mal à s’assumer, et autant les apparitions du Candyman ont de la gueule, autant les morts sont bien trop sages, en témoigne le massacre des ados dans les toilettes du lycée, où quasiment tout se fait hors-champ :evil: (et où le sang est quasiment toujours fait en CG :| ). Formellement, il y a du bon et du moins bon, car autant Nia DaCosta a la capacité de créer de belles images, de soigner certaines scènes, ou de proposer quelques chouettes idées narratives (raconter la genèse du Candyman via les petites scènes en ombres chinoises, je trouve ça mortel :love: , ça crée une étrangeté bienvenue), autant il lui manque clairement un truc pour transcender le film qu’elle a entre les mains, je suis pas certain qu’elle ait été le meilleur choix possible pour un film pareil. A l’arrivée, il y a un film qui a un certain potentiel et des qualités à afficher, mais au final ça souffre inévitablement de la comparaison avec l’original qui était bien mieux équilibré.


5/10
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Captain Marvel - 4,5/10

Messagepar Alegas » Mer 11 Déc 2024, 23:35

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Captain Marvel de Ryan Fleck & Anna Boden
(2019)


Sans surprise, ce n’est pas terrible, mais j’avoue que j’attendais bien pire de la part d’un film qui a une position étrange dans la chronologie du MCU. Car on parle pour le coup d’une origin story qui sort après Infinity War, et qui sert donc principalement à justifier la présence d’un personnage surpuissant dans Endgame. Drôle de choix donc, qui donne un film clairement pas indispensable (j’avais vu Endgame sans voir celui-ci, et ça ne m’avait pas particulièrement gêné) mais pas nul non plus, je dirais même que dans les origin stories récentes du MCU, c’est l’une des rares qui tient à peu près la route. Alors bon, ça a beaucoup de défauts habituels des Marvel : des réals qu’on sort de nulle part pour les balancer sur un énorme blockbuster et qui donne donc une mise en scène qui ne crée pas la différence dans les scènes d’action, des enjeux pas oufs (même si ça s’améliore sur la fin avec le peuple à protéger), trop d’humour, un bad guy qui n’arrive pas à s’imposer, une tendance à jouer sur un aspect générationnel (ici les 90’s) tout en ringardisant les références pour faire marrer les jeunes, BO qui sert juste à combler les silences, des effets visuels inégaux (le rajeunissement de Samuel L. Jackson est impressionnant, la recréation du L.A. des 90’s beaucoup moins), casting qui donne le minimum, bref on pourrait continuer longtemps.

Néanmoins, je dois avouer qu’il y a un défaut habituel qu’on ne retrouve que très peu dans ce Captain Marvel, et c’est ce qui touche à la façon dont s’inscrit le métrage parmi les autres opus existants : on a un récit qui est chronologiquement l’un des premiers du MCU, et de ce fait il y a finalement très peu de moments où, si on a raté tel ou tel film, on se retrouve perdu. Un film qui se suffit presque à lui-même donc, si ce n’est quelques allusions à la naissance du projet Avengers, et, sur la toute fin, un raccrochage de wagons à Endgame, c’est assez rare pour être souligné. Est-ce que ça rend le film bon pour autant ? Non, mais au moins on a l’impression de voir un divertissement qui a un début et une fin, et pas un énième épisode d’une série TV qui ne finit jamais. Un film à peu près regardable donc, qui fait le job la majorité du temps, mais qui est somme toute vite oublié une fois le générique de fin passé.


4,5/10
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Film: Captain Marvel
Note: 3,5/10
Auteur: Mark Chopper

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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2024

Messagepar Alegas » Mer 11 Déc 2024, 23:37

Mark Chopper a écrit:Le Collectionneur, j'ai le souvenir d'une bourde de la VF qui grille l'identité du tueur dès le début.


Je viens de voir le film. Est-ce que ça a quelque chose à voir avec le fait que la voix du tueur est très proche de celle du personnage qu'il incarne à découvert ?
Si c'est le cas, c'est pareil en VO. Entre ça et sa gueule de potentiel bad guy, je l'ai grillé dès son apparition. :eheh:
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