*2024* Classement annuel des BKRiens

[Val]

La BA de Conclave me branchait bien donc ta note fait plaisir.

[Criminale]

Vampire humaniste cherche suicidaire consentant : 7/10

C'est rafraichissant ce genre de pellicule. Le mélange d'humour noir et de poésie marche vraiment bien et ça donne quelques chose d'assez improbable et décalé.

Gladiator 2 : 5,5/10

J'en attendais à pas grand chose donc je n'ai pas été déçu. Ça tente de raviver la grandeur du premier, mais clairement on ne retrouve jamais le souffle épique. Malgré des scènes spectaculaires, le scénario peine à captiver et les personnages manquent de profondeur (ils meurent quasi tous mais sans que cela nous fasse qqchose). On sent l’effort pour en mettre plein les yeux et ça donne un divertissement correct.

[francesco34]

La BA de Conclave me branchait bien donc ta note fait plaisir.

Je trouve que le film fonctionne bien, c'était pas gagné de tenir 2h sur l'élection d'un nouveau pape, mais c'est efficace et y'a pas mal d'enjeux et de coups bas qui font qu'on s'ennuie pas

[logan]

Leurs enfants apres eux : 6.5/10

l'anti amour ouf et c'est un compliment loin d'être parfait, notamment sur la représentation du personnage de Yacine un peu limite et pas convaincu par l’interprétation de Kirschner, mais ca ne gâche pas le film pour autant.

[Mr Jack]

All of us strangers : 6/10
Beaucoup touché par l'histoire qui se raconte entre le personnage principal et ses parents. C'est assez original dans le traitement narratif et dans la façon de mettre tout ça en scène. J'aime bien les parti pris visuels pendant un long moment mais je n'ai pas du tout adhéré à la fin. Je l'ai trouvée too much et pas utile. Tout était bien et pour moi presque tout s'écroule à la fin. Mais à froid, il reste quand même pas mal de choses solides et convaincantes, Andrew Scott en tête, formidable comme toujours. J'ai eu quasiment la même réaction que devant Le Successeur, pour un point narratif crucial, mais pas pour les mêmes raisons.

[Mr Jack]

Longlegs : 6.5/10
Je suis assez mitigé sur le film même si je lui reconnais d'énormes qualités, à savoir de faire très bien ce qu'on lui demande de faire : peur. La gestion du cadre au service de la production de frousse est vraiment exemplaire. J'ai eu des réactions que j'avais pas eu depuis longtemps devant un film d'horreur. La grande majorité du temps ça me fait rien. Parfois, je sursaute face à un jumpscare presque par réflexe myotatique. Et parfois, très rarement en fait, j'ai une réaction de sidération, ça m'est arrivé devant un Carpenter ou deux. Mais là...c'est un vrai frisson d'angoisse. Je pense que seul Lynch a su créer chez moi ce genre de réaction organique devant un film. Seul soucis, c'est qu'après tout ça, il y a une histoire. Et cette histoire, bon, ça fait un peu histoire pour faire peur au coin du feu mixé à de l'elevated horror. Sur la durée totale du film, la science du cadre et la production d'effroi, c'est trop peu. Et il y a une dissonance cringe entre la géométrie froide de la mise en scène et ce grandguignol porté par Cage, mais aussi Underwood à une moindre mesure. J'ai trouvé le décalage gênant, alors qu'il aurait pu accentuer, avec un peu plus de maitrise dans la direction, le côté étrange qui va avec l'effroi. Là, on frôle souvent le ridicule. Mais si le réal avait réussi ce tour de force, il se serait appelé Lynch, justement. Une réussite formelle, donc, mais mise au service d'une histoire dans le fond très anecdotique, très Twilight Zone sous influence A24 pour m'attraper totalement.

[Olrik]

Juré n°2 : 6/10
Déçu. problème de casting pour moi concernant le rôle principal et le personnage de la procureur. Les deux sont traversés par un dilemme. Très bien, mais moi à aucun moment je n'ai ressenti la tension de ce dilemme.
Eastwood a voulu aller dans trop de directions (procès, scène de délibérations, de vie familiale, d'enquête), du coup aucune n'est pleinement satisfaisante. Et les scènes avec les jurés font vraiment pâle figure si l'on a en tête 12 Hommes en colère.

[logan]

Les trois fantastiques : 6.5/10

[Alegas]

Heretic : 6,5/10

Une excellente première heure, pleine de tensions, de doutes, qui arrive à créer l'appréhension avec seulement des dialogues et du hors-champ.
Dommage que ce soit moins bon ensuite (ça reste bien hein, mais ça n'a pas la même intensité) mais j'en ressors quand même plutôt enthousiaste.

Vaiana 2 : 4,5/10

Une suite particulièrement paresseuse, qui se contente de reprendre la construction narrative du premier avec des scènes similaires, pour proposer moins bien.
Entre ça et la technique qui fait du surplace, ça se voit que c'est un projet qui a drastiquement changé de direction en plein milieu de production.
Le reste, entre les nouveaux personnages transparents et plein d'éléments qui sont juste présentés pour un potentiel troisième opus, on est plus proche des récents Disney que du premier Vaiana, dont la qualité venait sûrement beaucoup de son duo de réals.

[angel.heart]

Comme un lundi : 5/10
Daaaaaali ! : 7/10
Heureux gagnants : 6,5/10
Hit man : 5/10
La malédiction : L'origine : 7/10
Late nite with the Devil : 6/10
Les chambres rouges : 7,5/10
Pauvres créatures : 7/10
Sleep : 6,5/10
SOS Fantômes : La Menace de glace : 2/10
Vampire humaniste cherche suicidaire consentant : 6,5/10

Et changement de note pour Furiosa : 9 -> 10

[Ichi]

Gladiator II: 5.5/10

[Moviewar]

Daaaaaali ! 6/10

Un petit truc en plus 5,5/10

[Dionycos]

Pas de vague : 6/10

Globalement bien apprécié, c'est plus fin que ce que la bande annonce laisse présager.
Par contre c'est quoi cette fin ? J'aime bien les fins ouvertes, qui ouvrent des pistes d'interprétations. Mais là rien de tout ça, ça botte juste en touche en laissant tout en plan, y a zéro conclusion pour les persos.

[Scalp]

Fin ? à quel moment ? le pauvre petit professeur si parfait, tout le monde est contre lui bichette. C'est caricaturale au possible.

[osorojo]

Le Medium : 5/10
Pas désagréable, sympathique même parce qu'il y est question de tenter des trucs à l'occasion d'une réflexion sur le deuil qui prend la forme d'une comédie dramatique douce amère qui mise quasiment tout sur sa galerie de personnages. Dommage que la sauce ne prenne pas vraiment, je me demande si ce n'est pas la double casquette acteur/réalisateur qu'endosse Emmanuel Laskar qui ne lui permet pas de transformer l'essai, je l'ai trouvé un peu inconstant à l'image en tout cas. Une bobine pas désagréable si ce n'est qu'elle donne rapidement l'impression de tourner à vide, la faute à des idées d'écritures qui manquent un peu de patate (le cul gratos, j'suis généralement pas contre, mais là ça sort de nulle part comme un manque d'inspiration pour faire avancer l'intrigue).