THE SUBSTANCE de Coralie Fargeat

[Mr Jack]

The Substance : 6,5/10

Du coup j'ai lu tout le débat. Team Logan et Killbush en ce qui me concerne.
Franchement, ça me paraît absolument évident que c'est une histoire qui pousse à fond les potards pour livrer du grotesque complètement assumé. Rien à voir avec Barbie, Requiem for a dream, ou même le premier film de la réal, qui était clairement orienté premier degré.
Cette outrance, c'est la force du film, mais aussi sa limite : une fois le spectacle passé, on retient plus le concept intéressant que le discours qu'on pige au bout de dix minutes et qui n'évolue plus ensuite.
Reste que la séance a été appréciable de mon côté (ça n'a pas été le cas de Madame qui a détesté, comme quoi), et je me suis bien marré tout le long. J'espère ne pas avoir choqué les meufs derrière moi.

(merci de quoter ce message dans le topic du film si vous voulez repartir pour un tour )

Ca sert à rien vu qu'on va te dire "ouais mais elle filme des culs, elle filme des culs, elle filme des culs" ce qui prouve bien que le regard fixe et obsessionnel sur des culs est quelque chose de gênant en soi, et que c'est peut-être pas si bête de le questionner, même si on le sait déjà ?

[Scalp]

Le problème c'est pas les culs c'est de filmer 50 fois la même chose hein.

[lvri]

Et c'est reparti pour un tour

[Mark Chopper]

(merci de quoter ce message dans le topic du film si vous voulez repartir pour un tour )

Nous sommes la même personne et tu n'as pas à m'imposer tes règles.

[logan]

Vous êtes une bande de sales gosses

[Mark Chopper]

En vrai, on a fait le tour et j'aimerais qu'on parle d'autres films.

Alegas a ri, c'est la preuve que c'est un porc. Mais qui en doutait ?

[Alegas]

Interview de Fargeat avec notamment un extrait pour ceux qui pensaient que The Substance est un film full 1er degré.

Paul Verhoeven’s RoboCop was big for you growing up. How do you feel about satire and The Substance’s lack of subtext in just saying outright: “this is what I’m satirizing and it’s going to be obvious in a fun way”?

Genre films have two lanes: one is the horror, violent, or action element, and the other is humor. Both allow the audience to enter a world that can be very extreme, very violent, and say striking things, but with the possibility to receive it in a way that is not assaulting. They have the relief of laughing, to distance themselves and enjoy the experience. When I grew up, I was sensitive to everything satirical, whether it is Chaplin’s The Great Dictator or the books that I read.
Humor is such a strong weapon. It allows you to be irreverent. It allows you to not follow the rules and to show the absurdity of what rules the world: the violence of domination, the violence of politics. All of this is so violent, and to be able to criticize this in a humorous way is something I have reacted to very strongly since I was a kid. So I welcome that when it comes in my writing, and it comes naturally because that’s what shaped my taste and the way I naturally feel at ease to to express myself.